adil79
Nbre méssages : 1104 Inscris le : : 08/09/2008
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 11 Novembre 2009 Mer 11 Nov 2009 - 16:44 | |
| Distrisoft/Matel PC Market Une fusion imminente · Ce qui devrait aboutir à la création d’une nouvelle identité
· Pour obtenir un champion national à l’échelle internationale
http://www.leconomiste.com/article.html?r=33 | |
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Veoliane
Nbre méssages : 187 Inscris le : : 19/09/2009
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 11 Novembre 2009 Mer 11 Nov 2009 - 16:54 | |
| - Amiir a écrit:
- Le Masi a clôturé ce jour exactement à sa cible Fibo 50%, prise pour la période d'une Année.
Le RSI a bondi sur les 20 en zone de sur vente, Les boujies sont au plus bas des bandes de boolinger, Le MACD n'est pas favorable et pourtant moi je mise sur un Rebond à ce niveau de cette journée.
La nouvelle disposition de traitement à prix fixe après la clôture est pour moi révélatrice du moment que toutes les quantités proposées ont été absorbées pour les Grosses Cap qui ont chuté ce jour.
Wallahou A3lam
Possible que le MASI rebondisse demain vu qu'elle touche la borne inf de la BB !! Mais diffcile de se prononcer car cela dépend des valeurs à forte négociabilité et pondération ( ADH, IAM, ATW, ...) qui vont influer sur la tendance. Or à mon avis ADH n'a pas épuisée sa BAISSE et il faut attendre le rebond technique une fois certaines valeurs mises à sac ( ADH, BCE, ATW, ADI, DHO ( mais de faibles volumes) ). Par ailleurs, l'engouement des valeurs NTI crée une perturbation et nous offre une lecture difficile du marché. Je préconise d'attendre les achats à bon compte sous peu ( cad 1 à 2 jours max) avant de vivre un petit rallye. Mais l'avenir nous le dira.... ATTENTION : CMA, HOL sont sur un starting block !!! | |
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lahlou
Nbre méssages : 97 Réputation : 1 Inscris le : : 30/03/2009
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 11 Novembre 2009 Mer 11 Nov 2009 - 17:38 | |
| RMA WATANYA EN BOURSE EN 2010 (source:challenge) | |
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Veoliane
Nbre méssages : 187 Humeur : En dent de scie Réputation : 3 Inscris le : : 19/09/2009
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 11 Novembre 2009 Mer 11 Nov 2009 - 17:57 | |
| - lahlou a écrit:
- RMA WATANYA EN BOURSE EN 2010 (source:challenge)
Enfin !!! Cela va booster la bourse car c'est du gros calibre en perspective. Ensuite Meditel emboitera le pas.... Je pense que 2010 sera un bon cru par rapport à cette satanée année !!!! | |
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Veoliane
Nbre méssages : 187 Humeur : En dent de scie Réputation : 3 Inscris le : : 19/09/2009
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 11 Novembre 2009 Mer 11 Nov 2009 - 18:40 | |
| Evolution positive des Bourses mondiales avec des bons de plus 100 !!! Et nous pendant ce tps on ronronne, on hiberne... | |
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mjid
Nbre méssages : 358 Réputation : -7 Inscris le : : 18/07/2009
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 11 Novembre 2009 Mer 11 Nov 2009 - 19:44 | |
| le co d'involys est presque vide cote achat | |
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DaRk-H
Nbre méssages : 4861 Humeur : Thymique Réputation : 36 Inscris le : : 17/10/2008
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 11 Novembre 2009 Mer 11 Nov 2009 - 19:49 | |
| - mjid a écrit:
- le co d'involys est presque vide cote achat
Bonsoir, Ceci est sa variation en 1 semaine, elle a fait un large parcours (33%) Libellé Var (%) Dernier Premier + Haut + Bas Volume INVOLYS +32.95 209.80 157.80 209.85 149.00 30 799 Salutations | |
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Admin Admin
Nbre méssages : 2820 Réputation : 36 Inscris le : : 11/08/2008
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 11 Novembre 2009 Mer 11 Nov 2009 - 20:01 | |
| PVC, une bombe pour le gouvernement! | | · Clause de sauvegarde, Snep et plasturgistes à couteaux tirés
· Pourquoi l’Etat a fermé les yeux sur le démantèlement douanier?
· Bruxelles et Washington peuvent activer le droit international
Aujourd’hui à 19h, c’est le grand déballage! L’Association marocaine de la plasturgie (AMP) donne rendez-vous, ce mercredi 11 novembre à Casablanca, à toute la presse. Les plasturgistes sont décidés à prendre à témoin l’opinion publique. Cette affaire va certainement ouvrir un débat au Parlement. A son origine, une demande de clause de sauvegarde. La requérante n’est autre que la Société nationale d’électrolyse et de pétrochimie (SNEP), filiale de Ynna Holding. Elle revendique auprès du ministère du Commerce extérieur «l’application de mesures de sauvegarde sur les importations de polychlorure de vinyle (PVC)». Une matière première qui sert notamment à fabriquer des tubes, raccords, câbles, volets roulants, joints, chaussures… La filiale du groupe Chaâbi motive sa demande par «l’accroissement des importations ayant causé une baisse des ventes… Et atteste de l’existence d’un détournement des commandes de ses clients en faveur» des importateurs. C’est du moins ce qui ressort de l’avis 03/09 relatif à l’ouverture, à partir du 10 août dernier, d’une enquête dite «publique». Elle compte établir l’opportunité juridique d’activer ou pas les clauses de sauvegarde vis-à-vis des droits de douane de 10% dont bénéficient les plasturgistes depuis janvier 2009. Une baisse prévue à l’origine par l’article 5 de la convention de la privatisation de la Snep conclue en 1993. Pourtant, ce processus de démantèlement douanier a été grippé pendant des années. In fine, ce n’est qu’un retour à l’ordre naturel. C’est pourquoi les importateurs et transformateurs de PVC sont «contre la demande de la Snep qui n’est nullement justifiée», dénoncent-ils dans un communiqué de l’AMP. Pour défendre leurs droits, les plasturgistes sortent la grosse artillerie. Ils saisissent le gouvernement notamment.
· Une lettre et un avis Deux courriers, en date du 12 et 13 octobre, sont envoyés respectivement au Premier ministre, Abbas El Fassi, et au Conseil de la concurrence (voir édition du 9 et 10 novembre). Tout en contestant les chiffres des importations du PVC, l’Association marocaine de la plasturgie taille en pièces les arguments de la Snep: la demande de protection douanière de 10% basée sur «un investissement en vue d’augmenter sa capacité de production à 140.000 tonnes devait être réalisé depuis 10 ans», précise-t-elle au Premier ministre. Comment se fait-il alors que le ministère du Commerce extérieur a laissé passer un si «petit» détail? La fragilité des fondements juridiques sur lesquels la direction de la politique commerciale extérieure a pris sa décision est par ailleurs soulevée. Il suffit «de se reporter aux articles 2, 15 et 16 de la loi 13-89 relative au commerce extérieur et à l’article XIX sur les clauses de sauvegarde de l’OMC», argumente le professeur Abderrahmane Ouali. Ce fin lobbyiste, économiste et consultant a participé à la rédaction de la loi 13-89 et a même «appelé la directrice, Zahra Maafiri et au secrétariat général du ministère pour attirer leur attention sur ce point de droit». Le professeur Ouali également reconnu comme «Monsieur plasturgie» a participé, à la fin des années 90, à l’une des premières monographies sur le secteur. Toujours est-il que pour se défendre, les plasturgistes n’hésitent pas à faire valoir les connexions sectorielles.
· Effet de cascade Les mesures de sauvegarde et le relèvement des droits de douane pèsent financièrement sur plusieurs secteurs: «tôles et profilés pour BTP, adduction d’eau; automobile (pièces techniques, gaines et câbles); système d’irrigation pour l’agriculture et produits de grande consommation...». Sur ce coup-là, ce sont surtout les 30 millions de consommateurs marocains qui trinquent. Car des articles de chaussures en plastique, nappes, articles de ménage sont concernés. Voilà un cas qui démontre à quel point est-il urgent d’adopter le projet de loi 31-08 relatif à la protection du consommateur, actuellement à la Chambre des représentants. Le gouvernement, notamment, a tout intérêt à ne pas castrer juridiquement cette loi: en octroyant d’abord aux associations un vrai statut de défendeurs des consommateurs. Ensuite en leur accordant solennellement des moyens financiers pour jouer leur rôle. Il va de soi que l’économie marocaine paye chères ses répercussions sectorielles. D’autant plus que les capacités de production de la Snep sont très critiquées. Dimatit, Houda et Plastic,… filiales du groupe Chaâbi, «consomment 50% de sa production. Et tout en étant en situation de monopole, la Snep alimente le marché d’à peine 60%», affirme l’AMP. Or la capacité d’absorption est de 100.000 tonnes. C’est la même conclusion d’une étude sur la filière plasturgie réalisée en 2006 déjà et financé de surcroît par l’Union européenne dans le cadre du programme Meda: «faible productivité locale, faible taux d’utilisation de la capacité installée (entre 55 et 75%), structure tarifaire des importations… limitent la croissance du secteur». Et indirectement, les consultants internationaux, Renato Mazzoni et Laurent Maenhout, constatent «qu’au-delà des facteurs conjoncturels, certains freins sont imputables au jeu de la concurrence des acteurs déterminants…». Concurrence. Le mot est lâché. Rappelons que la Snep est le gros fournisseur du marché. · L’énigme de l’article 5 Le «hasard» fait bien les choses. Car en 2006 justement, plusieurs plasturgistes demandent au ministère délégué auprès de la Primature chargé des Affaires économiques d’ouvrir une enquête. Durant le gouvernement Jettou 2002-2007, Rachid Talbi El Alami chapeaute ce département. Le rapport Snep -publié en exclusivité le 21 juin 2007 par L’Economiste- est cinglant: «position dominante, comportements anticoncurrentiels, refus de vente…». Autant de charges qui «pèsent contre cette société qui a le monopole de la production de résine et de compound de PVC». Le rapport recommande alors «la baisse des droits de douane à 2,5% (ce qui n’est toujours pas le cas) et la saisie du Conseil de la concurrence pour pratiques anticoncurrentielles». En fait, c’est l’article 5 du contrat de privatisation de la Snep qui est à l’origine du mal. Et il porte sur une protection douanière qui devait passer à partir de 1999 de 40%, à 17,5% puis 10%. Ni les recommandations ni les sanctions «n’ont abouti», regrette l’AMP. Contacté par L’Economiste, Talbi El Alami avance qu’«il y a eu baisse des droits de douane». Pourquoi les actes n’ont pas suivi? «Quelqu’un à l’administration n’a pas fait son travail», rétorque l’ex-ministre délégué et actuel parlementaire du RNI. Le gouvernement Jettou a bel et bien retenu le taux de douane de 2,5%. Talbi El Alami «a saisi à ce titre le ministre du Commerce extérieur, Mustapha Mechahouri, pour engager la procédure de la baisse par décret. Ce dernier a convoqué la Commission consultative de l’importation qui a retenu finalement le taux des 10%», témoigne Ouali, également ex-secrétaire général de la CGEM et de l’Association des exportateurs. Entre-temps, les élections législatives de septembre 2007. Nouveau parlement et nouveau gouvernement. La baisse n’est intervenue en fait qu’en octobre 2008, bien après le départ de Talbi El Alami. Entre le moment où le gouvernement Jettou a décidé la baisse de 10% et l’application des 17,5% qui sera finalement retenue, «deux ans se sont écoulés». Et la Snep a saisi ce passage de relais entre les gouvernements Jettou et El Fassi (2007-2012) pour… son introduction boursière en octobre au cours de 1.250 DH. C’est-à-dire un mois après les élections. Après Managem en 2000, «c’est la plus importante société industrielle qui rejoint la place casablancaise», commentera à l’époque Houcine Sahib, directeur de la banque d’investissements d’Attijariwafa bank. Sa filiale Attijari Finances Corp est le conseiller arrangeur de l’opération. Est-ce à dire que la protection douanière a permis à la Snep d’assurer avec succès l’ouverture de son capital à hauteur de 35%?
· «Refus de signer» Pourtant, le gouvernement Karim El Amrani (août 1992-mai 1994) en privatisant la Snep pour 400 millions de DH s’était engagé sur le démantèlement tarifaire. En contrepartie, le repreneur, Miloud Chaâbi, devait réinvestir le surplus de la protection douanière. Aucun des engagements ne sera respecté à la lettre. Alors qu’en 2007 «deux ministères ont signé le décret ramenant les droits de douane à 10%, un ministère a refusé de le faire», soulignent les plasturgistes. Si le ministère des Finances et celui du Commerce et de l’Industrie signent, le Commerce extérieur bloque la signature du décret. En fait, Abdellatif Maâzouz «a proposé de retenir un taux intermédiaire entre 10%, retenu par la Commission, et 25% le taux de douane» en vigueur depuis 2002. Sur quelle base le ministre du Commerce extérieur a justifié sa décision? Il restera injoignable pour répondre à notre question. Toutefois Maâzouz aurait «reçu les représentants de la Snep avant la signature du décret le 22 octobre 2008», selon le professeur Ouali. A l’époque, la décision du ministère du Commerce extérieur intervient alors même que les délais prévus par la convention de privatisation de la Snep n’ont pas été pris en compte. Pourquoi l’Etat a-t-il pratiqué depuis 1999 la politique de l’autruche? Chaâbi aurait «fait du chantage en faisant valoir la protection douanière et la carte des licenciements et du lobbying en finançant le PPS, le Parti de l’Istiqlal... L’Etat a cédé et n’a pas défendu l’intérêt général», d’après un ex-ministre très proche du dossier. Et en août 2009, une enquête en matière de sauvegarde sur les importations de PVC est ouverte. Si «la filiale de Miloud Chaâbi a fait cette demande, c’est qu’elle a eu l’aval tacite de quelqu’un au gouvernement», avance une source au sein d’une autorité administrative. Les connexions politiques ont-elles pesé? Sachant que les Chaâbi, père et fils (Faouzi), sont à la fois hommes d’affaires et parlementaires. L’un est avec le PJD, l’autre avec le RNI.
Enjeux politiques
DÉJÀ en 1996, l’ex-ministre de la Privatisation Abderrahman Saïdi a été traduit en justice pour diffamation par Miloud Chaâbi. Cette bataille judiciaire les a menés jusqu’à la Cour suprême. Saïdi ne sera pas condamné. Cet expert-comptable s’est lancé depuis dans la vente d’œuvres d’art via sa galerie Memo Art. L’éligibilité d’un secteur économique, tel que la plasturgie, au Programme d’appui aux associations professionnelles (PAAP 2002-2005 et 2007-2010) est conditionnée notamment par le fait qu’il soit concerné par l’accord d’association avec les Européens. Financé par l’UE, il est géré par la CGEM. Ce sont eux d’ailleurs qui financent ce projet. Or ce qui se passe avec cette clause de sauvegarde risque de décrédibiliser le PAAP, le secteur et le Maroc. Et l’UE aura l’impression de jeter son argent par la fenêtre. Rabat a pris des engagements vis-à-vis de ses partenaires et du droit du commerce international, notamment avec les Etats-Unis. Le moindre faux pas peut comporter des incidences géostratégiques… et financières. Et en cas de plainte devant l’OMC, ce sont des pénalités en millions de dollars qui peuvent être infligées. «Business is business», n’est-ce pas?
Faiçal FAQUIHI
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mjid
Nbre méssages : 358 Réputation : -7 Inscris le : : 18/07/2009
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 11 Novembre 2009 Mer 11 Nov 2009 - 20:03 | |
| Bonsoir, Ceci est sa variation en 1 semaine, elle a fait un large parcours (33%) Libellé Var (%) Dernier Premier + Haut + Bas Volume INVOLYS +32.95 209.80 157.80 209.85 149.00 30 799 Salutations ca veu dire que le cours peut reculer | |
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mjid
Nbre méssages : 358 Réputation : -7 Inscris le : : 18/07/2009
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 11 Novembre 2009 Mer 11 Nov 2009 - 20:04 | |
| Bonsoir, Ceci est sa variation en 1 semaine, elle a fait un large parcours (33%) Libellé Var (%) Dernier Premier + Haut + Bas Volume INVOLYS +32.95 209.80 157.80 209.85 149.00 30 799 Salutations
alors c possible que le cours recule vers les 175 | |
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mjid
Nbre méssages : 358 Réputation : -7 Inscris le : : 18/07/2009
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 11 Novembre 2009 Mer 11 Nov 2009 - 20:08 | |
| addoha ?????????? vers les 85 d'ici la fin d'anneé | |
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madmax
Nbre méssages : 137 Réputation : 5 Inscris le : : 27/06/2009
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 11 Novembre 2009 Mer 11 Nov 2009 - 20:29 | |
| est t il encore tot de s aventure sur HPS ??? | |
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| Sujet: Re: Séance du Mercredi 11 Novembre 2009 | |
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