Séance du Mardi 3 Avril 2012

Pelican a écrit:

P'titfinance a écrit:

Salam

SEFRIOUI remet en cause le CA déclaré dans la communication financière qui a précédé la conférence. 2 Mrd MAD de CA est toujours chez le notaire et n'a pas ENCORE été définitivement conclue.

Si cette info s'avère vrie, Une belle sanction du CDVM obligerait l'autorité du marché.

Autre question qu'en est il de la responsabilité des cabinets d'expert qui ont certifié les comptes?

Ce n'est pas que j'ai pas bien lu, mais je ne réalise pas ce que vous dites :

Vous dites que le CA 2011 publié par Addoha est faux ?

Donc Mr AS est responsable mais il n'est pas coupable , je me demande a qui va profiter cette baisse ?? , depuis dec 2011 , les gros ventres balancent et nos caisses de retraitre achetent a bon compte , que justice soit faites ...

PS : j'ai des doutes mai je crois qu'un membre parmis nous joue au rabateur a son insu

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achraf1711 a écrit:

P'titfinance a écrit:

Salam

Sur un volume d’affaires de 325 MMAD, le MASI concède 146 points de base. L’essentiel du CA a porté sur le titre BMCE, et l’essentiel de la contre performance est attribué à la valeur ADDOHA.

A 10.738 ,69 points, l’indice de référence de toutes les valeurs retenues dans la corbeille de cotation crève ses trois supports de la journée.

Que faire dans ses temps de déconfiture ??? (1) déserter le marché et garder au chaud ses billes, (2) voir d’autres opportunités de placement sur d’autres marchés porteurs de croissance (Dieu seul sait qu’ils sont rare ces marchés porteurs), (3) prendre le risque et profiter d’une baisse qui s’annonce fatale.

Bien à vous les amis (es)

ou bien investir sur les valeurs refuges par excellence que tout le monde connait

waiyeeeeeh, kat khaliouy fine kayne al khobz O kat tqalbou 3ala al machakil.

siro el MNG? et vous épongez vos dettes. rah makayne walou al youm. malkoum a sahbi??

Mr le ministre repond a un denomé Alpha 74 via les colonnes du matin du 03/04/2012 :

● «La gouvernance : l’alpha et l’oméga de notre action»

Dans la déclaration gouvernementale, l’amélioration du climat des affaires est une priorité. Elle passe par le renforcement de la transparence et la bonne gouvernance et concerne notamment tout ce qui est certification des procédures administratives et modernisation de l’environnement juridique… La Charte de l’investissement permettra d’avoir une structure centrale. Le ministère des Affaires générales est en charge de l’harmonisation de ce qui est fait au niveau sectoriel pour avoir une vue d’ensemble de la stratégie d’investissement de l’Etat et pour donner une visibilité aux investisseurs. Le troisième axe concerne ce qui a trait aux litiges commerciaux avec toutes les possibilités de facilitation, de recours, de médiation… Le quatrième axe a trait à l’amélioration de l’accès au foncier et des autorisations de construire. Les efforts réalisés dans l’amélioration du climat des affaires a permis au Maroc en 2012 d’avancer de 28 places dans le Doing Business et d’être retenu comme étant le pays qui a fait le plus de progrès au niveau du climat des affaires. Nous restons sur cette lancée avec des contacts rapprochés avec les investisseurs et déterminés à améliorer davantage ce chantier. La gouvernance inscrite dans le chapitre 12 de la Constitution est le leitmotiv de notre gouvernement. Nous avons compris que, faute de gouvernance, toute économie même en développement ne peut atteindre ses objectifs. Le Printemps arabe a mis en lumière l’exemple de la Tunisie sous le régime précédent qui avait certes un taux de croissance de 4%, mais qui faute de gouvernance ne progressait pas !

Gouvernance nationale
Au Maroc, nous avons les moyens d’avancer, mais encore faut-il se départir de certaines pratiques pour améliorer l’économie et le social. Certains de nos pourvoyeurs de fonds nous reprochent le fait que malgré les fonds mis à notre disposition, des segments importants de la population ne reçoivent pas leur part de l’augmentation des richesses. La gouvernance se situe à plusieurs niveaux, celui de la transparence et la lutte contre la corruption, et celui de la convergence des politiques sectorielles qui permettrait une vue d’ensemble de la politique de développement au Maroc. Cette gouvernance au niveau national doit alimenter la gouvernance régionale pour que les citoyens puissent profiter de la richesse créée par l’activité et le développement économique. Cela passe aussi par un bon fonctionnement d’instances comme le Conseil de la concurrence qui est une institution indépendante qui doit assurer transparence et équité dans les relations économiques. Le chef du gouvernement a mis en lumière l’existence d’un certain nombre d’entraves et de comportements anticoncurrentiels qu’il fallait combattre en mieux régulant les marchés, les appels d’offres, et en luttant contre les pratiques commerciales déloyales. Tout cela devrait améliorer le climat des affaires et donner aux opérateurs économiques et sociaux plus de transparence. Je voudrais souligner le fait que nous sommes là avec ces objectifs de transparence et de prévention, dans une logique globale qui est à la fois économique et sociale.
Le Conseil de la concurrence et l’Instance de lutte contre la corruption qui ont avec la nouvelle Constitution plus de pouvoirs, ont toute latitude pour veiller à empêcher tout délit d’initiés, abus administratif, mauvaise gestion au niveau des passation des marchés publics, des trafics d’influence, privilèges ou position dominante.
Toutes ces mauvaises pratiques qui pèsent pour 1,5 % à 2% de notre PIB, doivent être abolies pour améliorer bien sûr le climat des affaires et permettre un véritable développement mieux réparti entre des citoyens qui utilisent aujourd’hui avec les ONG leurs droits à la libre expression.

Najib Boulif, ministre des Affaires générales et de la Gouvernance


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Le probléme majeur réside dans le fait que le MASI a complétement ignoré le support de 10 880 PTs de Décembre 2011.....pour aller directement chercher les fondations de 2009 qui rappelons le était haussiére artificiellement par le deal ONA-SNI

A long terme on peut dire que la configuration du marché est neutre. Si vous avez investi dans le MASI il y'a 2 ans, vous n'avez gagné que le rendement du dividende ( à peu prés 3,5% l'an ).

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Signalons, qu'à part son manque d'attractivité financière, la raffinerie envisage une augmentation du capital....

Pelican a écrit:

A long terme on peut dire que la configuration du marché est neutre. Si vous avez investi dans le MASI il y'a 2 ans, vous n'avez gagné que le rendement du dividende ( à peu prés 3,5% l'an ).

et un peu d'














Adrénaline



















!

yak'ma ma theorie d'un scenario à la juin, juillet 2011 s'avère juste; dans ce cas là le MASI lacherai encore environ 6 %. Honnetement j'ai du mal à y croire mais on peut s'attendre a beaucoup de chose actuellement.

Observez toutefois la similitude des indicateurs de fin juin à ceux des dernieres seances:
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Après la baisse du MASI, tous les marchés mondiaux ont suivi

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SNI ne connaît pas la crise

Par Aziz SAIDI  
Mardi, 03 Avril 2012 10:37 
   

Après la fusion d’ONA et SNI, la nouvelle entité qui en est sortie s’est aussitôt retirée de la cote mais continue à jouer la transparence. La présence d’obligations du nouvel ensemble, cotées à la place casablancaise, fait que la SNI continue à publier ses résultats. Et le moins qu’on puisse en dire, c’est que ceux-ci sont fort satisfaisants au titre de l’exercice 2011. En effet, le résultat net consolidé du groupe passe tout quasiment du simple au double. Ainsi, après s’être fixé à 2,9 MMDH à fin 2010, il a atteint les 4,3 MMDH à fin 2011. Une performance due principalement aux très bons résultats de ses filiales au Maroc. À ce titre, parmi les meilleurs contributeurs à ce résultat on recense, Attijariwafa bank, Sonasid, Cosumar ou encore Managem, qui tous ont réalisé des bénéfices en progression notable. D’un autre côté, seule la filiale laitière du groupe, Centrale Laitière, a réalisé un résultat net en recul. Par ailleurs, les intérêts minoritaires de SNI ont pu contribuer pour près de 1,07 MMDH au bénéfice consolidé du groupe en 2011. De son côté, le chiffre de d’affaires du groupe enregistre une progression plus qu’honorable de 16%, pour ainsi se porter à 50,4 MMDH.

Vous avez dit crise ?
Il faut dire que la SNI a réalisé l’essentiel de son chiffre d’affaires grâce à ses filiales marocaines et africaines. Cette donne lui a permis de se prémunir contre les soubressauts de la crise financière en Europe et de réaliser des performances qui détonnent dans la conjoncture économique internationale actuelle. D’un autre côté, les actifs de la société ont aussi crû de 10%, atteignant ainsi 115,2 MMDH. In fine, le holding réalise des performances de très bonne facture, qui le confortent dans son option stratégique. Rappelons à ce propos que la fusion des deux anciennes entités et le retrait de la cote qui s’en est suivi étaient correlés à un plan stratégique bien précis. Le top management de SNI a ainsi affiché son intention de se transformer en holding de participation. Aussi, cet objectif passe par la sortie de SNI du capital de ses filiales matures, pour concentrer sa stratégie de croissance future sur de nouveaux secteurs porteurs. Ce plan a connu son premier épisode avec la cession de Lesieur Cristal au profit de Sofiproteol. L'épisode a abouti récemment à une offre publique de rachat portée par les institutionnels qui accompagnent l’opération et qui donnera lieu incessament à une offre publique de vente.

Holding à participations
D’autres filiales devraient suivre la même trajectoire. Les supputations vont bon train à ce sujet, en attendant le closing d’éventuelles opérations de même ordre. Les candidats potentiels au désengagement de SNI seraient Cosumar, Centrale Laitière et certains pronostiquent le même scénario pour la très profitable filiale bancaire Attijariwafa bank. SNI entend désormais miser sur des secteurs comme le tourisme, les télécommunications et surtout les énergies renouvelables. Pour les télécommunications, la filiale de SNI, Wana Corporate, s’est d’ailleurs vu renforcée dans son orientation stratégique et ses moyens. Quant au énergies renouvelables, il n’échappe à personne que les ambitions de SNI en la matière sont en ligne avec celles du royaume, à travers notamment le plan solaire marocain... le meilleur est à venir.


 

Bonsoir,

Dernièrement il y a une inflation de critiques des dysfonctionnements de l'économie, de la bourse, de la société : la corruption, les détournements, les délits d'initiés, le noir dans les cliniques, les dérives du CDVM, les agréments, les jetons de présence, les déficts des sociétés et les signes de richesse des dirigeants, les intros douteuses, SNEP et CHAABI, STROC, JETMACHIN, bref des TONNES d'aberrations voire des absurdités, des injustices, des incohérences...

Moi j'ai envie de dire à tous ces critiqueurs de la dernière heure :

Nous avons eu une opportunité en 2011 mais nous l'avons raté maintenant il faut attendre au moins une décennie pour une autre opportunité.


ça me rappelle un avertissement écrit sur les tickets des autocars au Maroc :