| | Articles presse : ECONOMIE NATIONALE ET INTERNATIONALE | |
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+8abdel62 Service haakoo Abderrahmane YAT DaRk-H moha souad 12 participants | |
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abdel62 Rang Spécial
Nbre méssages : 1044 Inscris le : : 31/08/2009
| Sujet: Re: Articles presse : ECONOMIE NATIONALE ET INTERNATIONALE Mar 17 Mar 2015 - 11:49 | |
| Dépréciation de l'Euro: Quel impact sur le Maroc? ÉCONOMIE - En plus de la déflation, un autre sujet commence à faire ressurgir des interrogations récurrentes ces derniers mois, spécialement dans la zone euro, mais aussi dans le monde entier. Il s'agit de la dépréciation de l'euro. Y a-t-il un effet pour le Maroc? Source : huffpostmaghreb.com Pour en savoir plus | |
| | | abdel62 Rang Spécial
Nbre méssages : 1044 Inscris le : : 31/08/2009
| Sujet: Re: Articles presse : ECONOMIE NATIONALE ET INTERNATIONALE Ven 13 Mar 2015 - 23:22 | |
| Le projet Wessal Casa-Port en 5 chiffresLe roi a lancé ce vendredi 13 mars trois chantiers s’inscrivant dans le grand projet Wessal Casa-Port.Le chantier du projet Wessal a commencé début 2014. Il comprend la construction d’un nouveau port de pêche, d’un terminal de croisières, mais aussi de bureaux, d’hôtels, de logements de haut de gamme et même d’une bibliothèque scientifique et d’un aquarium. Ce 13 mars, le roi a lancé trois de ces chantiers. Retour en cinq chiffres sur ce projet titanesque. • 12 hectares de superficie au total • 5 actionnaires : le projet est mené par Wessal capital, un fonds rassemblant cinq fonds souverains d’investissements : les Emirats arabes unis, le Qatar, le Koweït, l’Arabie saoudite et le Maroc. Wessal capital intervient aussi dans un projet à Rabat et un autre à Tanger. Lire aussi: Les quatre travaux qui changeront la vallée du Bouregreg • 3 banques internationales pour financer le projet : la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd), la Banque européenne d’investissements et la Banque mondiale. • 6 milliards de dirhams d’investissements pour la partie marina (loisirs, logements, bureaux…) • 450 millions de dirhams mobilisés, rien que pour le chantier de construction navale. 450 autres millions de dirhams financeront le nouveau port de pêche. Le terminal de croisière devrait coûter 100 millions de dirhams. Ce sont ces trois chantiers que Mohammed VI a lancé ce 13 mars. Le nouveau port de pêche est destiné à recevoir 160 barques de pêche artisanale, Source : Tel Quel | |
| | | abdel62 Rang Spécial
Nbre méssages : 1044 Humeur : Espoir Réputation : 11 Inscris le : : 31/08/2009
| Sujet: Re: Articles presse : ECONOMIE NATIONALE ET INTERNATIONALE Ven 13 Mar 2015 - 23:01 | |
| Inflation 2015 : La vigilance est de miseTout compte fait, les autorités restent très prudentes sur les perspectives de l’inflation et s’inscrivent dans la même tendance que l’année écoulée. Sur le plan monétaire et financier, les orientations pour l’année 2015 s’inscrivent dans la continuité des années précédentes, avec une vigilance plus appropriée quant au risque déflationniste. Source : Finance News Pour en savoir plus | |
| | | abdel62 Rang Spécial
Nbre méssages : 1044 Humeur : Espoir Réputation : 11 Inscris le : : 31/08/2009
| Sujet: Re: Articles presse : ECONOMIE NATIONALE ET INTERNATIONALE Ven 13 Mar 2015 - 18:25 | |
| Ces 3 paradoxes et 5 freins qui handicapent la croissance du Maroc, selon la BADDOCUMENT La croissance du Maroc n'est pas mauvaise mais elle pourrait être bien plus forte.... Partant de ce constat, la Banque africaine de développement vient d'analyser dans un rapport sans concession l'état des lieux de l'économie marocaine en mettant en relief les principaux freins à son développement et à sa compétitivité. En première ligne notamment, l'éducation, la fiscalité ou le foncier. A revoir ? Le modèle de croissance marocain reste trop limité et il convient de le repenser. C'est ce que révèle en substance "Diagnostic de croissance du Maroc : analyse des contraintes à une croissance large et inclusive", un rapport de 250 pages publié le 25 février par la Banque africaine de développement. C'est un rapport fouillé, qui bouscule les idées reçues, un travail qui dresse un état des lieux sans détour des maux dont souffre l'économie marocaine. Il a été réalisé à la demande du gouvernement d'Abdelilah Benkirane et dans la perspective de l'éligilibilité du Maroc à la seconde édition du Millennium Challenge, important programme d'aide américain. Après avoir rappelé l'engagement du royaume dans un "processus important de réformes afin de transformer en profondeur son modèle économique et social", l'étude met en exergue trois paradoxes et cinq freins principaux. Le premier paradoxeest dû au fait qu'en dépit d'un taux d'investissement parmi l'un des plus élevés au monde (31,7% du PIB en 2012), le taux de croissance moyen du Maroc enregistré sur la dernière décennie est inférieur à ce que les modèles économiques permettent d'espérer. Le deuxième est lié à l'absence de transformation structurelle de l'économie et sa toujours faible industrialisation. Le troisième paradoxe relève du faible dynamisme du secteur privé et du manque de PME, bref, une "absence de milieu" entre le secteur informel et les quelques grands groupes. Selon le rapport, si le Maroc s'est attaqué "avec succès" à des défis relevant notamment de la stabilité macro-économique ; l’intégration internationale de son économie ou les programmes de développement industriel, le royaume n'en est pas moins confronté à 5 obstacles majeurs. Ce sont les "coupables" dans le décollage trop lent de l'économie et de l'industrie du royaume. Bref de son manque de compétitivité internationale, qu'illustre le très lourd et récurrent déficit commercial du pays, à environ 15% du PIB. L'insuffisance du capital humainIl est essentiellement dû au manque d'efficacité du système d'enseignement et de formation professionnelle. En témoigne, la durée moyenne de scolarisation inférieure à la moyenne des pays ayant le même niveau de revenu. Ou la persistance d'un taux élevé d'analphabetisme, notamment chez les femmes. La lenteur du système juridiqueContraignant, le système judiciaire marocain ne facilite pas les activités économiques. "Il souffre toujours d’une certaine lourdeur dans l’exécution des procédures et des décisions qui poussent les entreprises marocaines et étrangères à éviter le recours au système judiciaire" note le rapport. Les "distorsions" du système fiscalElles se traduisent par le poids de la fiscalité qui ne pèse pas de façon équilibrée sur les différents agents économiques (grands comptes, PME, secteur informel). Le système fiscal marocain ne permet donc pas une allocation efficiente des investissements. Pourtant, "les taux d’imposition au Maroc ne sont pas excessifs et sont comparables à des pays comme la Tunisie, mais les entrepreneurs marocains considèrent encore l’impôt comme une charge très lourde et comme un obstacle au développement de leurs activités, note le rapport". Un accès difficile au foncierComplexe au Maroc, la propriété foncière est soumise à une dualité de régimes qui rend la transaction des terres très difficile, surtout sous le régime traditionnel régi par les principes du droit musulman et les coutumes locales. Ainsi la gestion du foncier au Maroc est souvent critiquée pour l’excessive diversité de ses statuts et tutelles. L’accès au foncier est fortement contraignante quand elle dépend de l’offre de terrains dans les régions attractives à l’investissement. Une réglementation du marché du travail contraignanteD’après plusieurs classements internationaux, le Maroc est noté parmi les pays dont la législation du travail est la plus rigide. Le Maroc affiche des coûts de licenciements élevés par rapport aux pays d'un niveau de développement comparable, selon le rapport qui pointe aussi, paradoxe, le non respect du droit du travail ou encore un nombre relativement élevé de grèves. "Même si les objectifs de protection de l’emploi sont importants, le Code du travail marocain semble avoir un effet négatif sur la création d’emplois", pointe le rapport qui évoque aussi le coût élevé du travail en regard du benchmark régional. De quoi ouvrir un beau débat intérieur. Retrouvez l'intégralité du rapport ci-dessous. Maroc : diagnostic de croissance (Banque africaine de développement) | |
| | | yassine0610
Nbre méssages : 68 Réputation : 0 Inscris le : : 02/12/2013
| Sujet: Re: Articles presse : ECONOMIE NATIONALE ET INTERNATIONALE Mar 24 Fév 2015 - 13:49 | |
| SNEP : les dessous d’une vente judiciaire controversée
C’est l’une des affaires les plus commentées sur le marché en ce début d’année et c’est aussi une première ! Les actions de la société de pétrochimie SNEP feront l’objet d’une vente judiciaire le 25 février suite à une décision de la Cour d’appel de commerce de Casablanca d’exécuter la saisie des actions détenues par la maison mère Ynna Holding dans le capital de ladite société. Il s’agit d’un peu plus de 1,5 million d’actions, représentant 63% du capital. Petit rappel des faits. En 2008, Ynna Asment aurait rompu abusivement le contrat portant sur la construction et la mise en service d’une cimenterie à Guisser, dans la région de Chaouia-Ouardigha la liant à FCB. Le spécialiste de l’ingénierie industrielle français a donc demandé la condamnation solidaire et conjointe de Ynna Asment et de sa maison mère devant un tribunal arbitral de Genève pour un montant de 400 MDH. «La société de ciment créée par le holding n’est qu’une coquille vide», commente une source proche du dossier. Et puisque le requérant a le choix de demander la saisie sur n’importe quel bien du défendeur, il a opté pour les actions SNEP. «C’est plus rapide, plus liquide et donc facile à vendre», nous confirme notre source. N’acceptant pas ce jugement, Ynna holding a déposé un pourvoi en cassation. Selon le top management, le holding n’a à aucun moment été partie prenante dans la transaction liant Ynna Asment et Fives FCB à travers sa filiale marocaine. Il n’y a donc pas lieu de faire intervenir tout le groupe dans une affaire concernant l’une de ses filiales. Le titre suscite actuellement peu d’intérêt sur le marché Qu’en serait-il du pourvoi en cassation du holding marocain? «Il faut savoir que la Cour de cassation ne suspend jamais une décision du tribunal», précise notre source, à moins qu’il y ait vice de forme. Autrement dit, elle n’intervient pas dans le fond, mais s’assure seulement du respect de la procédure depuis son commencement. «Et si jamais cette Cour repère une faille dans la procédure, l’affaire revient à la Cour d’appel. Dans ce cas, son jugement est définitif et exécuté sans délai», nous explique un avocat au barreau de Casablanca. Cela étant, en cas de maintien de la vente judiciaire, ce qui est fort probable, n’importe quelle personne pourrait y participer, y compris les actionnaires eux-mêmes. Dans ces conditions, Ynna Holding interviendrait-il pour sauver la SNEP ? En tout cas, le montant de la mise à prix, ou le prix initial pour le lancement de la vente, sera fixé au dernier cours de cotation de la société avant sa suspension, qui est de 213,10 DH. A titre indicatif, si toutes les actions sont vendues à ce prix minimal, la vente rapporterait 348,8 MDH, soit 50 MDH de moins que le montant dû à Fives CB. Dans ce cas, ou si la vente n’est réalisée que sur une partie des actions, d’autres biens pourraient être saisis jusqu’à recouvrement de l’intégralité des sommes réclamées. Notons que si la vente judiciaire aboutit à l’acquisition par une seule personne d’un bloc de 51% du capital de la Snep, elle sera obligée de procéder à une offre publique d’achat portant sur les autres actions non détenues par elle-même, et ce, selon la réglementation du marché. Qu’adviendra-t-il de la société et des petits porteurs après l’exécution de la vente aux enchères ? Les analystes contactés ne semblent pas inquiets puisqu’ils ne voient pas comment la vente aux enchères de la participation de Ynna holding dans la SNEP pourrait aggraver une situation déjà délicate. La société a même disparu des radars des analystes, des traders et des gérants de portefeuille en raison de ses fondamentaux fragiles et de sa très faible liquidité sur le marché. En effet, la société traverse une période difficile depuis des années. Elle ne cesse d’accumuler les déficits, n’a pas rémunéré ses actionnaires depuis 2010 et demeure fortement endettée. D’ailleurs, un analyste ne prévoit aucun engouement particulier pour les titres de la société vu la complexité du secteur, à moins qu’il y ait une multinationale qui souhaiterait avoir une porte d’entrée dans le pays à travers cette société. Même les actionnaires personnes physiques n’ont plus grand-chose à perdre, puisque sur les 8 années d’existence en bourse de la société, son cours a perdu 83%, sachant qu’elle s’est introduite en bourse à 1 250 DH.
Ibtissam Benchanna. La Vie éco www.lavieeco.com 2015-02-24 | |
| | | @n@
Nbre méssages : 21 Réputation : 0 Inscris le : : 17/12/2014
| Sujet: BOURSE: LA HAUSSE ATTENDUE POUR LE PREMIER TRIMESTRE Mar 10 Fév 2015 - 9:54 | |
| LE MASI SE MAINTIENT AU-DESSUS DE LA BARRE DES 10.000 POINTS LA CROISSANCE REDONNE CONFIANCE AUX INVESTISSEURS LES ANTICIPATIONS D’UPLINE, BMCE CAPITAL BOURSE, CRÉDIT DU MAROC
Selon les analystes, il est probable que le Masi maintienne son redressement durant les prochains mois. Pour Upline, l’indice phare va poursuivre son mouvement haussier pour atteindre un premier seuil de 10.570 points. Après un retournement baissier à ce stade, il se dirigerait vers les 10.380 points jusqu’à fin février[size=13]La performance du Masi constatée au mois de janvier devrait se poursuivre pour tout le premier trimestre. C’est le consensus dégagé dans les analyses d’Upline, de BMCE Capital et de Crédit du Maroc. La bonne tenue de l’indice phare du marché, au cours du premier mois de l’année, impacte généralement son comportement au moins durant plusieurs semaines. Les investisseurs anticipent une amélioration de la conjoncture qui rejaillirait sur la capacité bénéficiaire des sociétés cotées. La loi de Finances prévoit une croissance de 4,4%. Le CMC et HCP visent un peu plus haut (4,9%). La baisse du cours du pétrole à l’international soulagera la balance commerciale. La facture énergétique va s’alléger d’un tiers. A cela s’ajoute le bon comportement des secteurs exportateurs tels que l’automobile ou encore le textile. La hausse des ventes des phosphates constituera également un soutien considérable pour l’économie, malgré la stagnation enregistrée en 2014. Le renforcement des liquidités et la hausse des investissements publics contribueraient à ramener la confiance des investisseurs vis-à-vis de l’économie et, par ricochet, par rapport au marché action. Mais cela ne devrait se faire qu’à moyen terme. En attendant, la Bourse a besoin d’une nouvelle dynamique sur le court terme. A ce titre, les prochains mois pourraient coïncider avec l’avènement d’un certain nombre d’opérations à même de rebooster le marché. Après le départ de Mediaco, les 74 sociétés cotées accueilleront deux nouvelles entreprises cette année. La première introduction en Bourse de l’année (Total Maroc) est prévue pour ce premier trimestre. La deuxième IPO (Marsa Maroc) est annoncée pour le second semestre.L’analyse technique d’Upline pour le mois de février fait ressortir une première orientation de l’indice à la baisse vers un objectif de 9.960 points, avant de rebondir et se replacer sur une trajectoire vers 10.380 points. Un seuil qui n’a pas été atteint depuis au moins deux ans. Une fois ce niveau atteint, le Masi se dirigera probablement vers un pic de 10.570 points. L’indice pourrait retrouver ensuite son niveau de 10.380 points. Ce qui laisse apparaître un potentiel global à la hausse de 1,54%.
[/size] Pour BMCE Capital Bourse, l’heure est à l’optimisme. Sa sélection de valeurs a surperformé le marché. Le portefeuille BMCE a enregistré une performance de 6,71%, dépassant ainsi celle du Masi (6%). «Aux cours actuels, notre sélection offre un rendement estimé à 4,5% en 2015 contre 3,9% pour le Masi», prévoient les analystes. Compte tenu des améliorations que connaissent certains grands secteurs, les professionnels de la place revoient à la hausse leurs prévisions. A l’image de CIH qui, pour les experts d’Upline, se dirige vers les 380 DH. Après avoir atteint son plus haut niveau de 367 DH en 2014, le titre CIH s’est légèrement rétracté à 350 DH, mais conserve sa position dans son canal haussier à moyen terme. «Tant que le niveau des 315 DH n’est pas franchi à la baisse, nous prévoyons un rebond sur les 330 DH en direction des 365 DH, suivis par les 380 DH», estiment les analystes. Le secteur du bâtiment devrait connaître également une légère progression, profitant de l’évolution des cimentiers. Holcim et Lafarge continuent à tirer les échanges. Les deux cimentières ont enregistré respectivement des performances de 28,15% et 18,08% le mois dernier. Pour le mois de février, les prévisions sont plutôt mitigées pour Lafarge Ciments. Après s’être hissé à 2.100 DH, le titre semble en perte de vitesse et montre des signes d’épuisement sur le court terme. Il remonterait probablement à 1.950 DH avant de se replacer à 1.730 DH. La vigilance reste ainsi de mise compte tenu du recul de l’activité BTP. | |
| | | yassine0610
Nbre méssages : 68 Réputation : 0 Inscris le : : 02/12/2013
| Sujet: Re: Articles presse : ECONOMIE NATIONALE ET INTERNATIONALE Mar 20 Jan 2015 - 14:09 | |
| Enfin deux chantiers prioritaires lancés !
Casablanca va enfin lancer deux parmi les principaux projets annoncés dans le plan d’action prioritaire présenté en février dernier. Alors que des voix commençaient à s’élever pour dénoncer le retard accusé dans la réalisation de ce plan, Casa Aménagement et Casa Transport viennent de lancer de nouveaux appels d’offres relatifs au projet de réhabilitation du parc de la Ligue arabe et celui de la réalisation des travaux d’aménagement du nœud A et du carrefour Azbane. Pour ce dernier, on apprend que le chantier ne sera pas achevé avant 2018, les travaux nécessitant au moins 36 mois. Pour ce qui est de la réhabilitation du parc de la Ligue arabe, dont l’entame des travaux est prévue pour ce premier semestre 2015, il nécessitera entre 18 et 24 mois, ce qui renvoie sa livraison à 2017.www.lavieeco.com | |
| | | yassine0610
Nbre méssages : 68 Réputation : 0 Inscris le : : 02/12/2013
| Sujet: Re: Articles presse : ECONOMIE NATIONALE ET INTERNATIONALE Jeu 15 Jan 2015 - 16:05 | |
| ActualitéLa Banque mondiale très optimiste pour le Maroc en 2015
8 La Banque mondiale vient de ce matin ses prévisions de croissance pour les pays de la région Moyen Orient et Afrique du Nord (MENA) qui compte 13 pays hors ceux du Conseil de coopération du Golfe (CCG). La Banque mondiale vient de ce matin ses prévisions de croissance pour les pays de la région Moyen Orient et Afrique du Nord (MENA) qui compte 13 pays hors ceux du Conseil de coopération du Golfe (CCG).
En 2015, la BM prévoit une croissance moyenne dans ces pays de l’ordre de 2,5 % au moment où les plus forts taux sont enregistrés par le Djibouti (+5,5%) et le Maroc (+4,6%) contre un +0,9 % pour l’Iran et +2,7 % pour la Tunisie. Pour 2016 et 2017, les experts de la Banque mondiale prévoient des taux de croissance respectifs de +4,0 et +4,5%.La Vie éco www.lavieeco.com | |
| | | yassine0610
Nbre méssages : 68 Réputation : 0 Inscris le : : 02/12/2013
| Sujet: Re: Articles presse : ECONOMIE NATIONALE ET INTERNATIONALE Jeu 15 Jan 2015 - 16:01 | |
| ualitéMaroc : 40 milliards de dhs à investir pour réaliser un terminal de gaz naturel liquéfié2 Dans le cadre du développement et de la diversification de ses sources d’énergie, le Maroc envisage de réaliser à Jorf Lasfar un terminal de gaz naturel liquéfié doté d'infrastructures nécessaires et de stations électriques pour un investissement global de 40 milliards de dhs. Cette nouvelle structure qui verra le jour dans les prochaines années, mettra un terme à la dépendance du Maroc de ce produit, estime le ministre de l'Energie, des mines, de l'eau et de l'environnement, Abdelkader Amara.Les expérimentations débuteront en 2020, année marquant la fin du contrat conclu avec Sonatrach.Pour rappel, le Maroc est approvisionné en produits pétroliers via la raffinerie de Mohammedia à hauteur de 70%, alors que le reste est couvert par les importations. Le Royaume importe près de 50% de ses besoins en gasoil.La Vie éco www.lavieeco.com2015-01-14 Share on facebookShare on printShare on emailShare on twitterMore Sharing Services Authentifiez-vous pour ajouter un commentaireFlash actualité
- Tourisme durable : L'OMT applaudit l’adoption par l'ONU d'une résolution initiée par le Maroc
- Maroc : Nouvelle baisse des prix des carburants à la pompe !
- Forte croissance de l'activité globale du port Tanger Med en 2014
- Qatar souhaite investir dans l'énergie éolienne au Maroc
- L’étudiant Choubani défend sa thèse
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| | | yassine0610
Nbre méssages : 68 Réputation : 0 Inscris le : : 02/12/2013
| Sujet: Re: Articles presse : ECONOMIE NATIONALE ET INTERNATIONALE Jeu 15 Jan 2015 - 15:58 | |
| ActualitéLa production minière représente 10% du PIB au Maroc
Le Royaume a produit 33 millions de tonnes de minerais en 2013. Le sous-sol marocain est assez bien doté en ressources minérales. Le Royaume a produit 33 millions de tonnes de minerais en 2013 dont 31 millions t des phosphates et dérivés, pour une contre-valeur de 52 milliards de DH, ce qui représente 10% du PIB. Le secteur emploie près de 40 175 personnes.
Le chiffre d'affaires du secteur minier comprend 41 MMDH d'exportations et 11 MMDH de ventes locales pour un volume total d'investissements de 22,9 MMDH, apprend-on mercredi 14 janvier 2015, auprès du ministère de l'Energie, des mines, de l'eau et de l'environnement.La Vie éco www.lavieeco.com2015-01-15
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| | | yassine0610
Nbre méssages : 68 Réputation : 0 Inscris le : : 02/12/2013
| Sujet: Re: Articles presse : ECONOMIE NATIONALE ET INTERNATIONALE Jeu 15 Jan 2015 - 15:57 | |
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ActualitéQatar souhaite investir dans l'énergie éolienne au Maroc
La société qatarie de l'eau et de l'électricité Nebras Power entend investir dans cinq parcs éoliens au Maroc. [size] La société qatarie de l'eau et de l'électricité Nebras Power entend investir dans cinq parcs éoliens au Maroc, a annoncé Fahad Al-Mohannadi, président du conseil d'administration de la société, mercredi 14 janvier 2015.
A cet effet, Nebras Power a soumis un plan technique et s'apprête à soumettre un plan financier en partenariat avec la compagnie française EDF.
Devenue depuis début 2014 une société anonyme, Nebras est active dans les secteurs de l'énergie et des eaux avec un capital d'un milliard de dollars.
Au cours de l'année dernière, la société qatari a signé en partenariat avec une société nippone, un contrat d'investissement de 100 millions de dollars pour la construction en Jordanie d'une centrale électrique solaire de 52,5 mégawatts.La Vie éco www.lavieeco.com[/size] | |
| | | simourayane
Nbre méssages : 19 Réputation : -1 Inscris le : : 16/11/2014
| Sujet: info Mer 14 Jan 2015 - 6:19 | |
| - Bonnes orientations pour la Bourse : Les perspectives sont prometteuses pour la bourse en ce début d'année. « le marché casablancais devrait maintenir son incursion dans le territoire positif »… (L'économiste)- Introductions en bourse : Les nouvelles stars de 2015. Les sociétés américaines et françaises ouvrent le bal. Santé et nouvelles technologies prédominent… (L'économiste)- Alliances veut emprunter 1 milliard de DH : Alliances va solliciter les investisseurs. Le groupe immobilier envisage de recourir au marché de la dette privée pour y lever pas moins de 1 milliard de DH… (L'économiste)- Les recettes de la TIC sur la bière en baisse : En 2015, les recettes au titre de la taxe intérieure de consommation sur les bières devraient s'élever à 770 millions de DH contre 793 millions un an auparavant… (L'économiste)- Microcrédit, un nouvel acteur du Golfe pour bientôt : Le secteur du microcrédit sera prochainement ouvert à de nouveaux investisseurs en particuliers ceux des pays du Golfe… (L'économiste)- Télécoms, les marocains accros au mobile : Sans surprise, les nouvelles technologies de l'information continuent à enregistrer des évolutions remarquables au Maroc… (Les Eco)- OCP scelle son alliance avec Fertilisantes Heringer : L'opération acte l'acquisition de 10% des actions de l'entreprise brésilienne. Un contrat de vente de produits phosphatés également au programme… (Les Eco)- Le pétrole ouvre en forte baisse à New York : Les prix du pétrole poursuivent leur dégringolade vers des niveaux plus vus depuis presque six ans… (Les Eco)Source : CDG Capital Research» Toutes Actualités | |
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