Séance du Mercredi 04 Novembre 2009

@zorro1: Une question à propos de votre message d'hier :

"Sujet: Re: Séance du Mardi 03 Novembre 2009 Hier à 14:28
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attention il y a des titres dont le prix est gonflés par un tas de conneries tel que rumeurs , croyances , reves fous , boites vides et bruiyantes tres pratiques au jeu , ......etc et d autres dont le prix s appuient sur des fondamentaux solides!! moi je prefere les derniers."

Je suis d'accord avec votre théorie, mais pour mieux comprendre vos propos, pouvez-vous donner des exemples concrets?

Je ne veux pas vanter les mérites d'IAM mais je souhaite vous donner quelques précisions. IAM c'est :

- Le 3 ème meilleur CA des entreprises Marocaines en 2008 avec près de 30 Milliards MAD après OCP et SAMIR
- Le 2 ème meilleur RN avec 9.5 Milliard MAD apès OCP qui a eu une année exceptionnelle en 2008. (IAM sera probablement la 1 ere en 2009.
- Pionier et Leader avec une Part de Marché de 62% contre 35% pour le challenger.
- Un PER de 14 qui est un des meilleurs Ratios.
- Une Rentabilité de Dividende (en cas de Stagnation des résultats) à 7%.
- Un Taux de Marge sur CA de 35% (Exceptionnel).

A chacun de faire son choix
Permettez moi de ne pas répliquer sur ce sujet parcque je ne veux pas de polémique là dessus....

DaRk-H a écrit:

@zorro1: Une question à propos de votre message d'hier :

"Sujet: Re: Séance du Mardi 03 Novembre 2009 Hier à 14:28
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attention il y a des titres dont le prix est gonflés par un tas de conneries tel que rumeurs , croyances , reves fous , boites vides et bruiyantes tres pratiques au jeu , ......etc et d autres dont le prix s appuient sur des fondamentaux solides!! moi je prefere les derniers."

Je suis d'accord avec votre théorie, mais pour mieux comprendre vos propos, pouvez-vous donner des exemples concrets?

Pas de réponse???

Bjr
Il parait que le message d'hier est bien passe et que ce matin tout le monde est rentre dans le marche de sa tete

Maroc : Bourse – L’usine à Champions.A travers la décennie écoulée, la Bourse a constitué un levier de croissance sans précédent pour les sociétés cotées, toutes tailles confondues. Elle leur a ainsi permis de mobiliser de l'épargne. Sur les 75 milliards de DH levés, 26 viennent des introductions. Près de 13 autres milliards ont concerné des opérations d'augmentation de capital. Cela résulta sur une moyenne annuelle de 1,3 milliard de DH sur la période de 1999 à 2009. Sur ce même intervalle, CGI a réalisé la plus grosse opération avec une levée de 2 milliards de DH en 2000 et une autre de 1,85 milliard en 2006. Addoha n'est pas en reste. La société a procédé en 2008 à une augmentation de capital de 2 milliards de DH. La dernière transaction en date, celle de la BMCI qui, après plusieurs augmentations successives, a revalorisé son capital à hauteur de 1,5 milliard de DH en 2009. Les 36 milliards de DH restant ont été levés sur le marché obligataire. En effet, l'émission d'emprunt obligataire reste incontestablement le mode de financement le plus apprécié par des émetteurs puisqu'il représente plus de 4800 des fonds. «Une situation des plus normales, selon Attijari Intemédiation, car même dans les pays les plus développé, en termes de finance de marché, les émissions obligataires demeurent traditionnellement la principale source de financement des sociétés». En somme, les 75 milliards levés au cours de la décennie ont permis l'émergence, parmi les sociétés cotées, de leaders nationaux, voire régionaux, dans leur secteur d'activité respectif. Revue de détail. - MAROC TELECOM : Exemple parfait du financement d'un service public. Il démontre la capacité de la Bourse à mobiliser de l'épargne. Rappelons que cette introduction est intervenue à une époque où l'Etat n'avait pas l'argent pour financer l'extension des télécoms. Le Maroc a fait coup double: investissements et apport d'épargne au Trésor. C'est ainsi que l'Etat a pu bénéficier d'une manne de l'ordre de 9 milliards de DH et de surcroît résorber le déficit. A noter par ailleurs que l'opération d'introduction de l'opérateur avait suscité un fort engouement se traduisant par une demande de plus de 190 milliards de DH soit un taux de souscription supérieur de 21,5 fois et un nombre de souscripteurs de 130.000. - ADDOHA : Le cas du promoteur immobilier est considéré comme atypique pour le marché. Deux ans seulement après son introduction, la progression de ses indicateurs financiers s'est complètement métamorphosée. En effet, la Bourse lui aura permis de changer de taille et de renforcer son pouvoir de négociation. Partant, le groupe peut saisir les opportunités pour assurer sa croissance à long terme. Ce changement de statut s'est caractérisé pour Addoha à la fois par l'acquisition de nouveaux terrains, l'augmentation de la capacité de production et la conclusion de partenariats stratégiques avec des groupes étrangers de référence. Par ailleurs, Addoha a réussi à répondre au déficit de la demande de logement en augmentant sa capacité de production en logement économique et en se diversifiant dans le haut et moyen standing. C'est ainsi que le groupe a triplé son chiffre d'affaires et doublé sa capacité de production depuis son introduction en 2006. Sans parler des avantages en termes de publicité et de notoriété pour le groupe, l'introduction en Bourse de l'immobilière a permis de dévoiler les chiffres du secteur. «Une transparence qui sert à structurer et développer le marché actuellement», se réjouit-on au sein d'ATI. - ATTIJARIWAFA BANK : Leader incontestable du secteur, le groupe a bien su faire face aux impératifs du secteur, à savoir le développement à l'international et la conformité avec les règles prudentielles de Bâle II en termes de renforcement des fonds propres. A ce titre, AWB a à maintes reprises eu (Source : L'Economiste)

Maroc : Communiqué - « IAM-Makhazen – Liaisons douteuses ».Le Journal publie dans son édition du 31 octobre 2009, sous le titre «IAM- MAKHZEN - Liaisons douteuses», des informations fausses ou tronquées sur lesquelles Maroc Telecom estime indispensable d'apporter des précisions du fait de leur caractère fallacieux voire d'apporter un démenti lorsqu'elles sont mensongères, Maroc Telecom n'ayant jamais effacé une quelconque dette de GSM Al-Maghrib. Il convient de rappeler que depuis son introduction en Bourse en 2004 sur les places de Casablanca et Paris, les informations publiées par Maroc Telecom ont été établies en conformité avec la réglementation tant marocaine que française et mises à la disposition du public notamment sur son site web, accessible depuis le Maroc comme de l'étranger. Contrairement à ce qui est indiqué, Maroc Telecom n'a jamais eu à déplorer un quelconque impayé dans le cadre de son partenariat avec la société GSM Al-Maghrib. Les informations auxquelles il est fait référence ont été publiées dans le cadre du rapport spécial des commissaires aux comptes sur les conventions réglementées et correspondent au solde du compte client au 31 décembre 2003 et 2004 et non à des créances irrécouvrables. Ces créances ont depuis été intégralement réglées. Ce même rapport a été établi et publié pour les exercices clos les 31 décembre 2005 et 2006. Maroc Telecom ayant cédé sa participation en 2006, ces informations n'ont plus à être publiées depuis 2007 au titre des conventions réglementées. Il n'en demeure pas moins que GSM Al-Maghrib est depuis longtemps et reste, à ce jour, un distributeur de qualité des produits et services de Maroc Telecom et n'a pas, à L notre connaissance, procédé à un quelconque dépôt de bilan, contrairement à ce qu'affirme le Journal Les informations publiées portent gravement atteinte à la réputation de Maroc Telecom, de ses partenaires et de ses dirigeants et pourraient à elles seules justifier une mise en cause de la responsabilité de ce journal devant les tribunaux. Néanmoins, Maroc Telecom n'entend pas, sauf en cas de récidive, ajouter aux difficultés que rencontre déjà cette publication du fait de condamnations passées pour des faits similaires. En revanche, ce manque d'éthique professionnelle de la part de ce journal explique que Maroc Telecom ne souhaite pas, au travers de la publicité, financer ou voir son image associée à un journal aussi peu crédible. C'est peut-être le reproche qui lui est indirectement fait par la publication récurrente d'article mensonger. (Source : L'Economiste)

ACTUS BOURSE du 04112009

A 11:04,
Tendance marché: En légère baisse, les indices MASI et MADEX affichent respectivement -0.52% à 10709.62 points et -0.54% à 8690.66 points.
Valeurs à la une: ONA(9.066 MMAD), MNG(4.592 MMAD), BCP(2.688 MMAD), IAM(2.556 MMAD), ADH(2.408 MMAD).
Volume marché central: 26 731 699.16 MAD.
Volume marché de blocs: 0.00 MAD.

A 10:00, Ouverture de la séance;

MOX: Réservation à la baisse jusqu'à 11:30.


BMCE Capital Bourse

Télécoms : Un marché porté par la progression du parc Mobile

Fait : Chiffres de l’ANRT à fin septembre 2009
Analyse : Au terme des neuf premiers mois de 2009, le parc d’abonnés Mobile totalise 25,07 millions de clients, en progression de 12,5% comparativement à la même période une année auparavant (Vs. 23,5 millions d’usagers à fin juin 2009). En parallèle, le taux de pénétration se renforce à 80,44% contre 72,29% à pareille date en 2008 (Vs. 75,49% à fin juin 2009). Le prépayé demeure toujours prédominant avec une part de 96,1% contre 3,9% pour le post payé.

Par opérateur, MAROC TELECOM consolide son leadership avec un portefeuille clients de 15,2 millions d’abonnés et une part de marché de 60,77% à fin septembre 2009 contre 65,61% une année auparavant (Vs. 60,71% à fin juin 2009). Pour sa part, MEDITELECOM parvient à gagner, sur une année glissante, 3,51 points de parts de marché à 36,72%, correspondant à un parc de 9,2 millions d’usagers (Vs. 36,68% à fin juin 2009). WANA recrute, quant à elle, 368 000 nouveaux clients entre septembre 2008 et septembre 2009 (+17 000 abonnés par rapport à juin 2009), portant le nombre de ses abonnés mobile à 629 000, soit une part de marché de 2,51% contre 1,17% au 30/09/2008.

Sur le Fixe, le parc global s’élève à 3,39 millions d’usagers contre 2,83 millions d’abonnés en septembre 2008 (Vs. 3,26 millions de clients à fin juin 2009), élevant le taux de pénétration à 10,89% à fin septembre 2009. WANA s’approprie 62,34% de parts de marché sur ce segment contre 37,40% pour MAROC TELECOM et 0,26% pour MEDITELECOM. Le parc résidentiel s’élargit de 23,5% à 2,84 millions d’abonnés tandis que celui professionnel limite sa progression à 3,75% à 386 632 lignes. Sur le résidentiel, WANA détient 74,17% du marché contre 25,83% pour l’opérateur historique alors que sur le professionnel MAROC TELECOM continue de dominer avec une part de marché de 96,03%.

Le marché des publiphones ressort, quant à lui, en quasi-stagnation à 177 495 lignes. ITISSALAT AL MAGHRIB accapare 92,16% de ce segment contre 7,84% pour MEDITELECOM.

Enfin et avec 1 048 168 abonnés, le parc global Internet poursuit son élargissement, gagnant 8,9% sur le T3 2009 un et 52,0% comparativement à fin septembre 2008. Les parts de marché respectives des opérateurs s’établissent à 56,38% pour IAM, à 32,35% pour WANA et à 11,02% pour MEDITELECOM. Le marché du 3G enregistre une plus forte progression avec +20,8% au T3 2009 et +182,8% depuis septembre 2008 à 566 575 abonnés. WANA y maintient sa position de leader avec 59,08% contre 20,54% pour MAROC TELECOM et 20,38% pour MEDITELECOM.

Conclusion : Les chiffres du secteur télécoms national à fin septembre 2009 confirment sa capacité de résilience au contexte économique difficile.

BMCE Capital Bourse

Bjr
Que pensez vous de DHO est ce qu elle peut s enfoncer d avantage et pour une entree quel est le meilleurs cours en vue une eventuelle reprise du marche
merci pour vos reponses

Silence radio

Le Marché est très Morose, Les volumes très faibles. Beaucoup d'attentisme de la prochaine vague

le Flash Marché Actions ATI http://www.up-this.com/fr/dl.html?fid=3FB687599DFB

Le Volume et baisse du titre ONA sera t elle expliquée par l'approche de l'annonce des résultats du 3 eme trimestre?

Quels effets et quelles incidences des Filiales : MNG, SMI, LES, CTL, ATW, ....??