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 Articles presse: MARCHES BOURSIERS

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MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 39 Icon_minitimeDim 2 Aoû 2009 - 1:56

adil79 a écrit:
Projets de lois de finances 2010
Les premiers constats de Mezouar…
En ce qui concerne le projet de la loi de Finances pour 2010, Salaheddine Mezouar, ministre de l’Economie et des Finances, a énoncé les principales hypothèses retenues dans l'élaboration de sa copie. Ainsi, le taux de croissance prévu sera de 3,2% avec une croissance de 4,1% du PIB non agricole et un baril de pétrole de 70 dollars, alors que le taux d'inflation devrait atteindre 2,5%. Et d’ajouter que le projet de loi de Finances 2010 s'assigne plusieurs objectifs notamment la gestion de la crise afin de limiter son impact sur l'économie nationale, à travers le soutien du rythme de croissance par la demande intérieure, tout en se focalisant sur l'investissement public, l'habitat et les projets sectoriels structurants de l'économie : ‘‘Il s'agit également d'appuyer les politiques sectorielles pour accélérer leur réalisation afin de préserver l'attractivité de l'économie nationale, de renforcer les politiques régionales et de poursuivre les chantiers d'aménagement urbain en vue de réaliser un développement régional équilibré’’, a-t-il dit, avant de souligner que ce projet ambitionne également de soutenir les secteurs touchés afin de préserver l'emploi et les capacités de production et d'exportation, en traitant en priorité le déficit de la balance des paiements.
Le projet vise aussi à assurer les équilibres macroéconomiques et limiter le déficit budgétaire afin de maîtriser l'endettement.
La crise économique internationale a révélé l'efficience des choix du Royaume, a affirmé M. Mezouar, appelant à accélérer les réformes structurelles et les stratégies sectorielles.
Pour faire face aux contraintes liées à la balance des paiements, le ministre a mis l'accent sur la nécessité d'élaborer des mesures de nature à soutenir les exportations, à impulser davantage le secteur touristique et à attirer les investissements étrangers en vue de prémunir les avoirs extérieurs. Ces premières discussions sur le projet de la loi de Finances de 2010, ont dégagé des approches et des analyses convergentes et complémentaires et une vision de la stratégie économique et financière

http://www.lanouvelletribune.com/Actualit_233/page_258/L_actualit_avec_sa_diversit.html
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MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 39 Icon_minitimeDim 2 Aoû 2009 - 1:54

adil79 a écrit:
Avec les investissements
Le Maroc est «bien préparé» pour l'après-crise

Publié le : 31.07.2009 | 10h25

L'économiste français et professeur à HEC Paris, Henri Védié, a affirmé qu'avec les investissements, le Maroc est «bien préparé» à l'après-crise, qualifiant de «remarquable» que le Royaume ait échappé aux effets de la crise jusqu'ici.


http://www.lematin.ma/Actualite/Express/Article.asp?id=117750
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MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 39 Icon_minitimeVen 31 Juil 2009 - 22:28

Avec les investissements
Le Maroc est «bien préparé» pour l'après-crise
Publié le : 31.07.2009 | 10h25



L'économiste français et professeur à HEC Paris, Henri Védié, a affirmé qu'avec les investissements, le Maroc est «bien préparé» à l'après-crise, qualifiant de «remarquable» que le Royaume ait échappé aux effets de la crise jusqu'ici.

«Il y a en effet une résilience de l'économie marocaine due à un système financier solide et à la persistance des investissements directs étrangers», souligne-t-il dans une interview publiée jeudi dans le quotidien économique français «Les Echos».

Auteur de plusieurs ouvrages sur l'économie marocaine, M. Védié met également en relief les efforts de mise à niveau et les progrès réalisés par le Royaume.

Les grands programmes d'investissements ont été, globalement, réalisés en temps et en heure, notamment les infrastructures des provinces du Sud et le maillage routier et aéroportuaire, a-t-il fait remarquer.

L'économiste français a, par ailleurs, indiqué que le tourisme constitue «un élément fondamental» de l'économie marocaine, faisant observer que ce secteur «a l'avantage de ne pas être saisonnier, et de concerner toutes les régions».

Le Maroc, poursuit-il, a mis en place plusieurs plans de développement de ce secteur, dont un programme en faveur du littoral Nord, un pour les villes impériales et un plan de développement en faveur des touristes nationaux. Et de conclure que le Royaume a aussi bien compris l'importance de préserver la flore et l'eau et a opté pour un tourisme de luxe et non de masse, «moins destructeur de l'environnement».

Par MAP


http://www.lematin.ma/Actualite/Express/Article.asp?id=117750
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MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 39 Icon_minitimeVen 31 Juil 2009 - 0:02

Comment la Bourse s’est démocratisée
Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 39 4_94775
· En dix ans, la cote s’est de plus en plus ouverte aux petites sociétés

· Amendements de lois, renforcement du CDVM… les grands axes de réforme


LA dernière décennie aura été celle des réformes pour le système financier. Modernisation de la Bourse, mise à niveau de son dispositif réglementaire, amélioration du cadre institutionnel… les restructurations ont particulièrement foisonné durant cette période. L’étude que vient de produire la Direction des études et des prévisions financières du ministère des Finances synthétise tous ces chantiers. Une bonne partie de l’analyse est consacrée aux marchés financiers et à la Bourse. Et c’est via l’amendement de plusieurs textes réglementaires, devenus désuets pour une activité en pleine maturité, que tous ces projets ont pu être menés à terme.
Il faut dire qu’en l’espace de seulement 6 ans, la loi relative à la Bourse a été révisée pas moins de trois fois! A chaque réforme, des moutures de plus en plus orientées vers la généralisation de l’entrée en Bourse pour les sociétés candidates.
De fait, la cote s’est littéralement «démocratisée», s’ouvrant aux entreprises nationales tous azimuts. Le premier compartiment a été consacré aux sociétés concessionnaires ou celles gérantes d’un service public. Dans la même lignée, un second compartiment à la cote a été élaboré dans la continuité du premier. Appelé «nouveau marché», il est exclusivement destiné aux entreprises à fort potentiel de croissance.
Mais ce n’est pas tout, les pouvoirs du CDVM se sont significativement élargis. Ainsi, le gendarme de la Bourse s’est vu affublé de véritables prérogatives d’intermédiaire entre les Finances et la cote. D’autre part, ses capacités de contrôle et de sanction ont été étendues à la société gestionnaire de la place. De fait, tout un panel de mesures a été mis en place. Objectif : améliorer la différenciation et l’accès de nouvelles catégories de sociétés au financement boursier.
Cependant c’est l’année 2007 qui marquera la consécration en matière de réformes boursières. Plusieurs pans du règlement régissant la place financière ont été amendés durant cette période, octroyant pour les entreprises cotées la possibilité de lever des capitaux externes et de se tourner vers les places financières étrangères.
Une autre réalisation et non des moindres a consisté dans la refonte de certaines dispositions de la loi sur les OPCVM. Une modification qui a permis la classification des organismes de placement en fonction de la nature des actifs composant leur portefeuille. Durant cette période également s’est effectuée la promulgation du décret sur les rachats par les sociétés de leurs propres actions en vue de régulariser le marché.
En outre, 2007 a vu également l’arrivée de la loi sur les Offres publiques. Celle-ci prévoit un renforcement du régime de protection des actionnaires minoritaires. Elle étend l’obligation de dépôt d’une offre publique de retrait en cas de radiation d’une société de la cote. Ce remaniement a été accompagné par une révision des modalités des opérations de pension ainsi que celles des titres de créances négociables.
Enfin, la loi sur la titrisation, entrée en vigueur en 2008, a contribué à redorer en quelque sorte le blason de la titrisation. Premier de ses atouts, l’élargissement des créances titrisables, puisqu’elle propose une titrisation applicable à tout type de créance hypothécaire.
Afin de lever les contraintes de financement susceptibles de freiner la dynamique d’investissement des entreprises, des dispositifs aspirant à l’élargissement de l’accès des PME/PMI aux sources de financement ont été établis à la fois à travers le système bancaire et la Bourse des valeurs. Concernant le financement bancaire, les principales mesures ont visé la facilitation du crédit bancaire aux entreprises pour le financement de leurs programmes d’investissement et de modernisation de leur outil de production. Des opérations accomplies via une armada de fonds de garantie à caractère sectoriel (Rénovotel, Fortex, Fogaloge, Fogarim, Fogalef ou transversal (Fogam, Fogafam, Fonds de garantie européen Fonds de garantie oxygène).
Quant au financement par le capital, il a essentiellement été concrétisé à travers la Bourse de Casablanca et le capital risque. Ainsi, la reconfiguration des départements de la place financière a été considérablement encouragée par l’introduction des PMI/PME en Bourse. Concernant le capital risque, il a favorisé le financement des sociétés via les offres de partenaires de participation souvent minoritaires et transitoires au capital de ces entreprises.
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MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 39 Icon_minitimeVen 24 Juil 2009 - 16:43

Fonds de placement : Des rendements en baisse au terme du 1er semestre 2009


Le premier semestre a été spécial cette année à la Bourse de Casablanca. Si, en gros, le bilan reste positif avec une performance de 5,50% sur les six premiers mois de l’année, celle-ci n’a pas manqué d’impacter les OPCVM actions habituées durant les deux dernières années à des évolutions vertigineuses.

Au terme du premier semestre de l’année 2008, l’évolution de la valeur liquidative de ces établissements se chiffrait entre 4% et 25%. La donne est différente en 2009. En effet, sur les six premiers mois de l’année, les OPCVM réservés exclusivement à l’investissement en actions, ont enregistré des performances allant de 1% à 12,08% seulement (données du 10 juillet courant). Et ce sont les deux fonds gérés par Capital Gestion qui se sont particulièrement distingués, avec Emergence Performance qui gagne 12,08% depuis le début de l’année et Emergence Equity Fund dont la valeur liquidative a atteint
343.91 DH, soit +11,82% en 2009. Les fonds gérés par Orange Asset Management s’en sont aussi bien sortis lors de la première moitié de l’année. Orange Shares Serenity s’accroît de 11,48% contre 10,33% pour Orange Equity Growth.
Au niveau des OPCVM diversifiés, la morosité du marché n’a pas manqué de se faire sentir. Au 10 juillet, l’évolution des valeurs liquidatives des fonds de placement classés dans cette catégorie se situait entre -0,61% et 10%, en excluant la performance exceptionnelle d’Emergence Croissance, géré par Capital Gestion, dont la valeur s’est appréciée de 18,01%. Si la performance moyenne des OPCVM diversifiés ressort aux alentours des 6% au premier semestre 2009, la même période de l’année écoulée a, quant à elle, été marquée par un rendement moyen de plus de 7%. C’est donc des réalisations bien en deçà des attentes des investisseurs qui ont fait en sorte que l’actif net des OPCVM diversifié est marqué en 2009 par une baisse d’un quart.
Sur un autre registre, le marché des OPCVM obligataires moyen et long termes affiche des rendements allant de 2% à 6%, contre plus de 8% à fin juin 2008. Et c’est le fonds SG Optimal Oblig, géré par Gestar, qui mène la file avec un rendement de 6,05% depuis le début de l’année, établissant sa valeur liquidative à 1.092.63 DH. A noter que sur ce compartiment, ce sont les rendements compris entre 2,5% et 4% qui sont les plus recensés, ramenant le rendement moyen des OPCVM Obligataires MLT aux alentours des 3,5%. Pour ce qui est des OPCVM monétaires et obligataires à court terme, ils ressortent du lot en affichant des rendements de 1,41% à 2,3%, supérieurs à l’année écoulée.
Après cette lecture, il s’avère que les OPCVM diversifiés représentent les meilleurs placements de ce premier semestre alors que les placements en actions continuent à pâtir de la mauvaise passe que connaît la place casablancaise.


Y. A. T.
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MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 39 Icon_minitimeJeu 9 Juil 2009 - 19:11

Réglementation boursière : Une circulaire pour les publications financières


* A partir du 15 juillet prochain, les sociétés cotées seront soumise aux dispositions d’une nouvelle circulaire visant à assurer une meilleure adéquation de la réglementation avec la loi 44-06 relative au CDVM.

Les sociétés cotées à la Bourse de Casablanca devront se conformer, dès le 15 juillet prochain, à une nouvelle circulaire relative à la publication et la diffusion d’informations financières. «Elle vise notamment à modifier et compléter le dispositif réglementaire au regard de l’évolution récente de la législation marocaine, compte tenu des exigences du marché et des pratiques internationales en vigueur», mentionne-t-on auprès du CDVM. En effet, c’est l’adoption de la loi 44-06 relative au CDVM qui a incité le gendarme de la Bourse à revoir la réglementation des publications financières pour qu’elle y soit adaptée.
Ainsi, si l’accès au premier compartiment de la cote imposait aux seuls groupes cotés de publier leurs comptes consolidés, désormais les émetteurs d’obligations et autres titres de créances sont soumis à la même exigence. Aussi, la nouvelle circulaire apporte plus de flexibilité dans la publication des comptes au titre du second semestre en dispensant de cet exercice les sociétés qui publient leurs états financiers annuels dans le délai de 3 mois suivant la clôture de l’exercice comptable.
Le gendarme de la Bourse n’a pas manqué de réagir à la vague des augmentations de capital réservées au salariés des filiales marocaines de groupes étrangers. En effet, il semblerait que le CDVM a recensé de nombreuses difficultés pour la mise en œuvre des obligations de publication et de transmission des états financiers lorsque des émetteurs étrangers font appel à l’épargne publique en réservant des opérations financières aux salariés des filiales marocaines. C’est ainsi que ces dits émetteurs doivent désormais désigner un correspondant sis au Maroc habilité à recevoir toutes correspondances de la part du CDVM.
La nouvelle circulaire traite, entre autres, du contenu des informations semestrielles qui devront être présentées de manière à ce qu’elles soient facilement comparables aux états de synthèse annuels de l’exercice précédent. C’est donc un ensemble de recommandations que le CDVM apporte dans la nouvelle réglementation afin de permettre au public d’être correctement informé des modifications sensibles des comptes. Il s’agit notamment de tenir compte des dotations ainsi que des reprises d’amortissements et de provisions au titre du semestre concerné dans le bilan provisoire.
Le CDVM poursuit donc ses chantiers de réformes réglementaires jouant ainsi à fond son rôle de régulateur
du marché. Pourvu que ces réglementations assurent un maximum de transparence sur la place Casablancaise.


Y. A. T.
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MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 39 Icon_minitimeLun 29 Juin 2009 - 19:29

Khalid Ayouch : «La Bourse de Casa a connu une correction plutôt saine»


Il explique le rôle de sa société dans l’accompagnement du marché financier.
Pour lui, la place casablancaise dispose d’une bonne infrastructure financière et d’un système de cotation aux standards internationaux.


Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 39 Affiche_image?article=14117 Finaccess-Fininfo Mena est devenue récemment Finaccess-Six Telekurs Mena. Qu’y a-t-il derrière ce changement de dénomination ?
Ce changement de dénomination intervient après le rachat du groupe Fininfo, ancien partenaire de Finacess, par l’opérateur mondial Six Telekurs, spécialisé dans les domaines de l’acquisition, du traitement et de la diffusion d’informations financières internationales. Il collecte des informations boursières à la source et en temps réel auprès de 220 Bourses internationales, dont toutes les grandes places financières mondiales. La base de données qu’il gère contient plus de 5 millions d’instruments financiers, et est unique en son genre en termes de profondeur, de qualité et de couverture. Avec des bureaux implantés dans 23 pays, cet opérateur combine les avantages d’une présence mondiale et d’un savoir-faire local.

A part la diffusion d’informations financières, quels sont les différents métiers de Finaccess ?

Finaccess est un opérateur marocain présent dans les domaines de la gestion des bases de données d’informations et de l’offshoring. Dans le premier, nous opérons au travers de deux entités : Six Telekurs Mena qui est spécialisée dans l’information financière sur les marchés de capitaux, les solutions de Bourse en ligne et les outils de gestion de portefeuille pour les opérateurs de marchés financiers. Le second domaine est traité par Inforisk et a trait au renseignement commercial et à la gestion d’informations sur les entreprises.

Vous avez pour clients des sociétés de Bourse et des institutionnels. Peut-on imaginer que des entreprises ou des groupes qui gèrent d’importants flux d’argent recourent à vos services ? Que leur offririez-vous comme prestations ?
Nos prestations tournent autour des structures amenées à gérer des actifs financiers sur les marchés de capitaux ou à se prémunir contre les risques de marché. Cette cible couvre essentiellement des institutions comme des banques, des sociétés de Bourse et de gestion d’actifs, des compagnies d’assurances, des caisses de retraite, des trésoreries de grands groupes ou des dépositaires et Back Office titres … Cela dit, nous accompagnerons bien entendu les opérateurs dans les réformes de place, que ce soit au travers de la mise en place de nouveaux instruments (type marché à terme, trackers, etc.) ou dans le cadre de leurs interventions sur les marchés financiers internationaux, compte tenu de l’ouverture progressive à cette nouvelle catégorie d’actifs, telle que prévue dans les dernières circulaires du CDVM.

Vous avez, de par votre métier, un regard assez complet sur le marché financier marocain et ceux de la région. Que pouvez-vous nous dire sur son évolution par rapport aux autres places comparables ?
Au Maroc, nous travaillons maintenant depuis près de 10 années avec l’ensemble des opérateurs que nous accompagnons dans leur besoin d’équipements et réformes de place.
Le marché financier marocain a connu un développement remarquable ces dernières années, que ce soit en termes d’évolution de la réglementation, de la qualité des acteurs ainsi que dans les mécanismes de recours au marché, notamment au travers des différentes introductions en Bourse de groupes privés que nous avons connus les deux dernières années.
Comparativement à la région Mena, le marché financier marocain dispose d’une bonne infrastructure financière qui peut et doit clairement jouer un rôle régional. Je pense d’ailleurs que cette vision s’inscrit dans la stratégie du gouvernement qui veut faire de Casablanca un hub financier régional aux standards internationaux.

Qu’est-ce qui explique la morosité du marché boursier à l’heure actuelle. Un problème conjoncturel de confiance ou des raisons structurelles ?
Le Bourse de Casablanca a connu ces deux dernières années des niveaux de croissance particulièrement élevés, liés certes à une bonne tenue de notre économie, mais conduisant tout de même à des niveaux de valorisation beaucoup trop élevés par rapport à des comparables identiques sur d’autres marchés. Or, les conditions de crise mondiale actuelle vont, indubitablement, avoir un impact sur notre économie. La Bourse a donc connu ces derniers mois une correction plutôt saine qui permet de ramener le marché à des niveaux de valorisation plus réalistes et plus en phase avec le contexte réel des économies.

En 2008, le changement de la plateforme de cotation de la Bourse de Casablanca a souffert de plusieurs dysfonctionnements. Peut-on dire aujourd’hui que nous avons un système fiable ?

Il n’y a pas eu de réel dysfonctionnement. La Bourse de Casablanca s’équipe auprès d’opérateurs internationaux qui lui permettent de disposer d’un niveau de service identique à ce qui se fait de mieux au niveau des Bourses internationales.
Le système actuel repose, à titre d’information, sur le même principe que celui utilisé par Nyse Euronext. Maintenant, le niveau de développement de notre marché fait que nous n’utilisons pas toujours les mêmes versions que celles d’autres marchés, et le changement d’une plate-forme nécessite toujours des ajustements et spécificités qu’il faut clairement tester de bout en bout avant toute mise en production effective.

Les sites de Bourse en ligne se multiplient actuellement. En quoi ces instruments peuvent-ils être utiles pour le marché et qu’est-ce qui sera mis en place prochainement ?

Ce type de plateformes vient renforcer la liquidité du marché et l’accès à l’information financière au plus grand nombre, élargissant ainsi les intervenants sur les marchés et, je l’espère, la mise en place à terme d’une épargne plus populaire. Cela dit, si les outils technologiques existent, il reste à définir le cadre règlementaire permettant de mieux canaliser cette épargne.


Souhaïl Nhaïli
29-06-2009
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MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 39 Icon_minitimeLun 29 Juin 2009 - 17:19

La finance : une affaire de femmes ?



La finance : une affaire de femmes ?




Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 39 Cnbc_women
Vous
l’avez sans doute vous aussi remarqué. On ne peut y échapper. Dans les
médias, et plus particulièrement à la télévision, ce sont aujourd’hui
majoritairement des femmes qui traitent des sujets financiers.

En France, les exemples ne manquent pas : Brigitte Boucher et Marie-Sophie Carpentier sur iTele, Claire Fournier qui a préféré (à mon grand désespoir) s’exiler sur France 5, Gaëtane Meslin sur BFM TV, et je suis sûr que les lecteurs francophones confirmeront le fait dans leurs pays respectifs.

Mais tout ceci n’est rien en comparaison des chaînes américaines et surtout de CNBC. Alors que Rebecca Meehan et Louisa Bojesen commencent à s’illustrer en Europe, la chaîne a fait naître de véritables stars aux Etats-Unis comme Maria Bartiromo, Erin Burnett (ci-dessous), et Becky Quick, toutes connues (et adulées) y compris dans les salles de marchés les plus miteuses du fin fond du pays.

Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 39 36525_erin_burnett
Pourquoi
les hommes en sont-ils arriver à jouer un rôle si périphérique dans la
présentation des informations financières ? Plusieurs éléments de
réponses peuvent être avancés :

Le bon sens sexiste résumera
cette tendance au côté esthétique des présentatrices féminines. Les
producteurs auraient tout simplement engagé des femmes pour rendre des
données financières arides plus légères et sensuelles. Cette
supposition impliquerait donc que ces femmes n’aient aucune compétence
particulière à ce sujet, ou autrement dit que ce sont de belles
potiches.

Pourtant, nous pouvons contredire ce scénario
simpliste dans bien des cas. D’une part, toutes les présentatrices ne
sont pas belles. Sans l’offenser, nous prendrons l’exemple de Silvia Wadhwa
qui donne régulièrement des nouvelles du DAX (l'indice principal de la
Bourse de Francfort) sur CNBC, et qui n’en est pas moins compétente.
D’autre part, nous observons que la plupart de ces femmes maîtrisent
parfaitement leur sujet, le cas le plus emblématique étant l’interview
de Warren Buffet par une Becky Quick parfaitement dans son élément.

Une
autre explication de l’hégémonie féminine sur l’information financière
est que cette dernière contraste nettement avec un univers financier
encore essentiellement masculin. En effet, ce sont surtout des hommes
qui braillent dans les salles de marché ou sur les floors dans un climat particulièrement tendu voire agressif. Certes, les femmes s’y font peu à peu leur place, mais la tendance de fond reste lourde.

En
prenant cet univers à contrepied, l’omniprésence féminine dans les
médias financiers présente plusieurs avantages. Elle apporte une vision
extérieure et souvent plus posée par rapport à l’agitation continue. On
peut en effet imaginer que le fait d’avoir un visage féminin sur des
écrans de télévision tournant en continu apporte en quelque sorte une
once de sérénité dans un monde de brutes, agissant ainsi comme une
sorte d’anxiolytique médiatique.

Mais ce n’est pas tout, cette
omniprésence des femmes répond non seulement à une demande mais aussi à
une évolution du profil des investisseurs, notamment particuliers.
Alors qu’à une époque, la bonhommie d’un René Tendron ou d’un Jean-Pierre Gaillard
rassurait l’épargnant, ces derniers apparaîtraient aujourd’hui comme
trop « pépères », à l’image des placements de bon père de famille. Non,
aujourd’hui l’investisseur averti est en quête de performance. Il
n’hésite pas à s’aventurer sur des produits dynamiques : CFD, Turbos,
Forex… et attend des informations financières une grande réactivité,
sans toutefois sombrer dans l’hystérie. Le dynamisme tempéré de la
plupart des présentatrices financières semble particulièrement adapté à
ces attentes, ce qui semble également expliquer leur succès.

Ainsi,
une femme qui parle de finance dans les médias présente l’avantage
d’incarner à la fois la douceur de la mère qui rassure et calme
l’investisseur, et la tentation de la séductrice qui lui donne envie de
prendre certains risques plus ou moins mesurés. En résumé, elles
semblent donc être le reflet idéal du perpétuel dilemme qui ronge
continuellement l’univers, encore bien masculin, des marchés financiers.

Emmanuel Boubacha // Moneyzine
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MessageSujet: Marché boursier : Qui, pour surveiller les sociétés de Bourse ?   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 39 Icon_minitimeJeu 25 Juin 2009 - 20:13

Marché boursier : Qui, pour surveiller les sociétés de Bourse ?



Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 39 6029_z

* La vacuité de la dernière circulaire du CDVM laisse les observateurs perplexes.

* Pour débarrasser le marché boursier de certaines pratiques malsaines,
il faudra à Hassan Boulaknadel une bonne dose de témérité.

Qui,
pour surveiller les sociétés de Bourse ? La question peut, a priori,
paraître saugrenue dès lors que l’on sait que c’est le Conseil
déontologique des valeurs mobilières qui est censé veiller au bon
fonctionnement de la place en édictant notamment un ensemble de textes
réglementaires susceptibles d’être respectés par les différents
intervenants sur le marché boursier.
Cette interrogation semble néanmoins tout à fait légitime au regard de
certaines pratiques qui ont tristement rendu célèbre la Bourse de
Casablanca. Même avec une mémoire qui s’érode avec le temps, on ne
peut, en effet, enterrer dans la trappe de l’histoire du marché tous
ces scandales qui ont quelque peu révolté la presse et la communauté
financière sous le regard ô combien passif du gendarme du marché :
délits d’initié (sans jamais de coupable), transactions douteuses,
compromis malsains… Au point que les observateurs avertis réclamaient
tous une meilleure réglementation du marché avec davantage de pouvoir
d’action et de sanction dévolu au CDVM.
Dans ce sens, les réformes annoncées il y a quelques mois par le
ministre des Finances, Salaheddine Mezouar, l’éviction des anciens
membres du Directoire de la Bourse suite à l’«affaire Boursomaroc»,
ainsi que la nomination de Hassan Boulaknadel à la tête du CDVM
sonnaient comme le début d’une grande opération d’assainissement du
marché. Que nenni ! Si, pour autant, aucun fait majeur n’a été porté
sur la place publique depuis lors (peut-être à cause de la morosité du
marché…), rien ne semble avoir été initié pour freiner certains
agissements pernicieux et impunis à l’origine desquels on trouve
souvent… les sociétés de Bourse. Et ce n’est pas le dernier projet de
circulaire du CDVM, soumis, dit-on, à l’appréciation publique, qui
pourra y mettre un terme.
Au risque de heurter ceux qui ont certainement passé des heures à la
rédiger, la vacuité de cette circulaire (voir page suivante) leur
reviendra à la figure comme boomerang dès lors que le marché entrera en
«ébullition», à la faveur notamment des introductions en Bourse.
Surtout qu’il ne faudrait pas s’attendre à ce que ceux auxquels elle a
été soumise, en l’occurrence les patrons de société de Bourse, y
apportent une quelconque modification en leur défaveur : c’est comme
leur demander de fournir au CDVM la corde avec laquelle elles vont être
pendues.
Hassan Boulaknadel, rompu aux rouages du marché financier, lui-même
issu du «milieu», devrait le savoir. Et si, à sa nomination, la
communauté financière l’a crédité d’un préjugé favorable, c’est parce
qu’elle attend de lui une réorganisation en profondeur du marché. Non
pas dans le sens de conforter les sociétés de Bourse dans certaines
pratiques, lesquelles s’apparentent souvent à de la délinquance
financière, mais plutôt dans l’optique de les contraindre à davantage
de déontologie et de rigueur professionnelle tout en les débarrassant
de leur mercantilisme outrancier.
Et c’est sur ce terrain-là que Boulaknadel doit faire ses preuves. Sauf
que cette circulaire laisse circonspect quant à la pertinence des
actions futures qu’aura à initier le CDVM.
Il faudra pourtant que le gendarme du marché soit plus incisif, voire
plus téméraire dans ses initiatives si toutefois il veut être une
«autorité du marché»… au vrai sens du terme. L’on s’en doute, cette
tâche ne sera pas une sinécure. Car se mettre les sociétés de Bourse à
dos, c’est indirectement s’attirer la vindicte des grands groupes
auxquelles elles sont pour la plupart adossées; ces donneurs d’ordre
qui font et défont le marché à leur convenance. Pour autant, appréhendé
sous un autre angle, c’est, également, une manière de se crédibiliser
auprès de la communauté financière et de certaines sociétés de Bourse
qui ont érigé l’éthique en principe de base et qui ne disposent pas de
tickets d’entrée pour faire du lobbying auprès des instances de
décision.
C’est un choix à faire. Facile si le CDVM est véritablement «l’autorité
qui veille sur notre épargne». Difficile s’il veut ménager la chèvre et
le chou.
Alors, qui, pour surveiller les sociétés de Bourse ? La réponse est,
inévitablement, dans le choix qu’opérera le gendarme du marché.


David William/ d.william@financesnews.ma

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MessageSujet: Bourse Les publications trimestrielles, une obligation ?Attijari Intermédiation   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 39 Icon_minitimeSam 13 Juin 2009 - 12:29

Bourse
Les publications trimestrielles, une obligation ?

Obliger les sociétés cotées en Bourse à publier leurs résultats trimestriels est une mesure que les acteurs de la place appellent de leur souhait. Analystes, journalistes et même certains patrons de sociétés cotées y voient le moyen de couper court aux rumeurs infondées…

A l’heure où des sociétés publient volontairement leurs résultats trimestriels, la question de rendre les publications à cette périodicité obligatoires se pose avec acuité. «Il serait de bon ton d’obliger les sociétés cotées à publier leurs résultats trimestriels, car cela permettrait d’irriguer les circuits d’information avec une fréquence plus grande», argue Jalal Berrady, président d’Attijari Intermédiation. Ce dernier explique que cette mesure amènerait plus de dynamisme à une place qui en a grandement besoin. En effet, entre les publications annuelles, puis semestrielles, il existe un désert informationnel qu’il faut absolument combler. Les investisseurs boursiers se trouvent sevrés de news sur la bonne santé des tickets qu’ils traînent dans leurs portefeuilles. Certes, les opérations stratégiques sont ponctuées par une suspension de cours et une communication envers les actionnaires, mais cela n’est plus suffisant. La crise qui, de par son impact, s’est muée en instituteur soulignant les bonnes pratiques à adopter, nous enseigne une nouvelle leçon : les choses évoluent dorénavant beaucoup plus vite. Le trimestre est un laps de temps suffisant pour voir les choses évoluer de manière significative. Il est donc important pour les investisseurs boursiers d’être informés sur la tournure trimestrielle que prennent les comptes d’une entreprise. Ainsi, ils pourront agir en conséquence en achetant, vendant ou en conservant les titres cotés.

Couper court aux rumeurs
Il est indéniable que l’évolution des cours dans la configuration actuelle suit la logique des rumeurs plus qu’autre chose, car la place ne fait que spéculer sur des performances hypothétiques. La rumeur est reine sur le marché financier, et il n’y a que l’information pour pouvoir lui couper l’herbe sous le pied. Aussi, la publication des résultats trimestriels viendrait canaliser le flux du «qu’en dira-t-on». Elle donnerait aussi de la matière fraîche aux analystes qui ne seront que trop heureux d’effectuer leurs notes de recherche sur la base d’informations plus actuelles. Mais il n’y a pas que les analystes à appeler les publications trimestrielles de leurs souhaits. Les journalistes qui couvrent l’actualité boursière s’en délecteraient, puisque cela apporterait du grain à moudreà leurs moulins. In fine, à travers le travail des analystes et des journalistes, ce sont les investisseurs qui seront mieux informés et qui plus est à jour.
Pour ce cru 2009, on a vu un certain nombre de sociétés publier volontairement ces résultats trimestriels. ONA, Maroc Telecom, et même Méditel l’ont fait. A noter que cette dernière n’est même pas cotée. En tout cas, ces sociétés s’inscrivent dans une logique de transparence et préfèrent jouer carte sur table. Car même quand les résultats ne sont pas forcément bons, il est toujours préférable de prendre les rumeurs plus alarmistes à contre-pied. «On a toujours plus peur de ce qu’on ignore», explique un spécialiste de la bourse. Les bruits de couloirs ont tendance à amplifier l’appréhension des boursicoteurs. Cela laisse libre court à toutes sortes de supputations qui ont tendance à plomber le cours de la valeur sans que le top management ait l’occasion de rectifier le tir, en tout cas pas avant la prochaine publication de résultats. «Il faut acheter la rumeur et vendre l’information», explique Ghassen Belhadj Jrad, directeur général d’Integra Bourse. La rumeur biaise l’évolution des cours et les installe dans un trend factice. Le chemin vers l’efficience de notre place passe donc par la canalisation de l’information, par sa régularité et sa fréquence. On ne peut arriver au niveau de valorisation idoine si on n’étanche pas la soif informationnelle des investisseurs boursiers.



Aziz Saidi 30-05-2009

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MessageSujet: Maroc : Réinvestir ses dividendes en actions - ce qu’il faut savoir :   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 39 Icon_minitimeVen 12 Juin 2009 - 10:22

Maroc : Réinvestir ses dividendes en actions - ce qu’il faut savoir :
.Les sociétés cotées à la Bourse de Casablanca qui proposent à leurs actionnaires le réinvestissement des dividendes à servir en actions ne sont pas très nombreuses. Seules deux entreprises recourent en effet à cette pratique actuellement. - BMCI propose l’option de réinvestissement à ses actionnaires depuis 2001 et Atlanta depuis 2008. Le CIH le fera cette année. - Avantages : décote immédiate, dividendes plus importants à terme et plus-values en cas de cession des titres. Risque : baisse du cours après la cotation. - Pas d’avantage fiscal spécifique pour ce type d’opérations. (Source : La Vie Eco)
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MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 39 Icon_minitimeVen 24 Avr 2009 - 17:26

Déontologie financière

Carton rouge pour le Maroc
· Peu de sociétés disposent d’un système d’évaluation de conformité

· Une fonction cruciale mais peu connue, celle de
déontologue


http://www.leconomiste.com/article.html?a=92803

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MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 39 Icon_minitime

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