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 Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 16 Icon_minitimeMar 2 Fév 2010 - 9:10

Crédits: Ralentissement confirmé en 2009

Nette décélération des crédits alloués à l’économie. A fin 2009, ils ressortent à 579 milliards de DH, en progression de 9,1%, contre 23 % en 2008. C’est en substance ce qui ressort des dernières statistiques monétaires de Bank Al-Maghrib (BAM). Comme nous l’annoncions dans notre édition du mercredi 27 janvier, les banques ont bel et bien resserré les vannes du crédit au cours de l’année écoulée. Et pour cause, les prêts qu’elles ont accordés aux entreprises et aux particuliers se sont établis à 516 milliards de DH. Ce résultat est imputable à la légère baisse de 1% des crédits de trésorerie contre une performance de 22% en 2008. Parallèlement, BAM relève une importante décélération des prêts immobiliers et à la consommation. Leur rythme de croissance s’est affiché respectivement à 12,8 et 18,8% contre une évolution de 27,5% chacun l’année précédente. D’un mois à l’autre, les crédits à l’immobilier se sont certes limités à 172 milliards de DH, soit 2 milliards de mieux qu’en novembre. Les crédits à l’équipement, pour leur part, avancent de 6 milliards de DH pour s’établir à 125 milliards de DH. Quant aux crédits à la consommation, la tendance est moins bonne. Entre novembre et décembre, ils progressent de 200 millions de DH à 30 milliards de DH. Pour leur part, les créances nettes sur l’Etat ont augmenté de 6%, compte tenu de l’accroissement du portefeuille d’effets publics détenu par les banques, est-il indiqué. A contrario, les avoirs extérieurs nets enregistrent une baisse de 3,6%. Une baisse attribuée à la contraction des avoirs extérieurs nets de BAM et ceux des banques. Les créances en souffrance ont légèrement baissé à fin décembre pour s’afficher à 31 milliards de DH. En tenant compte de la moyenne mobile sur 12 mois, les créances en souffrance ont progressé de 11,38%. Dans ces conditions, l’agrégat de monnaie M3 ralentit à 4,5% contre 10,8% en 2008. Quant aux agrégats de placements liquides, ils enregistrent une hausse de 36,3%, principalement sous l’effet de l’accroissement des titres d’OPCVM obligataires et monétaires, respectivement de 50,5 et 35,4%. En revanche, les titres émis par les OPCVM actions et diversifiés se déprécient de plus de 25%.

L'Economiste 01/02/2010
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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 16 Icon_minitimeMar 2 Fév 2010 - 9:09

Monétique: Paiement en ligne, un marché en expansion

Ce n’est pas encore la révolution du paiement en ligne, mais ça ne saurait tarder. A fin 2009, le paiement en ligne par carte bancaire a généré un flux de 104,5 millions de DH contre environ 30 millions en 2008. Un résultat qui dépasse de loin les prévisions du Centre monétique interbancaire (CMI), soit 70 millions de DH. La montée fulgurante des transactions par internet est imputable notamment à la multiplication des établissements qui proposent ce mode de paiement, soit 70 contre 10 en 2008. Maroc Telecom, Lydec, Meditel, Jet4you, Air Arabia ou encore la Trésorerie générale du Royaume offrent, depuis 2009, cette possibilité de paiement à leur clientèle. Veolia prévoit également une plateforme identique au cours de cette année. «En 2007, nous devions justifier l’intérêt de ce service auprès des chefs d’entreprises. Aujourd’hui, c’est le contraire. Les patrons s’y intéressent de plus en plus», relève Samira Gourroum, directrice business développement à Maroc Telecommerce. Au-delà du simple clic, le e-paiement soulage des longues files d’attente pour honorer des factures notamment. Plus de 20.000 factures Lydec ont été réglées via internet en 2009, indique Abdellah Talib, directeur du développement durable. Méditel, en dehors du paiement des factures, propose également la vente de cartes de recharge en ligne. Selon nos informations, un second opérateur télecom devrait développer le même service au cours de l’année. Les perspectives de développement de ce mode de paiement restent, ainsi, importantes. D’autant plus que peu de domaines d’activités s’y sont intéressés jusqu’à présent. «Des programmes de paiement en ligne sont en cours de réalisation avec des opérateurs du secteur pharmaceutique», indique Gourroum. Le service pourrait également s’étendre au secteur de la grande distribution. Dans le meilleur des cas, on en arriverait à faire ses courses devant son ordinateur. Dénommé «drive in», le concept permet au client de commander ses marchandises sur internet avant d’aller les chercher déjà empaquetées dans une zone dédiée. Il est déjà expérimenté dans certains pays. Le consommateur marocain est-il prêt à accepter ces changements, lui qui aime manipuler ce qu’il achète? Par ailleurs, l’évolution du e-paiement est conditionnée par l’équipement des foyers d’un ordinateur et d’une connexion internet. Il s’agit également de dissiper les craintes des usagers, quant à la sécurité des transactions. «Celles-ci ne passent pas par internet mais via une ligne sécurisée», assure Lydec. Aussi, « la réglementation en matière d’utilisation de la carte bancaire protège encore plus le client», ajoute Gourroum. De fait, le risque zéro n’existe pas.

L'Economiste 01/02/2010
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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 16 Icon_minitimeMar 2 Fév 2010 - 9:08

Le FMI veut lancer un fonds vert

Le Fonds monétaire international (FMI) travaille à la création d'un fonds vert doté d'un montant pouvant aller jusqu'à 100 milliards de dollars par an pour aider les pays à faire face aux changements climatiques, selon un communiqué.

"Le FMI travaille (...) à un "fonds vert" de plusieurs milliards de dollars-qui pourra atteindre 100 milliards de dollars par an d'ici à quelques années- capable de fournir les montants énormes nécessaires aux pays pour faire face aux changements climatiques", explique le FMI. Estimant important de se montrer "créatif" sur ces questions devenues cruciales, le directeur de l'institution, Dominique Strauss-Kahn, a détaillé samedi le projet lors d'une session du Forum économique mondial (WEF) organisé à Davos (est de la Suisse). L'idée, a-t-il expliqué, est partie du constat que ce ne sont pas seulement les pays en développement qui n'ont pas les moyens de lutter contre le réchauffement climatique. La capacité des pays développés est également limitée par les problèmes budgétaires nés de la crise économique, a relevé M. Strauss-Kahn. "Je ne peux pas croire qu'il n'y ait pas de solution à ce gigantesque problème", a-t-il martelé rappelant que "le nouveau modèle de croissance économique devait être faible en émissions" de gaz à effet de serre. Le FMI va en conséquence lancer des discussions avec les banques centrales et les ministres des Finances sur la faisabilité de ce projet, a indiqué l'institution dans son communiqué. Le financement pourrait provenir des instruments détenus par le FMI, soit une diffusion supplémentaire de droits de tirages spéciaux (DTS), a-t-il précisé. Les DTS ont été créés en 1969 par le FMI pour compléter les réserves officielles existantes des pays membres. Quant à l'ampleur du montant évoqué, M. Strauss-Kahn l'a justifié en expliquant que 100 milliards de dollars était la somme de référence pour rendre les économies moins consommatrices en énergies polluantes. Le directeur du FMI avait déjà annoncé vendredi son intention de faire cette proposition lors du WEF. "Je ne doute pas qu'elle aura beaucoup de critiques (...). Mais on ne peut pas vouloir traiter une question aussi majeure que cette question du changement climatique avec des instruments traditionnels", avait-il expliqué au cours d'un entretien avec la chaîne France 24. L'annonce a été malgré tout saluée par l'ONG fondée par le chanteur du groupe de rock irlandais U2, Bono, qui y voit "un développement significatif et positif qui (...) pourrait sérieusement aider à catalyser le financement d'une transition vers une croissance économique verte dans les pays développés".

Ottawa s'aligne sur Washington
Le ministre canadien de l'Environnement, M. Jim Prentice, a indiqué samedi à Calgary (ouest) que son pays s'alignera sur les objectifs des Etats-Unis en matière de réduction de gaz à effet de serre (GES). Ottawa se donne ainsi pour objectif de réduire ses émissions de GES de 17 % d'ici 2020, en prenant 2005 comme année de référence, comme il l'avait déjà évoqué à la dernière conférence de Copenhague. Cette cible «est conforme à notre engagement» pris lors de la conférence de Copenhague et ce, pour «aligner nos politiques avec celles de nos partenaires du continent», a dit M. Prentice. Le ministre a fait cette annonce un jour avant la date limite donnée aux pays signataires de l'Accord de Copenhague pour faire connaître leur position et soumettre leurs chiffres à l'ONU. Il s'agit de la première étape d'une année de négociations qui culminera au prochain grand rendez-vous sur le climat qui aura lieu au Mexique, à la fin de novembre. M. Prentice a averti qu'il ya encore beaucoup de travail à faire pour que tous les grands pollueurs acceptent des réductions de GES.

AFP 02/02/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 16 Icon_minitimeMar 2 Fév 2010 - 9:04

Maroc–Banque mondiale: Un nouveau cadre pour renforcer le partenariat

En fin de semaine dernière, le Conseil d'administration du Groupe Banque mondiale a approuvé, à l'unanimité, la nouvelle Stratégie de partenariat avec le Maroc (CPS – Country Partnership Strategy) pour les quatre prochaines années (2010-2013). Cadre de coopération flexible, qui définit les axes du programme de développement sur lesquels le gouvernement marocain, la Banque mondiale et la SFI (Société financière internationale), la nouvelle stratégie soutient trois axes thématiques qui embrassent les priorités de développement du Royaume.

Outre le renforcement de la croissance, la compétitivité et l'emploi ainsi que l'amélioration de l'accès aux services de base, ce CPS vise à assurer un développement soutenable dans un contexte de changement climatique. La gouvernance et la territorialité constituent deux thèmes transversaux prioritaires. Aussi celui-ci propose-t-il un scénario de financement avoisinant 600 millions de dollars par an. Ce financement complémente les travaux d'assistance technique et de transfert de connaissances qui structure le programme de la Banque mondiale au Maroc. La SFI concentrera ses contributions d'investissement et de conseil, en priorité dans le domaine du secteur financier et des infrastructures. En concomitance avec l'approbation du nouveau CPS, le conseil d'administration a également approuvé un Prêt de politiques de développement (PPD), d'un montant de 200 millions de dollars, pour l'amélioration de l'accès aux services financiers au Maroc. Avec un appui financier et technique, ce deuxième PPD pour l'appui au développement du secteur financier a pour objectif de soutenir les efforts du gouvernement dans l'élargissement de l'accès des ménages et des petites et moyennes entreprises au financement, tout en préservant la stabilité du système financier. Un accent particulier sera porté sur le renforcement de la régulation et la supervision financière et sur la gestion efficace des risques. Pour Mats Karlsson, directeur du Département Maghreb à la Banque mondiale, «ce CPS reflète le partenariat solide qui existe entre le gouvernement marocain et l'institution. La Banque mondiale s'est engagée à accompagner le Royaume dans son processus de réformes, à appuyer son agenda de développement et à mettre son savoir et son expérience internationale au service de l'ensemble du pays». Selon lui, le Maroc a entrepris plusieurs réformes concluantes et judicieuses aussi bien au niveau politique, économique que social, permettant ainsi une plus forte croissance et une réduction de la pauvreté tout en favorisant une meilleure intégration régionale et internationale. «Le secteur financier marocain est en tête de file des plus performants de la région du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord, de par sa forte résistance aux chocs externes. Avec ce PPD, de nouvelles réformes vont être lancées pour renforcer le positionnement du secteur et en élargir l'accès», a estimé M. Karlsson. Mettant en exergue le processus de réformes mené par le Maroc et les prudentes politiques macro-économiques, la gestion de la dette publique, les administrateurs de l'organisme financier international ont fait montre de leur satisfecit quant aux succès dans le domaine des réformes structurelles au cours des années passées. Ils ont par ailleurs réitéré que le Maroc reste confronté au défi d'accélération du rythme de croissance, de création d'emploi, et de compétitivité, et au besoin de renforcer rapidement ses résultats en matière de santé, d'éducation et de protection sociale. Le CPS assure la continuité de l'appui du Groupe Banque mondiale au Maroc en développant les opportunités d'extension de son engagement et son élargissement à de nouveaux domaines.

Partenariat mais non assistance
Au même titre que les CAS (Country Assistance Strategy - Stratégie de Coopération), les CPS sont structurés le long d'un cadre logique qui vise à aligner les défis identifiés, les objectifs recherchés et les choix programmatiques, en mettant l'accent sur le suivi et l'évaluation au sein des programmes proposés. Centré sur la notion de partenariat et non sur celle d'assistance, le CPS se distingue du CAS par sa flexibilité. Ainsi, il ne propose pas de décliner des scénarios de collaboration préétablis et rigides mais se limite plutôt à retenir des directions stratégiques et des programmes indicatifs de prêts et d'activités analytiques à court terme. La collaboration étroite doit présider au choix des programmes, dans le cadre du dialogue avec le gouvernement.

Le Matin 02/02/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 16 Icon_minitimeMar 2 Fév 2010 - 8:56

CREDITS A L’ECONOMIE : Accroissement de 9,3% à MAD 579,2 Md à fin 2009

Fait : Publication des statistiques de BANK AL MAGHRIB à fin 2009.

Analyse : Selon BANK AL MAGHRIB, les crédits à l’économie marquent à fin décembre 2009 une progression de 9,3% à MAD 579,2 Md comparativement à une année auparavant. Cette évolution demeure attribuable à l’évolution des crédits immobiliers, des crédits à l’équipement et des crédits à la consommation, lesquels affichent des progressions respectives de 12,8% à MAD 172,3 Md, de 29,1% à MAD 125,1 Md et de 18,8% à MAD 29,8 Md.
Pour leur part, et dénotant de la prudence des banques marocaines, les créances en souffrance se replient de 0,6% à MAD 31 Md, fixant un taux de contentieux de 6% (contre 6,7% en 2008).

Conclusion : En dépit d’un contexte de crise économique marqué par une montée des risques, les crédits bancaires affichent une évolution saine et honorable en 2009.

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 16 Icon_minitimeMar 2 Fév 2010 - 8:53

MONETIQUE : Forte croissance des opérations par cartes bancaires en 2009

Fait : chiffres du secteur à fin 2009.

Analyse : Au terme de l’année 2009, le total des opérations effectuées par cartes bancaires s’élève à 138 millions pour un montant global de MAD 119,0 Md, en progression de 16,3% comparativement à une année auparavant.
Cette forte croissance des opérations par cartes bancaires a été accompagnée par l’émission en 2009 de 6 millions de cartes (+20,3%) et l’élargissement de 14,2% du parc national de GAB à 4 144 unités couvrant 254 localités.

Conclusion : Traduisant les efforts déployés par le système bancaire national en matière de diversification des modes de paiement, l’accroissement rapide des transactions par cartes bancaires reflète le niveau de développement et de modernisation du secteur à travers la montée en puissance de la monétique.

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 16 Icon_minitimeLun 1 Fév 2010 - 9:04

Banque mondiale: Une nouvelle stratégie pour le Maroc

Du renfort pour le système financier marocain. La Banque mondiale vient, en effet, d’engager un prêt de 200 millions de dollars, soit l’équivalent de 1,7 milliard de DH afin d’élargir l’accès aux services financiers au Maroc. Ce prêt de politique de développement (PPD), qui a été approuvé par le conseil d’administration de la BM du mercredi dernier, a pour objectif de soutenir l’accès au financement des ménages et des petites et moyennes entreprises. «Le tout, en préservant la stabilité du système financier», explique-t-on auprès de l’institution. A cet effet, l’accent sera particulièrement mis sur le renforcement de la régulation et la supervision financière ainsi que la gestion des risques. A ce titre, Mats Karlson, directeur du département Maghreb à la Banque mondiale, confirme que le «secteur financier marocain est en tête de file des systèmes les plus performants dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord en raison de sa forte résistance aux chocs externes». Il a, également, fait observer «qu’avec ce PPD de nouvelles réformes vont être lancées pour renforcer le positionnement du secteur et en élargir l’accès». En parallèle à cette manne, le conseil d’administration de la BM va accorder au Maroc un financement annuel de l’ordre de 5 milliards de DH (600 millions de dollars) sur une durée de 4 années suite à l’adoption de la nouvelle stratégie de partenariat. Ce financement servira, selon la BM, de complément aux travaux d’assistance technique et de connaissance structurant son programme d’intervention au Maroc. Cette nouvelle stratégie, Country Strategy Partnership (CSP), qui sera présentée le 15 février prochain, définit les axes du programme de développement sur lesquels le gouvernement, la BM et la Société financière internationale (SFI) devront travailler de concert. En plus d’identifier les domaines d’intervention de la BM dans le Royaume pour la période de 2010 à 2013, elle soutient trois axes thématiques que sont le renforcement de la croissance, la compétitivité et l’emploi, l’amélioration de l’accès aux services de base tout en assurant un développement soutenable dans un contexte de changement climatique. «Ce soutien est principalement apporté pour faire face aux contraintes structurelles et aux défis à long terme, notamment la mise en œuvre des réformes», est-il précisé au sein de l’institution. Outre la consolidation des objectifs stratégiques de la précédente stratégie de coopération, le CPS privilégie la sélectivité dans l’engagement de la BM et focalise le programme de partenariat sur les activités auxquelles la Banque mondiale peut apporter une valeur ajoutée.

L'Economiste 29/01/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 16 Icon_minitimeVen 29 Jan 2010 - 9:04

Maroc-Banque mondiale: Nouveau cadre pour renforcer le partenariat

Le Conseil d'administration du Groupe Banque mondiale (BM) a adopté, à l'unanimité, la nouvelle stratégie de partenariat avec le Maroc (CPS - Country Strategy Partnership) pour les quatre prochaines années (2010-2013), indique mercredi un communiqué de la BM.

Le CPS est un cadre de coopération flexible, qui définit les axes du programme de développement sur lesquels le gouvernement marocain, la Banque mondiale et la Société financière internationale (SFI) travailleront en partenariat, explique le communiqué, ajoutant que ce cadre identifie les domaines d'intervention du Groupe BM au Maroc. La nouvelle stratégie, souligne la même source, soutient trois axes thématiques qui embrassent les priorités de développement du pays en renforçant la croissance, la compétitivité et l'emploi, en améliorant l'accès aux services de base et en assurant un développement soutenable dans un contexte de changement climatique. Ce CPS, où la gouvernance et la territorialité constituent deux thèmes transversaux prioritaires, assure la continuité de l'appui de l'institution de Bretton-Woods au Maroc en développant les opportunités d'extension de son engagement et son élargissement à de nouveaux domaines, assure-t-on de même source. Outre la consolidation des objectifs stratégiques de la précédente stratégie de coopération (CAS 2005-2009), le CPS privilégie la sélectivité dans l'engagement de la BM et focalise le programme de partenariat sur les activités auxquelles la Banque mondiale peut apporter une valeur ajoutée, lit-on dans ce document. De même source, on précise que cette institution apportera son soutien principalement pour faire face aux contraintes structurelles et aux défis à long terme, notamment en ce qui concerne la mise en œuvre des réformes. Lors de la réunion du Conseil d'administration de la BM, les administrateurs ont salué le processus de réformes mené par le Maroc et félicité le gouvernement pour "la prudence de ses politiques macro-économiques, de sa gestion de la dette publique, et pour les succès que le pays a réalisés dans le domaine des réformes structurelles au cours des années passées". Ils ont, par ailleurs, affirmé que le Maroc reste confronté au défi d'accélération du rythme de croissance, de création d'emploi, de compétitivité et au besoin de renforcer rapidement ses résultats en matière de santé, d'éducation et de protection sociale.

200 millions de dollars pour élargir l'accès aux services financiers
Le Conseil d'administration du groupe Banque mondiale (BM) a approuvé un prêt de politiques de développement (PPD), d'un montant de 200 millions de dollars, pour élargir l'accès aux services financiers dans le Royaume, indique mercredi un ommuniqué de la BM. «Ce deuxième PPD destiné à l'appui au développement du secteur financier a pour objectif de soutenir les efforts du gouvernement (marocain) visant l'élargissement de l'accès au financement des ménages et des petites et moyennes entreprises tout en préservant la stabilité du système financier», explique le communiqué. Un accent particulier sera porté sur le renforcement de la régulation et la supervision financière et sur la gestion efficace des risques, indique-t-on de même source, rappelant que ce projet s'inscrit en droite ligne du Cadre de partenariat stratégique (CPS 2010-2012) et contribuera particulièrement à renforcer la croissance et la compétitivité de l'économie marocaine.

MAP 29/01/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 16 Icon_minitimeVen 29 Jan 2010 - 8:59

Financement: Le Maroc, grand bénéficiaire de la BID

L'institution financière internationale qui s'apprête à organiser trois manifestations au Maroc considère le Royaume parmi les premiers bénéficiaires de ses financements avec une moyenne qui varie entre 400 et 600 millions de dollars par an au cours des quatre dernières années.

Le directeur régional de la BID, Abderrahman El Glaoui, estime que son institution est très active au Maroc même si ses activités ne sont pas très médiatisées à l'instar de celles des grands organismes. « Le Maroc est le plus grand client de la banque. Le rythme de partenariat a augmenté au cours des dernières années », indique-t-il lors d'un point de presse, mercredi dernier à Rabat. En effet, bon nombre de projets de taille ont été financés en grande partie par la Banque. Ainsi à titre d'exemple, peut-on citer la centrale électrique de Mohammedia dont la contribution de la banque était de 180 millions de dollars ainsi que la centrale électrique de Kénitra qui a été financée à hauteur de 140 millions de dollars. Les exemples ne manquent pas selon les responsables régionaux : des projets d'autoroutes, soutien à la création des coopératives, octroi des bourses pour étudiants… «Depuis 2000, la banque accorde des financements conséquents qui peuvent atteindre 80 % de l'enveloppe budgétaire des grands projets», signale le directeur de la BID. Le financement du commerce extérieur selon les techniques islamiques figure également parmi les priorités. Au cours des prochains jours, cette institution financière internationale qui a récemment connu une restructuration globale compte organiser trois activités en collaboration avec les responsables marocains. D'ailleurs selon M.Glaoui, c'est le ministre de l'Economie et des Finances, Salaheddine Mezouar, qui a demandé la tenue de ces manifestations. Ainsi, dimanche prochain à Rabat, un accord de financement d'un projet d'approvisionnement en eau potable de communes rurales à Taza et Fès sera conclu au cours de la tenue du Conseil des directeurs exécutifs de la BID. En outre, un séminaire sur l'expérience du Maroc en matière de construction de petits barrages sera organisé les 1er et 2 février prochain à destination d'experts d'Afrique subsaharienne et du Maghreb. L'idée de cette rencontre selon la BID est de faire bénéficier l'expérience marocaine en la matière aux autres pays. C'est la deuxième fois que la banque islamique organise au Maroc un évènement lié aux barrages après une première manifestation dans les années 80 visant à faire connaître l'expérience pionnière marocaine en la matière. Ce séminaire sera suivi le 2 février d'une journée d'information sur les activités du groupe de la BID, notamment les opportunités offertes au secteur privé marocain. Les opérateurs économiques marocains connaîtront de près la vision de la banque et ses nouvelles stratégies. En effet, cette institution octroie des financements mais selon la chariâa (Ijar, Mourabaha…). Elle peut participer au capital jusqu'à 30 % et offrir des lignes de financements aux banques marocaines. Le Maroc semble avoir une place privilégiée auprès de la BID. Rappelons qu'en 2009, la banque a fait un don de 1 million de dollars pour financer les projets de développement engagés par l'Initiative Nationale pour le Développement Humain (INDH) alors qu'auparavant elle n'a jamais accordé un don de plus de 400.000 dollars.

Profil
Comptant 56 membres, la Banque islamique de développement est une institution financière internationale, créée conformément à la déclaration émanant de la conférence des ministres des Finances des pays musulmans qui s'est tenue en décembre 1973. L'objectif de la BID est de favoriser aux plans individuel et collectif le développement économique et le progrès social des pays membres et des communautés musulmanes dans le monde conformément au droit islamique. Le capital autorisé de la banque est passé en 2006 de 15 à 30 milliards de dinars islamiques (unité de compte qui est équivalent aux droits de tirage spéciaux (DTS) du Fonds monétaire international).

Le Matin 29/01/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 16 Icon_minitimeJeu 28 Jan 2010 - 14:27

Crédits d'investissements publics: 122 milliards de dirhams pour les régions en 2010

Les crédits d'investissements publics tels que répartis selon les régions au titre de l'année 2010 s'élèvent à 122 milliards de dirhams, contre 92 MMDH durant 2009, soit une augmentation de 33 %, a indiqué le ministre de l'Economie et des Finances, Salaheddine Mezouar. Répondant, mardi, à une question orale du groupe haraki, à la Chambre des conseillers, relative au traitement inégalitaire entre les régions dans le budget, le ministre a souligné que le gouvernement a adopté une approche globale de développement en vue d' assurer l'équilibre entre les différentes régions du Royaume, et ce en renforçant la dynamique du développement économique et en activant la réalisation des politiques et des réformes sectorielles. Le ministre a assuré que cette approche s'articule sur le renforcement de la solidarité et de la cohésion aux plans social et spatial, et ce en vue de garantir une meilleure distribution des fruits de la croissance, l'amélioration des indicateurs du développement humain particulièrement dans le monde rural et les zones montagneuses. La concrétisation de cette approche, a précisé le ministre, s'effectue à travers l'accélération de la cadence de réalisation des grands chantiers relatifs notamment aux routes, aéroports, ports, barrages, pôles industriels touristiques, agricoles et des services, en faveur des différentes régions du Royaume. Le ministre a fait remarquer que cette approche vise aussi à renforcer l'attractivité de ces régions, la mise à niveau de leurs infrastructures et la garantie des conditions nécessaires pour la création de pôles compétitifs de développement régional contribuant à la valorisation des potentialités et des ressources qu'elles recèlent.Cette approche, a-t-il ajouté, est mise en oeuvre à travers la délocalisation au niveau régional des stratégies sectorielles adoptées par le gouvernement, et ce pour mettre en valeur les potentialités que renferment les différentes régions, en tenant compte de leurs atouts et spécificités en vue de drainer des investissements et créer des opportunités d'emploi. Il s'agit en outre, a-t-il poursuivi, de réaliser des programmes visant l'amélioration des conditions de vie des citoyens et de rattraper le déficit que connaissent certaines régions, à travers la densification du réseau d'institutions d'enseignement et de santé, l'éradication des bidonvilles, l'amélioration de l'offre de l'habitat social, le développement du transport urbain et la mise en place des infrastructures de base dans le monde rural.Pour la réalisation de ces programmes, il a été procédé à l'adoption d'une méthodologie basée sur la concertation et la contractualisation entre l'Etat et les différents opérateurs économiques et acteurs locaux, avec l'allocation des crédits nécessaires dans le cadre des budgets sectoriels du ministère et des établissements publics à caractère national ou régional, a-t-il expliqué.Pour la programmation des projets, le ministre a indiqué que le gouvernement a adopté un ensemble de critères se rapportant à la facilitation de l'accès aux services et aux équipements de base.
MAP 28/01/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 16 Icon_minitimeMar 26 Jan 2010 - 9:01

BP et Attijariwafa Bank accompagnent le plan Rawaj

Un autre coup de pouce en faveur du plan Rawaj. Les acteurs, cette fois ci, sont deux grandes banques nationales. Il s’agit de la Banque centrale populaire et Attijariwafa bank. Ahmed Reda Chami, ministre de l’Industrie et du commerce a signé, jeudi dernier, avec les patrons de ces banques une convention de partenariat. Pour le ministre, celle-ci s’inscrit dans le cadre d’un programme d’actions pour la concrétisation du plan Rawaj dédié à la mise à niveau et le développement du secteur du commerce. Les conventions de partenariat ont pour objet la définition des modalités de coopération entre les parties signataires, ainsi que le contenu des offres des deux banques. Celles-ci prévoient un pack de bancarisation qui permettra aux commerçants de bénéficier de plusieurs produits destinés à la gestion de leur compte bancaire en bénéficiant d’une décote par rapport aux tarifs pratiqués. Au menu également une facilité de caisse dont le montant est définie selon le niveau de l’activité du commerçant avec possibilité de renouvellement chaque année. Le montant maximum peut atteindre 50.000 DH. Les commerçants peuvent également bénéficier de crédits d’investissement. «Dans le cadre de cette convention, notre banque pourra accorder un crédit d’investissement permettant au commerçant l’acquisition de nouveaux matériels et équipements», indique Mohamed Benchaaboun, PDG du Groupe Banque Populaire. Mais ce dernier précise que le crédit accordé ne devrait pas dépasser 80% du coût de l’investissement avec un plafond de 150.000 DH. A cela s’ajoute une subvention de l’Etat de 20.000 DH. La durée de remboursement du crédit bancaire est de 48 mois avec possibilité de bénéficier d’un délai de grâce de 6 mois. A noter que ce crédit sera accordé avec un taux d’intérêt préférentiel en comparaison avec celui appliqué au marché. Au menu de cette convention figurent aussi des produits complémentaires comme l’assurance maladie. Sur ce volet, Mohamed Kettani, PDG d’Attijariwafa bank, rappelle que l’accompagnement aux commerçants ne se limitera pas uniquement à l’aspect financement de l’activité mais également fournir des prestations qui portent sur la sécurité et l’assurance santé à leur profit. Par ailleurs, cette cérémonie de signature a été une occasion pour Chami de rappeler le poids et le rôle socio-économique du secteur du commerce dans le tissu économique national. On doit retenir que le nombre de points de vente avoisine les 928.000 unités, générant près de 1,3 million emplois et un chiffre d’affaires de 70 milliards de DH.

L'Economiste 25/01/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 16 Icon_minitimeLun 25 Jan 2010 - 20:25

BMCI - C’est parti pour la banque privée !

BMCI a inauguré vendredi dernier sa banque privée. C'était en présence de Michel Pébereau, président de BNP Paribas.
La filiale marocaine du groupe français affiche clairement son ambition de s'attaquer aux marchés des gros portefeuilles et du patrimoine au Maroc. Un signe qui ne trompe pas sur l'importance de ce marché. Pour devenir client de cette banque privée, le montant n'est pas spécifié mais il doit être conséquent. Contacté par le Soir échos, Loubna Sebti, responsable communication de BMCI a démenti les rumeurs qui fixaient le seuil de patrimoine à accepter à 50 millions de DH. Pour commencer, les Conseils en Banque Privée de BMCI sont implantés à Casablanca et Rabat. Ils seront appuyés, selon BMCI, par 3 pôles d'expertises: l'Ingénierie Patrimoniale pour les aspects juridiques et fiscaux, une équipe marketing qui élabore les produits et services dédiés aux clients de la Banque Privée et une équipe d'Advisory Desk pour le conseil et la gestion financière. En fait, le projet remonte à avril 2008 lorsque Meryem Kabbaj avait été nommée directrice de l'Espace Gestion de Patrimoine pour développer le pôle banque privée au sein de BMCI. C'est elle aussi qui avait mis en place l'activité Gestion d'Actifs en intégrant cette banque en 1995 avant d'être nommée directrice générale de BMCI Gestion à sa création, en 1998. La Banque Privée, qui relève donc de Meryem Kabbaj, propose à ses clients des solutions personnalisées, élaborées à partir d'une analyse «approfondie» de leur situation et d'une écoute «attentive» de leurs projets au travers d'une approche patrimoniale globale. En général, les banques privées ont pour rôle de conseiller leur clientèle sur des choix d'investissements et leur patrimoine. Les propositions d'investissements faites par le gestionnaire à son client sont diverses et peuvent aller, par exemple, de l'achat de titres à celui de biens immobiliers ou encore d'objets d'arts.

Le Soir Eco

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