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 Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 17 Icon_minitimeMar 26 Jan 2010 - 10:01

BP et Attijariwafa Bank accompagnent le plan Rawaj

Un autre coup de pouce en faveur du plan Rawaj. Les acteurs, cette fois ci, sont deux grandes banques nationales. Il s’agit de la Banque centrale populaire et Attijariwafa bank. Ahmed Reda Chami, ministre de l’Industrie et du commerce a signé, jeudi dernier, avec les patrons de ces banques une convention de partenariat. Pour le ministre, celle-ci s’inscrit dans le cadre d’un programme d’actions pour la concrétisation du plan Rawaj dédié à la mise à niveau et le développement du secteur du commerce. Les conventions de partenariat ont pour objet la définition des modalités de coopération entre les parties signataires, ainsi que le contenu des offres des deux banques. Celles-ci prévoient un pack de bancarisation qui permettra aux commerçants de bénéficier de plusieurs produits destinés à la gestion de leur compte bancaire en bénéficiant d’une décote par rapport aux tarifs pratiqués. Au menu également une facilité de caisse dont le montant est définie selon le niveau de l’activité du commerçant avec possibilité de renouvellement chaque année. Le montant maximum peut atteindre 50.000 DH. Les commerçants peuvent également bénéficier de crédits d’investissement. «Dans le cadre de cette convention, notre banque pourra accorder un crédit d’investissement permettant au commerçant l’acquisition de nouveaux matériels et équipements», indique Mohamed Benchaaboun, PDG du Groupe Banque Populaire. Mais ce dernier précise que le crédit accordé ne devrait pas dépasser 80% du coût de l’investissement avec un plafond de 150.000 DH. A cela s’ajoute une subvention de l’Etat de 20.000 DH. La durée de remboursement du crédit bancaire est de 48 mois avec possibilité de bénéficier d’un délai de grâce de 6 mois. A noter que ce crédit sera accordé avec un taux d’intérêt préférentiel en comparaison avec celui appliqué au marché. Au menu de cette convention figurent aussi des produits complémentaires comme l’assurance maladie. Sur ce volet, Mohamed Kettani, PDG d’Attijariwafa bank, rappelle que l’accompagnement aux commerçants ne se limitera pas uniquement à l’aspect financement de l’activité mais également fournir des prestations qui portent sur la sécurité et l’assurance santé à leur profit. Par ailleurs, cette cérémonie de signature a été une occasion pour Chami de rappeler le poids et le rôle socio-économique du secteur du commerce dans le tissu économique national. On doit retenir que le nombre de points de vente avoisine les 928.000 unités, générant près de 1,3 million emplois et un chiffre d’affaires de 70 milliards de DH.

L'Economiste 25/01/2010
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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 17 Icon_minitimeLun 25 Jan 2010 - 21:25

BMCI - C’est parti pour la banque privée !

BMCI a inauguré vendredi dernier sa banque privée. C'était en présence de Michel Pébereau, président de BNP Paribas.
La filiale marocaine du groupe français affiche clairement son ambition de s'attaquer aux marchés des gros portefeuilles et du patrimoine au Maroc. Un signe qui ne trompe pas sur l'importance de ce marché. Pour devenir client de cette banque privée, le montant n'est pas spécifié mais il doit être conséquent. Contacté par le Soir échos, Loubna Sebti, responsable communication de BMCI a démenti les rumeurs qui fixaient le seuil de patrimoine à accepter à 50 millions de DH. Pour commencer, les Conseils en Banque Privée de BMCI sont implantés à Casablanca et Rabat. Ils seront appuyés, selon BMCI, par 3 pôles d'expertises: l'Ingénierie Patrimoniale pour les aspects juridiques et fiscaux, une équipe marketing qui élabore les produits et services dédiés aux clients de la Banque Privée et une équipe d'Advisory Desk pour le conseil et la gestion financière. En fait, le projet remonte à avril 2008 lorsque Meryem Kabbaj avait été nommée directrice de l'Espace Gestion de Patrimoine pour développer le pôle banque privée au sein de BMCI. C'est elle aussi qui avait mis en place l'activité Gestion d'Actifs en intégrant cette banque en 1995 avant d'être nommée directrice générale de BMCI Gestion à sa création, en 1998. La Banque Privée, qui relève donc de Meryem Kabbaj, propose à ses clients des solutions personnalisées, élaborées à partir d'une analyse «approfondie» de leur situation et d'une écoute «attentive» de leurs projets au travers d'une approche patrimoniale globale. En général, les banques privées ont pour rôle de conseiller leur clientèle sur des choix d'investissements et leur patrimoine. Les propositions d'investissements faites par le gestionnaire à son client sont diverses et peuvent aller, par exemple, de l'achat de titres à celui de biens immobiliers ou encore d'objets d'arts.

Le Soir Eco
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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 17 Icon_minitimeVen 22 Jan 2010 - 11:52

Signature à Rabat de conventions pour l'accompagnement de la modernisation du commerce de proximité

A travers ces conventions, la BCP et Attijariwafa Bank mettent à la disposition des commerçants des packs de bancarisation destinés à la gestion ainsi qu'un ensemble d'offres complémentaires couvrant des services de financement, d'assurances et des crédits pour financer leurs investissements, à des conditions préférentielles. Les deux banques offrent aussi une facilité de caisse dont le montant maximum est défini selon le niveau d'activité du commerçant, renouvelable annuellement. Ces conventions, signées par le ministre de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologies, M. Ahmed Réda Chami, le PDG de la BCP, Mohamed Benchaaboun et le PDG du Groupe Attijariwafa Bank, M. Mohamed El Kettani contribueront aussi à enrichir les outils d'appui du secteur de commerce en matière de modernisation et de mise à niveau du commerce, en général, et le commerce de proximité, en particulier. Intervenant lors de la cérémonie de signature, le ministre de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologies, M. Ahmed Réda Chami a indiqué que la signature de ces conventions, qui s'inscrit dans le cadre de la mise en oeuvre du plan Rawaj-Vision 2020, viennent doter les commerçants de moyens de financement complémentaires pour la réalisation de leurs plans de modernisation. M. Chami a, par ailleurs, annoncé que le plan Rawaj a déjà entamé, à travers les conventions signées avec plusieurs partenaires, la modernisation de 5.000 commerçants, dont 1.300 ont déjà finalisé leur processus de modernisation. Le ministre a rappelé, à cette occasion, le poids et le rôle socio-économique qu'occupe le commerce de proximité dans le tissu économique national qui se traduisent par le nombre important de points de vente qui avoisinent les 928.000 unités, générant quelque 1,27 million d'emplois et 70 milliards de DH en valeur ajoutée. Pour sa part, le PDG du Groupe Attijariwafa Bank a indiqué que cette banque, qui a traditionnellement appuyé les commerçants dans le développement de leurs affaires, a conçu une offre appelée "pack Rasmali" dédié aux PME et aux commerçants pour les aider à améliorer leurs activités notamment en matière de crédit et d'assurance, avec des conditions de financement appropriés. De son côté, le PDG de la BCP a souligné que cette banque est un partenaire privilégié du commerce de proximité et de l'artisanat, ajoutant la BCP a travaillé avec les équipes du ministère l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologies et des représentants de commerçants pour élaborer un produit correspondant à ce secteur qui permettra d'atteindre les objectifs du programme Rawaj. Le député et président de la chambre de commerce, d'industrie et de services de Laayoune-Boujdour, M. El Moussaoui Sidi Tayeb Ould Abdellah a, quant à lui, mis l'accent sur l'impact positif de ces conventions sur le commerce national, saluant les actions entreprises par la BCP et Attijariwafa Bank en vue de soutenir les commerçants et les PME porteurs de projets dans les provinces du sud. La cérémonie de signature s'est déroulée en présence des représentants des associations professionnelles, d'entreprises privées, de départements ministériels et des chambres de commerce, d'industrie et de services.

MAP 21/01/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 17 Icon_minitimeVen 22 Jan 2010 - 10:16

MAMDA/MCMA : Union reportée pour 2011

Fait : Report d’une année du regroupement des deux mutuelles prévu initialement en 2010.

Analyse : L’Union entre la MAMDA/MCMA prévue en 2010 est reportée à 2011 en raison de l’incidence fiscale qu’elle occasionnerait. En effet, le code des assurances obligerait l’union des deux mutuelles le transfert de l’actif et du passif à la valeur comptable, ce qui entraînerait l’imposition des plus values. Ainsi, la forme issue de l’union ne peut être identifiée à celle d’une société anonyme et profiter par la même occasion des avantages fiscaux accordés par la Loi de Finances 2010.

Conclusion : Afin de ne pas subir l’incidence fiscale importante générée par son nouveau statut juridique, MAMDA et MCMA devraient attendre les éventuels aménagements au niveau de la loi de Finances 2011 pour concrétiser leur projet d’union.

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 17 Icon_minitimeMer 20 Jan 2010 - 10:13

Attijariwafa bank: Lancement du pacte Rasmali au profit de la petite entreprise

Le Groupe Attijariwafa bank confirme son engagement dans une politique citoyenne. Après le lancement de la banque économique via Hsab Bikhir, elle développe l'offre Pacte Rasmali au profit de la petite entreprise. L'objectif poursuivi est d'aider les petits opérateurs économiques à faire face aux défis de la croissance et s'inscrire dans une dynamique de performance et de pérennité. Aussi, quelles que soient les attentes ou la nature de l'activité de la Petite Entreprise (artisanat, commerce, industrie, agriculture, services…), Attijariwafa bank lui apporte, grâce au Pacte Rasmali, une réponse à tous ses besoins, et ce dans un esprit d'accompagnement, d'écoute et de proximité. Cette nouvelle offre a été, en effet, étudiée de façon à offrir à cette clientèle une gamme complète de produits et services adaptés à ses besoins avec une tarification avantageuse. Elle regroupe, le package Hissab Rasmali comptant plusieurs produits et services de «banque au quotidien» à partir de 79 DH HT par mois : carte de retrait et de paiement, produits de banque à distance, assurance…, le tout exonéré des frais de tenue de compte et des frais de plusieurs opérations courantes. En même temps, la banque a pensé à doter les petits entrepreneurs de la carte Rasmali qui leur permet de gérer efficacement les transactions tant professionnelles que personnelles avec la possibilité de bénéficier d'un débit différé en fin de mois. Il y a lieu de citer également les solutions de financement Rasmali. Il s'agit de formules de financement spécifiques à la clientèle de petites entreprises. Elles sont conçues pour leur apporter souplesse et flexibilité et pour optimiser aussi bien leurs investissements que leur fonctionnement au quotidien. Ce n'est pas tout. Pour une prestation complète, ont été également prévues les assurances Rasmali pour la protection du client et de son activité.

Le Matin 20/01/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 17 Icon_minitimeLun 18 Jan 2010 - 17:28

Le CIH ajourne un investissement informatique de 450 MDH

Il avait été envisagé par les prédécesseurs du nouveau président et commandé à l'éditeur américain de logiciels Oracle.
La solution proposée est jugée surdimensionnée par rapport aux besoins de la banque.


Trois mois après être nommé à la tête du Crédit Immobilier et Hôtelier (CIH), Ahmed Rahhou, le Pdg de la filiale de la Caisse de dépôt et de gestion (CDG), a pris une décision stratégique majeure. Il vient de stopper net un investissement au coût estimatif de près de 450 MDH destiné à la refonte du système d’information (SI) de la banque.
Les principaux perdants dans la volte-face du CIH sont Oracle, éditeur américain d’entreprise ressources solutions (ERP), ainsi que ses intégrateurs agréés au Maroc. L’américain était ainsi à deux doigts de placer, pour la première fois au Maghreb, sa solution Oracle flexcuble universal banking (OFAUB). Il faut dire que le monde bancaire demeure un bastion assez difficile pour les éditeurs d’ERP et ce, du fait de la complexité et l’extrême diversité des «métiers» adressés par une banque, notamment universelle. D’ailleurs, toutes les banques marocaines possèdent un système d’information dit «spaghetti» où plusieurs solutions, qu’elles soient spécifiques (développées en interne) ou universelles (vendues sous licence d’éditeurs), cohabitent et répondent chacune à un métier ou une brique à part (monétique, crédit, reporting réglementaire, finances, titres...).
Grâce à l’acquisition, en 2005, de l’indien I-Flex, Oracle a pu faire une certaine percée dans le monde bancaire avec une série baptisée Oracle financial services software mais son taux de pénétration de ce secteur au niveau mondial demeure encore assez faible.
Selon des sources bien informées, le CIH avec un nombre limité de dossiers de crédits traités quotidiennement par agence (pour un réseau de 120 agences), «allait s’offrir une Rolls Royce informatique pour des besoins correspondant à ceux d’une Dacia Logan en termes de production et de charge informatique». Cette décision de faire des économies tombe à point nommé pour la «banque de la famille» aussi bien au regard du contexte globalement difficile pour les banques marocaines que de sa situation propre peu enviable avec un coût des ressources toujours élevé, une perte des parts de marché crédit et un tarissement du gisement des récupérations sur provisions pour créances en souffrance. Une conjugaison de facteurs qui avait fait chuter de 41% le résultat net part du groupe à fin juin 2009 qui s’est établi à 248 MDH.
Joint au téléphone par La Vie éco, M. Rahhou, tout en confirmant l’information, explique que le choix de la solution retenue par ses prédécesseurs «n’est pas mauvais en soi, bien au contraire, mais, d’une part, le SI actuel du CIH reste adapté à sa taille et peut évoluer, et, d’autre part, la banque a des objectifs de développement à court et moyen terme qui courraient le risque d’être ralentis par la refonte d’un système d’information qui ne présente pas de caractère d’urgence».

La vie économique
Mohamed Bourime
18-01-2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 17 Icon_minitimeVen 8 Jan 2010 - 10:29

La SCR se prépare à l’après-cession légale

Après le transport public des voyageurs, la cession légale disparaît pour le transport maritime et l’aviation ainsi que les responsabilités civiles correspondantes. Les compagnies d’assurances seront donc dispensées de verser 10% sur ces polices d’assurance à la Société centrale de réassurance (SCR) à partir de cette année. Ce qui représente près de 120 millions de dirhams de chiffre d’affaires en moins pour le réassureur national. Entamé en 2007, ce démantèlement fait suite aux accords de libre-échange avec les Etats-Unis et devrait s’étaler jusqu’en 2012. En principe, l’année d’après, la cession légale devrait disparaître. Pour 2011, d’autres polices d’assurance seront concernées par la suppression de la cession légale. Elles ne sont pas encore arrêtées mais devraient l’être d’ici quelques mois. Le choix s’effectue, théoriquement, en concertation avec la direction des Assurances, la SCR et les compagnies d’assurances. Avec la disparition de la cession légale, la SCR tente de se positionner sur d’autres créneaux, notamment en tant que réassureur national de référence. Elle s’est aussi engagée sur la couverture des risques catastrophiques. «Le pays a besoin d’une couverture dans les domaines que le secteur privé ne pourra pas prendre en charge. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle en 1998, l’étude sur les risques catastrophiques a été lancée», affirme Ahmed Zinoun, administrateur délégué à la SCR. Le projet, actuellement au secrétariat général du gouvernement, pourrait voir le jour cette année. En tout cas, la mise en place d’une couverture contre les risques catastrophiques assurera à l’entreprise entre 400 à 500 millions de dirhams de primes par an. Ce qui permettra de compenser en partie la perte de la manne de la cession légale. L’activité de l’entreprise à l’international est également boostée. A fin décembre 2009, les résultats provisoires font ressortir un chiffre d’affaires à l’étranger de 400 millions de dirhams. «Il y a cinq ans, nous étions à 200 millions de dirhams. Nous sommes donc sur une évolution moyenne de 35% durant les cinq dernières années», affirme Zinoun. Déficitaire dans le temps, l’activité affaires étrangères de la compagnie a eu droit à une véritable mise à niveau. La SCR a en effet procédé à un assainissement de son portefeuille et constitué des équipes dédiées par région, à savoir le Moyen-Orient, l’Asie du Sud-Est et l’Afrique. «Les risques européens et américains n’étant pas acceptés en raison notamment de la taille de la SCR. Et même dans les pays où nous sommes présents, nous choisissons les cédantes», explique Zinoun. Pour 2009, les résultats provisoires font ressortir un chiffre d’affaires de 2,53 milliards de dirhams, soit une quasi-stagnation par rapport à l’année dernière. Quant au résultat net, il s’est établi entre 300 et 320 millions de dirhams. «En dépit d’un marché financier et d’une conjoncture hostile, nous sommes au même niveau que l’année dernière», soutient Zinoun.

L'Economiste 07/01/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 17 Icon_minitimeVen 8 Jan 2010 - 10:08

REASSURANCE : Abolition de la cession légale par les compagnies d’assurance de 10% des polices d’assurance pour le transport maritime et l’aviation à la SCR

Fait : Suppression de la cession légale pour le transport maritime et l’aviation.

Analyse : Selon « l’Economiste », à compter du 1er janvier 2010, les compagnies d’assurance seront dispensées de verser 10% sur les polices d’assurance à la Société Centrale de Réassurance –SCR- pour le transport maritime et l’aviation. Cette mesure devrait impacter négativement le chiffre d’affaires de la SCR de M MAD 120.
En termes de réalisations, les résultats provisoires de la SCR font ressortir un chiffre d’affaires de MAD 2,53 Md en 2009, soit une quasi-stagnation par rapport à 2008. Pour sa part, le résultat net devrait s’établir entre M MAD 300 et M MAD 320 en 2009.

Conclusion : En vue de faire face à la disparition de la cession légale, la SCR devrait se positionner sur d’autres créneaux, notamment la couverture des risques catastrophiques et le développement à l’international.

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 17 Icon_minitimeVen 8 Jan 2010 - 10:04

Les banques tenues à rester vigilantes face au fléau

Nouvelle décision de Bank Al-Maghrib pour lutter contre la contrefaçon des billets de banque

Bank Al-Maghrib vient de communiquer sa nouvelle décision relative aux modalités de recyclage des billets de banque marocains par les banques. Cette décision a pour objet de définir les dispositions devant être observées par les banques, en matière de détection des contrefaçons, de tri qualificatif et de remise en circulation des billets de banque marocains.
En vertu de cette décision, les banques sont tenues de délivrer à leur clientèle, par le biais de leurs guichets, agences et distributeurs automatiques ou par le biais de transporteurs de fonds, exclusivement des billets de banque marocains validés.
Elles sont tenues aussi de contrôler l’authenticité des billets de banque dès leur réception de la clientèle. « Ce contrôle s’effectue au moyen d’équipements adaptés permettant d’assurer l’authentification des billets de banque», lit-on dans la Décision.
Les banques sont obligées également de confisquer les billets de banque d’authenticité douteuse, décelés ou présentés à leurs guichets et de les remettre sans délai à Bank Al-Maghrib. Dans le même sillage, elles sont tenues de contrôler la qualité des billets de banque reçus de la clientèle, qu’elles comptent remettre en circulation. Pour effectuer cette tâche, elles doivent disposer d’équipements ayant satisfait aux tests d’aptitude effectués par la Banque Centrale.
Elles doivent, par ailleurs, se doter d’un contrôle interne pour assurer le respect des dispositions de la présente décision et des textes pris pour leur application. Dans ce cadre, elles doivent adresser à Bank Al-Maghrib des reportings. « En cas de manquements aux dispositions de la présente décision ou des textes pris pour son application, la Banque Centrale notifie à la banque concernée les infractions relevées et la met en demeure d’y remédier dans les délais qu’elle indique », lit-on dans la décision, ajoutant « que si, à l’issue de ces délais, la mise en demeure n’est pas suivie d’effet, Bank Al-Maghrib peut interdire à la banque en question le recyclage des billets. »
En vertu de cette décision aussi, « les banque sont tenues de garder strictement confidentielles toutes les informations classées comme telle par Bank Al-Maghrib et veille à ce que leur personnel et leurs fournisseurs respectent cette obligation ».
Au Maroc, la contrefaçon des billets de banque reste un phénomène marginal (environ 15 billets par million de billets en circulation à fin 2007 au lieu de 16,7 à fin 2006). Bien plus, les signes de sécurité distinctifs des billets sont multipliés pour leur garantir un look et un toucher particulier: papier spécial, solution encre, numéros de série, procédé d’impression...
Il est même estimé que les procédés de traitement et d’impression des billets utilisés par Dar As-Sikkah sont difficilement accessibles aux faux-monnayeurs.
Dans le cadre de la lutte contre ce fléau, Bank Al-Maghrib collabore étroitement avec les services compétents de la Direction Générale de la Sûreté Nationale, chargés des missions d’investigation et de répression en matière de faux monnayage.
Les dispositions de cette présente décision de Bank Al-Maghrib devraient entrer en vigueur à compter du premier janvier 2011.

L'opinion 07/01/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 17 Icon_minitimeJeu 7 Jan 2010 - 12:17

Les compagnies d’assurances récusent toujours le taux de 130%

La fin de l'année 2009, le marché boursier a connu un volume de
transactions de 10 milliards de dirhams sur la dernière semaine, soit
plus de sept fois le volume hebdomadaire moyen qui était enregistré
depuis le début de l'année. Cet important volume a été drainé, certes, en
grande partie par les opérations stratégiques observées sur le marché de
blocs comme les 4.78 milliards de dirhams sur Attijariwafa bank, dont
4.15 milliards de dirhams relatifs au transfert de 10% de la
participation de Grupo Santander dans ladite banque à la SNI, et la
différence à la sortie des salariés de la banque. Ces derniers ont cédé
les actions qu'ils avaient souscrites il y a 2 ans à 200 dirhams, avec
une plus value de 45 dirhams.
Sur le marché central, les analystes attribuent l'importance du volume à
quelques opérations d'allers-retours ou plutôt des prises de bénéfices
réalisées par certains institutionnels sur les valeurs bancaires, les
conglomérats et dans une moindre mesure sur les immobilières. Toutefois,
on peut quasiment affirmer que les assureurs sont restés en retrait à
l'exception près de ceux qui ont eu besoin de réaliser des plus-values
pour booster leurs résultats de fin d'année. En effet, les compagnies
d'assurances viennent de refuser la Proposition de la DAPS relative au
ratio réglementaire de 130 % qu'elles contestent depuis la fin de 2007
parce qu'il bloque leur politique d'investissements. La DAPS leur avait
Proposé à la fin de l'année 2009 de fixer ce ratio à 120 %, taux que les
institutionnels assureurs, continuent à considérer comme élevé affirmant
que le taux de 115 % leur permettrait de libérer une Partie suffisante de
leurs actifs du joug de la couverture des réserves techniques pour
pouvoir dynamiser la gestion de leurs portefeuilles et dégager
suffisamment de trésorerie pour payer leurs impôts et leurs dividendes.
Rappelons que le taux de 130% fait référence à l'obligation imposée aux
compagnies de n'effectuer aucun retrait ni vente de valeurs mobilières de
l'actif affecté si celui-ci ne dépasse pas le taux de 130% des provisions
techniques et si la marge de solvabilité est satisfaisante. Donc, tout
retrait ne doit concerner que les valeurs dépassant le taux précité ou
celles ayant reçu l'accord préalable du Ministre chargé des Finances.
On se rappelle à ce sujet que les compagnies d'assurances les plus
importantes, telles Axa Assurances Maroc, Wafa Assurance, RMAWatanya et
Atlanta en faisant les opérations d'allers-retours à la fin de l'année
2007, avaient soulevé un nouveau problème, celui du taux de couverture
réglementaire de 130% . En effet, au lendemain de l'annonce de la fin des
abattements défiscalisés sur les plus values réà1isées, les compagnies
d'assurances avaient choisi de réaliser leurs plus-values, lesquelles
engendrèrent des montants d'impôts colossaux que leur trésorerie, du fait
de l'obligation du respect du ratio de 130%, ne leur avait pas permis de
couvrir. Il avait fallu à certaines demander à l'autorité de contrôle, la
Direction des Assurances et de la Prévoyance Sociale, DAPS,
l'autorisation de sortir certains actifs affectés à leurs réserves
techniques pour disposer réellement de leurs plus-values et,
accessoirement, payer leurs impôts et dividendes.
Depuis cette époque, une discussion est ouverte entre la DAPS et la
Fédération Nationale des Assurances pour assouplir ce ratio en le
diminuant tout simplement. La FMSAR a engagé deux études de benchmarking
par des cabinets de renom dont Deloitte, appuyées par une analyse
argumentée pour convaincre la DAPS du bien fondé de ses revendications.
Car depuis deux ans, cette disposition relative aux fonds affectés fixés
à 130% des provisions techniques, pose en effet une problématique
sérieuse aux entreprises des Assurances qui se trouvent obligées de
bloquer les plus-values qu'elles réalisent sur la cession des valeurs
affectées dans les 130 %, indifféremment du paiement d'impôts qu'elles
génèrent. En un mot si elles bloquent la totalité des plus-values, elles
doivent payer l'impôt de « leur poche », ce qui pèse sur leur trésorerie.
Ainsi donc et par l'application de cette règle, les compagnies
d'assurances affrontent une situation pour le moins anachronique. En
cédant des valeurs d'un côté, elles font le constat d'une richesse qui
reste virtuelle dont elles ne peuvent disposer et qui en plus les
obligent, d'un autre côté, pour procéder à une distribution de
dividendes, à recourir soit à des emprunts soit à un appel de fonds de la
part des actionnaires pour payer les impôts. Par le jeu de cette règle,
la DAPS doit prendre conscience que l’action des Entreprises d’Assurances
en termes d’investissements se trouve paralysée.
(Source : La Nouvelle Tribune)
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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 17 Icon_minitimeMar 29 Déc 2009 - 12:09

GRUPO SANTANDER : Cession de 10% du capital d’ATTIJARIWAFA BANK à la SNI

Fait : Désengagement partiel de GRUPO SANTANDER du capital d’ATTIJARIWAFA Bank.

Analyse : Le Groupe espagnole SANTANDER vient, en date du 28 décembre 2009, de céder au profit de la SNI 10% de sa participation dans le capital d’ATTIJARIWAFA Bank au cours unitaire de MAD 215 (vs. un cours de MAD 240 sur le marché central). Suite à cette opération, la part de la SNI dans le capital d’ATTIJARIWAFA Bank augmente à 13,49% tandis que celle de GRUPO SANTANDER passe à 4,55%. Le Groupe ONA-SNI contrôle désormais 43,5% du tour de table d’ATTIJARIWAFA Bank.

Par ailleurs, GRUPO SANTANDER maintient de sa présence au sein du Conseil d’Administration de la première banque privée du Royaume et confirme son engagement de catalyseur d’échanges entre les deux rives méditerranéennes.

Conclusion : Ce désengagement pourrait être une suite à la volonté du Groupe espagnole de se concentrer sur le développement de ses activités dans la péninsule ibérique. Par ailleurs, ATTIJARIWAFA Bank ne serait aucunement impacté par cette décision.

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 17 Icon_minitimeMar 29 Déc 2009 - 10:18

Santander vend 10% détenus dans Attijariwafa (Maroc) pour 367 M EUR

Publié le 28 décembre, 2009
par Nicolas Mortel


Santander, la plus grande banque d’Espagne, a annoncé lundi avoir vendu 10% du capital détenus dans la banque marocaine Attijariwafa à la société nationale d’investissement du pays d’Afrique du nord, pour 4,15 milliards de dirhams (367 millions d’euros).

A l’issue de l’opération, Santander détiendra encore 4,55% d’Attijariwafa, a-t-il précisé dans un communiqué au régulateur des marchés financiers espagnols. Il a en outre indiqué que la vente lui permettra de réaliser une plus-value de 223 millions d’euros, qui sera comptabilisée dans l’exercice 2010.

Le premier groupe bancaire espagnol, affecté par la récession du pays, avait maintenu son bénéfice net au troisième trimestre par rapport au troisième trimestre de 2008, à 2,2 milliards d’euros. Il table en outre sur un bénéfice net de 8,8 milliards d’euros pour l’ensemble de l’exercice 2009.

Paris, 28 décembre 2009 (AFP)

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