| | Articles presse: MARCHES BOURSIERS | |
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| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Jeu 26 Nov 2009 - 17:51 | |
| Dubaï sème la pagaille, le $ bondit, indices plongent );
(CercleFinance.com) - 'La journée de jeudi devrait être calme' écrivaient de nombreux commentateurs mercredi: la demande de moratoire sur une partie de la dette des plus émetteurs obligataires de Dubaï était pourtant connue dès hier matin. Un vent de panique souffle maintenant sur les marchés alors que les investisseurs s'interrogent maintenant sur le niveau d'exposition des banques créancières en Europe: les estimations vont du simple au double, de 13MdsE à 26MdsE selon les différents experts qui se penchent sur la question. En ce qui concerne le coût de la facture, il est très prématuré d'envisager un défaut de paiement à la mode islandaise car Abu Dhabi ne laissera certainement pas tomber son voisin, victime du retournement de la conjoncture au moment de commercialiser les projets immobiliers les plus ambitieux de tout le Moyen-Orient.
Le CAC40 enregistre sa plus sévère chute (-3,5%) en une seule séance depuis le début du mois de mars: l'indice phare perd -140Pts à 3.675Pts. Ailleurs en Europe, Londres cède 3,1% et Francfort 2,96%, l'Euro-Stoxx50 dévisse de -3,3%. Les places boursières accusent donc le coup avec 24h de retard: trop occupés à tirer les cours à la veille de Thanksgiving, les opérateurs avaient complètement occulté la demande par Dubai d'un rééchelonnement de la dette de Dubai World et de sa filiale Nakheel (ce qui équivaut dans les esprits à un défaut de paiement sur des créances arrivant à échéance fin décembre 2009).
Dubai World est notamment la maison mère de Nakheel, le promoteur au coeur des importants investissements immobiliers réalisés dans l'Emirat au cours des dernières années: les prix du foncier ont chuté de -50% depuis le mois de septembre 2008 dans la capitale de l'Emirat.
L'agence Moody's a dégradé ses notes sur six entités émettrices d'obligations publiques de cet Etat membre des Emirats Arabes Unis. Elle est notamment passée de A3 à Baa2 sur DP World et sur Dubai Electricity & Water Authority (DEWA), et de A3 à Ba1 sur DIFC Investments (DIFCI).
Plombées par l'alerte rouge sur la dette souveraine de Dubaï (beaucoup d'investisseurs asiatiques sont présents dans l'Emirat), les Bourses d'extrême orient avaient fini dans le rouge ce matin, chutant de -1,2% (Séoul) à -3% (Shanghai). Le Nikkei a notamment clôturé en baisse de plus de 0,6%, pénalisé en grande partie par l'appréciation du yen face au dollar.
Sur le marché des changes, après avoir atteint mercredi soir un plus haut depuis août 2008 face au billet vert, à 1,5140 dollar, l'euro replonge de -1,1% vers 1,496 dollar, dans un contexte de regain d'inquiétudes qui favorise aussi le yen. Les investisseurs qui gèrent les fonds US depuis Londres sont certainement en train de tenter de se couvrir sur le Dollar et vendent par anticipation (et agressivement) des actions qui ont pris 80% en 8 mois (en incluant la hausse de l'Euro) alors les marchés américains resteront fermés ce jeudi à l'occasion de Thanksgiving.
Saint-Gobain décroche de plus de 6,2% ce jeudi à la Bourse de Paris dans le sillage d'une dégradation de recommandation de Goldman Sachs. Le bureau d'études a abaissé ce matin sa recommandation sur le titre Saint-Gobain de 'neutre' à 'vendre' dans le cadre d'une étude consacrée au secteur de la construction. Son objectif de cours est de 40,7 euros. L'intermédiaire financier fait remarquer que le titre a surperformé son secteur d'environ 16% au cours des trois derniers mois, ce qui en fait le plus dynamique au sein de l'industrie des matériaux de construction sur la période.
Goldman Sachs réaffirme en revanche sa recommandation d'achat fort ('conviction buy') sur Lafarge, avec un nouvel objectif de cours de 85,5 euros (contre 91,1 euros précédemment) laissant entrevoir un potentiel de hausse de 47%. L'analyste dit s'attendre à une surperformance du titre liée à sa valorisation séduisante sur la foi des ratios 2011: Lafarge se traite en effet à six fois son EV/Ebitda contre une moyenne de 7,6x sur cinq ans. Lafarge se traite en effet à six fois son EV/Ebitda contre une moyenne de 7,6x sur cinq ans. Mais une fois n'est pas coutume, la 'reco' de Goldman Sachs n'est pas suivie par les opérateurs et le titre dévisse de -6,65% (lanterne rouge du CAC40). Les turbulences obligataires dans le Golfe persique puisque les dernières déclarations de Dominique Strauss Kahn concernant les 50% de créances douteuses non dévoilées et encore détenues par les établissements financiers font chuter les banques avec des écarts de -5% sur BNP-Paribas, -5,5% sur Crédit AGricole, -6,15% sur Sté Générale et -5,9% sur AXA. Aux étrangères, HSBC et Credit Suisse plongent de -5,2% et Aegon et RBS de -7,5%.
EADS (-45%) a rejeté des chiffres parus dans un article paru dans Die Welt concernant les surcoûts du programme d'avion de transport militaire A400M. Le journal allemand, tenant ses informations de personnes 'proches du dossier', a affirmé que ces surcoûts pourraient s'avérer supérieurs à cinq milliards d'euros, et cite même un montant de 5,5 milliards. En réaction, le constructeur aéronautique déclare 'mettre en garde contre toute interprétation de chiffres sortis de leur contexte, tant que les négociations avec le client, l'OCCAR, et les pays de lancement, ne seront pas terminées'. Air-France/KLM traverse un gros trou d'air de -6,5% alors que les prévisions de fréquentation des vols en baisse -hors catégorie 'low cost'-et la chute du Dollar sont perçus négativement.
Officiellement nommé hier en conseil des ministres, le nouveau PDG d'EDF Henri Proglio réaffirme ce matin au quotidien 'Le Figaro' les grandes ambitions qu'il souhaite pour son groupe. Il souhaite diversifier le catalogue qui ne contient que le réacteur nucléaire EPR: 'EDF doit donc diversifier son offre dans le nucléaire, mais aussi reprendre son leadership en thermique et en hydraulique'. Enfin, le rapprochement avec Veolia, dont il reste le président non exécutif pour une durée indéterminée, reste toujours d'actualité, tout comme sa volonté d'améliorer la disponibilité des centrales en évoquant un objectif de 85%.
Sur le SBF 120, Teleperformance perd près de 3%: le groupe a mis à jour ses prévisions, à la suite de quoi le bureau d'études Gilbert Dupont a suspendu son conseil d'achat. Teleperformance a indiqué ce matin qu'en 2009, les ventes devraient atteindre 1.820-1.830 millions d'euros et l'EBITA 8,5% des ventes cette année, puis 9-9,5% en 2010, année où le chiffre d'affaires devrait rester stable. Gilbert Dupont estime que 'pour la première fois, ses objectifs 2010 s'arrêtent au niveau de l'EBITA, le résultat net part du groupe n'est pas donné.'
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| | | DaRk-H
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| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Lun 23 Nov 2009 - 18:32 | |
| BVC - Deux questions à Youssef Benkirane : «Nous devons doter le Maroc du marché qu'il mérite» Youssef Benkirane, Président de l'Association Professionnelle des Sociétés de Bourse (APSB).
Qu'est-ce qui justifie l'organisation d'un colloque sur le marché financier ? L'enjeu du colloque de Skhirat consiste d'abord à mobiliser l'ensemble des acteurs sur le marché, qu'ils soient issus du public ou du privé, émetteurs, gestionnaires, investisseurs, etc. Il s'agit de réunir toutes ces personnalités autour de la problématique du développement du marché et de sa modernisation. C'est donc un évènement qui se veut mobilisateur et refondateur de la place financière de Casablanca. De plus, on a tous assisté à une crise financière internationale depuis le deuxième semestre 2008. Celle-ci a eu un impact plus psychologique que fondamental sur notre marché boursier. Les professionnels ont souffert d'une crise de notoriété dans ce contexte précis. Tout cela justifie à mon avis l'organisation de cet événement. Durant tous ces échanges, il faut garder en toile de fond la confiance qui s'est considérablement altérée et qu'on doit restaurer à tout prix. Derrière les sociétés de Bourse, il y a des investisseurs, des émetteurs, des emplois, enfin toute une économie. C'est pour cela que nous devons doter le Maroc du marché qu'il mérite.
Pourquoi avoir consacré un panel à la thématique de l'épargne longue ?Pour nous, il est extrêmement important que le marché dispose d'une épargne longue et stable. Il y va de l'efficience de ce marché. En l'absence d'une épargne longue, on risque d'être assujettis à la spéculation comme cela a été le cas ces dernières années. Cette situation s'est soldée par des corrections brutales qui ont fini par faire perdre de la confiance aux investisseurs. Aujourd'hui, on ne fait pas de distinction entre les investisseurs à court terme et ceux visant le long terme. Ils sont tous traités de la même manière. D'un point de vue fondamental, la mobilisation de l'épargne longue permet de financer les investissements, de créer des emplois et donc d'accélérer la croissance. Malheureusement, ce n'est pas encore le cas au Maroc. Nous restons dans une économie où la majorité des entreprises continuent à se financer par l'endettement bancaire et non pas par le marché. Cela dit, on ne va pas changer le sens de l'histoire, nous devrons devenir plus une économie de financement qu'une économie d'endettement.
Eco PLus | |
| | | Admin Admin
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| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Ven 20 Nov 2009 - 11:14 | |
| - Les stars de la Bourse -
.Dans un marché où l'indicateur phare n'a de cesse de se détériorer (- 6,75% sur l'année), des valeurs tirent leur épingle du jeu. Ainsi, 37 entreprises cotées, sur les 76 de la place, surper-forment, affichant des performances remarquables allant dans certains cas jusqu'à 125%. Plusieurs raisons à cela: des fondamentaux solides, une conjoncture favorable pour ces secteurs et de bonnes perspectives. C'est le cas pour les entreprises opérant dans le segment des nouvelles technologies de l'information et des télécommunications qui ont connu un fort engouement ces dernières semaines. Après une analyse du marché, L'Economiste dresse le top 10 des meilleures valeurs :
Brasseries du Maroc : Les investisseurs sont globalement restés confiants en cette valeur qui, de tout temps, a historiquement disposé d'une trésorerie excédentaire. Depuis le début de l'année, le titre du brasseur national s'est amélioré de 125,66%. Sur une base de 52 semaines, il s'est bonifié de pas moins de 118,75% pour se situer aux alentours de 3.500 DH. Sa capitalisation annuelle a porté sur 9,8 milliards de DH.
Compagnie Minière de Touissit : Capitalisant sur une politique de couverture à des prix favorables et sur la forte teneur de ses extractions, l'entreprise minière est parvenue à rehausser le niveau de ses indicateurs financiers à fin juin 2009. Ce qui n'est pas passé inaperçu aux yeux des actionnaires qui ont renforcé leur demande sur le titre. Se fixant à 900 DH, celui-ci s'est amélioré de 76,82% depuis le début de l'année pour 1,3 milliard de DH de capitalisation.
Matel PC Market : Le projet de fusion attendu courant 2010 avec Distrisoft a été bénéfique à plus d'un titre pour le cours de la société qui s'est apprécié de 71,23% depuis le début de l'année, contre 32,32% en 52 semaines. Sa capitalisation annuelle s'est pour sa part fixée à 394,28 millions de DH pour un titre qui finit son envolée à 350 DH.
Aluminium du Maroc : Malgré un CA en recul de 4,3%, en raison de la baisse des prix de vente générée par le repli des cours des métaux au cours du 1er semestre, la société a réussi à afficher des indicateurs financiers probants grâce à une meilleure maîtrise des charges opérationnelles. Ce qui a suscité vraisemblablement l'engouement pour le titre qui s'est bonifié de 69,12% à 1.101 DH depuis le début de l'année, portant sa capitalisation annuelle à 513,01 millions de DH.
Société Minière d'Imiter : Les investisseurs ont été séduits par les perspectives prometteuses de la minière, notamment celles concernant l'extension de sa capacité de production qui devrait augmenter de 50% à horizon 2013. Ce qui a fait bondir son titre de 68,99% à 780 DH depuis début janvier 2009, drainant ainsi pas moins de 1,2 milliard de DH sur une base annuelle.
Involys : Tirant profit de l'intensification de la demande étatique pour l'informatisation des administrations publiques, le spécialiste en ingénierie informatique a évolué dans un contexte d'embellie de l'activité. Ce qui a impacté positivement son titre qui a crû de 64,73% à 192,05 DH depuis le début de l'année et de 22,3% sur les 52 dernières semaines.
Colorado : Malgré un environnement instable marqué par un revirement de tendance dans le secteur du logement au cours de l'année 2009, Colorado a su maintenir sa croissance à un rythme soutenu. Une donne qui s'est répercutée sur le titre qui prend 64% à 820 DH depuis le début de l'année pour une capitalisation de 730 millions de DH.
Centrale Laitière : Face aux bonnes performances financières réalisées au cours du 1er semestre de 2009 et axées sur l'innovation dans les produits et le soutien aux éleveurs laitiers le titre de la filiale laitière du groupe ONA s'est apprécié de 54,8% à 10.000 DH en l'espace de 11 mois, et de 53,14% en 52 semaines. Toutefois, il convient de rappeler que ce titre reste peu liquide.
Lydec : Bien que présentant des indicateurs financiers plutôt mitigés sur le plan opérationnel au cours du 1er semestre 2009, le titre du concessionnaire casablancais d’eau et d’électricité a toujours le vent en poupe. Il s’est consolidé de 50% à 315 DH, pour atteindre 2,5 milliards de DH de capitalisation sur l’année.
Maroc Leasing : Maîtrise combinée des encours et des charges d'exploitation bancaires et fusion-absorption avec Chaabi Leasing ont joué en faveur du titre de la société de crédit bail, qui gagne en visibilité et en performance. Il s'améliore ainsi de 47,06% à 379,5 DH pour franchir la barre de 1 milliard de DH en capitalisation annuelle.
(Source : L’Economiste) | |
| | | Pelican
Nbre méssages : 16978 Humeur : En construction Réputation : 69 Inscris le : : 12/08/2008
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Ven 30 Oct 2009 - 11:53 | |
| بدر الدين السنوسي.. من حلم ولوج البورصة إلى مواجهة الانهيار خبر عالم السياسة و الديبلوماسية قبل أن يتحول إلى الصناعة كانت مجموعة بدر الدين السنوسي تتطلع إلى إدراج « لوغلير ماروك» في بورصة الدار البيضاء في أفق 2009/2010، لكنها ما فتئت أن عدلت، نتيجة الظرفية الصعبة التي تمخضت عن الأزمة العالمية، عن هذه الفكرة التي كانت ستساعدها على مضاعفة إنتاجها ثلاث مرات، غير أنه سيكون على المجموعة الآن أن تحاول أن تنبعث من رماد التسوية القضائية التي كان لها وقع «التسونامي» على المجموعة..
بدر الدين السنوسي خبر معترك السياسة والدبلوماسية قبل أن يتفرغ للصناعة، فرئيس مجموعة «أتلنتيك»، ذو التكوين القانوني والذي امتد اهتمامه إلى الأدب، عمل في السابق في المحكمة العليا الشريفة، وكلف بمهمة في وزارة الوظيفة العمومية، فكاتب عام في شركة التبغ، قبل أن يتولى منصب رئيس الديوان الملكي بين 1963و1964.
لم يتوقف صعود السنوسي عند هذا الحد، فقد عين وزيرا للبريد والاتصالات لمدة أربع سنوات، قبل أن يعين على رأس وزارة الشباب، و رأس لجنة الشؤون الخارجية و التعاون في مجلس النواب و رئيس بلدية الرباط- اليوسفية. و قد عزز السنوسي هذا المسار الحافل بتجارب ديبلوماسية رائدة، حين تولى منصب سفير المغرب في واشنطن و طهران و لندن.
لكن عالم الصناعة استهوى الرجل، حين أسس مع ابنيه إدريس وعثمان إمبراطورية صناعية في قطاع النسيج، حيث ازدهرت خلال السنوات السمان التي عرفها المهنيون في هذا القطاع بالتصدير إلى أوروبا و الأسواق الأنغلوساكسونية. وهذا ما قد يبرر الإقبال الذي أبدته السلطات العمومية والأبناك على احتضان المشروع شراكة مجموعة السنوسي مع « لوغلير» الإيطالية، حيث بدا وكأنه يفتح عهدا جديدا أمام قطاع النسيج، على اعتبار أنه كان سيساهم في جذب مجموعات عالمية تبحث عن استغلال عامل القرب من السوق الأوربية والامتيازات التي تعد بها السلطات العمومية المغربية عند اتخاذ قرار نقل نشاطها إلى المغرب. غير أن خبر إخضاع مجموعة السنوسي للتسوية القضائية، الذي كانت له أصداء مدوية في البورصة ووسط الصناعيين المغاربة، قد يضع حدا لهذا الحلم الجميل، فالتسوية تشمل ست مقاولة منضوية تحت لواء المجموعة، التي تشغل حوالي 5000 عامل، حيث إن القرار القضائي الجديد سوف يفضي، حسب ما نقلته أسبوعية «لا في إيكو» عن مسؤول في المجموعة إلى التخلي عن حوالي 10 إلى 15 في المائة من أولئك العمال.
المسؤولون في المجموعة صرحوا بأن الأمر لا يتعلق بتصفية قضائية، بل بتسوية قضائية يفترض أن تفضي بعد أربعة أشهر إلى تطهير وضعية المجموعة، الأمر الذي قد يبعث الأمل في نفوس العمال و الأبناك التي بذلت الكثير من المال لمواكبة المشروع، حيث سيكون عليها أن تكون مؤنا ستنعكس سلبا على نتائجها السنوية.
فهل ستسعى الأبناك إلى الحصول على حصة في مجموعة السنوسي، كمقابل لما في ذمة هاته الأخيرة تجاهها. لكن يبدو أن الأبناك سوف تتخلى عن السخاء الذي أبدته أثناء الإعلان عن المشروع قبل أربع سنوات، وستكون أكثر تشددا في تعاطيها مع المجموعة. فالأخبار التي رشحت تشير إلى أن الأبناك عبرت عن نيتها في مساعدة شركة واحدة في المجموعة الأمر الذي لا يلقى قبولا لدى مسؤولي المجموعة التي سيتوجب عليها رفع رأسمالها إن هي أرادت تجاوز مرحلة التسوية و ما يتلوها بسلام.
في انتظار ذلك يبدو أن وزارة المالية تتحرك من أجل تطويق الوضع، حيث رشحت أخبار تشير إلى أنها تدرس تكوين صندوق استثمار خاص- عام، يمكنه أن يحصل على مساهمات في الشركة، وهو صندوق كانت طرحت فكرته عندما كانت الحكومة تفكر في وضع إجراءات لمواجهة الأزمة في فبراير الماضي، علما أن مسؤولي مجموعة السنوسي آخذوا على الحكومة، في تصريحات صحفية، بعد الإعلان عن قرار التسوية القضائية، عدم استجابتهالاستغاثاتهم عندما أخبروها بالصعوبات التي تواجهها المجموعة _________________ visitez mon site Tikchbila-tiwliwla.com
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| | | Pelican
Nbre méssages : 16978 Humeur : En construction Réputation : 69 Inscris le : : 12/08/2008
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Mer 21 Oct 2009 - 17:51 | |
| Prêt-emprunt de titres: Le cadre réglementaire prend forme | | · Mode d’emploi
· Ouvert uniquement aux personnes morales assujetties à l’IS
· Un cadre comptable pour garantir la neutralité fiscale
On ne peut pas rêver d’un marché à terme sans un cadre légal pour le prêt-emprunt de titre. Attendu depuis quelques mois, auprès des opérateurs du marché financier, le projet de loi sur le prêt de titres régissant la pratique vient d’être adopté en Conseil des ministres, lundi. Concrètement, une personne peut transmettre la pleine propriété de ses titres à un emprunteur, moyennant un contrat. L’emprunteur, de son côté, s’engage à restituer les titres, en plus du versement d’une rémunération préalablement convenue entre les parties. Une telle pratique, largement utilisée dans les marchés de capitaux européens ou américains, a longtemps souffert au Maroc de l’absence de législation la régissant et la sécurisant. Une lacune qui vient d’être comblée. Revue des détails.
· Qui est éligible? Aucune condition n’est indiquée quant à la qualité du prêteur. Par contre, l’emprunteur, lui, doit être une personne morale soumise à l’IS, soit un OPCVM, soit un organisme de placement en capital-risque (OPR). Pour ce qui est des titres éligibles, il s’agit des actions cotées, des titres de créances négociables et les bons du Trésor. En somme, tous les titres répondant à un impératif de liquidité. Signalons que le prêt ne peut porter que sur les titres qui ne donnent pas droit à un paiement de revenu soumis à la retenue à la source, à un amortissement, à un tirage au sort pouvant conduire au remboursement, à un échange ou une conversion prévus par le contrat d’émission. D’une durée de vie maximale d’un an, les prêts de titre doivent obligatoirement être effectués par l’intermédiaire d’une banque ou un organisme habilité à cet effet par l’administration et après avis du CDVM. Ceux-ci doivent s’assurer de la régularité et de la conformité des opérations. A noter qu’un titre prêté peut faire l’objet d’un nouveau prêt par l’emprunteur pendant sa durée de vie.
· Comment ça marche? Le prêt de titre fait l’objet d’une convention-cadre établie par écrit entre les parties. Elle doit être conforme au modèle élaboré par le CDVM et approuvée par l’administration. Par ailleurs, les titres pour ce type d’opération ne peuvent être transférés ou cédés sans l’accord préalable d’une des parties. Et chaque changement doit être signalé au CDVM. De plus, les parties s’engagent à déclarer un certain nombre de choses, notamment leur bonne foi et leur capacité à procéder à de telles opérations, entre autres. Le prêt-emprunt de titres prend effet dès l’échange du consentement entre les parties. Il peut également être garanti par la remise d’espèces ou de titres.
· Le recours en cas de défaillance En cas de défaillance de l’une des parties, les pleins pouvoirs sont alloués à la partie non défaillante. Et pour cause, celle-ci dispose non seulement du droit de suspendre les obligations de paiement et de remise de titre, mais aussi de résilier toutes autres opérations sur titres qui lient les deux parties et surtout de compenser les créances et dettes représentant les opérations de prêt. Par ailleurs, l’entrée en vigueur d’une nouvelle loi, sa modification ou celle d’un texte quelconque à caractère obligatoire, dont il résulte qu’une opération de prêt de titre est illicite pour la partie concernée.
· Mode de comptabilisation Le cadre comptable régissant ces opérations stipule l’instauration de dispositions comptables adéquates afin d’assurer une neutralité fiscale. Ainsi, pour ne pas les assimiler à de simples cessions, le prêteur doit sortir les titres de son bilan et, en contrepartie, inscrire une créance de restitution de ces titres à leur valeur d’origine. Ainsi, lorsque la période du prêt couvre la date de paiement des revenus attachés aux titres prêtés, l’emprunteur les reverse le même jour au prêteur qui les comptabilise parmi les produits de même nature.
· Le CDVM veille au grain Pour le bon fonctionnement de ces opérations, le CDVM est omniprésent. Il s’assure du bon fonctionnement du marché des opérations de prêts de titres. Pour ce faire, il met en place et à la disposition des différents intervenants dans le processus un modèle. Ce modèle, dans lequel sont inscrites les différentes notifications de ces opérations, doit lui être retourné.
M. A. B.
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| | | Pelican
Nbre méssages : 16978 Humeur : En construction Réputation : 69 Inscris le : : 12/08/2008
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Mer 14 Oct 2009 - 17:31 | |
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| | | Admin Admin
Nbre méssages : 2820 Réputation : 36 Inscris le : : 11/08/2008
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Lun 5 Oct 2009 - 18:28 | |
| L’offre publique de retrait
Destinée aux actionnaires minoritaires d’une société cotée en Bourse, l’OPR permet de se retirer du capital en cédant ses titres aux actionnaires majoritaires. | |
| | | Admin Admin
Nbre méssages : 2820 Réputation : 36 Inscris le : : 11/08/2008
| Sujet: iMPACT DE LA CRISE ECONOMIQUE SUR LE MAROC Jeu 20 Aoû 2009 - 16:05 | |
| iMPACT DE LA CRISE ECONOMIQUE SUR LE MAROC
http://storage.canalblog.com/57/56/581950/36874906.pdf | |
| | | adil79
Nbre méssages : 1104 Humeur : zee Réputation : 6 Inscris le : : 08/09/2008
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Dim 16 Aoû 2009 - 17:36 | |
| Conjoncture | Baisse de régime de la demande intérieure | L'évolution de la croissance tributaire de l'investissement public global | Publié le : 16.08.2009 | 10h55 | | | | | | La demande intérieure continuerait de soutenir la croissance. Certains indicateurs de cette composante maintiendraient leur vitesse de croisière. | | | L'amélioration des revenus, consécutive à la baisse de la charge fiscale à travers la révision de l'IR et de la revalorisation du SMIG, à partir du mois de juillet 2009, conjointe aux effets favorables de la campagne agricole actuelle sur les revenus et les prix des produits alimentaires seraient de nature à soutenir, quelque peu, la consommation durant le troisième trimestre. Par ailleurs, l'accélération annoncée de la demande des administrations, notamment en biens et services, conforterait la croissance de la consommation publique. Mais cela risque d'être tout à la fois fugace et précaire. La consommation devrait pâtir du recul du niveau des transferts des MRE et de la perte d'emplois constatée dans un certain nombre de secteurs exportateurs. En tout état de cause, elle s'inscrirait dans une tendance relativement en dessous des performances réalisées l'année précédente. Il est vrai que la consommation des ménages avait, peu ou prou, maintenu une certaine tendance haussière, mais celle-ci aura évolué à un rythme inférieur à celui enregistré au cours l'année 2008.
En cause, notamment le ralentissement du rythme des créations d'emplois rémunérés, notamment dans les secteurs secondaires. La demande intérieure en volume (consommation et investissement) connaîtrait un léger ralentissement, soit un taux d'accroissement de 5,9%, au lieu de 10% en 2008. Sa contribution à la croissance passerait, ainsi, de 10,9 points en 2008 à 6,7 points en 2009. Pour 2010, malgré la décélération de son rythme de croissance, elle continuerait de soutenir l'activité économique nationale en 2010. Elle serait confortée par la consolidation de l'investissement brut et de la consommation finale nationale. Ainsi, la demande intérieure en volume augmenterait de 3,1% au lieu de 5,9% en 2009, et sa contribution à la croissance économique nationale de 2010 serait de 3,4 points au lieu de 6,7 points en 2009. En somme, la croissance de l'économie nationale proviendrait à partir de la poursuite du dynamisme de l'investissement brut attribuable à la hausse de la valeur de l'investissement public global. L'amélioration de l'investissement public compenserait le recul attendu des Investissements directs étrangers et aussi le ralentissement de l'investissement privé national en 2009.
Sa contribution à la croissance réelle du PIB serait de 2,1 points au lieu de 3,7 points en 2008. Ainsi, et pour l'an prochain, le HCP a estimé que l'investissement brut devrait bénéficier de trois facteurs importants en 2010. Outre la consolidation de l'investissement public, notamment les investissements des entreprises publiques, des administrations et des collectivités locales, le HCP retient une reprise, prévue en 2010, des Investissements directs étrangers après deux années de recul. Dans cette foulée, on s'attend aussi à une amélioration progressive de l'investissement privé national, en liaison avec la mise en œuvre des projets issus des stratégies du développement sectoriel. De ce fait, la Formation brute de capital fixe (FBCF) maintiendrait sa progression, presque au même rythme qu'en 2009, soit à 6,3% en volume. Compte tenu de la variation des stocks, le taux d'investissement connaîtrait une légère amélioration, en se situant à 35,7% du PIB au lieu de 35,2% en 2009. Sa contribution à la croissance serait de 1,2 point en 2010 au lieu de 2,2 points en 2009.
Par ailleurs, la consommation finale nationale s'accroîtrait de 5,8% en volume durant cette année au lieu de 8,3% en 2008. Elle bénéficierait, à la fois, de l'augmentation de la consommation des ménages résidents. En volume, cette même consommation s'accroîtrait de 2,9% en 2010 au lieu de 5,8% en 2009. Ce ralentissement serait attribuable à la modération de la croissance de la consommation publique prévue à 4,8% au lieu de 8% en 2009, ainsi qu'à la légère hausse de la consommation des ménages, prévue à 2,4% au lieu de 5,2% en 2009. Les dépenses publiques pourraient connaître une rationalisation, en liaison avec l'accroissement modéré des recettes publiques prévisibles pour 2010. En outre, la consommation par tête, qui exprime l'accroissement du pouvoir d'achat, ne s'accroîtrait que de 1% en 2010 au lieu de 3,1% en 2009 et 2008, sous l'effet du recul de l'autoconsommation des ménages, essentiellement en produits agricoles. Globalement, la contribution de la consommation finale nationale à la croissance passerait de 4,5 points en 2009 à 2,3 points en 2010. ---------------------------------------------------------------------- Épargne investissement
La consommation finale nationale s'accroîtrait de 4,4% en 2010, soit au même rythme que celui du PIB nominal. Par conséquent, l'épargne intérieure se maintiendrait au niveau de 23,5% du PIB en 2009 et 2010. En outre, les revenus nets en provenance du reste du monde ne représenteraient que 5,8% du PIB nominal au lieu de 6% en 2009. De ce fait, l'épargne nationale se maintiendrait presque au même niveau en 2009 et 2010, soit à 29,5% du PIB en moyenne. Tenant compte du taux d'investissement qui atteindrait 35,7% du PIB en 2010, le compte épargne-investissement afficherait un déficit de financement le plus élevé de la décennie, soit -6,4% du PIB au lieu de -5,7% estimé pour 2009. | | | |
| | | | Par Abdelali Boukhalef | LE MATIN | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Dim 2 Aoû 2009 - 2:00 | |
| Conseil du crédit et de l’épargne
Mezouar annonce une pluie de réformes | | · Prêts à taux variables: revoir le mode d’indexation
· Vers un processus de ciblage d’inflation
TOUT le gotha de la finance s’est réuni pour le troisième Conseil national du crédit et de l’épargne (CNCE) à Rabat, le 28 juillet dernier. Outre Abdellatif Jouahri, gouverneur de Bank Al-Maghrib et Salaheddine Mezouar, ministre de l’Economie et des Finances, il y avait Othman Benjelloun, président du GPBM, ou encore Zouhair Chorfi, directeur du Trésor. Certains participants étaient là pour la première fois. C’est notamment le cas de Karim Hajji (Bourse de Casablanca), Hassan Boulaknadal (CDVM), Anas Alami (CDG) ou Mohamed Horani (CGEM). Après le récurrent discours sur la «résistance de l’économie marocaine face à la crise», le ministre de l’Economie et des Finances s’est engagé à accélérer les réformes et la mise en œuvre des politiques sectorielles. Il a annoncé la finalisation des projets de loi relatifs au CDVM et à l’autorité de supervision du secteur des assurances. Ces deux entités auront le statut de personne morale, avec, pour le CDVM, un organe collégial de direction. Les réformes s’inscrivent dans le cadre d’une vision à moyen terme qui repose sur plusieurs axes. Le premier concerne l’épargne longue, avec pour objectif de se doter d’une vision d’ensemble permettant de cibler les produits appropriés et d’inciter leur développement. Vient ensuite l’axe de développement du marché des capitaux, qui s’articulera autour du projet de loi sur le marché à terme d’instruments financiers, ainsi que l’encadrement de prêts-emprunts de titre. Le ministre des Finances a estimé que «le moment est venu d’ouvrir le capital de la société gestionnaire de la Bourse de Casablanca» sans préciser le calendrier sur l’opération. Le ministre a annoncé son intention de réviser le mode d’indexation des prêts à taux variables, en remplaçant les taux des bons du Trésor par les taux du marché interbancaire. Le gouverneur de la banque centrale a annoncé que des travaux sont en cours pour la mise en place d’un cadre de surveillance macro-prudentielle». Il sera basé à la fois sur des tests de stress pour évaluer la capacité du système bancaire à faire face aux chocs, ainsi que la conduite de simulations de crise systémique. Par ailleurs, l’entrée en service longtemps annoncée de la centrale des informations financières sera effective dès le mois de septembre. Elle permettra d’améliorer le système d’information sur le crédit, et idéalement de diminuer le taux des créances en souffrance.
Adam BERRADA |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Dim 2 Aoû 2009 - 1:56 | |
| - adil79 a écrit:
- Projets de lois de finances 2010
Les premiers constats de Mezouar… En ce qui concerne le projet de la loi de Finances pour 2010, Salaheddine Mezouar, ministre de l’Economie et des Finances, a énoncé les principales hypothèses retenues dans l'élaboration de sa copie. Ainsi, le taux de croissance prévu sera de 3,2% avec une croissance de 4,1% du PIB non agricole et un baril de pétrole de 70 dollars, alors que le taux d'inflation devrait atteindre 2,5%. Et d’ajouter que le projet de loi de Finances 2010 s'assigne plusieurs objectifs notamment la gestion de la crise afin de limiter son impact sur l'économie nationale, à travers le soutien du rythme de croissance par la demande intérieure, tout en se focalisant sur l'investissement public, l'habitat et les projets sectoriels structurants de l'économie : ‘‘Il s'agit également d'appuyer les politiques sectorielles pour accélérer leur réalisation afin de préserver l'attractivité de l'économie nationale, de renforcer les politiques régionales et de poursuivre les chantiers d'aménagement urbain en vue de réaliser un développement régional équilibré’’, a-t-il dit, avant de souligner que ce projet ambitionne également de soutenir les secteurs touchés afin de préserver l'emploi et les capacités de production et d'exportation, en traitant en priorité le déficit de la balance des paiements. Le projet vise aussi à assurer les équilibres macroéconomiques et limiter le déficit budgétaire afin de maîtriser l'endettement. La crise économique internationale a révélé l'efficience des choix du Royaume, a affirmé M. Mezouar, appelant à accélérer les réformes structurelles et les stratégies sectorielles. Pour faire face aux contraintes liées à la balance des paiements, le ministre a mis l'accent sur la nécessité d'élaborer des mesures de nature à soutenir les exportations, à impulser davantage le secteur touristique et à attirer les investissements étrangers en vue de prémunir les avoirs extérieurs. Ces premières discussions sur le projet de la loi de Finances de 2010, ont dégagé des approches et des analyses convergentes et complémentaires et une vision de la stratégie économique et financière
http://www.lanouvelletribune.com/Actualit_233/page_258/L_actualit_avec_sa_diversit.html |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Dim 2 Aoû 2009 - 1:54 | |
| - adil79 a écrit:
- Avec les investissements
Le Maroc est «bien préparé» pour l'après-crise Publié le : 31.07.2009 | 10h25
L'économiste français et professeur à HEC Paris, Henri Védié, a affirmé qu'avec les investissements, le Maroc est «bien préparé» à l'après-crise, qualifiant de «remarquable» que le Royaume ait échappé aux effets de la crise jusqu'ici.
http://www.lematin.ma/Actualite/Express/Article.asp?id=117750 |
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