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 Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 9 Icon_minitimeMer 9 Juin 2010 - 9:10

Barid Al Maghrib démarre sa filiale bancaire «Al Barid Bank» / Le Matin 09/06/2010

Il y a quelques années, Poste Maroc avait l'ambition de «filialiser» son activité des Services financiers, en l'érigeant en établissement bancaire offrant une palette de produits et services à destination des couches sociales à revenus bas ou irréguliers. Maintenant, c'est chose faite ! Barid Al Maghrib démarre sa filiale bancaire «Al Barid Bank».

«Ceci est l'aboutissement d'un travail structurant de fond, car nombreux étaient les préalables techniques, sociaux et réglementaires à mettre en place», a tenu à souligner Ahmed Reda Chami, ministre de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies, lors d'une conférence de presse organisée hier à Casablanca. En effet, en plus de la licence bancaire accordée par Bank Al Maghrib, la transformation de Barid Al Maghrib en société anonyme était un préalable à la création effective de la filiale bancaire.

Pour rappel, le projet de texte de loi a été soumis à la Chambre des représentants dès la session d'automne 2009, pour être voté en décembre dernier, après de nombreuses séances d'analyse et de débats par les commissions parlementaires. Validée par la suite par la Chambre des conseillers à l'issue du vote du 12 janvier 2010, la loi 07-08 portant transformation de Barid Al Maghrib en société anonyme a finalement été publiée dans le Bulletin officiel de mars 2010. Ainsi, la nouvelle banque postale se lance avec des fondamentaux solides et un potentiel conséquent de bancarisation et de canalisation de l'épargne populaire.

D'emblée, via Al Barid Bank, Poste Maroc apporte 13% de bancarisation nationale supplémentaire, pour atteindre un taux de bancarisation de 47% contre 34% actuellement. En nombre de clients, l'institution occupe la première place sur le podium. Elle compte aujourd'hui près de 4 millions de comptes avec un objectif d'atteindre 6 millions de comptes à l'horizon 2013. Avec un réseau global de 1700 points contacts, dont 938 agences propres et plus de 760 agences postales complémentaires en milieu rural, elle couvre tout le territoire marocain. Les guichets automatiques (GAB) au nombre de 510 sont en perpétuelle croissance. 100 GAB sont prévus annuellement.

Sans nul doute, la concurrence s'annonce rude avec le système bancaire classique. Car, désormais tout citoyen pourra ouvrir un compte bancaire moyennant la seule présentation de sa CNI, sans aucun versement demandé et avec des frais de tenue de compte annuels de 60 DH. Pour un compte Epargne, l'ouverture ne coûte que 5 DH et toutes les opérations sont totalement gratuites. D'autant que la banque postale devrait donner la part belle à l'innovation produit. D'ailleurs, après plusieurs mois de test, des produits financiers (épargne logement, dépôt à terme,...) seront à commercialiser. En somme, Barid Al Maghrib, qui accapare 40% de parts de marché LIB (Low income banking), revient donc de très loin.
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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 9 Icon_minitimeMar 1 Juin 2010 - 9:04

Assurances: Ce que sera la future autorité de régulation / L'Economiste 28/05/2010

Un projet ambitieux mais qui sommeille depuis un an. La fameuse autorité de contrôle des assurances et de la prévoyance sociale est dans les tiroirs du Secrétariat général du gouvernement (SGG) depuis exactement le 29 juin. Le texte a été bouclé, après concertation entre administration et secteur, même si l’ensemble des dispositions n’ont pas fait l’unanimité:

Le statut: il pose d’emblée problème même si le texte s’est inspiré de celui de Bank Al-Maghrib (BAM) et du CDVM comme le souligne une source proche du dossier. L’idée est de coordonner les activités de ces trois composantes. En adhérant en 2002 à l’Association internationale des contrôleurs d’assurances (AICA), qui élabore les standards dans le domaine, le Maroc se devait de mettre en avant l’indépendance de l’autorité qui supervise le secteur, un peu à l’image de ce qui a été fait pour la Banque centrale.

L’élaboration des lois et des décrets continueraient de relever du politique, c’est-à-dire le ministre des Finances. Quant aux circulaires du contrôle détaillé, elles doivent incomber au travail de l’autorité de régulation. Toujours sur le registre de l’indépendance de la DAPS, il semble que les assureurs sont contre. Ce projet soulève un problème de taille: les agréments des compagnies d’assurances. «L’actuel ministre des Finances cherche à transférer cette attribution à la nouvelle autorité à mettre en place. Or, l’octroi d’un agrément est fondamentalement politique. Il traduit la volonté d’ouvrir ou fermer le marché», note la même source.

Le retrait des agréments, il devra dépendre exclusivement de l’autorité de contrôle. Sur ce point, le SGG a ressorti le parallélisme des formes: celui qui donne doit pouvoir retirer, pour reprendre l’expression d’un responsable.

Le financement de l’autorité de contrôle: c’est l’un des points qui soulève des interrogations. En effet, chose surprenante, les fonctionnaires de la Direction des assurances et de la prévoyance sociale (DAPS) ne sont pas payés par le ministère des Finances mais par les compagnies d’assurances qui versent des «frais de contrôle». Le volume de ces frais est calculé sur la base de 2,75 pour mille des primes émises. Et c’est la Direction des affaires administratives et générales qui est chargée d’envoyer la facture. A terme donc ces fonds devraient aller dans le budget de l’autorité de contrôle. En tout cas, les ressources de l’autorité comprennent une contribution des entreprises d’assurances et de réassurances. Elle sera proportionnelle aux primes ou cotisations émises ou acceptées au Maroc au cours du dernier exercice. Le taux de cette contribution sera fixé par décision du conseil. Les produits de placements et des amendes administratives infligées iront au budget de cette autorité.

Les retraites: sa supervision risque de poser problème vu la double tutelle: ministère des Finances et celle de l’Emploi (tuteur de la CNSS notamment). Le consensus qui s’est finalement dégagé c’est de limiter le contrôle de l’autorité au volet technique relatif à la viabilité des régimes. Chaque année, un rapport sera remis au Premier ministre. Idem pour la vingtaine de mutuelles. Le contrôle sera technique et sanctionné par un rapport.

Le champ d’application couvre la totalité du contrôle des assurances, de l’amont à l’aval. Cette autorité l’exerce sur les personnes de droit public ou privé qui gèrent les opérations d’assurances ou réassurance, les opérations de retraite et les rentes provisionnées, selon l’article 2 du projet de loi. A cela s’ajoute le contrôle des sociétés mutualistes, les organismes de gestion de l’AMO.

La gouvernance de cette autorité sera assurée par plusieurs organes.
Le président, doté de pouvoirs étendus, met en œuvre la politique de l’autorité de contrôle. Il est nommé par dahir et sa rémunération fixée par décret. Le Conseil est composé d’administrateurs indépendants qui ont pour mission principale de mettre en œuvre la politique de l’autorité. Il est composé du vice-gouverneur de Bank Al-Maghrib, du directeur du Trésor et des finances publiques, du DG du CDVM et de trois membres choisis pour leurs compétences dans le domaine de l’assurance, de la mutualité ou de la retraite.

La commission de régulation a une composition diversifiée : 2 membres de l’autorité (en tant que président et vice-président), 6 des entreprises d’assurances et de réassurance sur proposition de leur fédération et 2 émanant des intermédiaires d’assurances. Dans le tour de table également, 1 en provenance des banques et 2 à 4 membres parmi les dirigeants des organismes de retraite. La commission de régulation est un peu l’équivalent de l’actuel Comité consultatif d’assurance (CCA), qui est un instrument de consultation entre les opérateurs et l’instance de contrôle. Avec le projet, ce CCA disparaîtra et nombre de ses prérogatives tomberont dans l’escarcelle de cette commission. Cette dernière devra étudier tous les projets de texte en émettant un avis consultatif avant de les soumettre à l’autorité de régulation. La commission de discipline: comme son nom l’indique, elle est chargée des sanctions. Elle est composée de membres indépendants qui donnent leurs avis sur les sanctions infligées aux opérateurs à la suite d’un contrôle donné. Cette commission est également chargée de donner un avis consultatif sur les programmes de financement, présentés par les entreprises d’assurances et de réassurance. Elle a son mot à dire sur les plans de redressement présentés par ces compagnies et par les organismes de retraite. Ses membres sont désignés pour un mandat de 3 ans, renouvelable. La liste est publiée au Bulletin officiel. Les membres du conseil et de la commission de discipline ne bénéficient d’aucune rétribution au titre de leur fonction, à l’exception des frais de déplacement et ceux forfaitaires dans le cadre de leurs missions pour l’autorité. Ces indemnités sont fixées par le Conseil.

Assurance à l’export
Les dispositions de l’assurance à l’exportation seront également modifiées. Selon l’article premier, il est créé une assurance d’Etat à l’exportation comprenant l’assurance crédit, celle de prospection et celle de la foire. Lorsqu’elles ne sont pas pratiquées par l’Etat ou gérées pour son compte, les opérations d’assurance ainsi que les entités les pratiquant sont soumises aux dispositions du code des assurances.
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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 9 Icon_minitimeVen 28 Mai 2010 - 15:07

La Marocaine-Vie lance l’asssurance retraite entreprise/ L’Economiste 27/05/2010

La Marocaine-Vie vient de lancer une nouvelle solution d’assurance retraite complémentaire collective. L’offre associe un support garanti en dirhams (capital et taux de rendement annuel garanti) et un support d’investissement OPCVM, avec la possibilité de basculer d’un support à l’autre sans imposition pour pouvoir suivre les tendances des marchés financiers.

L’Economiste 27/05/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 9 Icon_minitimeVen 14 Mai 2010 - 8:55

RATING : Notation par l’agence Capital Intelligence de BCP, ATTIJARIWAFA BANK et BMCI

Fait : Confirmation de la solidité financière des institutions bancaires de la place.

Analyse : Après son rating favorable pour BMCE BANK, L’agence de notation internationale, CAPITAL INTELLIGENCE –CI- vient de livrer sa notation à la Banque Centrale Populaire.
La note en « Devises étrangères » de l’établissement ressort à BBB- (à long terme) et A3 (court terme), ce qui correspond au plafond de rating dont peuvent bénéficier des organismes privés. Pour sa part, l’évaluation du Support Rating a été maintenue à 2 tandis que la solidité financière du Groupe a été estimée à BBB-. Selon CAPITAL INTELLIGENCE, cette situation reflèterait une éventuelle pression sur la BCP, provoquée par des prêts non-performants, dans un contexte de léger redressement de l’économie marocaine.
Par ailleurs, l’agence CAPITAL INTELLIGENCE, note une amélioration dans le capital de l’institution bancaire, grâce à une augmentation de niveau I et niveau 2 du capital, justifiant la position globale de BCP à la troisième place du secteur bancaire.
Rappelons que l’agence de notation avait également émis ses appréciations sur les activités de ATTIJARIWAFA BANK et BMCI. S’agissant de la première institution, l’agence confirme la note en « Devises étrangères » à BBB- sur le long terme et A3 sur le court terme. Sur le plan de la solidité financière, l’agence lui attribue la note BBB.
Pour sa part BMCI se voit attribuée la note BBB- pour le long terme et A3 pour le court terme. Quant à la solidité financière, l’agence note la banque à BBB- et maintient sa note support à 2.

Conclusion : Cette notation vient conforter la solidité de l’ensemble des banques de la place. Par ailleurs les égalités de Rating pour les établissements évalués dénotent de l’homogénéité et de la stabilité du secteur bancaire marocain et ce, en dépit d’un contexte de resserrement des liquidités et de crise internationale.

BMCE Capital Bourse

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 9 Icon_minitimeMer 5 Mai 2010 - 22:02

Bonsoir,

NEWSLETTER CDVM

http://www.cdvm.gov.ma/uploads/docs/newsletter3.pdf
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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 9 Icon_minitimeMer 5 Mai 2010 - 9:24

Maroc-BM: Un prêt de 100 millions de dollars

C'est ce qu'a annoncé, à la fin de la semaine dernière, l'institution internationale dans un communiqué de presse, en précisant que ce crédit porte sur un montant de 100 millions de dollars. Et ce n'est pas tout. La BM s'est également engagée à fournir un financement supplémentaire pour améliorer l'accessibilité rurale dans le pays.

Il est à noter, fait savoir le communiqué, que ce prêt est le deuxième d'une série de prêts destinés à soutenir l'exécution du Programme d'appui à la réforme de l'administration publique (PARAP) dans l'objectif d'améliorer l'efficacité, la transparence et la responsabilisation de l'administration publique. Il vise plusieurs objectifs, souligne-t-on. Premièrement, précise-t-on, il s'agit de l'amélioration de l'efficacité de la gestion des ressources budgétaires à travers une plus grande transparence et responsabilisation, ainsi que par l'introduction de la mesure de la performance. Deuxièmement, il porte sur l'amélioration de la gestion des ressources humaines, à travers la préparation d'un nouveau système de gestion des recrutements et de rémunération complété par la mesure de la performance, avec l'amélioration du système de gestion des ressources humaines en vigueur. Il s'agit également de la consolidation et du contrôle de la masse salariale de la fonction publique et de l'amélioration de la prestation des services publics et la simplification des procédures publiques par le biais de l'administration électronique (e-gouvernement).

Cet apport financier viendra soutenir la prochaine étape dudit programme et renforcer la coordination des bailleurs de fonds avec l'Union européenne et la Banque africaine de développement, avait souligné la BM, rappelant que la nouvelle stratégie de partenariat-pays (2010-2013) pour le Maroc, élaborée par la BM, comporte notamment comme priorité l'amélioration de la prestation de services destinée aux citoyens.

Par ailleurs, certes le Maroc a déployé d'importants efforts pour la réforme de la fonction publique. Toutefois, des défis à relever sont encore énormes. Ainsi, comme le rappelle la BM, le gouvernement marocain s'est engagé depuis 2002 dans une ambitieuse entreprise visant à moderniser le secteur public, par le biais du programme d'appui à la réforme de la fonction publique. Ce train de réformes, relève-t-on, est une composante fondamentale de la stratégie d'amélioration de la gouvernance et est au cœur des réformes visant à améliorer la performance économique et à renforcer les capacités pour assurer une croissance soutenue. En clair, explique-t-on, ce programme vise à doter le Royaume d'un système administratif moderne et progressivement décentralisé, en mesure de contribuer à la compétitivité du pays et à son développement durable.

En plus de ce prêt, le Conseil a alloué au Maroc un financement supplémentaire de 60 millions de dollars, sous forme d'un prêt pour le Second projet de routes rurales, qui fait partie d'un programme multi-donneurs de soutien de l'accessibilité rurale et du développement local inclusif. Il est à noter, rappelle-t-on, que ce projet contribue à la réalisation des objectifs globaux du Programme national des routes nationales (PNRR-2) visant à augmenter le niveau d'accès de la population rurale de 54% en 2005 à 67% en 2010 et à 80% d'ici la fin du programme en 2012.

Les fruits de la réforme...
Selon la BM, les efforts du Maroc visant à moderniser le secteur public ont donné de bons résultats. En fait, relève-t-elle, « la culture au sein de la fonction publique marocaine a évolué, passant d'un système où primait le strict respect des dispositions légales à un système davantage axé sur la performance », grâce, entre autres, à l'appui de la BM, via sa filiale Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD). C'est ce qui prouve notamment, relève-t-on, l'amélioration des paramètres en matière de gestion budgétaire, particulièrement en ce qui concerne les taux d'exécution des projets d'investissements économiques et sociaux, qui ont augmenté de 64 % en 2002 à plus de 73,5 % en 2008.

Le Matin 02/05/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 9 Icon_minitimeMer 5 Mai 2010 - 9:23

Cinq banques africaines mobilisent 37,45 milliards FCFA pour booster la production d’uranium au Niger

Un collectif de six banques africaines a ratifié une convention de crédit à moyen terme de 37,45 milliards FCFA au profit de la Société des mines de l’Aïr (SOMAIR), filiale de AREVA, et détentrice de plusieurs sites d’uranium dans le nord-Niger, a appris APA samedi de source officielle à Niamey.

Ce financement soutient à hauteur de 74,8%, un projet de traitement statique dénommé « lixiviation en tas » de la SOMAÏR qui permettra d’augmenter sa capacité de production globale d’environ 30%.

D’une durée de six ans, le crédit intègre un appui global de 50 milliards FCFA, a-t-on souligné.

« En octroyant à la SOMAIR, aux fins de financer son programme un concours de 50 milliards de FCFA dont la première phase de 37,5 milliards de FCFA se concrétise par la présente convention, les banques participantes fixent un nouveau record pour un financement réalisé en FCFA au Niger » a indiqué à la presse, Hachem Boughaleb, patron de la Banque of Africa (BOA-Niger).

Cette institution bancaire, a-t-il dit, a été choisie par la SOMAIR et le Groupe AREVA comme chef de file de l’opération de financement de ce programme d’investissement, qui charrie également l’apport de la Banque ouest africaine de développement (BOAD), la Banque sahélo saharienne pour l’investissement et le commerce Niger (BSIC Niger), la Société nigérienne des banques (SONIBANK), la Coris Bank international (CBI), la Banque internationale pour l’Afrique (BIA Niger).

La BOA-Niger a convenu avec la BOAD, dans le cadre d’une convention de co-arrangement, de mobiliser chacune la moitié du montant total du concours, soit 25 milliards FCFA, procédant par la suite au moyen d’une opération de placement auprès de leurs consœurs du Niger et de la sous-région, à la mobilisation des participations des autres banques signataires.

Compagnie minière de droit nigérien créée en 1968, avec des capitaux détenus pour 36,6 % par le Niger et 63,40% par AREVA, la SOMAIR se positionne comme la première société minière nigérienne.

Elle produit de l’uranate de soude (yellow-cake) à partir des gisements d’uranium situés dans le Nord du Niger, devenant ainsi un « acteur important de l’économie nigérienne avec, en 2009, une production de 1809 tonnes d’uranium et un effectif de plus de 1000 salariés » selon Pascal Bernasconi, son directeur général.

Le projet de déploiement au Niger du projet de « lixiviation en tas », a-t-il expliqué, est une première mondiale dans le domaine de l’uranium, car il permet de traiter les minerais à faible teneur, comme ceux qui contiennent moins de 1kg d’uranium par tonne de roche.

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 9 Icon_minitimeLun 3 Mai 2010 - 14:39

Quelle fiscalité pour les banques ?

A la prochaine grande crise financière, on ne pourra pas dire que le FMI n'a rien fait pour l'anticiper. Il vient de proposer deux nouvelles taxes universelles sur les institutions financières, l'une qui serait sensiblement proportionnelle à leur taille, et l'autre qui s'appliquerait à leurs profits et aux primes qu'elles versent. Comme on pouvait s'y attendre, le secteur financier a réagi par le dédain et la dérision.

Par contre, la réaction des présidents et des ministres des Finances du G20 est plus mitigée et plus significative. Les pays au centre de la récente crise financière, notamment les USA et le Royaume-Uni, se montrent très enthousiastes, notamment en ce qui concerne l'impôt lié à la taille des établissements financiers. De toute façon, ils veulent la mettre en place. Des pays tels que le Canada, l'Australie, la Chine, le Brésil et l'Inde qui ont échappé à la récente crise bancaire sont moins enthousiastes. Pourquoi changeraient-ils un système qui s'est montré aussi résilient ?

Il est facile de critiquer les détails du projet du FMI, mais son diagnostic est exact. Les institutions financières bénéficient de la garantie implicite des contribuables, ce qui permet aux banques, particulièrement aux plus grosses d'entre elles, d'emprunter à des taux qui ne reflètent pas les risques qu'elles prennent en cherchant à réaliser des profits hors de proportion. Puisque le risque est transféré au contribuable, imposer les institutions financières en proportion de leurs emprunts est un moyen simple d'assurer l'équité.

"Mais de quels risques parlez-vous ?", demandent les institutions financières. Et de souligner que le coût des plans de sauvetage représente "seulement" un faible pourcentage du PIB, et qu'il n'y a guère plus de deux ou trois crises graves de ce type par siècle. Le FMI souligne à juste titre que ces arguments sont dénués de valeur. Durant la crise, les contribuables ont été mis à contribution presque à hauteur du quart du revenu national. Peut-être la prochaine crise ne se déroulera-t-elle pas aussi "bien" et la note à payer par la population pourrait être vertigineuse. Malgré le "succès" des plans de sauvetage, les pertes de production ont été massives en raison de la récession et de la chute de la croissance. Mais si la réglementation doit effectivement traiter du bilan des plus grosses banques qui ont entraîné la crise, le FMI a raison de ne pas se préoccuper exagérément du problème des banques "trop grosses pour faire faillite".

Il est étonnant de constater que beaucoup de prétendus spécialistes croient que si l'on pouvait faire éclater les grandes banques en plusieurs établissements de taille plus modeste, l'Etat n'aurait pas à intervenir et le problème du risque subjectif serait résolu. Cette logique est douteuse, car au cours des siècles, des crises similaires ont frappé des systèmes très différents les uns des autres. Une crise systémique qui frapperait simultanément un grand nombre de banques de taille moyenne aurait le même effet qu'une crise qui frappe deux ou trois grosses banques, et elle forcerait tout autant l'Etat à intervenir.

Beaucoup trop de propositions complexes flottent dans l'air. Elles paraissent efficaces sur le papier, mais pourraient être mises en défaut en cas de crise importante. Pour être efficace, une solution doit être relativement simple à comprendre et à appliquer. Celle du FMI répond à ces conditions.

A l'opposé, certains spécialistes de la finance voudraient contraindre les banques à reposer davantage sur une dette "conditionnelle", obligatoirement convertie en actions (qui pourraient être sans valeur) en cas de crise de grande ampleur. Mais comment cette forme de "banqueroute programmée" pourrait-elle s'appliquer, alors qu'à travers le monde les systèmes juridiques, politiques et financiers sont si différents les uns des autres ? L'histoire de la finance regorge de dispositifs de protection qui se sont révélés inefficaces au moment de leur mise en œuvre.

Autant maintenir la croissance du système sous contrôle. Mais le FMI se trompe en croyant que son projet de taxe universelle unique mettrait tous les établissements au même niveau sur le plan international. Les pays qui ont une réglementation financière solide imposent plus lourdement leurs institutions financières que les USA ou le Royaume-Uni où cette régulation est moins importante et qui ne veulent pas perdre leur avantage concurrentiel en imposant leurs banques alors que d'autres pays ne le font pas. Mais c'est leur système qui nécessite en priorité et de toute urgence un contrepoids.

N'allons pas trop loin en prenant la défense des pays qui sont réticents à l'égard des propositions du FMI. Ils doivent reconnaître que si les USA et le Royaume-Uni mettent en œuvre des réformes aussi modestes soient-elles, une grosse partie des capitaux ira ailleurs, saturant des systèmes régulatoires qui paraissaient fonctionner correctement jusque-là.

Et que penser de la deuxième proposition d'impôt du FMI sur les bénéfices des banques et sur les primes qu'elles versent ? Un impôt de ce type est intéressant du point de vue politique, mais il n'est guère opportun, sauf peut-être lors des années de crise, quand les subventions versées aux banques apparaissent au grand jour. Il serait préférable d'améliorer la réglementation des marchés financiers et laisser chaque pays imposer les revenus des banques comme ceux de n'importe quel autre secteur d'activité.

Ces premières propositions du FMI en réaction à la crise ne sont peut-être pas satisfaisantes, mais son diagnostic quant à l'importance exagérée du risque subjectif dans le secteur financier est manifestement correct. Espérons que lors du prochain sommet du G20 cette année, ses dirigeants traiteront réellement ce problème au lieu de programmer des discussions à n'en plus finir… jusqu'à l'arrivée de la prochaine crise.

Kenneth Rogoff: Ancien économiste en chef du FMI et actuellement professeur d'économie et de sciences politiques à l'université de Harvard.

Le Matin 02/05/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 9 Icon_minitimeJeu 29 Avr 2010 - 16:11

Crédits: Petite reprise au premier trimestre

Alors que la Banque centrale et le ministère des Finances relèvent les premiers signes de reprise de l’activité économique, le concours des banques à l’économie reste relativement modéré. Ce qui traduit une certaine méfiance des banquiers, compte tenu des difficultés enregistrées dans certains secteurs d’activités. En tout cas, les dernières statistiques (à fin mars) du Groupement professionnel des banques du Maroc (GPBM) confirment l’intervention modérée de ses membres. Certes, les ressources des banques ont atteint 628 milliards de DH au terme du premier trimestre, mais l’évolution par rapport à fin décembre 2009 ressort en recul de 0,44%. Les dépôts de la clientèle se contractent de 1,32% par rapport à la fin de l’année dernière, pour s’établir à 581 milliards de DH. Après une année 2009 caractérisée par un resserrement de l’octroi de crédit, les premières statistiques 2010 laissent ressortir une poursuite de cette tendance. Ainsi, les crédits à l’économie enregistrent une hausse de 2,4% pour se chiffrer à 582 milliards de DH. Toutes les catégories de crédits enregistrent des progressions à deux chiffres par rapport au premier trimestre 2009. Mais, comparé à fin décembre, où les craintes des effets négatifs de la crise sur l’économie nationale commençaient à s’estomper, l’octroi de crédits, notamment à l’équipement, n’a pas dépassé 4%. Ils sont ressortis à 129 milliards de DH, en croissance de 3,87%. Globalement, les créances sur la clientèle ont représenté plus de 528 milliards de DH en progression de 2,64% et de 5,52% en moyenne mobile sur 12 mois. Dans ce lot, les crédits immobiliers des acquéreurs sont ressortis à 114 milliards de DH, en hausse et 3,29%. Les crédits à la promotion immobilière ont totalisé plus de 63 milliards de DH, soit une augmentation de 1,48%. La croissance des crédits à la consommation est plus importante, soit 2,36% à plus de 30 milliards de DH. De leur côté, les créances en souffrance enregistrent une forte hausse de 10,2% par rapport à décembre 2009. Elles se sont, ainsi, établies à 8,8 milliards de DH. Les provisions sur créances en souffrance sur la clientèle ont reculé de 3,64% par rapport à fin 2009 pour s’établir à 22 milliards de DH. Par ailleurs, les activités de marché ont généré plus de 208 milliards de DH en recul de 5,08% par rapport à fin décembre.

L'Economiste 28/04/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 9 Icon_minitimeJeu 29 Avr 2010 - 9:09

Le spectre d'un nouveau choc bancaire

La déroute financière de la Grèce, et les premiers signes de contagion au Portugal et à l'Espagne, pourraient-ils entraîner une nouvelle crise grave du système bancaire européen ?

Echaudées, voire aguerries, par le choc des subprimes de 2007 et la crise mondiale qui s'en est suivie, les autorités de régulation des Etats européens s'emploient à rassurer sur l'exposition de leurs banques à la dette grecque, afin de ne pas laisser la peur se diffuser sur les marchés financiers. Le poids de ces titres de dette dans les comptes des établissements financiers resterait, dans la plupart des pays, contenu. Un défaut de paiement de la Grèce aurait un effet limité.

C'est le cas du gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, rapidement monté au créneau sur le sujet : "L'exposition des banques françaises à la crise grecque ne suscite pas d'inquiétude particulière", a affirmé M. Noyer le 9 avril, en admettant cependant "surveiller de près" la situation. Selon la Banque des règlements internationaux (BRI), les banques françaises seraient exposées à hauteur d'une cinquantaine de milliards d'euros en Grèce, un montant important, en tant que propriétaires d'obligations émises par l'Etat grec et créancières au secteur privés.

De bonne source, le Crédit agricole, l'un des principaux concernés, est exposé à hauteur de 300 millions d'euros à la dette grecque, via sa filiale Emporiki, un chiffre relativement mesuré comparé aux dizaines de milliards d'euros de dette détenues par les autres grandes banques helléniques.

Officieusement toutefois, l'inquiétude est bien de mise alors qu'il est très difficile, voire impossible, à ce jour, de connaître précisément, et de manière incontestable, l'exposition des banques européennes à la Grèce - et de la même façon au Portugal, dont la note de crédit vient d'être dégradée par l'agence Standard & Poor's - par pays et a fortiori par établissement.

AU DOIGT MOUILLÉ

Des estimations sont faites, au doigt mouillé, par des cabinets d'analyse, qui croisent différentes données, officiellement obtenues auprès des agences de dette publique nationales, comme la répartition de la dette par type d'investisseur (43 % pour les banques, premières détentrices devant les gérants de fonds avec 19 % !) et la répartition de cette même dette par pays (par ordre décroissant, 30 % pour la Grèce, 23 % pour le Royaume-Uni/Irlande, 11 % pour la France, 9 % pour l'Allemagne, la Suisse et l'Autriche ensemble, etc.).

Avec leurs 51 milliards d'euros de dettes et de créances privées, les banques françaises se situeraient devant les banques allemandes (31 milliards d'euros) et les banques britanniques (10 milliards). Ce chiffre masque toutefois des réalités disparates, avec, comme lors de la crise des subprimes de 2007, si l'on peut oser ce parallèle, des expositions plus élevées selon les établissements. Il en est ainsi de la petite banque allemande Hypo Real Estate, déjà sauvée de la faillite par l'Etat en 2009, qui posséderait... 7,9 milliards de dollars (6 milliards d'euros) de dette grecque !

C'est bien cette surexposition qui préoccupe les analystes, au moment où le système bancaire mondial se relève à peine de la crise financière de 2007.

Anne Michel / lemonde.fr

| 28.04.10 | 15h23 • Mis à jour le 28.04.10 | 15h26

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 9 Icon_minitimeMer 28 Avr 2010 - 8:44

Le G20 échoue sur le projet d'une taxation mondiale du secteur financier

Le FMI avait remis aux ministres et banquiers centraux du G20 un rapport proposant deux taxes, l'une s'appliquant à chaque institution financière en fonction de ses actifs, et en particulier des éléments risqués, et l'autre sur les profits et rémunérations. Toutefois, les Américains et les Européens n'ont pas convaincu tous les pays du G20 sur la nécessité d'une taxation du secteur financier, notamment le Canada et certains pays émergents.

Les ministres des Finances et banquiers centraux du G20 réunis vendredi à Washington sont tombés d’accord au moins sur un point : la reprise mondiale est plus rapide que ce qui était prévu même si le rétablissement est encore fragile. En revanche, sur le reste, et en particulier sur une régulation commune du secteur financier, rien n’a été décidé pour l’instant. Les discussions ont principalement porté sur la mise en place d’une taxe sur les banques afin de rembourser les coûts engendrés par le sauvetage du secteur financier pendant la crise. Le projet présenté à cette occasion par le FMI proposait en fait deux taxes, l’une s’appliquant sur le bilan de chaque institution financière, et destinée à couvrir le risque systémique, et l’autre sur les profits et rémunérations. Si les États-Unis et les pays européens, dont la France, ont fait campagne pour l’adoption de cette mesure, d’autres pays comme le Canada, Singapour, l’Inde et le Brésil l’ont farouchement combattue. Leur argument : il n’existe aucune justification à pénaliser leurs propres établissements financiers alors que ces derniers n’étaient pas engagés dans les excès à l’origine de la crise. Le ministre canadien des finances Jim Flaherty s’est rapidement imposé comme le porte-parole des opposants dès la veille de la réunion en affirmant publiquement que "(le Canada) est un pays souverain. Nous pouvons réglementer nos banques et nos autres institutions bancaires comme bon nous semble". Selon lui, le G20 devrait à l’avenir concentrer ses efforts sur des règles pour soutenir les besoins en capitaux et limiter les effets de levier. Le communiqué du groupe des pays riches et émergents a demandé tout de même au Fonds monétaire international de poursuivre son travail sur la question, en vue d'un sommet des chefs d'État et de gouvernement lors d'un sommet prévu à Toronto (Canada) en juin prochain. De fait, aucune mesure concernant la régulation mondiale du secteur financier (limitation de la taille des hedge funds, contrôle des produits dérivés, nouvelle règles sur le capital des banques...) n’a été adoptée à l’occasion de cette rencontre présentée comme une réunion préparatoire au G20 des chefs d’Etat qui se tiendra fin juin à Toronto au Canada. Le problème des taux de change, et tout particulièrement celui de la monnaie chinoise, n’a pas été non plus abordé publiquement malgré le fait que ce sujet constitue une priorité de l’administration américaine. En ce qui concerne la Grèce, même si elle n’était pas à l’ordre du jour, les participants du G20 Finance ont salué en aparté le plan de secours mis en place en faveur d’Athènes.

Le 26/04/2010 – www.agefi.fr

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 9 Icon_minitimeLun 26 Avr 2010 - 9:04

Le paiement en ligne se démultiplie

Les transactions via le Web sont de plus en plus utilisées. En effet, le paiement en ligne via des cartes bancaires auprès des sites marchants a généré, sur les 3 premiers mois de 2010, plus de 50.035 opérations pour un montant de 53 millions de DH. Cette évaluation reflète une multiplication par 11 du nombre d’opérations et par 5 du nombre de paiements. Dans ce total, les cartes marocaines représentent 96% des paiements en ligne et 92,5% de leur montant.

L'Economiste 22/04/2010

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