Séance de Vendredi 11 Avril 2014

Nbre méssages : 1074 Inscris le : : 04/09/2008

alpha74 a écrit:

i love morocco a écrit:: Les émiratis investissent chez Medi1TV
Y aurait pas quelqu'un pour leur dire que dans notre chère BVC y a moins cher

ca ne va pas tarder Very Happy

, apres IAM , mazagan ... nos freres du golfe montrent une appetit grandissante pour investir dans le pays ..

IPIC s’allie à Akwa Groupe pour développer une raffinerie de pétrole

Les dés sont jetés par rapport au projet de réalisation d’une seconde raffinerie de pétrole au Maroc. Le projet a bel et bien été adopté par les instances responsables, selon nos sources. Il sera réalisé dans la cité industrielle de Jorf Lasfar non loin d’El Jadida, nous confirment les mêmes sources. Qu’en est-il de l’actionnariat du projet ? En effet, IPIC, l’opérateur public émrati, affilié à l’émirat d’Abu Dhabi exécutera sa promesse, formulée il y a plus de deux ans. Il participera en tant qu’actionnaire majoritaire à ce projet de grande envergure. Mais il ne sera pas le seul. Deux opérateurs marocains figureront avec lui dans le tour de table. D’une part, selon nos sources, le groupe Akwa via l’une de ses filiales pétrolières. Cela confirme les ambitions de l’empire des familles Akhannouch et Wakrim d’aller au-delà de la distribution et du stockage dans son cœur de métier, à savoir les hydrocarbures.
D’ailleurs, à la veille de la privatisation de Samir, l’unique raffineur du pays, le groupe Akwa avait mené un groupement de distributeurs marocains qui avaient l’ambition de maîtriser le secteur pétrolier, de l’amont à l’aval. L’offre financière des marocains n’était pas à la hauteur et c’est le groupe Saoudien Corral qui a remporté le marché de la privatisation.
Par ailleurs, nos sources parlent d’un « institutionnel marocain », dont l’identité demeure secrète. Serait-ce question que le holding royal SNI, prenne part à ce projet. La réponse est non, assurent nos sources. L’absence du holding SNI, laisse la place à d’autres institutionnels comme la Caisse de Dépôt et de Gestion ou encore le Groupe Banque Populaire. Avec la prise de participations dans OCP SA, la banque a initié une stratégie de développement d’actifs industriels. A moins que l’association actionnariale avec OCP n’ait été imposée à Mohamed Benchaaboun. En tout rien ne confirme encore cette hypothèse. L’identité du fameux partenaire institutionnel demeure donc inconnue. Ceci dit, rien ne filtre encore par rapport à la répartition du capital entre les trois partenaires et la capacité de production de la raffinerie de Jorf Lasfar.

Nbre méssages : 496 Inscris le : : 20/07/2013

CIH-Performance prévue du cours de 25,8% à fin avril

Upline Securities prévoit une hausse du cours du titre CIH. Techniquement, les analystes estiment qu'il devrait se diriger vers 295 DH, sachant qu'il s'est échangé pendant la séance du 8 avril à 292,50 DH, avant de pointer à 314 DH. Ce qui établirait sa performance depuis le début de l'année à 20,7%. Suite à cela, le titre devrait entamer une tendance baissière pour atteindre 300 DH, suivie d'un rebond haussier à 327 DH, si le support initial n'est pas franchi à la baisse. Ainsi, la progression du titre à fin avril devrait s'établir à 25,8%. (Source : La Vie éco

Nbre méssages : 496 Réputation : -2 Inscris le : : 20/07/2013

Attijari Intermédiation émet une opinion positive sur CMT

Attijari Intermédiation est optimiste vis-à-vis de la valeur CMT. Et pour cause, la société aurait renoncé pour le moment à entreprendre des investissements de taille dans la recherche minière au profit d'une politique généreuse de distribution de dividendes. Les analystes considèrent que cette stratégie compense les limites de la société au niveau de son activité, notamment l'absence de visibilité sur sa stratégie d'investissement ainsi que la volatilité de ses résultats. Néanmoins, CMT bénéficie d'un bilan solide qui offre une marge de manoeuvre importante pour ses prochaines levées de fonds. De plus, elle dispose d'une large capacité à offrir un rendement de dividende aux alentours de 10% sur la période 2014-2016. (Source : La Vie éco

Nbre méssages : 496 Réputation : -2 Inscris le : : 20/07/2013

MAGHREB STEEL - Aggravation des pertes en 2013

Fait : Publication des résultats 2013. Analyse : Dans un contexte d’exacerbation de la concurrence des produits importés et de morosité ambiante des marchés de l’acier plat tant au niveau local qu’à l’export, MAGHREB STEEL enregistre un chiffre d’affaires consolidé de MAD 2,4 Md en 2013, en repli de 10,1% comparativement à une année auparavant. Intégrant une variation de stocks de M MAD -116,1 (vs. M MAD -412,8 en 2012) et des dotations d’exploitation en hausse de 41,4% à M MAD 343,2, le résultat d’exploitation creuse son déficit à M MAD -438,5 contre M MAD -304,2 à fin 2012. En parallèle, le déficit du résultat financier s’alourdit, passant de M MAD -177,6 en 2012 à M MAD -223,9 en 2013, en raison de la non récurrence d’une reprise financière de M MAD 128,4 enregistrée en 2012. Par conséquent, le RNPG creuse son déficit à M MAD -560,9 en 2013, contre M MAD -423,9 en 2012. Dans cette lignée, les fonds propres s’établissent en 2013 à MAD 1,0 Md (vs. MAD 1,6 Md en 2012). L’endettement net augmente, quant à lui, de 3,2% à MAD 5,6 Md. Le gearing s’aggrave ainsi à 5,1x (vs. 3,3x en 2012). En social, le chiffre d’affaires se déprécie de 9,8% à MAD 2,4 Md tandis que le résultat d’exploitation alourdit son déficit, passant de M MAD -358,3 en 2012 à M MAD -456,0 en 2013. Dans ces conditions, le résultat net demeure négatif à M MAD -662,2 en 2013 (vs. M MAD -498,5 en 2012). Conclusion : Dans un contexte sectoriel plutôt délicat marqué par un ralentissement de la demande et par une forte concurrence des importations, les réalisations financières de MAGHREB STEEL ressortent en forte dégradation en 2013. (Source : BMCE K BOURSE

Nbre méssages : 496 Réputation : -2 Inscris le : : 20/07/2013

Lydec sécurise la conduite d'eau potable

-Plus de 8 millions de DH pour réhabiliter boulevard Laymoune à Casablanca -Eclairage, embellissement, création d'espaces verts... LES premières actions dans le cadre du plan d'actions prioritaires prennent forme à Casablanca. En effet, Lydec a entrepris depuis le 10 février dernier l'aménagement paysager urbain du quartier Laymoune. Le projet, dont le coût global est estimé à 8,2 millions de DH, est financé par le Fonds de travaux, géré par la filiale du groupe Suez Environnement. L'objectif est de sécuriser la conduite d'eau potable d'Oum Er Rbia, située sous le refuge du boulevard Laymoune (relevant de l'arrondissement Hay Hassani), tout en réhabilitant le quartier. Le projet, dont les travaux prendront fin en juin prochain, prévoit l'aménage ment paysager le long du boulevard, sur une longueur de 1.700 mètres. Il s'agit notamment du renforcement du réseau d'éclairage public et la création d'espaces verts (sur une surface de 3,4 ha) et de passages piétons. Lydec compte aussi sécuriser la conduite existante, l'aménagement et l'élargissement de la voie publique entre l'avenue de Tétouan et la route de Marrakech, à travers la mise en place d'une dalle de protection (d'une longueur de 30 mètres linéaires et une largeur de 8 mètres linéaires) sur la conduite et l'ouverture d'une liaison carrossable. Outre la sécurisation de la conduite d'eau potable d'Oum Er Rbia, en mettant fin au stationnement des véhicules sur cet emplacement, ces travaux visent aussi à embellir le boulevard Laymoune et donner une nouvelle vie aux quartiers avoisinants. De même, les travaux de réaménagement mettront fin à l'utilisation abusive du refuge (séparant la chaussée) comme dépôt de déblais et de déchets et à la prolifération de plantes sauvages. «A travers cette opération d'aménagement, Lydec confirme son engagement pour contribuer à l'amélioration du cadre de vie des Casablancais et à la préservation de l'espace urbain de la ville», affirme Pascal Darriet, DG de Lydec. Rappelons que le Fonds de travaux, dont le montant avoisine les 900 millions de DH par an, est alimenté par les participations au premier établissement (PPE), dont les frais de raccordement payés principalement par les aménageurs et promoteurs immobiliers. Le Fonds, dont la gestion est assurée actuellement par Lydec, a financé depuis le démarrage de la gestion déléguée en 1997, plus de 3,4 milliards de DH sur la période 1997-2013. Il est également impliqué dans le financement du plan d'actions prioritaires, notamment pour le volet éclairage public. Ce programme prévoit en effet la réalisation en un an des extensions et renouvellements prévus initialement sur les 6 prochaines années, soit un investissement prévisionnel de plus de 138 millions de DH en 2014. L'ambition est d'améliorer significativement le niveau d'éclairement sur tout le périmètre de la gestion déléguée. En particulier, sur les secteurs périphériques de la communauté urbaine de Casablanca pris en charge depuis avril 2013. (Source : L’Economiste

Nbre méssages : 496 Réputation : -2 Inscris le : : 20/07/2013

Ciments du Maroc - projet de fusion Ciments du Maroc/Betomar

Le Conseil d’Administration de Ciments du Maroc, réuni le 7 avril 2014, à l’issue de l’Assemblée Générale annuelle, a examiné un projet de fusion entre Ciments du Maroc et Betomar présenté par la Direction Générale de la Société. Betomar, filiale détenue à 100% par Ciments du Maroc, et qui regroupe les activités béton prêt à l’emploi et granulats du groupe au Maroc serait absorbée, aux termes d’une fusion simplifiée, par Ciments du Maroc. A l’issue de cette présentation, le Conseil d’Administration a approuvé le principe et les modalités de cette fusion par absorption de Betomar par Ciments du Maroc, avec effet rétroactif au 1er janvier 2014. Par ailleurs, le Conseil a également décidé que la société poursuivrait, en partenariat avec Italcementi Group, le développement d’activités internationales en Afrique subsaharienne. Au final, afin de répondre pleinement aux demandes du marché, il a été décidé de mettre en oeuvre le doublement de la capacité de production à Laâyoune. (Source : SOGECAPITAL BOURSE

Nbre méssages : 496 Réputation : -2 Inscris le : : 20/07/2013

Ciments-Holcim pèse sur les résultats des opérateurs cotés

-Le chiffre d'affaires sectoriel totalise 11,8 milliards de DH en recul de 1,5% -Les bénéfices, eux, progressent de 7,2% à 2,6 milliards de DH LE contexte défavorable aura eu raison de l'activité des cimenteries cotées. Le chiffre d'affaires consolidé des entreprises cotées en Bourse du secteur cimentier a régressé de 1,5% en 2013 à 11,8 milliards de DH. Dans ces conditions, elles ont augmenté leurs prix de vente pour atténuer l'impact de la baisse des volumes sur leur chiffre d'affaires. Cette contre-performance s'explique, selon les analystes d'Upline, par «la compression de 23,7% des mises en chantier, le ralentissement des investissements dans les travaux publics, la montée en puissance de Ciments de l'Atlas se traduisant par une exacerbation de la concurrence et la poursuite du rétrécissement des liquidités sur le marché». Holcim aura à lui seul contribué négativement à la croissance du chiffre d'affaires sectoriel (-1,8%). A l'inverse, Lafarge et Ciments du Maroc ont respectivement généré de légères contributions (de 0,1 et 0,2 point) à la croissance des revenus. Du côté de l'opérationnel, le résultat d'exploitation sectoriel s'est amélioré de 5% pour se chiffrer à plus de 4 milliards de DH. La contribution de Lafarge y est la plus importante avec 4,8 points. Ciments du Ma¬roc porte, pour sa part, sa contribution à 1,4 point "profitant de son efficience opérationnelle, avec notamment l'absence de recours à l'achat de clinker". Holcim, en revanche, voit sa contribution se réduire de -1,2 point à l'évolution du résultat d'exploitation sectoriel. - Dividendes en hausse : Du point de vue de la rentabilité, la capacité bénéficiaire du secteur s'est bonifiée de 7,2% pour atteindre 2,6 milliards de DH. Et c'est Ciments du Maroc qui réalise la meilleure performance avec un bond de 23,2% de son résultat net part du groupe (RNPG), pour une contribution de 6,3 points aux bénéfices sectoriels. Dans le même sillage, Lafarge améliore ses profits de 10,6%, soit une contribution de 5,6 points à la croissance de la rentabilité du secteur. Holcim, lui, voit son RNPG fondre de 23,1% ce qui a réduit sa contribution de -4,7 points à l'évolution des bénéfices du secteur. Retraité de Holcim, le RNPG du secteur aurait bondi de 14,9%. Tenant compte de la progression des bénéfices, les cimentiers vont être généreux avec leurs actionnaires. Le montant des dividendes devrait afficher une hausse de 4,2% à 2,2 milliards de DH. Dans ce total, près de 51,4% des dividendes vont être distribués par Lafarge, 29% par Ciments du Maroc et 19,6% par Holcim. Il en résulte des Pay-out variant de 98,4% pour Holcim, 84% pour Ciments du Ma roc et 82,8% pour Lafarge. Au volet des perspectives, Upline anticipe une légère reprise des ventes de ciments au niveau national dans une fourchette comprise entre 0% et 3%. «Un pronostic appuyé par la perspective d'une amélioration en 2014 de la valeur ajoutée des BTP autour de 4%, contre -1,6% en 2013», note Upline qui se base sur les chiffres du ministère des Finances. Les analystes d'Upline pensent que la nouvelle stratégie d'ouverture sur l'Afrique (à travers les exportations de clinker), entamée par Cimat et Holcim, devrait constituer un réel relais de croissance pour les cimenteries nationales. (Source : L’Economiste

BMW a écrit:

Attijari Intermédiation émet une opinion positive sur CMT

Attijari Intermédiation est optimiste vis-à-vis de la valeur CMT. Et pour cause, la société aurait renoncé pour le moment à entreprendre des investissements de taille dans la recherche minière au profit d'une politique généreuse de distribution de dividendes. Les analystes considèrent que cette stratégie compense les limites de la société au niveau de son activité, notamment l'absence de visibilité sur sa stratégie d'investissement ainsi que la volatilité de ses résultats. Néanmoins, CMT bénéficie d'un bilan solide qui offre une marge de manoeuvre importante pour ses prochaines levées de fonds. De plus, elle dispose d'une large capacité à offrir un rendement de dividende aux alentours de 10% sur la période 2014-2016. (Source : La Vie éco

Salam

Oui maintenant qu'ils convertissent leurs Obligations convertibles en actions, CMT devient intéressante Razz

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"Quand on est dans un trou, la pire chose à faire est de continuer de creuser."

amin a écrit:

yosefkeys2 a écrit:: Selon ce document là ,est ce que vous voyez Mr yuguerten que les banques vont encore baisser les prix de de l'or ou bien vont - il s’arrêter à ce niveau là?

et merci auparavant Mr Yuguerten.

Mr Yuguerten , HFT y est pour qqc aussi Smile

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C'est vrai Very Happy

. Mais, ce que je ne comprend pas c'est pourquoi Goldman est contre Les HFT algos et est déjà en campagne pour les brider.

Si on est trader de volatilité et non directionnel, les HFT ont été bénéfiques pour les trades en favorisant plus de liquidité et réduisant aussi les spreads.

Les avantages/inconvénients du HFT pour le PP n'est pas si évident que ça. A suivre...

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"Quand on est dans un trou, la pire chose à faire est de continuer de creuser."

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