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 Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE

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Mohamedbourse
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MessageSujet: Re: Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE   Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE - Page 12 Icon_minitimeMar 1 Juin 2010 - 9:09

S.M. le Roi lance le projet de l'agropole de Berkane et s'enquiert de plusieurs projets agricoles dans la région, d'un coût global de 2,2 milliards DH / MAP 31/05/2010

Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu l'assiste, a lancé, samedi dans la commune rurale de Madagh (province de Berkane), les travaux de réalisation de l'agropole de Berkane et pris connaissance de plusieurs projets agricoles s'inscrivant dans le cadre du plan «Maroc Vert», d'un coût global de près de 2,2 milliards de DH. L'agropole de Berkane, qui s'inscrit dans le cadre de la politique agricole visant à multiplier les pôles de compétences dans les différentes régions agricoles du Royaume, s'étend sur une superficie de 102 hectares et nécessitera un investissement total de 1,361 milliard de DH.

Tourné vers la valorisation des produits agricoles de la région de l'Oriental, ce vaste projet comporte un parc agro-industriel, un parc logistique et un parc service. A cette occasion, S.M. le Roi Mohammed VI, que Dieu l'assiste, a présidé la cérémonie de signature de la convention de valorisation de cette agropole. Cette convention a été signée par Taieb Cherkaoui, ministre de l'Intérieur, Salaheddine Mezouar, ministre de l'Economie et des Finances, Karim Ghellab, ministre de l'Equipement et des Transports, Aziz Akhannouch, ministre de l'Agriculture et de la Pêche maritime, Ahmed Reda Chami, ministre de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologies.

Elle a été également signée par Mohamed M'barki, directeur général de l'Agence pour la promotion et le développement économique et social de l'Oriental, Ali Belhaj, président du conseil de la région de l'Oriental, Tayeb Saidi, président du conseil communal de Madagh et Anas Alami, président du directoire de CDG-développement. Les travaux in site, prévus dans le cadre de cette convention, nécessiteront un budget de 190,6 millions de DH. Afin de renforcer ce pôle, le ministère de l'Agriculture et de la Pêche maritime prévoit la construction d'un pôle de recherche-développement et de contrôle de qualité sur une superficie de 6,8 ha, pour un coût de 92 millions de DH.
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MessageSujet: Re: Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE   Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE - Page 12 Icon_minitimeMer 26 Mai 2010 - 12:14

Ressources halieutiques: Tenue de «Agadir fish Morocco»

Le Salon "Agadir fish Morocco", qui s'ouvre jeudi dans la capitale du Souss sous l'égide du ministère de l'Agriculture et des pêches maritimes, se veut une vitrine pour mettre en valeur les ressources halieutiques nationales et une plate-forme pour impulser la nouvelle stratégie du secteur, selon les organisateurs. "Pendant trois jours, les atouts de ce secteur stratégique pour le pays seront mis en valeur dans un souci d'exploitation rationnelle des ressources halieutiques et une perspective de développement durable", a déclaré le Commissaire du Salon, Abdelfettah Zine. Cet évènement intervient en effet, a-t-il dit, dans une conjoncture particulière marquée par l'annonce sous la présidence effective de S.M. le Roi Mohammed VI d'une nouvelle stratégie du secteur halieutique qui s'articule autour de trois concepts majeurs: durabilité, compétitivité et performance. Sur une superficie d'exposition couverte de 3000 m2, plus de 120 exposants, dont une douzaine de pays étrangers, sont attendus à cette 7e édition, a précisé le Commissaire du Salon. Les organisateurs tablent sur quelque 15.000 visiteurs professionnels durant cet évènement placé sous le signe de la durabilité et d'une exploitation efficiente des ressources halieutiques.

MAP 26/05/2010
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MessageSujet: Re: Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE   Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE - Page 12 Icon_minitimeLun 24 Mai 2010 - 9:24

Agrégation Agricole: Signature de 42 conventions entre l'Etat et les agrégateurs

L'amélioration de la productivité agricole reste confrontée à un déficit chronique d'investissements en raison de la problématique foncière liée à l'exiguïté des exploitations agricoles et exacerbée par un très faible niveau d'organisation des agriculteurs. Cette situation est accentuée par la faible attraction des capitaux privés, la limitation du financement bancaire et l'insuffisance des capacités managériales dans le secteur.

Afin de surmonter ces obstacles, le Plan Maroc vert a adopté l'agrégation comme solution pour contourner ces problématiques. Modèle novateur d'organisation des agriculteurs autour d'acteurs privés ou d'organisations professionnelles à fortes capacités managériales, cette solution permet notamment de dépasser les contraintes liées à la fragmentation des structures foncières tout en assurant aux exploitations agrégées de bénéficier des techniques modernes de production et du financement et d'accéder au marché intérieur. Cette forme d'organisation qui a démontré son efficacité au niveau national et international est appelée à être renforcée par un projet de loi.

Afin d'élargir les concertations autour de cette thématique, l'Agence pour le développement agricole vient d'organiser samedi dernier à Rabat un séminaire national sur l'agrégation. Cette rencontre s'est caractérisée par la signature de 42 conventions d'agrégation entre le ministre de l'Agriculture et de la Pêche maritime représentée par l'Agence pour le développement agricole et les directions régionales de l'agriculture d'une part et les agrégateurs d'autres part dans le but de permettre aux agriculteurs et agrégateurs de se positionner dans le secteur.

Par ailleurs, différentes questions relatives à l'agrégation ont été débattues dans ce cadre notamment les bases technico-économiques de contractualisation dans les projets d'agrégation, le rôle des interprofessions, le cadre juridique de l'agrégation et les leviers de développement de l'agrégation liés au soutien, au financement et à la gestion des risques dans les projets d'agrégation. Intervenant à cette occasion, le ministre de l'Agriculture Aziz Akhnaouch a indiqué que le gouvernement a adopté une batterie de mesures visant à renforcer l'agrégation.

Ainsi, ce dernier, s'est engagé dans un processus de réforme du régime incitatif relevant du fonds de développement agricole. Dans ce sens, il a été procédé au renforcement de l'appui financier accordé dans ce domaine et à l'élargissement des champs de son intervention en mettant l'accent sur la chaîne de valorisation et de commercialisation. L'Etat a investit aussi dans la mise en place d'un régime incitatif spécifique relatif aux projets d'agrégation dans le but d'intégrer le plus grand nombre de petits agriculteurs dans ces projets. D'après le ministre, ces mesures ont commencé à porter leurs fruits puisque les investisseurs commencent à manifester un intérêt particulier aux projets d'agrégation dans différentes régions du Royaume. En effet, le secteur agricole dispose à son actif de véritables modèles réussis de l'agrégation.

Parmi ces modèles on peut citer le projet de développement intégré de la filière tomates primeurs dans la région de Souss autour d'un pôle primeurs intégré, la filière des fraises destinée au marché européen dans la région du nord, la filière nationale de lait et celle du sucre. Selon le président de la COMADER, Ahmed Ouayach (Confédération marocaine de l'agriculture et du développement rural), le secret de la réussite de ces modèles est leur adoption d'une approche projet conduite par des vrais agro-entreprises. Rappelons qu'un projet d'agrégation peut être monté selon un modèle d'agrégation simple et peut évoluer ensuite vers des modèles plus intégrés. Et ce ; parallèlement à l'instauration de la confiance mutuelle entre agrégateur et agrégés. La mise en place d'un projet du genre passe généralement par six phases à savoir l'identification, la conception, la négociation, la validation, la contractualisation et enfin la mise en œuvre.

Les mesures incitatives de l'Etat
Dans le but de garantir le développement des projets d'agrégation, l'Etat a mis en place un arsenal de mesures pour renforcer ces modèles d'organisation. Ces mesures ont porté essentiellement sur la préparation d'une offre de projets d'agrégation, la mise en place d'un soutien spécifique aux projets, l'accès préférentiel au foncier de l'Etat dans le cadre d'un partenariat et la mise en place d'un système de financement adapté. Par ailleurs, l'Etat a procédé dans le cadre de la réforme du système incitatif à la mise en place, à travers le Fonds de développement agricole, d'un système incitatif spécifique aux projets d'agrégation.

Le Matin 24/05/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE   Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE - Page 12 Icon_minitimeVen 14 Mai 2010 - 9:21

S.M. le Roi inaugure la centrale thermo-solaire à cycle combiné intégré de Ain Béni Mathar, d'un coût global de 4,6 milliards DH

Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu l'assiste, accompagné de S.A.R. le Prince Moulay Rachid a inauguré, mercredi, la centrale thermo-solaire à cycle combiné intégré de Ain Béni Mathar (province de Jerada), réalisée pour un coût global de 4,6 milliards de DH. La création de cette centrale, d'une puissance totale de 472 mégawatts (MW), dont 20 MW à partir de la composante solaire, s'inscrit dans le cadre de la stratégie nationale pour le développement d'énergies renouvelables respectueuses de l'environnement et la mise en valeur des ressources énergétiques pour la production de l'électricité. La centrale thermo-solaire de Ain Béni Mathar est en phase avec la tendance internationale qui, face à une demande énergétique croissante et au défi du réchauffement climatique, place les énergies renouvelables et particulièrement l'énergie solaire au rang des priorités.

Ce projet à forte dimension environnementale et citoyenne et aux retombées socio-économiques significatives, peut générer un productible annuel moyen de 3.538 GW/h, soit l'équivalent de 13% de la demande nationale de l'année 2010. La centrale est composée de deux turbines fonctionnant au gaz naturel, une turbine à vapeur, deux chaudières de récupération, un champ et un échangeur solaire. Située sur une superficie totale de 160 hectares, la centrale thermo-solaire de Ain Béni Mathar permettra de renforcer considérablement les moyens de production nationaux ainsi que le réseau d'interconnexion de la région orientale du Royaume.

Sur le plan environnemental, la mise en service de la centrale de Ain Béni Mathar permettra une économie de fioul de 12.000 tonnes par an et contribuera à éviter les émissions de 33.500 tonnes de CO2 dans l'air par an. La centrale, dont le coup d'envoi des travaux de réalisation a été donné par S.M. le Roi Mohammed VI le 28 mars 2008, utilise le gaz naturel comme combustible en étant alimentée via une conduite de 12,6 km de long connectée au Gazoduc Maghreb-Europe.

La mise en œuvre de ce projet d'envergure a été confiée à la société espagnole ABENGOA à l'issue d'un appel international à la concurrence. De par son caractère innovant, la centrale, qui utilise la technologie de refroidissement à sec (aéroréfrigérants), permet de réduire la consommation d'eau de 5,4 millions m3 à 850.000 m3 par an, soit une économie d'eau de 80%. La centrale est dotée d'un système propre de récupération, de traitement et de stockage des rejets liquides dans un bassin d'évaporation étanche de 6 hectares. Fortement respectueux de l'environnement, le projet s'appuie sur la technologie propre du cycle combiné au gaz naturel, dans le respect des exigences environnementales nationales et internationales en termes de rejets gazeux, rejets liquides et bruits. Il a porté aussi sur la plantation d'environ 4.500 arbres et 20.000 plantes herbacées.

Cet important projet fait partie du programme de développement intégré de la région de l'Oriental, en contribuant notamment au désenclavement de Ain Béni Mathar à travers la réalisation d'une route d'accès à la centrale et aux localités avoisinantes, à la promotion de l'emploi durant les phases de mise en œuvre et d'exploitation (360.000 journées de travail) et le développement des petites et moyennes entreprises locales.

Il concerne également le renforcement des infrastructures de la commune de Béni Mathar par le biais de la construction de deux ponts sur l'Oued Charef et l'Oued Tabouda, ainsi que la mise en place d'infrastructures et forages d'eau dans les localités limitrophes.

L'accent est mis en outre sur l'encouragement de la scolarisation et la lutte contre la déperdition scolaire (contribution à l'opération un million de cartables, acquisition de deux autocars de transport scolaire et distribution de bicyclettes aux élèves). D'un investissement global de 4,6 milliards de DH, le projet a été financé par la Banque Africaine de Développement (BAD), l'Instituto de Credito Official d'Espagne (ICO) et le Fonds Mondial pour l'Environnement (GEF) à travers un don de 43,2 millions de dollars, le complément étant assuré par l'ONE.

Par ailleurs, la nouvelle stratégie énergétique nationale, initiée sur Hautes directives de S.M. le Roi Mohammed VI et accordant une importance particulière à la promotion des énergies renouvelables et au développement durable, a été confortée en novembre dernier par le lancement du projet marocain de l'énergie solaire, d'un coût d'investissement estimé à 9 milliards de dollars. Visant la mise en place en 2020 d'une capacité de 2.000 mégawatts, ce projet national, ambitieux et réaliste fera du Royaume un acteur de référence en matière d'énergie solaire.

MAP 13/05/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE   Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE - Page 12 Icon_minitimeVen 14 Mai 2010 - 9:13

Plan solaire: Appel aux investisseurs arabes

Le Maroc poursuit la promotion de son important projet d'énergie solaire pour lui assurer des investissements nécessaires à sa réalisation. Ainsi, après l'Europe, les meneurs de cette stratégie de promotion en sont arrivés aux pays arabes.

En effet, la ministre de l'Energie, des mines, de l'eau et de l'environnement, Amina Benkhadra, a appelé, dimanche à Doha, les pays arabes à contribuer à ce grand projet lancé en novembre dernier par S.M. le Roi Mohammed VI, et comprenant cinq stations d'une capacité totale de 2.000 méga-watts. "Je profite de cette occasion pour lancer un ardent appel à toutes les institutions arabes concernées, pour qu'elles contribuent à ce grand projet qui servira de modèle inédit dans l'exploitation de l'énergie solaire, dans une région arabe qui regorge de potentialités dans ce domaine", a dit la ministre lors de l'ouverture de la 9e conférence arabe de l'Energie, citée par la MAP.

Il est à noter, comme le rappelle Mme Benkhadra, que ce méga-projet solaire de moyen terme coûtera 9 milliards de dollars et devrait être réalisé sur la base de partenariats Public-Privé. Les cinq centrales prévues par ce projet devraient couvrir, à leur achèvement en 2020, quelque 10 % de la demande d'électricité et représenter avec les autres sources d'énergies renouvelables 42 % de la capacité de production disponible. Pour gérer ce projet, on a procédé à la création de l'Agence marocaine de l'énergie solaire. Celle-ci a lancé à fin mars dernier un appel international à manifestation d'intérêt pour la réalisation du premier projet à proximité de la ville de Ouarzazate, d'une puissance de 500 MW, devant être opérationnel en 2015.

Pour convaincre les pays arabes à investir dans ce projet, la ministre a souligné que celui-ci «peut servir de prototype de développement d'une électricité verte d'origine solaire dans le monde arabe, pouvant lui permettre de répondre à sa demande croissante en électricité". Surtout que la coopération a déjà fonctionné entre le Maroc et les pays arabes dans le domaine de l'énergie, a souligné Mme Benkhadra, citant certains exemples. Il s'agit notamment, précise-t-elle, de la cession de l'outil production de la station thermique de Jorf Lasfar au groupe émirati "Taqa", la connexion électrique avec l'Algérie et le gazoduc Maghreb-Europe et l'entrée de la société libyenne "Libya Oil" dans le marché marocain de distribution de produits pétroliers.

De même, ajoute-elle, le Maroc importe près de 80 % de ses besoins en pétrole d'Arabie saoudite et d'Irak et près de 50 % des besoins en gaz liquéfié de l'Algérie (en 2009). Par ailleurs, le Maroc compte sur l'intégration régionale en particulier avec les pays arabes et euro-méditerranéens pour développer son secteur énergétique. En plus de ce plan solaire, le Maroc entreprend plans projet énergétiques, comme le rappelle la ministre qui a souligné que toutes les options restent ouvertes, dont le recours à l'électricité nucléaire, l'exploitation des schistes bitumeux, l'utilisation des déchets organiques et du carburant d'origine biologique. Le Maroc recours également à l'efficacité énergétique, a-t-elle ajouté, qui est aujourd'hui "une grande priorité nationale qui vise à réaliser une économie d'énergie d'au moins 12 % à l'horizon 2020, et ce en généralisant les mécanismes de bonne gestion de l'énergie dans tous les secteurs socio-économiques et administratifs, aux plans national, régional et local.

Important potentiel
Le Royaume dispose d'importantes sources d'énergie renouvelable (éolienne, solaire, Biomasse-énergie, hydraulique) qui contribuent aujourd'hui à hauteur de 4 % au bilan énergétique national (hors biomasse) et 10 % à la production d'électricité. Quoique ces énergies inépuisables ne puissent se substituer aux énergies fossiles dont la part restera prépondérante pour plusieurs décennies encore, toutefois le Maroc est déterminé à encourager ces énergies dans le cadre d'un Plan national des Energies Renouvelables et de l'Efficacité Energétique dans l'objectif de porter la part des ces énergies à 10 % dans le bilan énergétique et à 20 % dans la production d'électricité à l'horizon 2012.

Le Matin 11/05/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE   Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE - Page 12 Icon_minitimeVen 14 Mai 2010 - 9:12

Mme Benkhadra appelle les institutions arabes concernées à contribuer au projet marocain d'énergie solaire

La ministre de l'Energie, des mines, de l'eau et de l'environnement, Mme Amina Benkhadra, a appelé, dimanche à Doha, les institutions arabes concernées à contribuer au grand projet d'énergie solaire lancé en novembre 2009 par SM le Roi Mohammed VI, et comprenant cinq stations d'une capacité totale de 2.000 méga-watts.

Intervenant à l'ouverture de la 9ème conférence arabe de l'Energie, la ministre a présenté la stratégie énergétique adoptée par le Maroc, citant en particulier ce méga-projet solaire de moyen terme dont le coût est estimé à 9 milliards de dollars et qui devrait être réalisé sur la base de partenariats Public-Privé. "Je profite de cette occasion pour lancer un ardent appel à toutes les institutions arabes concernées, pour qu'elles contribuent à ce grand projet qui servira de modèle inédit dans l'exploitation de l'énergie solaire, dans une région arabe qui regorge de potentialités dans ce domaine", a dit la ministre. Elle a expliqué que les cinq centrales prévues par ce projet devraient couvrir, à leur achèvement en 2020, quelque 10 pc de la demande d'électricité et représenter avec les autres sources d'énergies renouvelables 42 pc de la capacité de production disponible. Mme Benkhadra a indiqué que, dans ce contexte, l'Agence marocaine de l'énergie solaire, créée spécialement pour superviser la production d'électricité d'origine solaire, a lancé à fin mars dernier un appel international à manifestation d'intérêt pour la réalisation du premier projet à proximité de la ville de Ouarzazate, d'une puissance de 500 MW, devant être opérationnel en 2015. "Ce projet peut servir de prototype de développement d'une électricité verte d'origine solaire dans le monde arabe, pouvant lui permettre de répondre à sa demande croissante en électricité", a-t-elle ajouté. Mme Benkhadra a, en outre, souligné que l'intégration du Maroc dans l'économie mondiale et régionale, en particulier arabe et euro-méditerranéenne, constitue "un axe fondamental de la stratégie de développement du Royaume en général, et dans le domaine énergétique en particulier". Elle a salué la coopération fructueuse qui existe entre le Maroc et les pays arabes dans le domaine de l'énergie, citant notamment la cession de l'outil production de la station thermique de Jorf Lasfar au groupe émirati "Taqa", la connexion électrique avec l'Algérie et le gazoduc Maghreb-Europe et l'entrée de la société libyenne "Libya Oil" dans le marché marocain de distribution de produits pétroliers. Le Maroc importe près de 80 pc de ses besoins en pétrole d'Arabie saoudite et d'Irak et près de 50 pc des besoins en gaz liquéfié de l'Algérie (en 2009), a-t-elle dit. Evoquant les autres projets programmés dans le cadre de la stratégie énergétique à moyen terme, la ministre a cité la réalisation, à l'horizon 2020, de nouvelles grandes centrales électriques utilisant principalement le charbon, en plus d'énergies renouvelables éoliennes, solaires et hydrauliques pour contribuer à la production électrique nationale. Abordant le volet court terme de cette stratégie, Mme Benkhadra a indiqué que d'ici à 2012, un programme national de mesures prioritaires en adéquation avec l'offre et la demande va être mis en oeuvre, comprenant notamment l'accélération de la réalisation des projets électriques prévus, la généralisation des ampoules à basse consommation, l'adoption de l'heure d'été et l'établissement de tarifications qui incitent à l'économie d'électricité. Quant au long terme, Mme Benkhadra a souligné que toutes les options restent ouvertes devant le recours à l'électricité nucléaire, à l'exploitation des schistes bitumeux, à l'utilisation des déchets organiques et du carburant d'origine biologique. L'efficacité énergétique, a-t-elle ajouté, est aujourd'hui "une grande priorité nationale qui vise à réaliser une économie d'énergie d'au moins 12 pc à l'horizon 2020, et ce en généralisant les mécanismes de bonne gestion de l'énergie dans tous les secteurs socio-économiques et administratifs, aux plans national, régional et local. Cette conférence de trois jours se penchera sur diverses questions de coopération inter-arabe dans les domaines de l'énergie.

MAP 09/05/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE   Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE - Page 12 Icon_minitimeMer 5 Mai 2010 - 9:16

Parc Agropolis: Meknès s’offre une ZI de dernière génération

«Nous accompagnons les pouvoirs publics dans la réalisation des politiques sectorielles et notamment le plan Emergence et le plan Maroc Vert», a indiqué Mohamed Ali Ghannam qui exposait les projets de son entreprise devant les participants au Siam, en présence d’Aziz Akhannouch, le ministre de l’Agriculture. Le PDG de la société MedZ, filiale de CDG-Développement, a saisi l’occasion pour annoncer officiellement le lancement de la commercialisation du parc agro-industriel «Agropolis» de Meknès. Notons qu’il s’agit du premier pôle de compétitivité dédié à l’agro-industrie au niveau national. Agropole de compétitivité d’un genre nouveau, le projet de Meknès sera érigé autour d’un parc intégré. Il ne s’agit pas d’offrir seulement des terrains industriels viabilisés, mais aussi de construire un pôle de compétitivité avec des composantes industrielles, logistiques, de formation et de recherche et développement. Sans oublier une composante animation dédiée à la commercialisation de ce parc à l’échelle internationale. D’un investissement de 450 millions de DH, l’aménagement de la première tranche de ce projet s’étalera sur une superficie de 130 ha. Il comportera un parc industriel d’une superficie de 80 ha et une plateforme logistique de 50 ha. Cette tranche sera destinée aux acteurs opérant sur l’ensemble des filières de l’agro-industrie, notamment l’huile d’olive, les fruits et légumes, les céréales, le lait et la viande. Le projet permettra d’accueillir, en outre, les industries de support à l’agro-industrie et les sociétés de services. Il offrira une palette diversifiée de produits. On y trouvera des lots industriels aux meilleurs standards internationaux, des unités industrielles et des plateaux de bureaux prêts à l’emploi, une plateforme logistique, et des services d’appui à l’innovation, est-il indiqué. Pour le patron de MedZ, six agropolis verront le jour au Maroc. Ils s’inscrivent tous dans le cadre des stratégies nationales «plan Maroc Vert» et «plan Emergence». Celui de Meknès repose sur un concept novateur visant à améliorer la compétitivité du secteur agro-industriel de Meknès et des provinces limitrophes. Pour ses concepteurs, l’Agropolis Meknès sera axé sur trois composantes. D’abord, un agropoarc qui intègre l’espace réservé aux industries, dit Parc Agro-industriel (PAI), la plateforme logistique, les équipements communaux et le pôle recherche-développement et de contrôle de la qualité. Ce dernier sera constitué de laboratoires (INRA, ONSSA, EACCE,…) et des espaces communs (Centre de conférence, restaurant, zone d’hébergement,….). Le troisième axe est la «Cité Intelligente». Elle regroupera les fonctions de support à l’industrie agro-alimentaire (R&D, formation, zone tertiaire, centre de conférences…). Sa gestion sera confiée au ministère de l’Agriculture et de la pêche maritime. In fine, le projet permettra de valoriser les principales filières de la région de Meknès-Tafilalet. Y seront concernées les filières «lait», «céréale» et «viande» destinées essentiellement au marché local. Ne sont pas en reste les filières «oléiculture» et «fruits & légumes» destinées essentiellement à l’export. Côté commercialisation, l’Agropolis propose aux entreprises une offre de valeur complète intégrant un foncier aménagé aux standards internationaux en cession ou en location, la logistique et les fonctions de support, les services, l’animation… A terme, le projet dans sa globalité s’étalera sur une superficie globale de 450 ha. Il permettra de générer, dans 7 à 8 ans, 11.000 emplois directs et engranger environ 5 milliards de DH d’investissements. «Notre objectif est de transformer Meknès en une plateforme, reconnue au niveau mondial, en matière d’agro-industrie et mettre en place une offre complète pour l’accueil des entreprises», conclut Ghannam.

Différents atouts
Pour le management de Medz, le choix de Meknès pour abriter le premier Agropolis n’est pas fortuit. En effet, la position du projet est justifiée par différents atouts. «Outre sa localisation stratégique (centre du Maroc sur l’axe autoroutier Rabat- Fès, aéroport de Fès…), l’importance du potentiel agricole de la région, notamment ses ressources hydriques, l’importance de l’industrie agro-alimentaire qui représente plus que la moitié du chiffre d’affaires industriel de la région sont autant de critères qui ont été retenus lors du choix, précise Ghannam. Et de poursuivre: «la présence d’instituts de recherche et d’enseignement supérieur tels que l’Ecole Nationale d’Agriculture de Meknès (ENA), l’Institut Nationale de la recherche agronomique (Inra), l’université Moulay Ismail, Al Akhawayn…a renforcé cette décision stratégique. Ajoutons à cela l’existence dans la région de groupes leaders dans le domaine de l’industrie agro-alimentaire qui sont considérés comme locomotive de développement pour les secteurs agricoles et industriels.

L'Economiste 04/05/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE   Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE - Page 12 Icon_minitimeLun 3 Mai 2010 - 14:40

Les échanges agricoles Maroc-USA: L'arboriculture fruitière en tête des secteurs cibles

Les échanges agricoles entre le Maroc et USA connaissent une augmentation notable. En 2009, le Maroc a exporté vers les Etats Unis 180 millions de dollars de produits agricoles et agroalimentaires contre 90 millions de dollars en 2005.

Ces exportés ont été boostés, selon Hassan F. Ahmed, responsables des affaires agricoles en Afrique du Nord à l'Ambassade des Etats Unis, grâce à l'accord de libre-échange liant le Maroc aux Etats Unis. «Le Maroc exporte vers les Etats Unis essentiellement l'olive, les citrons confits, les sardines et les anchois et il importe les tourtous de Soja, le maïs, les aliments de volaille et de bétail et l'huile de Soja», explique-t-il lors de la cinquième édition du Salon international de l'agriculture à Meknès. Il précise aussi qu'il y a un potentiel important pour le Maroc pour augmenter ces exportations vers les USA notamment des tomates et de l'huile d'olive. «La Tunisie a exporté 100 millions de dollars de l'huile d'olive sur le marché américain.

C'est un marché énorme et il y a de la place pour les producteurs exportateurs marocains de l'huile d'olive. Il faut juste jouer sur la qualité, l'emballage, le design et le marketing pour pouvoir commercialiser l'huile d'olive marocaine sur ce marché. Il est aussi intéressant pour les opérateurs marocains de participer aux salons spécialisés en agroalimentaire aux Etats Unis pour pouvoir développer des relations d'affaires», ajoute le responsable des affaires agricoles et représentant du département américain de l'agriculture. Les échanges agricoles sont par ailleurs appelés à se développer dans les années à venir grâce notamment aux différents programmes lancés dans le cadre de la coopération en la matière entre les deux pays. A rappeler que les premiers programmes agricoles, pilotés par l'USAID, la première Agence américaine à intervenir dans l'agriculture au Maroc, ont été conçus pour accroître la productivité de l'aridoculture dans les régions semi-arides du Maroc. Et ce, à travers des prêts pour la gestion de la sécheresse.

Les programmes ultérieurs ont porté par la suite sur le renforcement des capacités, la gestion de l'eau et l'irrigation, le développement de filières, la productivité de l'arboriculture fruitière, la recherche en production agricole et en sécurité alimentaire et la promotion des échanges commerciaux. En septembre 2009, l'USAID pilote un nouveau projet baptisé Programme de compétitivité économique du Maroc (MEC) en partenariat avec le ministère de l'Agriculture et les agriculteurs. «Il s'agit dans le cadre de ce programme d'accompagner les réformes du cadre légal et réglementaire afin d'améliorer le climat des affaires, de valoriser de façon optimale les ressources en eau dans le domaine agricole et d'apporter l'appui au développement d'une force de travail en adéquation avec les besoins de compétitivité», explique Jaouad Bahaji, directeur de programmes de développement, Département de la croissance économique USAID/ Maroc.

Pour lui, ce programme qui cible les deux régions l'Oriental et Doukkala Abda sera poursuivi à travers l'accélération des réformes, le renforcement des capacités institutionnelles et une forte implication du privé. «Nous profitons de la tenue du SIAM 2010 pour mettre en avant les différents programmes pilotés par l'USAID au Maroc et tenir des réunions avec les deux régions cibles de notre dernier programme qui entre dans le cadre de la stratégie de l'USAID au Maroc 2009-2013», ajoute-t-il. A noter que le volet “Eau” de la nouvelle stratégie d'assistance de l'USAID (2009-2013) appuie l'utilisation optimale des ressources en eau afin d'accroître la productivité, la compétitivité et l'emploi dans le secteur agricole. Ainsi, dans le cadre de son nouveau programme «Compétitivité économique du Maroc» (MEC), au budget de 40 millions dollars, l'USAID apportera, selon Jouad Bahaji, son soutien aux plans de gestion de l'eau et de développement agricole du gouvernement marocain, et ce, pour promouvoir une utilisation plus efficiente de l'eau, comprenant : une gestion intégrée des ressources en eau, la réutilisation des eaux usées, le financement de l'irrigation, et l'efficience en matière d'énergies.

«Plus précisément, en appui à de nombreuses initiatives conduites dans le cadre du Plan Maroc Vert et de la Stratégie nationale de l'eau, le programme MEC soutiendra l'institutionnalisation de l'utilisation des eaux usées recyclées dans l'agriculture, promouvra des filières agricoles et aidera à la décentralisation de la gestion des ressources. De plus, pour améliorer la gestion des ressources en eau au niveau des bassins versants, le programme MEC mettra en place des systèmes informatisés de gestion dans les Agences de Bassin et les ORMVA. Il est question aussi pour lui de renforcer les liens entre investisseurs américains et marocains. Dans ce cadre, l'USAID a invité un expert américain pour organiser des réunions avec des exportateurs potentiels qui veulent exporter et explorer le marché américain et faire connaître le Plan Maroc vert. Pour lui, «les Américains s'intéressent beaucoup au safran et au citron confit et il y a des opportunités à saisir pour les producteurs marocains dans ces deux filières ».

Quant à l'accord du programme de la Millennium Challenge Corporation (MCC), conclu le 31 août 2007 avec le gouvernement marocain. Abdelilah Chami, spécialiste en aide de développement MCC/ Maroc indique que sur un financement total de près de 700 millions de dollars sur cinq ans, plus des deux tiers sont alloués au secteur agricole, à la prestation de services financiers aux petits agriculteurs et éleveurs et à la pêche. «Les programmes de la MCC au Maroc sont mis en œuvre exclusivement par des organismes marocains, comme l'exige le modèle MCC lui-même.

Les programmes actuels de la MCC dans le secteur agricole comprennent aussi un important volet de formation et de développement des capacités, d'une valeur totale de l'ordre de 26 millions dollars. Ce volet comporte aussi la création de coopératives agricoles, suivie de formation et conseil en gestion, marketing, comptabilité, organisation et accès aux services financiers.

Il épouse d'ailleurs parfaitement les objectifs du plan Maroc vert Pillier 2 puisqu'il s'adresse aux petits et moyens agriculteurs», précise-t-il. Aussi, de 2008 à 2013, la MCC appuiera dans des zones cibles, des actions destinées à améliorer l'efficience de l'utilisation de l'eau afin d'accroître le rendement et la rentabilité de la culture des arbres fruitiers. Il financera des améliorations des ouvrages d'irrigation (bétonnage de canaux de terre ; construction de canaux de détournement, de bassins de stockage et de stations de pompage ; et réparation de canaux de drainage souterrains).

«Le programme «Productivité des arbres fruitiers» de la MCC, doté d'un budget de 300,9 millions de dollars, vise à stimuler l'expansion du secteur agricole et à réduire la volatilité de la production agricole. Ce projet financera dans des zones bour, la réhabilitation et l'intensification de la culture des oliviers, figuiers et amandiers sur une superficie d'environ 55.000 hectares, ainsi que l'extension de ces cultures sur environ 120.000 hectares», explique Abdelilah Chami. «Dans les zones irriguées, le projet de la MCC appuiera des améliorations pour une plus grande efficience de l'irrigation et une productivité accrue des oliviers et dattiers, et ce, sur une superficie de 43.000 hectares. Il est prévu que le programme «Productivité des arbres fruitiers» améliorera les conditions de vie d'environ 136.000 ménages agricoles du nord, du centre et du sud du Maroc.

En outre, la construction des terrasses devrait donner du travail à environ 11.000 ouvriers agricoles», ajoute-t-il. e en production agricole et sécurité alimentaire, le gouvernement américain, par l'intermédiaire du service agricole étranger (FAS) de son département de l'agriculture (USDA), le collabore étroitement avec les institutions agricoles et scientifiques du Royaume du Maroc afin d'aider à développer les capacités de recherche du Maroc et à rationaliser les règlements relatifs à la production et au commerce agricoles et à la sécurité alimentaire. «La division des affaires agricoles du FAS, présente à l'Ambassade américaine à Rabat, coordonne des programmes d'échanges techniques et scientifiques de l'USDA, tels que le programme Cochran et le programme de formation Norman Borlaug. Le FAS collabore aussi étroitement avec d'autres agences du gouvernement américain afin de renforcer les relations bilatérales entre le Maroc et les Etats-Unis dans le secteur de l'agriculture», indique-t-on dans un communiqué de l'ambassade des Etats Unis au Maroc. Pour Hassan F. Ahmed, tous les ingrédients sont là pour fructifier les échanges entre le Maroc et les Etats Unis et tirer réellement profit de l'accord de libre-échange liant les deux pays.

Arboriculture fruitière
Le ministère de l'Agriculture et l'APP ont signé un contrat d'un montant global de 78 millions de dirhams (9,75 millions $US), dans le cadre du Projet arboriculture fruitière financé à hauteur de 300,9 millions de $US par le Millennium Challenge Account - Maroc. Ce contrat est relatif à la réalisation de travaux de plantation de 6.000 ha d'olivier faisant partie de la seconde tranche d'extension du projet en zone pluviale. Les travaux sont situés dans les provinces de Larache, Tétouan, Khénifra et Fès. Ils dureront 2 ans à l'issue desquels 11 périmètres de production d'olivier seront créés au profit de 1546 exploitations agricoles. Un autre contrat portant sur 140 millions de DH a été signé aussi entre le ministère de l'Agriculture et l'APP. Ce contrat porte sur la réalisation, sur une durée de 39 mois, de services de formation, d'appui technique et d'encadrement aux bénéficiaires, organisations professionnelles et opérateurs de la chaîne de valeurs des filières d'olivier, d'amandier et de figuier. Les prestations ont pour but de fournir au MAPM l'appui et le soutien nécessaires pour l'amélioration de la productivité des filières ciblées par le projet au niveau des zones pluviales (olivier, amandier et figuier) et en zones de petite et moyenne hydraulique (olivier) dans près de 330 périmètres et sur une superficie de plus de 69.500 ha. Le dernier contrat porte sur un montant global de 64 millions de dirhams (8 millions $US), dans le cadre du projet arboriculture fruitière financé à hauteur de 300,9 millions de $US par le Millennium Challenge Account -Maroc.

Le Matin 02/05/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE   Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE - Page 12 Icon_minitimeVen 30 Avr 2010 - 8:33

Sécurité sanitaire des aliments: Signature d'un accord entre le Maroc et l'Allemagne

Pour développer et intensifier ses relations, un accord sur la coopération dans le domaine de la sécurité sanitaire des aliments a été signé le même jour entre l'office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires du Maroc (ONSSA) et l'office pour la protection des consommateurs et la sécurité sanitaire des aliments (BVL) de la république fédérale d'Allemagne. Cette coopération vise à accroître le niveau de connaissances dans le domaine de la sécurité sanitaire des aliments et ainsi à assurer une protection effective de la santé de la population. Pour ce faire, les deux parties, lit-on dans l'accord, conviennent d'une part d'un échange continu entre elles afin de mieux connaître les structures et les méthodes de travail respectives.

Et d'autres part, discuter des questions actuelles, notamment celles liées à la sécurité sanitaire des aliments, à la protection des plantes et à l'autorisation des médicaments et autres intrants vétérinaires et des produits phytosanitaires. Les deux établissements s'engagent également à assurer un échange professionnel entre leurs employés en matière de savoir et d'expériences. Ce qui servira aussi à développer l'expertise et à favoriser une évolution positive des employés des deux partenaires. Cette coopération couvre tous les domaines d'activité commun aux deux offices.

Même la gestion des risques tout au long de la chaîne alimentaire et les risques liés à l'échange commercial de produits entre les deux pays sont concernés. Bien plus, les deux parties se tiennent réciproquement informées des évolutions, des programmes et des projets dans le domaine de la sécurité sanitaire des aliments et apportent leur contribution dans la limite du possible. Cette coopération n'est pas figée. Elle est amenée à se renforcer sans cesse. Ainsi, dans le cadre de cet échange continu, les deux partis pourront définir de nouveaux sujets et des activités communes concrètes. Toutefois, si l'initiative émane uniquement d'une seule partie, il faut l'accord préalable de l'autre avant de passer à la mise en œuvre. «Cet accord de coopération est en mesure de permettre aux exportateurs marocains de respecter les normes établies par la république d'Allemagne», a indiqué Gerd Muller, ministre adjoint au ministère fédéral de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Protection des consommateurs.

Pour rappel, les importations marocaines en 2009 de biens relevant du secteur agricole et alimentaire allemand se sont chiffrés à environ 90 M d'euros, regroupant entre autres des gémisses, du lait en poudre, de l'huile de soja, des chips de pommes de terre et des denrées alimentaires transformées. Alors que les exportations vers l'Allemagne ont atteint environ 126 M d'euros, comportant entre autres de nombreuses espèces fruitières et légumineuses comme par exemple les tomates, les poivrons, les oranges, les raisins et les fraises. «Ces échanges commerciaux sont appelés à tripler dans les prochaines années», a prévu G. Muller.

Le Matin 30/04/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE   Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE - Page 12 Icon_minitimeVen 30 Avr 2010 - 8:32

Six conventions pour redynamiser l’agriculture

Six conventions relatives au développement du secteur agricole et à la promotion des filières de production ont été signées, mardi à Meknès, à l’occasion des 3e Assises de l’agriculture. Elles réunissent, d’une part, le gouvernement et d’autre part des partenaires publics et privés. De fait, les nouveaux accords entendent insuffler une nouvelle dynamique au Plan Maroc vert. Le premier vise la valorisation de l’Agropolis de Meknès. Il entre dans le cadre de la stratégie du ministère de l’Agriculture visant la création de plusieurs pôles de compétitivité à travers le Royaume. Pour Hassan Bahi, directeur du Centre régional d’investissement (CRI-Meknès), ledit accord a pour objet de déterminer les conditions et modalités selon lesquelles sera exécutée la mobilisation du foncier nécessaire au projet Agroparc de Meknès. Rappelons que ce projet nécessitera près de 500 millions de DH. Son aménagement, sa promotion et sa commercialisation sont aussi précisés dans le nouvel accord. La valorisation des terrains attribués, la gestion, et les infrastructures hors site nécessaires à la réalisation et au bon fonctionnement de l’Agropolis de Meknès ne sont pas en reste. Le tout est confié à Medz, la filiale de CDG-Développement. Un partenaire de choix pour la région de Meknès qui va ériger un véritable pôle de compétitivité agro-industriel. Lequel sera composé d’un Agroparc, d’un pôle de R&D et de contrôle de la qualité, et d’une cité intelligente. Celle-ci regroupera, pour sa part, les fonctions de support à l’industrie agro-alimentaire (R&D, formation, zone tertiaire, centre de conférence…). Elle sera gérée par le ministère de l’Agriculture. Hormis la cité intelligente, l’assiette foncière globale du projet s’élève à 466 ha environ.

La deuxième convention est relative à l’accompagnement bancaire des petits et moyens producteurs. Elle entre dans le cadre des projets d’agrégation et ceux relevant du Pilier II du Plan Maroc vert. Avalisée par les ministères de l’Economie et des Finances et de l’Agriculture et de la pêche maritime, l’Agence pour le développement agricole (Ada), le Crédit agricole du Maroc et Tamwil Al Fellah, cette convention fixe les conditions et les modalités de financement des petits et moyens producteurs exclus du financement bancaire classique. Elle porte sur les crédits d’investissement, de production, de commercialisation ou de transformation à la charge des producteurs tel que convenu dans les projets d’agrégation ou du pilier II. A titre indicatif, le plafond des crédits est plafonné à 100.000 DH par exploitation.

Toujours dans le volet du financement, la Société Générale est désormais partenaire à travers des offres adaptées aux projets agricoles. En application de son accord avec le gouvernement, la banque s’engage à financer des projets d’une enveloppe globale de 3 milliards de DH. La durée de cet engagement prendra fin dans 5 ans.

D’autre part, il a été procédé à la signature d’une convention-cadre d’accompagnement de la mise en place d’un partenariat public-privé d’un montant de 1,9 millions de dollars destiné au développement et à la gestion d’infrastructure de dessalement d’eau de mer et d’irrigation du périmètre de Chtouka (cf. www.leconomiste.com). En guise de ce même accord, le ministère de l’Agriculture, par l’intermédiaire du directeur de l’Irrigation et de l’aménagement de l’espace agricole, a demandé à la Société financière internationale (SFI), organisation internationale membre du Groupe Banque Mondiale dont le Royaume du Maroc est actionnaire, de lui remettre une proposition concernant l’assistance au gouvernement comme conseiller principal dans le but de structurer et établir un partenariat public-privé. Le but étant d’assurer le développement d’infrastructures d’irrigation, y compris une usine de dessalement d’eau de mer et des infrastructures d’adduction et de distribution d’eau, dans la zone maraîchère de Chtouka dans la région de Souss-Massa.

En outre, il a été procédé à la signature d’un contrat-programme relatif au développement de la filière dattière. Celui-ci porte sur une enveloppe de 7,6 milliards de DH et a pour objet de mettre en place un programme de mise à niveau de la filière. A ce titre, l’on retient quatre axes prioritaires. Il s’agit du développement des capacités nationales de production de souches et de vitroplants de palmier dattier, le développement durable de la production et de la qualité selon un modèle intégré en préservant les ressources naturelles des palmeraies, la valorisation, et l’amélioration des conditions cadres de la filière. Notons que la stratégie agricole, arrêtée dans le cadre du Plan Maroc vert, érige la filière dattière en élément moteur et catalyseur de la dynamique de développement économique et social des zones oasiennes. Les objectifs fondamentaux recherchés à travers ce contrat consistent principalement en la réhabilitation et la reconstitution des palmeraies existantes sur une superficie globale de 48.000 ha, la création de nouvelles plantations, à l’extérieur des palmeraies, sur une superficie de 17.000 ha, et notamment la réalisation d’une production de dattes de 160.000 tonnes en 2020 contre 90.000 t actuellement.

Brèves du SIAM

· La France en tête de la participation étrangère

Le grand rendez-vous annuel de l’agriculture nationale compte avec la présence renforcée de la France. Pour sa cinquième participation, le pavillon français abrite une cinquantaine d’exposants, soit près du tiers des participants étrangers. Tout le secteur agricole français est représenté : fournisseurs d’équipements et de matériels, les opérateurs de terrains, les éleveurs, les chambres agricoles et les institutionnels. Une journée française aura lieu, demain vendredi 29 avril, pour mettre à l’honneur les relations franco-marocaines dans le domaine agricole et agro-alimentaire. Rappelons que la France est le premier client du Maroc : en 2009, près d’un quart des exportations marocaines y ont été expédiées, dont 27% concernent les produits maraîchers, horticoles ou de pépinières. Quant aux importations d’équipements français au Maroc, celles-ci progressent de 30% par an depuis 2003. Il s’agit essentiellement des germoirs, trayeuses, équipements de récolte, minoterie et tracteurs. Le pavillon français est organisé par l’Agence française pour le développement international des entreprises (Ubifrance) et la Chambre française de commerce et d’industrie du Maroc (CFCIM)

· L’Espagne muscle sa présence
La compétition entre les puissances agricoles européennes au Selon international de l’agriculture (Siam) est à elle seule, un match dans le match. L’Allemagne (voir notre édition du mercredi 28 avril), la France et l’Espagne y ont chacune de grosses délégations, soit des entreprises à titre personnel, soit à travers de puissantes associations professionnelles. Les marchés que déclenche la mise en œuvre du Plan Maroc vert attisent la convoitise. Avec 35 entreprises, sélectionnées parmi ses plus brillants champions à l’international, l’Espagne a mis le paquet. Entre le Siam 2009 et l’édition de cette année, le nombre de sociétés conduites par le très dynamique Institut Espagnol du Commerce Extérieur (ICEX) a doublé. Ces entreprises viennent de différents secteurs: matériel agricole, ingénierie, fabrication d’engrais, des fertilisants, etc. Pour Bruno Fernandez, conseiller économique et commercial à l’ambassade d’Espagne, le niveau (élevé) des dirigeants présents au Siam et la taille du stand espagnol (le plus grand du Salon) prouvent l’intérêt exceptionnel des entreprises ibériques pour le marché marocain.

· Coca-Cola mise 10 millions de DH
Enfin, le ministère de l’Agriculture a signé un protocole d’accord avec «Coca-Cola Export Corporation Moroccan Branch». La dernière s’engage ainsi à accorder un appui financier de 10 millions de DH, destiné à la réalisation de projets intégrés du Pilier II du Plan Maroc vert comprenant les composantes eau d’irrigation, plantation et valorisation de produits agricoles.

L'Economiste 29/04/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE   Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE - Page 12 Icon_minitimeVen 30 Avr 2010 - 8:30

OCP: Innovation fund for agriculture opérationnel

Le fonds d'investissement de l'OCP investira prioritairement dans les projets agricoles situés dans les territoires d'implantation du groupe. Ces projets émergents ou en croissance doivent développer des produits à haute valeur ajoutée pour l'agriculteur.

Le groupe OCP a apparemment réservé de bonnes surprises aux visiteurs de la cinquième édition du SIAM. Il a choisi cette occasion pour présenter son Fonds baptisé «OCP Innovation Fund for agriculture». «Ce fonds est opérationnel et il est en cours de finaliser le financement de quelques projets agricoles structurés», a fait savoir Mohamed Soual, directeur général de la Fondation OCP. Avant d'ajouter qu'il est question de mobiliser dans un premier temps 200 millions de DH.

L'objectif, sur une durée de 4 ans, est de participer dans une quarantaine d'entreprises, associations et coopératives développant des projets de production végétale et animale, d'agrégation des agriculteurs et de valorisation et commercialisation de leurs productions. D'autres conditions sont exigées par les gérants de ce fonds. Ainsi «OCP Innovation Fund for agriculture» se propose de financer des structures agricoles et agro-industrielles développant des stratégies d'accroissement et de diversification des productions agricoles. Il investira prioritairement dans les projets agricoles situés dans les territoires d'implantation du groupe.

Ces projets émergents ou en croissance doivent développer des produits à haute valeur ajoutée pour l'agriculteur : produits du terroir, plateforme de valorisation et de commercialisation des productions, projet d'agrégation des agriculteurs. «OCP Innovation Fund for agriculture» accompagnera également les projets structurants tels l'irrigation raisonnée, la réhabilitation des terrains miniers ou encore la production de biocarburants.

Enfin, le Fonds investira dans le conseil et l'assistance technique. Quant aux mises initiales à récupérer après un horizon de placement défini, elles seront replacées intégralement dans le Fonds pour permettre le financement de nouveaux projets. Deuxième nouveauté et pas la dernière : présentation du projet de la carte de fertilité des sols du Maroc. Il est le fruit d'une étroite collaboration entre le Groupe OCP, le ministère de l'Agriculture et de la Pêche maritime (MAPM) et l'Institut national de la recherche agricole (INRA).

Pour le moment, il n'y a que la province de Meknès, identifiée comme région pilote, qui dispose d'une carte de fertilité complète. Il faut attendre 4 ans pour que toute la surface agricole utile (SAU) au niveau national, estimée à 8,7 millions hectares, sera couverte. Les cartes de fertilité régionales élaborées seront structurées dans un système d'information géographique national (SIG).

Dressant des évaluations récentes des propriétés des sols, ces cartes seront d'utilité publique. «Elles seront mises à la disposition du monde rural à travers des centres de conseils et de formation régionaux que le ministère de l'Agriculture et de la Pêche maritime met en place à cette fin», a précisé Driss Dhiba, directeur de développement de nouveaux produits dans le groupe OCP. Baptisés «ferti-conseil», ces centres de conseils accompagneront les agriculteurs dans l'application des résultats de la carte de fertilité.

«L'objectif du projet de la carte de fertilité est d'introduire les techniques d'une "fertilisation raisonnée", basée sur une connaissance accrue des sols agricoles au niveau national et de leurs besoins en engrais propres à les satisfaire en éléments nutritifs pour en préserver la composition fertile», a expliqué D. Dhiba. Avant d'ajouter que sur le plan environnemental, cette initiative ambitionne de préserver les ressources sol et de protéger les ressources en eau. S'inscrivant dans le cadre du développement agricole durable, cette carte permet, outre l'augmentation de la productivité, une nette amélioration de la qualité de la production agricole.

A travers les données de la carte de fertilité, une stratégie de fertilisation au niveau régional et national sera élaborée pour développer des formules d'engrais mieux adaptées à chaque région.

Optimisation de l'utilisation des fertilisants
OCP a présenté hier au SIAM 2010 sa nouvelle offre de packages pour les distributeurs destinée à développer la consommation d'engrais sur le marché national. « Ce programme offrira des services de conseil et de formation autour de l'utilisation des engrais et permettra aux agriculteurs d'accéder à des produits de bonne qualité à des prix abordables », a indiqué Imad Bouziane, manager Afrique & marché local au sein de l'OCP. Ce nouveau modèle de distribution fonctionnera comme un centre d'expertise, procurant conseil et formation aux agriculteurs autour des techniques de la fertilisation raisonnée : formation en fertilisation des sols, organisation d'actions de communication et mise en place d'une politique de R&D adaptée aux différentes cultures et aux régions d'implantation pour développer de nouvelles formules et mener des tests agronomiques sur l'efficacité des engrais utilisés.

Le Matin 30/04/2010

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je salue votre effort monsieur cherradi Articles presse: ENVIRONNEMENT - ENERGIE - AGRICULTURE - Page 12 Icon_smile .
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