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 Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 10 Icon_minitimeMer 28 Avr - 8:44

Le G20 échoue sur le projet d'une taxation mondiale du secteur financier

Le FMI avait remis aux ministres et banquiers centraux du G20 un rapport proposant deux taxes, l'une s'appliquant à chaque institution financière en fonction de ses actifs, et en particulier des éléments risqués, et l'autre sur les profits et rémunérations. Toutefois, les Américains et les Européens n'ont pas convaincu tous les pays du G20 sur la nécessité d'une taxation du secteur financier, notamment le Canada et certains pays émergents.

Les ministres des Finances et banquiers centraux du G20 réunis vendredi à Washington sont tombés d’accord au moins sur un point : la reprise mondiale est plus rapide que ce qui était prévu même si le rétablissement est encore fragile. En revanche, sur le reste, et en particulier sur une régulation commune du secteur financier, rien n’a été décidé pour l’instant. Les discussions ont principalement porté sur la mise en place d’une taxe sur les banques afin de rembourser les coûts engendrés par le sauvetage du secteur financier pendant la crise. Le projet présenté à cette occasion par le FMI proposait en fait deux taxes, l’une s’appliquant sur le bilan de chaque institution financière, et destinée à couvrir le risque systémique, et l’autre sur les profits et rémunérations. Si les États-Unis et les pays européens, dont la France, ont fait campagne pour l’adoption de cette mesure, d’autres pays comme le Canada, Singapour, l’Inde et le Brésil l’ont farouchement combattue. Leur argument : il n’existe aucune justification à pénaliser leurs propres établissements financiers alors que ces derniers n’étaient pas engagés dans les excès à l’origine de la crise. Le ministre canadien des finances Jim Flaherty s’est rapidement imposé comme le porte-parole des opposants dès la veille de la réunion en affirmant publiquement que "(le Canada) est un pays souverain. Nous pouvons réglementer nos banques et nos autres institutions bancaires comme bon nous semble". Selon lui, le G20 devrait à l’avenir concentrer ses efforts sur des règles pour soutenir les besoins en capitaux et limiter les effets de levier. Le communiqué du groupe des pays riches et émergents a demandé tout de même au Fonds monétaire international de poursuivre son travail sur la question, en vue d'un sommet des chefs d'État et de gouvernement lors d'un sommet prévu à Toronto (Canada) en juin prochain. De fait, aucune mesure concernant la régulation mondiale du secteur financier (limitation de la taille des hedge funds, contrôle des produits dérivés, nouvelle règles sur le capital des banques...) n’a été adoptée à l’occasion de cette rencontre présentée comme une réunion préparatoire au G20 des chefs d’Etat qui se tiendra fin juin à Toronto au Canada. Le problème des taux de change, et tout particulièrement celui de la monnaie chinoise, n’a pas été non plus abordé publiquement malgré le fait que ce sujet constitue une priorité de l’administration américaine. En ce qui concerne la Grèce, même si elle n’était pas à l’ordre du jour, les participants du G20 Finance ont salué en aparté le plan de secours mis en place en faveur d’Athènes.

Le 26/04/2010 – www.agefi.fr
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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 10 Icon_minitimeLun 26 Avr - 9:04

Le paiement en ligne se démultiplie

Les transactions via le Web sont de plus en plus utilisées. En effet, le paiement en ligne via des cartes bancaires auprès des sites marchants a généré, sur les 3 premiers mois de 2010, plus de 50.035 opérations pour un montant de 53 millions de DH. Cette évaluation reflète une multiplication par 11 du nombre d’opérations et par 5 du nombre de paiements. Dans ce total, les cartes marocaines représentent 96% des paiements en ligne et 92,5% de leur montant.

L'Economiste 22/04/2010
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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 10 Icon_minitimeLun 26 Avr - 8:57

Monétique: Le boom des cartes bancaires

Les opérations par cartes bancaires ne cessent de se démocratiser. Au titre du 1er trimestre 2010, le nombre d’opérations (achat et retrait) progresse de 18% par rapport à 2009 pour atteindre 36,7 millions de transactions pour un total de 31,2 milliards de DH. Par conséquent, les cartes émises par les banques ont dépassé 6,3 millions d’unités, soit une hausse d’un peu plus de 6%. Par catégorie, les cartes marocaines totalisent près de 35 millions d’opérations pour 28 milliards de DH. Les opérations par cartes étrangères se montent, pour leur part, à 1,9 million pour un total de 3 milliards de DH sur le territoire marocain. En parallèle, les guichets automatiques décuplent avec l’installation de 100 unités au cours du 1er trimestre pour atteindre 4.244 GAB répartis sur 254 localités.

L'Economiste 22/04/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 10 Icon_minitimeLun 26 Avr - 8:53

Sociétés de financement : Les factors tiennent leurs premières assises

Depuis la fin des années 90, l'activité de factoring a touché progressivement et de plus en plus le marché domestique, qui représente actuellement 80% de l'activité des deux sociétés spécialisées.

Quelques années après l'organisation des Assises du crédit à la consommation et des Assises du crédit-bail, l'APSF fait de même pour le factoring. C'est hier que se sont tenues en effet les premières assises nationales du factoring. Et comme à chaque fois, l'objectif «est de promouvoir les métiers de financement, d'échanger autour des moyens de renforcer leur capacité à financer la consommation et l'investissement», a précisé Abdelkrim Bencherki, président de l'APSF, dans son mot de bienvenue.

De l'avis de certains participants, l'organisation de ces assises s'est même devenue une nécessité. Car «les vingt ans de ce secteur au Maroc, bien évidemment dans sa forme moderne, ont été jalonnés par plus d'un fait marquant», a laissé entendre Hicham Daouk, directeur général de Maroc Factoring. D'autant plus que «l'histoire de ce métier dans le Royaume montre qu'il s'agit d'une solution qui a su accompagner l'économie marocaine et son développement, ce qui ne s'est jamais démenti au demeurant», a renchéri A. Bencherki.

Concrètement, s'accordent à dire les professionnels du secteur, «jusqu'à la fin des années 90, l'offre factoring était orientée exclusivement à l'international. Elle a contribué au développement de secteurs exportateurs, notamment le textile, même si l'offre factoring réside alors essentiellement dans l'assurance crédit». Depuis la fin des années 90, l'activité a touché progressivement et de plus en plus le marché domestique, qui représente actuellement 80% de l'activité des sociétés spécialisées (encours de remises de créances à fin 2008). L'offre factoring s'est peu à peu diversifiée pour couvrir, aujourd'hui, une palette de services complète, destinée à toutes les entreprises, petites et grandes, pourvu qu'elles soient organisées, transparentes et fortes d'un potentiel de développement commercial. Outre l'assurance crédit et le financement, les services proposés touchent la gestion du compte clients, le recouvrement, voire, pour les grandes entreprises, des possibilités pour la déconsolidation de leurs bilans.

Outre les deux opérateurs "historiques" du marché marocain (Maroc factoring et Attijari factoring), le marché a connu au fil des années l'arrivée d'autres opérateurs. Il s'agit de la BMCI en 2000, la Société Générale en 2009 et le Groupe Banque Populaire en 2010, qui se sont dotés de départements spécialisés. Mais apparemment, on est toujours loin d'exploiter toutes les opportunités offertes par le marché marocain. À cet égard, les perceptions diffèrent relativement. Pour le président de l'APSF, «à ce stade, et sur la base de l'analyse de l'évolution récente de l'activité factoring, il y a fort à parier que ce métier présente un fort potentiel de croissance». Toutefois, auprès des professionnels du secteur, pas le moindre doute.

Les opportunités sont là, ce qu'il faut c'est un travail sur l'offre et plus de sensibilisation des clients sur les avantages de leurs produits. En effet, explique-t-on, «mesuré par les remises de créances, le marché du factoring au Maroc est certes en croissance régulière depuis plusieurs années. En soi, une évolution de 25% en moyenne sur les trois dernières années, semble et constitue certainement une performance notable. Toutefois, comparée à la progression d'autres modes de financement, cette performance devient toute relative». En outre, les remises de créances, tous factors confondus, totalisent environ 11 milliards de dirhams en 2009, soit 1,5% du PIB. Bref et au bas mot, le factoring présente un potentiel de croissance non négligeable. Et c'est d'ailleurs dans ce sens que 2010 et 2011 vont connaître le lancement de produits innovants, selon H. Daouk.

Le factoring au Maroc
La loi 34- 03 du 14 février 2006 (loi bancaire) considère comme affacturage, toute convention par laquelle un établissement de crédit s'engage à recouvrer et à mobiliser des créances commerciales, soit en acquérant lesdites créances, soit en se portant mandataire du créancier avec, dans ce dernier cas, une garantie de bonne fin. L'APSF compte deux sociétés d'affacturage : Attijari Factoring et Maroc Factoring. En 2009, les remises de créances de ces deux sociétés membres de l'APSF ont totalisé 7,3 milliards de dirhams, en progression de 1,1 milliard ou 19%. La répartition des remises de créances, de l'encours des remises de créances et des créances financées par type d'opérations, montre que l'activité domestique a pris le dessus à partir de 2001.

Le Matin 23/04/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 10 Icon_minitimeVen 23 Avr - 9:22

Crédit-conso: Les volumes reculent

La nette baisse de la demande de crédit à la consommation, observée déjà en 2009, s’est poursuivie au premier trimestre de cette année. En moyenne, le reflux de l’activité est de 7 à plus de 10% selon les sociétés. Outre les crédits personnels, le financement de l’automobile est le segment le plus touché.
Selon les opérateurs, l’euphorie des années 2000 est bel et bien passée. Par ailleurs, les sociétés de crédit à la consommation relèvent une inquiétante remontée des impayés depuis le début de l’année. L’effet de crise est passé par là.

L'Economiste 21/04/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 10 Icon_minitimeVen 23 Avr - 9:04

MONETIQUE : Chiffres à fin mars 2010

Fait : Forte progression des opérations par cartes bancaires.

Analyse : Au terme du premier trimestre 2010, le nombre de transactions par cartes bancaires totalise 36,7 millions pour un montant global de MAD 31,2 Md, en progression de 18% comparativement à le même période en 2009. Pour leur part, les cartes émises par les banques se bonifient de 6% à plus de 6,3 millions de cartes. Par catégories, les cartes marocaines accaparent 35 millions de transactions pour un total de MAD 28,0 Md. De leur côté, les cartes étrangères totalisent 1,7 millions de transactions pour MAD 3,0 Md.
Par ailleurs, le parc de GAB se renforce de 100 unités installées au courant du premier trimestre 2010 pour atteindre 4 244 GAB répartis sur 254 localités.

Conclusion : Profitant pleinement de la démocratisation de la carte bancaire, à travers notamment une campagne publicitaire incitative, le nombre de transactions bancaires fait état d’une évolution favorable au T1 2010.

BMCE Capital Bourse

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 10 Icon_minitimeMar 20 Avr - 15:51

La SFI et Bank Al Maghrib s'associent pour faciliter l'accès au financement des petites entreprises au Maroc et en Asie centrale

La Société financière internationale (SFI) s'est associée à Bank Al-Maghrib pour contribuer à faciliter l'accès au financement des petites entreprises au Maroc et en Asie centrale, en favorisant la création de crédit bureau privé et la régulation nécessaire à stimuler les prêts bancaires dans le secteur privé.

Dans ce cadre, les deux institutions ont organisé récemment un voyage d'étude au profit de 28 membres de banques centrales, parlements, associations de prêteurs, banques et institutions de microfinances de l'Azerbaïdjan, de la République du Kyrgystan et du Tadjikistan, indique un communiqué de la SFI, parvenu vendredi à la MAP.

Les participants ont tiré profit de l'expérience du Maroc, dont le premier crédit bureau privé (centrale risque) a été créé en octobre 2009, et de la manière de mettre en place et de renforcer un système reporting sur les crédits, précise la SFI, une filiale du groupe Banque mondiale, chargée des opérations avec le secteur privé.

Ils ont visité, à cette occasion, Bank Al Maghrib et son registre public de crédit, le premier bureau de crédit privé au Maroc, plusieurs banques de la place et Al Amana, une institution de microfinance, avant de prendre part à un atelier d'une journée sur la mise en place de crédit bureau privé, rappelle la SFI.

La SFI et Bank Al Maghrib avaient déjà travaillé sur l'évaluation du registre de crédit et de la pertinence de la mise en place d'un crédit bureau privé (Experian), précise la même source.

La filiale du groupe Banque mondiale rappelle qu'elle a engagé, depuis juin dernier, 693 millions de dollars au Maroc et alloué environ 515 millions de dollars en syndication. Elle a également engagé au cours de l'exercice 2008-2009, près de 256 millions de dollars dans sept projets.


MAP

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 10 Icon_minitimeMar 20 Avr - 15:43

Climat des affaires : Les opérateurs plutôt satisfaits

D'après les opérateurs, le climat général des affaires est en train de s'améliorer au fil des mois. En effet, selon la dernière enquête de conjoncture de Bank Al-Maghrib relative aux trois premiers mois de l'année 2010, le climat général des affaires a été jugé bon par les chefs d'entreprise, pour le deuxième trimestre consécutif.

Ainsi, 39% des industriels ont considéré que le climat général des affaires est bon, contre 48% qui l'ont vu plutôt moyen et 13% l'ont jugé médiocre. Cette bonne perception du contexte des affaires a concerné l'ensemble des branches, à l'exception de ceux des industries du textile et du cuir. Cette amélioration du climat des affaires devra se poursuivre au cours du deuxième trimestre, et ce, pour l'ensemble des branches, notamment pour les industries chimiques et parachimiques et les industries électriques et électroniques, ont estimé les opérateurs enquêtés par les analystes de la banque centrale. Dans le détail, et s'agissant des conditions de production, les chefs d'entreprise sont majoritairement satisfaits quant à l'approvisionnement, puisque 91% d'entre eux estiment que celui-ci a été normal durant le premier trimestre 2010. C'est donc un nombre limité d'entreprises qui ont fait face aux difficultés d'approvisionnement, notamment au niveau des industries du textile et du cuir et des industries agro-alimentaires.

Pour le niveau des stocks de matières premières détenus par les entreprises, il est à son niveau habituel dans l'ensemble des branches, d'après les opérateurs enquêtés. Mais les secteurs d'activité ne présentent pas la même situation. En fait, alors que dans les industries électriques et électroniques, le niveau des stocks est supérieur à la normale, dans les industries du textile et du cuir, il est inférieur à la normale et quasiment normal dans les autres branches.

L'indicateur de l'effectif employé est également bien orienté, enregistrant une progression. Et c'est notamment au niveau des industries électriques et électroniques et les industries chimiques et parachimiques que l'on a assisté à une augmentation des effectifs, au moment où une quasi-stabilité est enregistrée dans les industries agro-alimentaires et une baisse des effectifs est observée dans les autres branches. Cette tendance positive devra se poursuivre à court terme, dans toutes les branches, à l'exception des industries du textile et du cuir. Pour le climat social, il est jugé calme en général, d'après 95% des chefs d'entreprise enquêtés, alors que 5% l'ont jugé tendu, notamment dans les industries du textile et du cuir. En ce qui concerne les coûts de production, ils se sont renchéris au cours du premier trimestre, selon les opérateurs, en hausse de 12 points de pourcentage d'un trimestre à l'autre, et ce, dans l'ensemble des branches, particulièrement les industries électriques et électroniques.

Ce renchérissement a été évident notamment au niveau des coûts des matières premières non énergétiques qui se sont accrûs avec un solde d'opinion de 55% ainsi que les coûts financiers avec 34%. Pour les coûts salariaux et ceux énergétiques, ils ont augmenté avec des soldes d'opinion de 31% et de 15% respectivement.

Sur le plan sectoriel, en plus des coûts des matières premières qui ont constitué, d'après l'enquête de BAM, la principale source de l'augmentation du coût unitaire de production dans toutes les branches, les coûts financiers ont été la deuxième source de hausse selon les opérateurs dans les industries chimiques et parachimiques, ainsi que ceux des industries du textile et du cuir. Pour les industries électriques et électroniques et les industries agroalimentaires, c'est le niveau des salaires qui a constitué le second facteur de hausse des coûts.

Financement bancaire
L'accès au financement bancaire a été jugé normal par 75% des industriels, difficile par 20% et facile par 5%, soit un solde d'opinion négatif de 15%, en amélioration de 17 points de pourcentage d'un trimestre à l'autre. Cette situation recouvre des écarts entre branches. En fait, l'accès au financement bancaire a été considéré difficile dans les industries du textile et du cuir et dans les industries chimiques et parachimiques, alors qu'il a été jugé facile dans les autres branches.
Les opérateurs enquêtés estiment qu'au cours de la période considérée, le coût du crédit a augmenté dans l'ensemble des secteurs, particulièrement dans les industries du textile et du cuir et les industries électriques et électroniques.

Le Matin 20/04/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 10 Icon_minitimeMar 20 Avr - 15:40

Le réseau des GAB franchit la barre des 3.500

A fin 2009, le nombre de guichets automatiques bancaires (GAB) s’est établi à 3538. Crédit Populaire du Maroc arrive en tête avec 850 guichets contre 791 pour Attijariwafa bank. BMCE Bank liste pour sa part 555. La région du Grand Casablanca concentre le tiers du parc avec 1.036 guichets. Loin derrière, les régions de Rabat et l’Oriental répertorient respectivement 399 et 313 GAB.

L'Economiste 19/04/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 10 Icon_minitimeMar 13 Avr - 10:10

Crédit à la consommation: Hausse des créances en souffrance

L'encours brut des crédits à la consommation s'est établi à 39,4 milliards de dirhams au titre de 2009, soit une progression de 3,2 milliards ou 9%. La part du lion revient, comme toujours d'ailleurs, aux prêts personnels avec un encours brut de 24,3 milliards de dirhams. Ce genre de crédit, appelé généralement prêt non affecté, a enregistré aussi la plus forte progression en évoluant de 12,1%, soit 2,6 milliards de plus. Bien évidemment, la facilité d'avoir des crédits personnels et le fait que l'emprunteur peut l'utiliser comme il le souhaite, sont pour quelque chose. En deuxième position se trouve le crédit automobile avec 13,4 milliards de dirhams, en hausse de 1 milliard ou 8,2%. Le crédit d'équipement domestique et “autres crédits” se sont élevés à 1 milliard de dirhams, en recul de 291 millions ou 22,3%. Le crédit revolving s'est inscrit également en baisse en atteignant 672 millions de dirhams, soit 16 millions de moins ou -2,3%. Par nombre de dossiers, c'est le crédit automobile qui a connu la forte progression. 179 715 demandes de financement d'acquisition de véhicules ont été enregistrées à fin 2009, contre 170 487 une année auparavant, soit une hausse de 5,4%. En passant de 925155 à 967018 dossiers déposés, les demandes de prêts personnels ont augmenté de 4,5%. Les deux autres genres de crédits ont connu une décroissance des demandes de l'ordre de -8,0% pour l'équipement domestique et autres crédits, et de -9,8% pour le revolving. Pour rappel, en 2008, l'encours brut global, de plus de 36 milliards, avait progressé de 5,4 milliards ou 17,7% par rapport à fin 2007. Cela étant, en 2009, les créances en souffrance ont connu une croissance de 13,7% ou 567 millions, portant le stock de ces créances à 4,7 milliards de dirhams. Toutefois, aux yeux de l'association professionnelle des sociétés de financement (APSF), cette hausse est peu significative et ne remet pas en cause la tendance de fond de l'amélioration de la qualité du portefeuille des sociétés de crédit à la consommation. Il faut dire qu'à partir de 2003, la part de l'encours des créances en souffrance dans l'encours global des crédits à la consommation a entamé une tendance baissière. Elle est passée ainsi d'un pic de 19,5% en 2003, à 15,7% en 2006, 12,8% en 2007 et 11,4% en 2008. Cette évolution s'est produite grâce à l'adoption de méthodes de «Scoring», le recours depuis 2002 au Système d'Aide à l'Appréciation du Risque (SAAR) mis en place par l'APSF, mais aussi l'extension au secteur des sociétés de financement des règles de classification et de provisionnement de ces créances. Actuellement, le taux des créances en souffrance est de l'ordre de 11,9%. Auprès des professionnels, plus d'un facteur explicatif est mis en exergue. Le principal est le contexte concurrentiel accru dans lequel opèrent les sociétés de crédit à la consommation. Ce qui pousse, en principe, les opérateurs à prendre plus de risques en surestimant parfois la capacité d'endettement des emprunteurs. En outre, les sociétés de financement n'ont pas le droit de passer par pertes les créances compromises qui ont plus de 8 ans d'âge, contrairement aux banques. Si la Direction générale des impôts (DGI) avait autorisé ce réaménagement comptable, le taux des créances douteuses aurait perdu certainement quelques points.

Lutte contre le surendettement
Pour lutter contre le surendettement des fonctionnaires qui recourent au crédit à la consommation, le niveau de leur salaire préservé a été revu à la hausse par l'APSF à partir du 1er janvier 2009. En accord avec la Trésorerie Générale du Royaume, partenaire historique des sociétés de crédit à la consommation pour ce qui est du crédit aux fonctionnaires, le salaire préservé, hors allocations familiales et hors indemnités de représentation, a été porté, en effet, de 1.000 dirhams à 1.500 dirhams. «Ce relèvement procède d'un arbitrage difficile entre préserver un salaire suffisamment élevé et ne pas exclure, ce faisant, toute une frange de la population des fonctionnaires du circuit du crédit moderne et la jeter dans les bras des usuriers», explique-t-on auprès de l'association professionnelle.

Le Matin 13/04/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 10 Icon_minitimeMar 13 Avr - 9:22

Jusqu'à quand la Banque centrale volera-t-elle au secours des banques ?

Avec un coefficient d'emploi de ressources de 92%, le secteur est au bord de l'asphyxie.
Les dépôts évoluent moins vite que les crédits et la détérioration des comptes extérieurs est venue aggraver la situation
Obligations subordonnées, certificats de dépôt, titrisation…, la sortie du schéma classique de refinancement est inévitable.


Les banques peuvent souffler ! Elles viennent de recevoir une énième bouffée d’oxygène qui vaut 9 milliards de DH ! C’est le montant libéré, c’est-à-dire en mesure d’être transformé en crédit, suite à la baisse du taux de la réserve monétaire qui est passé de 8% à 6% décidée par Bank Al Maghrib, lors de la dernière réunion de son conseil tenue le 30 mars. Cette mesure, entrée en vigueur le 1er avril, est la troisième du genre prise en moins d’une année pour venir en aide à un marché dont la sous-liquidité menace d’asphyxier le financement de l’économie. Le taux avait été ramené de 15% à 12% en janvier 2009 avant de fléchir de 2 points successivement le 1er juillet 2009 et trois mois plus tard (voir graphe ci-contre sur l’évolution du taux depuis 1990). C’est dire que la pression est grande, et, à chaque conseil de BAM, on s’attend à une nouvelle décision. Et pourtant, depuis plusieurs mois, la Banque centrale injecte, en moyenne hebdomadaire, 19 milliards de DH sur le marché monétaire par le biais des appels d’offres alors que le montant demandé dépasse allègrement 30 milliards. La persistance de cette situation tient au fait que le coefficient d’emplois de ressources du secteur a atteint 92% en janvier 2010, soit près de 5 points de plus par rapport à l’égale période de l’année précédente. En comptant la réserve obligatoire, il ne reste plus de marge. Evidemment, cette situation n’est pas statique : la situation de trésorerie évolue au jour le jour en fonction des recouvrements et de l’évolution de la collecte des ressources.
Or, c’est justement à ce niveau que pèchent les banques. Depuis presque deux ans, les dépôts de la clientèle, qui en constituent l’essentiel, évoluent mollement, alors que, même s’il a beaucoup ralenti, le rythme de progression des crédits reste soutenu. A fin janvier, les dépôts de la clientèle avaient crû de 1,43% par rapport au mois précédent, à 581 milliards de DH. En glissement annuel, ils n’avaient cependant progressé que de 4,53%, alors que la demande de crédit s’était appréciée de 11,6%. Précisons-le, tous les établissements ne sont pas logés à la même enseigne; certains sont beaucoup plus à l’aise que d’autres, mais en l’état actuel de la situation, tous risquent de se retrouver à moyen terme face au même obstacle.

Le financement du Trésor en dirham réduit le potentiel de ressources
Ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé que les banques n’ont pas pu mobiliser suffisamment de ressources auprès de la clientèle. Si l’on y ajoute les comptes chèques postaux (CCP) et ceux de Caisse d’épargne nationale (CEN), le taux de bancarisation dépasse 40% contre 30% environ cinq ans plus tôt. Des investissements importants ont été réalisés pour recruter de nouveaux clients. Rien qu’en 2009, 400 nouvelles agences ont été ouvertes, pour atteindre un ratio d’une agence pour 9 000 habitants. Le secteur essaie, même de manière concomitante, de séduire la catégorie de la population encore en dehors du système avec son tout nouveau Low Income Banking. Dans l’ensemble, le revenu national brut disponible croît régulièrement à une cadence plus élevée (+7,5% en 2007 et +11,2% en 2008) que le taux d’accroissement naturel de la population qui est de l’ordre de 14 pour mille. Le problème est que la propension à consommer reste scotchée autour de 71% (55% pour les ménages et 16% pour les administrations) et le taux d’épargne en dessous de 30%. Cette situation n’est pas nouvelle. On peut même avancer, sans risque d’être contredit, que l’économie s’en sort mieux qu’il y a dix ans et plus, quand le crédit était carrément rationné.
De fait, la faible progression des dépôts est davantage expliquée par des facteurs externes que l’on retrouve, entre autres, au niveau de la balance courante déficitaire de l’ordre de 36 milliards de DH en 2008 et 2009 (voir page 28). Par poste, il y a d’abord le tassement des transferts des Marocains résidents à l’étranger (MRE) qui sont recyclés en grande partie en dépôts à terme ou en comptes d’épargne. Ensuite, le déficit de la balance commerciale qui s’est creusé au cours des dernières années se traduit par une dépréciation des ressources bancaires potentielles. A ce propos, un ancien directeur de salle des marchés d’une banque de la place souligne qu’il était possible, il y a deux ou trois ans, de financer les importations en empruntant en devises et de rembourser une fois les recettes d’exportation récoltées. Cette pratique qui avait un impact quasi nul sur la structure des dépôts et des crédits est maintenant beaucoup plus difficile parce que les banques occidentales ont également des soucis de trésorerie.
Autres facteurs invoqués, l’augmentation progressive des dotations voyages, le repli des recettes voyages consécutif à la morosité de l’économie mondiale et, dans une certaine mesure, la hausse des rapatriements des dividendes des investisseurs étrangers et/ou des désinvestissements. La même source conclut que le manque de liquidité persistera tant que la balance courante sera déséquilibrée. Elle ajoute un autre élément que beaucoup ne soupçonnaient pas : le choix du Trésor, depuis quelques années, de privilégier le financement en dirham. Ici, il n’est pas question d’effet d’éviction, l’idée est que les devises empruntées sur le marché international se retrouveraient dans le circuit financier et, par conséquent, iraient gonfler, pour un moment, les ressources bancaires.
Aujourd’hui, il est pourtant peu probable que Bank Al Maghrib, soucieux de la stabilité des prix, consent à nouveau à raboter le taux de la réserve monétaire. La grande équation est qu’il faudra bien trouver les moyens de financer l’économie.

Une alternative : lever des fonds à travers les certificats de dépôt et les obligations
L’équation est d’autant plus corsée qu’en face des crédits dont la durée s’allonge significativement (financement des gros investissements et de l’immobilier) les banques marocaines ne disposent que de ressources à court terme contrairement à leurs homologues européennes qui peuvent s’appuyer, notamment, sur les obligations foncières ou les plans d’épargne logement. Une alternative consiste donc à lever des fonds à travers l’émission de certificats de dépôt et ou d’obligations subordonnées. Mais pour ce faire, il faudra forcément densifier les fonds propres qui conditionnent la capacité d’endettement et, dans l’autre sens, celle de pouvoir consentir des crédits à l’aise en respectant les normes prudentielles, en particulier le ratio Mc Donough (anciennement appelé ratio Cooke) qui est de 8% (fonds propres rapportés aux engagements pondérés en fonction du niveau de risque). Ceci passe nécessairement par une augmentation de capital par apport en argent frais ou par une répartition moins généreuse des dividendes.
A cet égard, notons que le taux de distribution des banques cotées se situe à 43,5% en 2008 et 2009, soit 2,37 et 2,56 milliards de DH pour les actionnaires. Il est certes légitime de profiter de ses placements, mais dans le contexte actuel un petit sacrifice permettrait de repartir sur des bases plus saines. A moins que les entreprises veuillent bien se financer directement sur le marché à travers les appels publics à l’épargne.



Comparaison : Réserve monétaire, quel taux standard ?


La réserve obligatoire est un instrument de politique monétaire. Les autorités monétaires font varier le taux en fonction de leur volonté à limiter ou non l'expansion du crédit et par extension pour réguler l'évolution des prix. Par exemple, au Maroc, si une banque collecte 100 DH en ressources, elle doit en déposer 6 à Bank Al Maghrib. Ce calcul est purement schématique parce que toutes les ressources ne sont pas prises en compte dans le calcul. Dans la zone euro, il s'agit des dépôts, de titres de créance et instruments du marché monétaire, dont les échéances sont inférieures à deux ans. En outre, il n'y a pas de taux standard unanimement appliqué à travers le monde. Chaque système monétaire agit en fonction de sa politique économique. Dans la zone euro, le taux de cette réserve obligatoire est de 2% depuis février 2010. En Chine, après avoir été relevé à 11% en décembre 2009, il est passé à 12% à fin février dernier.
Les sommes déposées peuvent être rémunérées ou non selon les pays. Au Maroc, le taux d'intérêt servi est de 0,75%. Bank Al Maghrib n'a commencé à rémunérer ces dépôts que depuis décembre 2002, en commençant par 0,50% avant de remonter à son niveau actuel en septembre de l'année suivante. Dans la zone euro, ces réserves obligatoires sont rémunérées à un niveau correspondant à la moyenne du taux d'intérêt marginal des opérations principales de refinancement de l'Eurosystème, soit 1% en début d'année.


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12-04-2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 10 Icon_minitimeLun 12 Avr - 8:53

ASSURANCES : Prochaine levée de toute restriction d’investissement

Fait : Vers plus d’investissement dans l’immobilier.

Analyse : Selon l’Economiste, la Direction des Assurances et de la Prévoyance Social –DAPS- aurait décidé de lever la restriction d’investissement des compagnies d’assurances. Dans ce sillage, les assurances, parties prenantes d’un fonds exclusivement dédié à l’immobilier, pourrait placer leurs actifs sans restriction dans tout type d’immobilier en admission de leurs réserves techniques.
Ce nouveau dispositif pourrait dégager un matelas financier de MAD 57 Md à raison de 30% pour les réserves techniques et 15% pour les actions non cotées (libres) des compagnies d’assurance.
Rappelons qu’actuellement une compagnie d’assurance désirant investir dans l’immobilier devait pour chaque action ou émission demander une autorisation renouvelable chaque année à la DAPS. Dorénavant l’autorisation serait donnée par projet sous réserve de l’homologation du projet par le Ministère de l’Industrie.

Conclusion : Cette mesure devrait non seulement offrir de nouvelles opportunités de placement pour les compagnies d’assurance mais également donner un véritable coup de fouet au secteur immobilier.

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