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| Articles presse: MARCHES BOURSIERS | |
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+20Berghoul Hatim mounir00007 amin Diane14 jams HARDTRADER haakoo Index84 YAT DaRk-H adil79 bravia réaliste bichr imane moha Pelican souad Admin 24 participants | |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Lun 28 Jan - 8:26 | |
| Actualité Royal. Les réformes initiées sous le leadership de SM le Roi placent le Maroc en modèle. Les réformes démocratiques et économiques mises en œuvre au Maroc, sous la conduite de SM le Roi Mohammed VI, placent le Royaume en modèle de stabilité pour les autres pays de la région, dans un environnement en proie aux doutes et à l'incertitude, affirme le prestigieux Think Tank américain "Atlantic Council". Dans un article intitulé "Les turbulences dans le monde arabe: quelle est la situation du Maroc?", l'Atlantic Council relève que le Royaume a "jusqu'à présent réussi l'équilibre entre les changements politiques et la stabilité économique", soulignant que l'approche de réforme marocaine est à même de constituer "l'exemple que les autres pays de la région pourraient suivre". Les auteurs de cette contribution rappellent également que SM le Roi Mohammed VI, qui "tire sa légitimité d'une lignée dynastique vieille de plus de trois siècles, a su lancer, dès le début de son règne, un processus de réformes politiques et démocratiques", qui n'ont pas attendu le Printemps arabe pour trouver leur expression sur le terrain, ont ainsi immunisé le Royaume contre le genre de turbulence et d'instabilité constatées dans d'autres pays de la région.
Crise. Les Marocains d’Italie au chômage émigrent en France ou rentrent au Maroc. L’Italie est-elle en train de connaître une vague d’émigration d’un genre nouveau? Certains immigrés marocains en Italie touchés par le chômage en ces temps de crise économique partent, lorsqu’ils le peuvent, vers la France et la Belgique, révèle Bichri Hamid, président de l’association marocaine en Italie, l’OMSSDI. Beaucoup, comme au premier temps de l’émigration, laissent leur famille en Italie, le temps de trouver un travail au nord, avant de la faire venir. Confrontés au chômage de la même façon voir plus que ceux qui ont obtenu la nationalité, les Marocains qui restent des étrangers optent pour le chemin inverse. « Certains pères de familles qui sont au chômage décident de renvoyer leur famille, femme et enfants, au Maroc, parce que leur situation financière devient intenable », souligne Bachri Hamid. La décision n’est pas sans conséquences sur la famille, d’autant que sa situation financière ne se résout pas comme par miracle à l’arrivée dans le royaume. Même si la vie est moins chère au Maroc, « les coûts sont double, car il faut à la fois payer un logement en Italie, pour le père qui est resté, et assurer des revenus à ceux qui sont rentrés », explique-t-il. Il y a aussi les problèmes d’école pour les enfants. (Yabiladi)
Gouvernement. Benkirane à Davos: "Le Maroc est un pays stable et sa situation économique est bonne". Le Maroc s'est engagé dans un processus de réformes sociales, politiques et économiques liées aux changements démocratiques, a indiqué le chef du gouvernement marocain, Abdelilah Benkirane; assurant que ce processus "est sur la bonne voie.". "Nous ne pouvons prétendre que nous avons atteint tous nos objectifs mais les choses vont progressivement dans la bonne direction", a souligné Benkirane dans une déclaration, ajoutant que la délégation marocaine a mis l'accent sur les réformes constitutionnelles et démocratiques entreprises par le royaume qui ont permis l'organisation des élections législatives du 25 novembre 2011 et la nomination par SM le Roi d'un nouveau gouvernement. Le Maroc est un pays stable et sa situation économique est "bonne", a souligné Benkirane depuis la Suisse où il participe au 43ème Forum de Davos organisé du 23 au 27 janvier courant, et dont les débats s'articuleront, cette année, autour d'un thème principal "La santé et les systèmes de santé".
Argent public. Huit partis pointés par la cour des comptes pour la gestion de l'argent public. Le rapport de la Cour des comptes pour l'année 2010 vient de tomber. Contrairement aux précédentes éditions, celle de cette année est consacrée, essentiellement, aux agences publiques et aux cours régionales des comptes. Une partie du premier tome est réservée à l’audit des caisses de huit grands partis politiques (Istiqlal, PAM , RNI, PJD, MP, USFP, UC et PPS). Les conclusions des experts du président Driss Jettou confirment une idée très répandue chez les Marocains : les structures partisanes tiennent à vivre dans l’opacité. Elles sont les premières à enfreindre les leçons de transparence qu’ils prêchent continuellement au commun des mortels. En 2010, « les dépenses déclarées par les partis politiques précités se répartissent entre les dépenses d’exploitation qui ont représenté la plus grande proportion (80,48%), suivies des acquisitions immobilières, du matériel de transport et du mobilier et matériel de bureau pour un montant de 17, 2 millions de dirhams, soit 19,23% des dépenses », relève le document de la Cour des comptes. Jusqu’au là tout est normal, sauf que « le montant des dépenses justifiées a atteint 61 millions de dirhams, alors que celui des dépenses non justifiées est de 28,5 millions de dirhams, soit respectivement 68% et 32% du total des dépenses déclarées », lit-on dans le texte. (Yabiladi)
Maroc-Sénégal. M. El Otmani reçu en audience par le président sénégalais. Le président sénégalais Macky Sall a reçu en audience, dimanche soir à Addis-Abeba, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Saad Dine El Otmani, à qui il a réaffirmé le soutien constant du Sénégal à l'intégrité territoriale du Maroc. Dans une déclaration à l'issue de l'audience, le chef de la diplomatie sénégalaise, Mankeur Ndiaye a souligné que le président Macky Sall a réaffirmé, à cette occasion, le soutien constant du Sénégal aux positions marocaines sur le dossier du Sahara. "Nous avons évoqué, a-t-il dit, le dossier du Sahara et le président a réaffirmé la position du Sénégal, qui est une position constante de soutien aux positions marocaines sur ce dossier". M. Ndiaye a ajouté que la coopération bilatérale et les perspectives qui s'offrent avec la prochaine session de la commission mixte, qui se tiendra cette année, figurent parmi les questions évoquées lors de l'audience. M. El Otmani, qui est arrivé vendredi à Addis-Abeba dans le cadre d'une visite en marge du sommet de l'Union africaine, a eu samedi et dimanche une série d'entretiens bilatéraux avec des ministres des Affaires étrangères africains. |
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| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Ven 25 Jan - 8:41 | |
| Economie Crédit. Ralentissement des crédits bancaires à l'économie en 2012. Fin novembre 2012, les crédits bancaires à l'économie ont enregistré une progression de 2,6% en comparaison du mois précédent. En effet, selon la Direction du Trésor et des finances extérieures (DTFE), ceux-ci ont enregistré au cours de cette période, un additionnel limité à 17,6 milliards de DH (MMDH) contre 45,4 MMDH et une hausse de 7,3% durant la même période un an auparavant, faisant apparaître un ralentissement notable durant les onze premiers mois de l'année 2012. Cette évolution provient notamment de la décélération des crédits de trésorerie, en progression de 3,3% contre 12,6% à fin novembre 2011. Ajoutons à cela les crédits immobiliers qui ont affiché une hausse de 6% contre 10,7% durant la même période en 2011, explique la DTFE, qui vient de publier sa note de conjoncture pour le mois de janvier 2013. De leur côté, les crédits à la consommation ont quasiment affiché le même rythme d'évolution en augmentant de 9,9%. En revanche, les crédits à l'équipement ont accusé une contreperformance de 3,6% contre une progression de 1,2% un an auparavant.
Compagnie aérienne. Jetairfly, quatre nouveautés au Maroc. La compagnie aérienne low cost Jetairfly propose quatre nouvelles liaisons reliant le Maroc à l’Europe, entre Casablanca et Nantes, Rabat et Paris – Orly, Oujda et Toulon, et entre Tanger et Rotterdam. Du 29 janvier au 26 mars 2013, la filiale belge dédiée au vol pas cher du groupe TUI Travel PLC, qui avait été fusionnée avec Jet4you il y a un an, reliera tous les mardis l’aéroport de Casablanca à Nantes – Atlantique via Bordeaux. Le départ depuis le Maroc se fera à 6h00 pour arriver à 11h10, et le retour de Nantes à 19h45 pour atterrir à 22h50. Cette huitième route de Jetairfly à Casablanca et troisième à Nantes sera en concurrence avec Royal Air Maroc. A partir du 1er avril, Jetairfly opèrera deux rotations par semaine entre la capitale marocaine Rabat et l’aéroport d’Orly : le vol du lundi décollera du Maroc à 16h30 et depuis Paris à 14h50, la rotation du vendredi n’ayant pas encore été détaillée. La low cost sera en concurrence avec la RAM (Orly) et Air France (Charles de Gaulle), plus Ryanair qui fera ses débuts entre Beauvais et Rabat le 30 avril prochain. (Les inspirations ECO)
Abdelilah Benkirane au 43ème Forum économique mondial de Davos. Pour la deuxième fois consécutive, depuis son arrivée aux affaires, début 2012, le chef du gouvernement, marocain Abdelilah Benkirane prendra part aux travaux du 43ème Forum économique mondial (WEF) de Davos, dans l'est de la Suisse, pour rencontrer les puissants du monde économique, à la fois pour rassurer les investisseurs internationaux sur la bonne tenue des fondamentaux de l'économie marocaine et présenter les grands projets de développement mis en place par le gouvernement. La rencontre de Davos est fortement attendue pour ausculter l'état de l'économie du monde, débattre des prévisions, mais aussi renouer des contacts d'affaires. Benkirane, ainsi que ses homologues de Tunisie, Libye, Egypte et Libye auront, sans doute, à réponde aux interrogations des investisseurs institutionnels internationaux, qui ne cachent pas leurs inquiétudes quant aux développements survenus dans ces pays, après la vague des "Printemps arabe". |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Ven 25 Jan - 8:39 | |
| Actualité Royal. Le Roi Juan Carlos rend visite à SM le Roi Mohamed VI. C’est la première fois que le roi d’Espagne sera en visite officielle à l'étranger après son opération à la hanche en novembre dernier. Ses problèmes médicaux l’on obligé quelques fois à annuler son déplacement. Cette visites lourde de sens puisqu’elle représente l’amitié espagnol-marocaine entre les deux rois. Le roi Juan Carlos a souligné récemment l’entente mutuelle entre le Maroc et l’Espagne avec un respect et une coopération fructueuse. Sa dernière visite remonte à mai 2011 suite à un attentat terroriste qui avait fait une quinzaine de morts au Maroc. Dans les mois à venir, le roi d’Espagne sera en Floride, aux Etats-Unis, pour célébrer le 500ème anniversaire de l’arrivée de Ponce Léon, un explorateur espagnol.
Enseignement. Les doctorants du Maghreb sont les « meilleurs ambassadeurs » en France. 70 000 doctorants au total sont inscrits dans les universités françaises et 41% d’entre eux sont des étrangers, a souligné avec fierté Geneviève Fioraso, Ministre de l’Enseignement supérieur lors de ses vœux au monde de l’enseignement lundi dernier, rapporte Le Figaro. Et parmi ces doctorants, Marocains, Tunisiens et Algériens ont bien leur place. Selon une étude réalisée en 2010 par la Confédération des jeunes chercheurs, les étudiants originaires du Maghreb représentent le quart des doctorants étrangers. C’est avec beaucoup de fierté que Mme Fioraso s’est exprimée à propos des doctorants étrangers. Pour elles, une fois leur diplôme en poche, ces doctorants sont « les meilleurs ambassadeurs de la France dans les pays où les mènera leur carrière professionnelle». En d’autres termes, aillant eux-mêmes réussi, ils vendront mieux l’Hexagone. (Yabiladi)
Médicament. El Ouardi expose les grandes lignes de sa politique. Cette politique est réalisée conformément aux recommandations du rapport du comité consultatif sur les médicaments et les produits de santé mis en place par le ministère en juillet dernier afin d'élaborer la politique médicamenteuse et définir les outils nécessaires pour son application. Ce projet s'inscrit dans le cadre du plan du ministère pour la période 2012-2016 visant à garantir l'approvisionnement en médicaments d'une meilleure qualité, à des prix abordables et sans rupture. Le projet vise également à faciliter l'accès aux médicaments, effectuer un contrôle de qualité et garantir l'utilisation rationnelle des médicaments et des produits de santé au niveau national. Le ministre, qui présentait les contours de ce projet en présence d'un parterre de professionnels des secteurs de la pharmacie et de la production pharmaceutique, des représentants des centrales syndicales et des départements gouvernementaux, a estimé que le contexte général du secteur pharmaceutique et les difficultés qui entravent l'accès aux médicaments a accentué les aspirations et les critiques des professionnels et des citoyens.
Corruption. Transparency Maroc décortique les faiblesses de la lutte contre la corruption. L’Instance nationale de probité, de prévention et de lutte contre la corruption est-elle à même de jouer le rôle qui lui est attribué de par ses caractéristiques, ses pouvoirs et la composition de ses organes? Est-elle en mesure de mobiliser les citoyens contre le fléau de la corruption et de renforcer la transparence et la gouvernance dans la gestion de la chose publique? Pour Transparency Maroc dont la vision se base sur des référentiels internationalement reconnus, cette instance ne doit relever d’aucune autre autorité sur les plans organique, fonctionnel, administratif et financier pour être à même de sauvegarder sa neutralité. En outre, elle a insisté sur la nécessité de l’institution d’un comité d’évaluation de la performance qui doit rendre publics ses rapports comme outil indispensable pour concrétiser le principe constitutionnel de liaison entre l’exercice des responsabilités publiques et la reddition des comptes par l’instance, qui doit donner l’exemple aux parties prenantes. Le projet de loi portant création de l’Instance nationale de probité, de prévention et de lutte contre la corruption était au centre des débats d’une table ronde organisée par Transparency Maroc mardi à Rabat. |
| | | amin
Nbre méssages : 1068 Réputation : 8 Inscris le : : 31/05/2011
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Jeu 24 Jan - 18:14 | |
| La croissance est désormais dans les pays émergents DNES à Paris, Mohamed BENABID
La Coface parie sur de fortes évolutions pour 2013 L’Afrique sub-saharienne prometteuse Le potentiel de croissance semble important dans les pays émergents: la Chine en premier avec 8,5% prévus pour 2013 suivie de l’Inde et l’Afrique sub-saharienne. De l’autre côté, la zone euro connaîtra encore la récession L’Europe sera encore en récession en 2013, même s’il ne s’agit pas véritablement de la crise systémique telle que nous l’avons connue ces dernières années. A l’occasion de la conférence sur le risque pays, organisée lundi 21 janvier à Paris, le groupe d’assurance crédit Coface table sur un recul de 0,1% de croissance pour la zone euro (-0,3% l’année dernière). La Coface prend en compte pour son évaluation le nombre de défaillances d’entreprises, les prévisions macroéconomiques ainsi que le climat des affaires. L’ Espagne et l ‘Italie en particulier sont en mauvaise posture, ce qui a d’ailleurs poussé Coface à dégrader leurs dernières notes de A4 à B, soit la plus mauvaise note de la zone euro. En Italie, le nombre de défaillances d’entreprises a pratiquement doublé à 12.000 cas depuis juin 2007 tandis que le crédit bancaire est passé sur la même période d’une croissance de 14% à une baisse d’environ 4%. La bonne nouvelle émane de l’Islande qui voit sa note A4 placée sous surveillance positive. Le cas de L’Allemagne dont les chiffres de conjoncture au quatrième trimestre 2012 ont donné des sueurs froides et relativise l’euphorie affichée jusque là autour du «made in germany» est un peu différent. Les fondamentaux restent solides avec moins de défaillances d’entreprises, comparativement à la France par exemple. «En revanche, dans le cas de l’Allemagne, certaines défaillances sont particulièrement coûteuses», a souligné l’économiste en chef de la Coface Yves Zlotowski. Globalement, Il y a plus de risques d’entreprises dans les régions développées que dans les pays émergents. Un phénomène que Jean Marc Pillu, directeur général de la Coface attribue à la persistance chez les premiers d’un endettement public et privé jugé élevé. Ce dernier a averti d’ailleurs contre ce qui pourrait être le principal risque pour l’année à venir, en Europe du sud particulièrement, le risque social, du fait de la montée du chômage. Par activité, c’est le secteur de la construction, suivi du retail, de l’agro-industrie, des services, qui semblent concentrer le risque de crédit le plus élevé dans la grille de la Coface, tandis que les secteurs de l’énergie et de l’industrie chimique et pharmaceutique présentent des risques modérés. Aux Etats-Unis, la croissance ne dépasserait pas 1,5%. A l’inverse, le potentiel de croissance semble important dans les pays émergents: la Chine en premier avec 8,5% prévus pour 2013 (contre 7,7% en 2012) suivie de l’Inde avec 6% et l’Afrique sub-saharienne avec 5,2%! Le vrai challenge pour cette région est d’arriver, du moins pour certains pays, à soigner les déficits en reformes, ou ce que les analystes de la Coface appellent le retard institutionnel. L’un des moteurs de la croissance dans les pays émergents, c’est la classe moyenne. Pour donner un exemple, la classe moyenne en Asie est estimée à 500 millions d’habitants, c’est à peu près l’équivalent de la population européenne! Si les pays émergents résistent, Coface met tout de même en garde les entreprises contre certains risques: les tensions politiques et sociales en matière de gouvernance. «Les classes moyennes sont plus exigeantes en matière de droit, de corruption, de liberté et de transparence. Les institutions politiques des pays émergents sont aujourd’hui mises en demeure de s’adapter à cette nouvelle donne». Le sujet récurrent du risque politique dans les pays émergents est également revenu dans le jeu des questions-réponses. En 2011 déjà, la Coface avait constaté une hausse de taux d’impayés en Egypte et en Libye notamment. Conséquence du printemps arabe bien évidemment. Pour, 2013, la question est de savoir si les derniers rebondissements au Sahel et la guerre au Mali en particulier impacteraient les perspectives pour les pays d’Afrique du nord et du Maghreb. «Il n y a aucune raison de le croire. Dans le cas du Maroc en tout cas, les fondamentaux sont solides», a souligné Zlotowski. Maroc, fondamentaux solides Au Maroc, selon la Coface, l’activité reste cyclique car toujours principalement dépendante des performances du secteur agricole et de la conjoncture dans l’Union Européenne. La croissance demeure en outre tributaire des fluctuations des cours internationaux des phosphates et des hydrocarbures importés. Dans la liste des points faibles, la Coface retient aussi la productivité et la compétitivité insuffisante, la pauvreté et le chômage (en particulier des jeunes, sources de tensions sociales), la vulnérabilité de l’activité touristique à la conjoncture européenne et à d’éventuelles actes terroristes, l’insuffisance des progrès en matière d’environnement des affaires. Au chapitre des vulnérabilités toujours, la capacité de résistance du pays à un retrait brutal de capitaux est moindre, «en dépit d’un régime de change administré et de financement peu volatils». Dans la liste des points forts, l’institution liste l’engagement de réformes politiques, la politique de stabilité macroéconomique, la stratégie de montée en gamme et de diversification tels que l’automobile, l’aéronautique, l’électronique… En 2013, la demande intérieure va continuer de soutenir l’activité avec une relative vigueur de la consommation privée et des secteurs de la construction (effet logement social) et de la montée en puissance de l’usine Renault. En outre, l’expansion du port Tanger Med va contribuer à la croissance des services. Sur le plan des finances publiques, les déficits publics et courants sont jugés importants, mais l’endettement extérieur est gérable. La Coface estime que le Maroc n’est pas enclin à recourir à la ligne de précaution du FMI. Par ailleurs, le système bancaire marocain, «le plus développé d’Afrique» (hors Afrique du sud), demeure bien capitalisé et rentable, et l’amélioration de la réglementation prudentielle se poursuit. «En revanche, l’essor du crédit immobilier en particulier est porteur de risques ». Le Maroc est noté A4 pour le risque pays. Pour la cotation moyen terme, le risque est assez faible. source : Economiste opinion personnelle: quoique l'articule avance que le Maroc a des fondamentaux solides, son lecture ne me fait croire que ils sont plutôt fragiles. on est dépendant de la conjoncture de l'Europe et des prix du carburant, les deux selon Coface ne présentent pas de bonne perspectives en 2013, et on nous fait pensez que l’économie ira mieux rien parce que on "une volonté" politique?! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Mer 23 Jan - 8:44 | |
| Economie Employeur. Les six meilleurs employeurs du Maroc primés. Les meilleurs employeurs du Maroc ont été récompensés lundi soir à Casablanca. En effet, les trophées des meilleurs employeurs au Maroc "MEM 2012" ont été remis à six sociétés parmi les grandes, moyennes et petites entreprises nationales. Cet événement fait suite à une étude menée auprès de différentes entreprises participantes, toutes tailles confondues. C'est ce qu'a souligné le directeur du programme "Palmarès des meilleurs employeurs au Maroc", Karim Idrissi lors de la cérémonie de remises de prix. Ce dernier a ajouté que pour chaque entreprise participante, un échantillon de collaborateurs a été invité à répondre à un questionnaire concernant, notamment sa perception de la culture de l'entreprise, les conditions de travail, la gestion RH, l'évolution professionnelle, la rémunération ou encore la reconnaissance professionnelle. Les trois trophées de la catégorie grande entreprise, ont ainsi été décernés respectivement à APM Terminals, Novec et HP CDG IT. Concernant les PME, les deux trophées ont été attribués respectivement à DHL et Promamec. (Les inspirations ECO)
Immobilier. Flambée du prix du m2 en 2013. Après une année 2012 mitigée, celle qui commence risque d’être assez difficile tant pour les promoteurs que pour les potentiels acquéreurs. La loi de Finances 2013 a revue à la hausse les taxes sur les matériaux de construction. Ainsi, la taxe sur le fer à béton, dont les professionnels étaient jusqu’à lors exonérés, est fixée à 100 dirhams. La taxe sur le sable, quant à elle , est de 50 dirhams pour le m3 de sable des dunes, des cours d’eau et de dragage et 20 dirhams le m3 pour celui provenant des carrières de concassage. À cela s’ajoute la taxe sur le ciment prévue dans la loi de Finances 2012 qui est entrée en vigueur début 2013. La dernière hausse a eu lieu en novembre dernier et une autre augmentation est à prévoir dans les prochains mois. « Les taxes ont déjà été répercutées sur les matériaux de construction avec des hausses parfois supérieurs à l’augmentation prévue dans la loi de Finances 2013 », explique à L’économiste Youssef Ibn Mansour, président de la Fédération nationale des promoteurs immobiliers. Dans ce cas de figure, les marges des promoteurs vont en pâtir et les répercussions sur le prix du m2 risques d’être importantes. (Yabiladi)
Assurance. Le deal de Wafa Assurance en Côte d'Ivoire est ajourné. En septembre dernier, Wafa Assurance avait conclu un protocole d’accord pour l’acquisition de 75% de la compagnie d’assurance ivoirienne, Solidarité africaine d'assurances (SAFA). Néanmoins, un grave incendie est survenu en décembre dernier dans les locaux de cette dernière. Bilan : Des dégâts matériels considérables causant ainsi la destruction d’une bonne partie des actifs de la compagnie. Dans ces conditions, «l’opération telle qu’elle a été définie et contractualisée en septembre dernier n’aura pas lieu», affirme Mohamed Ramsès Arroub, PDG de Wafa Assurance. Celle-ci reste toujours en attente d’informations de la part de la compagnie ivoirienne concernant l’état d’avancement de la reconstitution des dégâts. Cela dit, «dès que la compagnie aura surmonté cet incident là, nous pourrons dès lors reprendre les discussions dans le cadre d’une nouvelle opération avec SAFA qui nous intéresse toujours», poursuit Ramsès Arroub. (Les inspirations ECO)
Entreprenariat. Plus de 880 certificats négatifs délivrés en 2012 à Nador. L'entreprenariat bât son plein dans les régions. En effet, au cours de l'année 2012, le bureau chargé de la propriété industrielle et commerciale et le Centre régional de l'investissement de Nador a délivré pas moins de 883 certificats négatifs pour la création d'entreprises. Les deux établissements avaient reçu au cours de l'année écoulée 994 demandes, soit une hausse de 10,2% par rapport à 2011, selon le rapport de la délégation provinciale du commerce et de l'industrie. En ce qui concerne la ventilation des certificats par nature juridique, la société à responsabilité limitée (SARL) demeure la plus sollicitée par les acteurs économiques avec 64,4%, suivie des SARL à associé unique avec 27,6%. Au cours de l'année, quelques 1.629 nouvelles inscriptions ont été opérées auprès du service du registre du commerce, relevant du tribunal de première instance de Nador. (Les inspirations ECO)
Exportation. Hausse de 29% des exportations espagnoles vers le Maroc en 2012. Les exportations espagnoles vers le Maroc ont totalisé plus de 4,8 milliards d'euros entre janvier et novembre de l'année dernière, enregistrant ainsi une hausse de 29% en comparaison avec la même période de 2011, selon des chiffres du ministère espagnol de l'Economie, rendus publics ce mardi. Le Maroc se maintient ainsi comme la première destination des exportations espagnoles vers l'Afrique, précise le ministère dans un communiqué sur le bilan commercial du pays ibérique lors des onze premiers mois de 2012, faisant savoir que le marché marocain a reçu 2,4% du total des exportations espagnoles. Sur le seul mois de novembre, les exportations de l'Espagne au Maroc ont atteint 436,9 millions d'euros, en augmentation de 42,4% par rapport au même mois de 2011. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Mer 23 Jan - 8:42 | |
| Actualité Royal. Entretiens à Ryad entre SAR le Prince Moulay Rachid et le président tunisien. SAR le Prince Moulay Rachid a eu, mardi à Ryad, des entretiens avec le président tunisien, M.Moncef Merzouki, portant sur les relations bilatérales et maghrébines et les derniers développements sur les scènes arabe et internationale. Ces entretiens ont eu lieu en marge du 3ème Sommet arabe de développement économique et social, qui s'est tenu les 21 et 22 courant dans la capitale saoudienne en présence du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, M. Saad Dine El Otmani et du ministre de l'économie et des finances, M. Nizar Baraka. SAR le Prince Moulay Rachid avait représenté SM le Roi Mohammed VI aux travaux de ce sommet.
Consommation. Un parlementaire accuse la surtaxe de la bière d'impacter le pouvoir d'achat. Mohamed Daidaa, président du groupe parlementaire de la Fédération démocratique du travail (FDT) à la Chambre des conseillers, vient de signer une sortie médiatique remarquée sur les ondes de Med Radio. Le parlementaire a, en effet, accusé l’augmentation de la taxe intérieure de consommation sur les boissons alcoolisées, adoptée en avril dernier dans le cadre de la Loi de finances 2012, d’impacter le pouvoir d’achat des Marocains. « L’augmentation de la taxe qu’a imposée le gouvernement d’Abdelilah Benkirane sur les boissons alcoolisées est une grave entame du pouvoir d’achat du simple citoyen », a affirmé Daidaa. Pour lui, les principaux consommateurs des boissons alcoolisées commercialisées au royaume ne sont autres que les citoyens marocains et non les « non-musulmans comme on voudrait nous faire croire ». « Ce sont les citoyens marocains » qui consomment le plus, affirme-t-il. « En surtaxant ses produits, le gouvernement taille encore des parts dans le pouvoir d’achat des marocains, déjà affaibli par les inflations des prix et l’aggravation du coût de la vie », estime le parlementaire. (Yabiladi)
Transport. Le tramway n'a pas eu la chance du débutant. Le tramway est toujours loin de ses objectifs. C'est ce que l'on retiendra de la première rencontre de presse organisée ce mardi matin à Casablanca pour faire un bilan d'étape à plus d'un mois du démarrage. Projetant initialement de faire quelques 250.000 voyageurs par jour, le tramway Casablancais après 45 jours de son lancement n’est qu’à quelques 40.000 entrées/jr. En termes de recette, cela donne une moyenne de 250.000 DH de recettes/jour. Au bout du 45ème jour depuis le lancement de la machine, 1,2 millions de voyageurs ont pris le tram. Cependant, pour Khalid Rahmani, DG de Tramway Casa, qui a présenté le bilan des premiers 45 jours du début de l'activité du tram, «nous sommes montés en puissance concernant l’exploitation». En effet, pour le responsable, ce ne sont pas des résultats négatifs, puisque le tram n’a pas encore atteint sa vitesse de croisière. En fait, à ce jour, sur les 37 rames prévues à terme, seulement 26 rames ont été réceptionnées à ce jour. En outre, toutes les rames reçues ne sont pas encore sur le circuit. «Chaque rame doit être testée avant sa mise en exploitation». (Les inspirations ECO)
Guerre au Mali. Les rafales françaises contournent l’Algérie par le Maroc, le royaume récompensé. Pouria Amirshahi, le député de la 9ème circonscription des Français établis à l'étranger et secrétaire de la commission des Affaires étrangères à l'Assemblée nationale française, a affirmé en marge de sa visite de travail au Royaume les 19 et 20 janvier : « Le plan marocain d'autonomie dans les provinces du sud est sérieux et permet de dépasser les blocages. » Il représente une « voie acceptée par tout le monde », a ajouté M. Amirshahi. Hier, au même moment, les informations révélaient que les rafales françaises avaient survolé le Maroc plutôt que l’Algérie pour se rendre au Mali. « C’est une aubaine pour le Maroc sur le plan diplomatique. Il apparait encore une fois encore comme un allié fiable, un pays avec une véritable garantie de stabilité institutionnelle », analyse Abderrahim Kader, chercheur associé à l’Institut français de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS). (Yabiladi)
Maroc-Qatar. Le nombre actuel des travailleurs marocains au Qatar en deçà du niveau escompté. Le nombre de main d'œuvre marocaine au Qatar, estimé actuellement à seulement 6.400 travailleurs, demeure en deçà du niveau escompté, a affirmé, à Doha, Nasser Ahmed Almir, membre du Conseil d'administration de la Chambre du commerce et d'industrie du Qatar. Intervenant lors d'une réunion tenue entre le ministre délégué chargé des Marocains résidant à l'étranger (MRE), Abdellatif Maâzouz et des responsables de la Chambre du commerce du Qatar, M. Almir a appelé l'Agence nationale de promotion de l'emploi et des compétences (Anapec) à promouvoir l'identification des cadres, de la main d'œuvre qualifiée et des spécialités disponibles au Royaume, afin d'accroitre leur attraction au niveau du monde des affaires qatari. Le responsable qatari a, en outre, souligné que la Chambre qatarie peut jouer "un rôle important dans la promotion de l'emploi des Marocains qualifiés au Qatar", annonçant le lancement prochain du portail du Conseil d'affaires maroco-qatari. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Mar 22 Jan - 8:34 | |
| Economie Prêt à porter. Mark & Spencer s'installe au Maroc. Marks & Spencer fait son entrée dans le marché marocain. En ouvrant sa première boutique cet automne, la marque de prêt à porter proposera les dernières collections saisonnières de M&S ainsi que les innovations de l’enseigne à travers ses gammes de vêtements pour femmes, hommes, bébés et enfants - sans oublier les accessoires, les chaussures, les vêtements de nuit, la lingerie et les produits de beauté. Cette ouverture est un coup d’envoi de l’ouverture de nouveaux magasins au Maroc au cours des prochaines années. «Les travaux actuellement en cours au magasin sont bien engagés et nous sommes impatients d’accueillir notre clientèle très prochainement», a précisé Mark Koprowski, le directeur régional de M&S pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord. (Les inspirations ECO)
Trésorerie bancaire. Plus de cash aux trésoreries bancaires. Les facteurs autonomes de liquidité ont exercé en décembre dernier un impact expansif de l'ordre de 8,9 milliards de DH (MMDH) sur les trésoreries bancaires. Selon Bank Al Maghrib (BAM) ce phénomène est essentiellement en relation avec la hausse des avoirs extérieurs nets de la BAM et dans une moindre mesure avec la diminution du compte du Trésor auprès de la Banque centrale. Par ailleurs, le besoin de liquidité des banques s'est établi à 62,9 MMDH au lieu de 71,6 MMDH un mois auparavant, compte tenu de l'évolution des facteurs autonomes et de l'augmentation du montant minimum au titre de la réserve monétaire. Par ailleurs, Bank Al-Maghrib a réduit le volume de ses injections, le ramenant de 73 milliards à 68,4 milliards, dont 51 milliards à travers les avances à 7 jours, 15 milliards par le biais des opérations de pension livrées à 3 mois et 2,4 milliards véhiculés par l'opération des prêts garantis. Le taux interbancaire est, pour sa part, revenu à 3,13% en décembre, enregistrant ainsi une diminution de 5 points de base par rapport au mois précédent.
Trafic aérien. Chute du nombre de passagers au Maroc en 2012. Sur les 12 mois de l’année 2012, le trafic aérien commercial de passagers est en baisse de 3,61% comparé à la même période de l’année 2011, selon l’Office national des aéroports (ONDA). La baisse s’est généralisée dans l’ensemble des aéroports du pays. Ainsi, l’aéroport Mohammed V de Casablanca a enregistré 7 186 331 passagers, en baisse de 1,4% par rapport à 2011. Marrakech affiche un recul de 1,7%, Agadir régresse de 8,66% et Fès recule de 17,4%.
Dette. L'endettement public du Maroc se creuse de plus en plus. Les derniers chiffres font état de 15,5 milliards de dirhams en bons du Trésor auprès du marché financier marocain. Sur les deux opérations d'adjudications lancées depuis le début 2013, à la seconde, datant du 8 janvier, le Trésor tablait sur une levée de fonds de 14 milliards, mais n'a eu en retour qu'une demande de 10 milliards. La dette à court-terme à laquelle l'Etat a recours d'une manière de plus en plus fréquente, a vu ses taux augmenter de 0,49% et 0,47% par rapport à la dernière levée de fonds. Les analystes économiques imputent cet accroissement de l'endettement au déséquilibre, prévu initialement en 2012, dans la Caisse marocaine des retraites (CMR). Selon l'association ATTAC CADTM MAROC, la dette publique du Maroc a atteint 583 milliards de DH (environ 70% du PIB) en septembre 2012. Son service est de 108 milliards de DH. Si l'on compare le poids annuel de la dette avec le budget de l'Education (51 milliards de DH), la Santé (12 milliards de DH) ou les investissements publics (59 milliards de DH), on se rend à l'évidence qu'aucun développement économique ou humain n'est possible sans l'annulation de la dette.
Autoroute. Le Maroc réserve plus de 6 milliards de DH pour la réalisation de l'autoroute Berrechid-Béni Mellal. Un montant global de 6,05 milliards de dirhams (MMDH) a été investi pour la réalisation de l'autoroute Berrechid-Béni Mellal (au centre du Maroc) destinée à lier les régions de Tadla-Azilal et du Moyen-Atlas au réseau des autoroutes et promouvoir le développement du potentiel économique substantiel qu'elles recèlent. Ce projet d'envergure, qui s'étale sur 172 km, dispose de trois aires de repos (à Berrechid, Khouribga et Oued Zem), deux stations de péage (Béni Mellal et Berrechid) et quatre ouvrages d'art, selon les données de la direction régionale de l'Equipement et du transport de Tadla-Azilal. Les travaux de construction de la partie se situant à la région Tadla Azilal (36 km) devraient s'achever fin juin prochain, tandis qu'un retard est prévu pour les travaux dans la région Chaouia-Ourdigha à cause de certaines contraintes techniques. En revanche, tous les tronçons de cette autoroute seront ouverts à la circulation en 2014. Cette autoroute a été subdivisée, pour sa construction, en 5 tronçons. |
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| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Mar 22 Jan - 8:30 | |
| Actualité Royal. Arrivée à Ryad de SAR le Prince Moulay Rachid pour représenter SM le Roi au Sommet arabe de développement économique et social. SAR le Prince Moulay Rachid est arrivé, lundi après-midi, à Ryad pour représenter SM le Roi Mohammed VI au 3ème Sommet arabe de développement économique et social, qui ouvre ses travaux dans la soirée. A son arrivée à la Base aérienne de Ryad, SAR le Prince Moulay Rachid a été accueilli par le ministre saoudien des Affaires sociales, M. Youssef Ben Ahmad Al-Othaimin, et l'ambassadeur d'Arabie Saoudite à Rabat, M. Mohamed Ben Abderrahman Al Bichr. Après avoir passé en revue un détachement des forces aériennes saoudiennes, Son Altesse Royale a été salué par le ministre des Affaires étrangères et de la coopération, M. Saad Dine El Otmani, le ministre de l'Economie et des finances, M. Nizar Baraka, l'ambassadeur du Maroc au Caire et délégué permanent du Royaume auprès de la Ligue arabe, Mohamed Frej Doukkali ainsi que par d'autres personnalités civiles et militaires.
Capitaux. Le Maroc 2ème au Maghreb et 45ème au monde en termes de fuites de capitaux. Global Financial Integrity a publié un classement des pays dans le monde, selon le degré de transactions financières illégales s’y commettant. Le Maroc se classe 45ème sur une liste de 143 pays objets des observations. Du royaume fuient chaque année, en moyenne 1.283 milliards de dollars, selon les estimations. Au Maghreb , l’Algérie domine, elle est le pays dans lequel se fait la plus grosse fuite de capitaux, elle arrive 4 marches plus haut que le Maroc, à la 41ème place, avec un volume de fuite annuelle de 1.47 milliards de dollars. La Tunisie arrive 3ème au Maghreb, 128ème mondiale, avec un volume de capitaux subtilisé vers l’étranger de 31 millions de dollars seulement. Le classement mondial est dominé par la Chine d’où fuient chaque année 274 milliards de dollars. Par ensembles géographiques, la zone MENA domine le monde, s’accaparant 26.3 % des fuites capitalistiques mondiales.
Terrorisme. Démantèlement d’une cellule de recrutement terroriste. La Police judiciaire du Maroc a arrêté un réseau de jeunes islamistes à Ceuta (ville d’Espagne proche du Maroc) qui se chargeait de la formation de recrues au Maroc. Depuis avril 2012, on estime que quarante personnes ont été formées par ce réseau terroriste marocain. Ils évoluaient surtout dans les villes de Tanger, Al Hoceïma, Fnideq et Meknès. Les recrues, toutes volontaires, étaient formées aux attentats suicides ainsi qu’aux opérations militaires. Deux prisonniers de Guantanamo Bay aux Etats-Unis, aidaient à la formation. Ils avaient une grande expérience acquise dans les camps entrainements d’Al-Qaïda en Afghanistan.
Maroc-Espagne. Le Roi Juan Carlos 1er d’Espagne en visite au Maroc en mars prochain. Le journal espagnol proche des milieux sécuritaires espagnols, La Razon, a indiqué sur son site web, que le souverain espagnol, le Roi Juan Carlos de Borbón, sera en visite au Maroc, en mars 2013. Sans cependant donner de détail sur la nature de la visite royale. Sera-t-elle d’Etat, officielle, de travail ou privée? Le journal a en tout cas indiqué que ce déplacement au Maroc sera le 1er pour le souverain depuis son opération chirurgicale à la hanche en novembre 2012. A noter que le Roi Juan Carlos, affaibli par sa mobilité restreinte, due justement à son mal de hanche, avait annulé une visite précédemment programmée à Abou Dhabi, aux Emirats Arabes Unis. Ce sera le premier déplacement au Maroc du souverain espagnol, depuis l’installation du gouvernement de droite de Mariano Rajoy à Madrid.
Télécommunications. Rapport de l'ANRT sur la qualité de service des réseaux Ittisalat Al Maghrib ( Maroc télécom ), Méditel et INWI. L'Agence Nationale de Réglementation des Télécommunications (ANRT) vient de publier son deuxième rapport sur les indicateurs de qualité de service des réseaux nationaux de 2ème génération, mesurés durant la période du 27 septembre au 23 octobre 2012. Ces indicateurs, qui renseignent notamment sur l'accessibilité du service de télécommunications, sa continuité, sa disponibilité et sa fiabilité, concernent le service de la téléphonie des réseaux mobiles des trois opérateurs à savoir ltissalat Al-Maghrib (Ittisalat Al Maghrib ( Maroc télécom )), Médi Télécom (Méditel) et Wana Corporate (INWI). Ils ont été relevés sur un échantillon de vingt villes (grandes, moyennes et petites) du Royaume, ainsi que sur tous les tronçons d'autoroutes, tous les axes ferroviaires et 14 tronçons de routes nationales, précise un communiqué de l'ANRT. Ainsi, dans les villes, le taux moyen de réussite global est de 98,17%, alors qu'il est de 94,30% dans les autoroutes, de 93,41% dans les routes nationales et de 85,34% dans les axes ferroviaires. |
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| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Lun 21 Jan - 8:41 | |
| Economie Carte bancaire. Hausse de 16,3% des opérations par carte. Le passage au paiement électronique a tendance à s'accélérer. Cette année, le centre monétique interbancaire (CMI) a enregistré 16,3 % de plus d’opérations de retraits d’espèces et de paiement par cartes bancaires locales et étrangères. En termes de volume, ces opérations ont atteint 211,2 millions en 2012, pour un montant global de 180 milliards de dirhams (MMDH). Quant à l’émission des cartes par les banques marocaines, elle a atteint un encours de 9,3 millions de cartes, en hausse de 16 % par rapport à fin 2011, dont 8,1 millions de cartes Paiement et Retrait sous les labels Visa, Mastercard et la marque nationale CMI. En outre, l'année 2012 a connu 201,6 millions opérations de cartes marocaines pour un montant de 164,6 MMDH, alors que les cartes étrangères ont totalisé 9,5 millions d'opérations pour un montant de 15,5 MMDH. Pour sa part, le paiement en ligne via cartes bancaires auprès des sites marchands affiliés au CMI a affiché une progression de 48,3 %. Le nombre de transactions e-Commerce est passé de 670.000 à 1,2 million opérations. (Les Echos)
Presse. Les Echos quotidien devient Les Inspirations ECO. Nouveau visage pour le quotidien économique Les Echos. A l’heure où la presse écrite traverse une période difficile au Maroc, ayant notamment poussé l’hebdomadaire Actuel à mettre la clé sous la porte, « Les Echos » à lui préféré adopter une nouvelle identité visuelle. Le quotidien marocain, édité par le groupe Horizon Press, devient ainsi « Les Inspirations ECO ». Cette nouvelle image de marque voulue par le quotidien intervient dans le cadre d’une stratégie « axée sur la qualification » ayant « donné lieu à plusieurs chantiers qui ont abouti à la restructuration de l’offre éditoriale et ont conduit à l’évolution du nom et à la refonte de la charte graphique », explique-t-on dans un communiqué. Le nombre de pages du journal a été, par ailleurs, revu à la hausse. Désormais, « une édition de 32 pages minimum entièrement en couleurs avec des cahiers hebdomadaires spécialisés » sera proposée aux lecteurs. (Yabiladi)
Assurance médicale. 82 % des travailleurs sans assurance médicale. Environ 82 % des travailleurs marocains soit 8 actifs sur 10 n’ont aucune couverture médicale, un avantage social dont seuls 32,1% des actifs exerçant en milieu urbain en bénéficient contre 4 % en milieu rural, a souligné l’hebdomadaire économique marocain "La vie éco". Selon le journal qui se réfère à une enquête du Haut commissariat au plan (HCP) le taux de couverture médicale dépasse les 90 % dans le public mais tourne autour de 12 % dans le privé.
Gouvernement. Karim Ghellab à bâtons rompus. "Le Parlement est l'instance de production des lois par excellence. Rien que durant cette session, il y a eu 44 propositions de lois, dont une a été votée et qui porte sur les fonctionnaires". Un an après sa prise des commandes à la tête de la Chambre des députés, Karim Ghellab se confie. Le président de la Chambre des représentants se félicite du travail accompli à l'entame de cette année. L'initiative des lois revient petit à petit à la logique de "la parité" déclare-t-il. Néanmoins, l'équilibre des pouvoirs avec le gouvernement est une ligne rouge. Toujours selon Ghellab, "Il faut mettre en place des mécanismes, indépendants de l'Exécutif, de contrôle des dépenses parlementaires qui garantissent la transparence et la bonne gouvernance". Dans cet entretien, il dévoile également les innovations que le bureau du Parlement a introduites pour l'année 2013. Objectif : améliorer le rendement des députés, les doter de plus de moyens mais aussi d'autonomie vis-à-vis du gouvernement. (Les Echos)
SNRT. Le conseil d'administration de la SNRT approuve la liste des membres des commissions des programmes et d'éthique. Le conseil d'administration de la Société nationale de radiodiffusion et de télévision (SNRT) a approuvé la liste des membres de la commission de sélection des programmes et de la commission d'éthique des programmes, conformément aux articles 190 et 193 de son cahier des charges. Les deux commissions sont composées de représentants de la société ainsi que des personnalités indépendantes, précise la SNRT. La commission de sélection des programmes comprend le responsable de la chaîne ou la radio concernée, aux côtés de Boukhris Fatima, Qoraichi Maria, Mustapha Kabbaj, Sami Abderrahim, Hakim El Ghissassi, Adel Fakir et Rachid Hommane. Pour la commission d'éthique des programmes, elle se compose de Hanan El-Aimani, Bendadouch Mohamed, Bensafia Abdellatif, Omar Rami et Mohamed Mamad. |
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| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Lun 21 Jan - 8:39 | |
| Actualité Inquiétude. Le Maroc inquiet de la "prolifération" de réseaux liés à Al-Qaida. Dans un contexte marqué par l'intervention militaire française au Mali contre les groupes islamistes armés liés à Al-Qaida au Maghreb islamique et une prise d'otage par des groupes liés à Al-Qaida sur le complexe gazier de In Amenas, dans le sud de l'Algérie, le Maroc a exprimé son inquiétude face à la "prolifération" de ces réseaux dans le royaume. Pour la cinquième fois depuis l'automne dernier, les autorités marocaines ont affirmé avoir démantelé une nouvelle cellule de recrutement d'Al-Qaida dans le royaume chérifien. Les membres "de la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ), en coordination avec la direction générale de la surveillance du territoire national, ont démantelé une cellule" travaillant à "l'enrôlement et l'embrigadement de jeunes Marocains", a indiqué le ministère de l'intérieur. "La prolifération de réseaux terroristes s'activant dans l'enrôlement de jeunes Marocains imprégnés de la pensée djihadiste constitue désormais une source d'inquiétude au niveau sécuritaire", a-t-il souligné.
Internet. Google connecte le campus de l’UCAM. Les étudiants et le corps professoral de l’université Cadi Ayyad de Marrakech (UCAM) ont désormais de quoi se réjouir et mener leurs recherches scientifiques en toute liberté et tranquillité à l’intérieur du campus universitaire, grâce au lancement de «On-Campus Wifi» (Wifi sur le campus), projet dont l’inauguration officielle est prévue dans les jours à venir. Cette réalisation n’est autre que le fruit d’un partenariat entre l’équipe d’Accès Google Moyen-Orient et Afrique du Nord et l’UCAM, qui ont œuvré à mettre à la disposition des étudiants sur le campus, un accès à Internet plus facile, afin de capitaliser sur la puissance des produits à base de Cloud computing. Ceci revient à dire que le WiFi sur le campus devra permettre, selon les initiateurs de ce projet, de renforcer le travail d'équipe entre les étudiants et les enseignants, en leur permettant d'envoyer des mails, d'utiliser «Google Talk» pour débattre des cours, de collaborer sur «Google Docs» pour le travail de groupe, d'utiliser les Hangouts de Google+ pour organiser les sessions de groupe d'étude et de faciliter l'accès à l'information et la partager à partir d’appareils mobiles. (Les Echos)
Maroc-Qatar. Rencontre à Doha sur la situation des Marocains établis au Qatar. Le ministre délégué chargé des Marocains résidant à l'étranger, Abdellatif Maâzouz a tenu, samedi à Doha, une rencontre avec les membres de la communauté marocaine établie au Qatar, consacrée à l'examen de leur situation dans ce pays d'accueil. A cette occasion, M. Maâzouz a souligné l'importance d'accorder une attention particulière à l'amélioration des conditions sociales des Marocains établis au Qatar à travers notamment l'examen du dossier de la couverture sociale et de la retraite. Il a, en outre, mis l'accent sur le rôle que peuvent jouer les compétences marocaines dans l'accompagnement du processus de développement que connaît le Qatar, citant à cet égard les domaines du tourisme, de l'agriculture, de l'industrie et des technologies de l'information. Le ministre a fait observer que le Qatar aura besoin de 2,5 millions de main d'œuvre étrangère à l'horizon de 2022, indiquant que le Royaume veut porter le nombre de compétences marocaines établies dans ce pays à 40.000.
Politique. Election des membres du bureau politique de l'USFP. Les membres du bureau politique de l'Union socialiste des forces populaires (USFP) ont été élus samedi soir, lors de la première session de la commission administrative du parti. La nouvelle composition du bureau politique de l'USFP, qui comprend 33 membres dont 11 femmes, est marquée par l'absence de figures emblématiques du parti dont Hassan Tarek, Ahmed Zaidi, Abdelali Doumou, Mohamed Ameur, Abdelhadi Khayrate et Jamal Rhmani. D'autres figures de l'USFP ont réussi à garder leur place au bureau politique, notamment Ahmed Reda Chami, Abdelhamid Jmahri et Habib El Malki, élu président de la commission administrative du parti. Les grands absents du nouveau bureau politique sont Abdelaouahed Radi, Mohamed El Yazghi, Laarbi Ajoul et Mohamed Achaari, qui ne se sont pas portés candidats à la commission administrative, passage obligé pour être élus au bureau politique. Parmi les nouvelles figures du bureau politique, il y a lieu de citer Younes Moujahid, président du Syndicat national de la presse marocaine (SNPM) et Abdeljalil Tlimate.
Habitat. Lancement à Tifelt de l’e-instruction pour les demandes d'autorisation de construire, de lotir et de morceler. Le ministre de l'Habitat, de l'Urbanisme et de la Politique de la ville, Mohamed Nabil Benabdellah, a donné le coup d'envoi, vendredi à Tifelt, à la e-instruction, une procédure numérique des demandes d'autorisation de construire, de lotir, de créer des groupements d'habitation et de morceler. Cette démarche constitue un outil de bonne gouvernance et de modernisation du service public, bien ancré dans la stratégie du "Maroc numéric", lancée par SM le Roi Mohammed VI. La e-instruction vise à moderniser la gouvernance urbaine, en assistant les collectivités locales, surtout sur le plan de l'encadrement technique, à développer et moderniser les services rendus par les différents intervenants et à assainir les conditions d'investissement. Cette démarche a également pour objectif de simplifier les procédures d'instruction des projets, réduire les délais et garantir les conditions de la transparence, et de la bonne gouvernance lors de l'instruction des dossiers de demandes d'autorisation, tout en s'engagent à respecter l'environnement. |
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| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Ven 18 Jan - 8:34 | |
| Economie Retraites. Caisses de retraite, risque de banqueroute. Idriss El Azami El Idrissi, ministre délégué auprès du ministre de l'Économie et des finances chargé du Budget écarte l'éventualité de faillite des caisses de retraite, si les mesures nécessaires sont prises. Le ministre a ainsi déclaré que ces mesures concernent notamment le relèvement de l'âge de la retraite et des cotisations des adhérents. À défaut, c’est le spectre de la banqueroute qui devrait s’imposer. Notons qu’en 2012 déjà, les caisses étaient déficitaires. Cette situation risque de s'intensifier en 2014, en raison du déséquilibre entre les pensions versées et les cotisations des affiliés. À ce jour, le nombre des adhérents aux 4 caisses nationales de retraite dépasse les 3.600.000 personnes, tandis que le nombre de bénéficiaires est d'1.100.000. Rappelons que le chef de gouvernement, Abdelilah Benkirane, soumettra prochainement à la commission nationale chargée de la réforme de la retraite, dans le cadre du dialogue social, le rapport de la commission technique pour émettre un avis et formuler des propositions. (Les Echos) Compagnie aérienne. Jetairfly Maroc boucle sa restructuration. Le processus de restructuration de Jet4you, entamé en janvier 2012 et qui visait à assurer la pérennité de la compagnie devenue vulnérable avec l’ouverture du ciel marocain à plusieurs compagnies low-cost, en 2006, est aujourd’hui presque achevé. Après l’intégration des avions Jet4you enregistrés au Maroc dans la flotte de Jetairfly (compagnie aérienne belge) en mai 2012 (date à laquelle Jet4you a rendu sa licence d’exploitation à la Direction de l’Aviation Civile marocaine), le remplacement effectif, depuis le 1 er janvier 2013, du site jet4you.com par jetairfly.com, plateforme qui regroupe toutes les destinations du Groupe, marque la fin de ce plan de restructuration. Cette restructuration offre aujourd’hui un bon nombre de synergies (systèmes d’informatiques, sites web, etc.) et d’économies d’échelle à la compagnie Jetairfly grâce aux achats négociés pour une flotte de 21 avions et une baisse significatives des coûts (pièces de rechange, assurances, carburant etc.). Hôtellerie. Hyatt Hotels compte s’implanter à Taghazout. Après Hyatt Regency Casablanca et Park Hyatt Marrakech dont l’ouverture est programmée courant cette année, la chaîne hôtelière Hyatt Hotels compte s’implanter au Maroc. L’annonce vient d’être communiquée et selon cette dernière, la marque Hyatt Hotels a choisi pour la première fois de s’installer au Maroc et précisément à la station balnéaire de Taghazout. Elle vient de conclure un accord de gestion avec la Société d’aménagement et de promotion de la station Taghazout, confirmant ainsi toutes les déclarations de réalisation de ce projet touristique d’envergure. Il faut souligner qu’aucune information technique ou financière n’a été dévoilée pour l’instant. Après moult hésitations, négociations et expériences échouées, il semble que les efforts de promotion de ce fleuron touristique ont porté enfin leurs fruits. L’ouverture du nouvel établissement Hyatt Place Taghazout est prévue pour fin 2014. Liberté économique. Le Maroc en 90ème position du classement « Economic Freedom ». L’Index of Economic Freedom [Indice de liberté économique] est le classement qui mesure la liberté économique dans le monde. Sur 177 pays classés en 2013, le Maroc arrive à la 90ème position devançant la Tunisie (107ème) et l’Algérie (145ème). La Chine coiffe tous les autres pays, avec Hong Kong en tête du classement, suivi de Singapour et de l’Australie. Le Canada est sixième, tandis que Les Etats-Unis arrivent au 10ème rang et le Royaume-Uni est 14ème. La France quant à elle se contente de la 62ème entre la Thaïlande et le Rwanda. Le royaume chérifien est mieux loti que ses voisins tunisien et algérien, mais il est en recul par rapport à 2012 où il arrivait à la 87ème position : les dépenses publiques en cause. Le score du Maroc « est de 0,6 point de moins que l'an dernier, avec des baisses importantes dans la maîtrise des dépenses publiques et de la liberté du commerce qui l'emportent sur les gains de la liberté d'investissement et de la liberté du travail », justifie le rapport. De plus, les déficits budgétaires qui se poursuivent, la dette publique supérieure à 50% du PIB ainsi que la corruption généralisée et l’inefficacité du système judiciaire à faire face au fléau, représentent des obstacles au développement. (Yabiladi)
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Ven 18 Jan - 8:33 | |
| Actualité Royal. Le leadership de SM le Roi Mohammed VI salué au parlement de Westminster. Plusieurs parlementaires des deux chambres de l'institution législative britannique ont rendu, jeudi, un hommage appuyé à SM le Roi Mohammed VI pour Son leadership et Sa clairvoyance dans la conduite du processus réussi de réformes dans la Royaume. Ces membres de la chambre des Lords et de la chambre des Communes , qui s'exprimaient à l'issue d'une rencontre avec le ministre du Tourisme Lahcen Haddad en présence de l'ambassadeur du Maroc en Grande-Bretagne, Chrifa Lalla Joumala, ont souligné que le Maroc s'est imposé, comme il l'a toujours fait, en tant qu'exception dans une région en proie à l'instabilité. "L'instabilité qui s'est emparée de certains pays voisins dans le sillage du printemps arabe et les événements qui se déroulent actuellement dans la région du Sahel et en Algérie, témoignent de cette spécificité du Maroc comme havre de paix et de stabilité", a dit Mme Meg Munn, député du parti travailliste. Elle a rappelé que "SM le Roi Mohammed VI a répondu avec sagesse et clairvoyance aux attentes de Son peuple, ouvrant la voie au renforcement du processus démocratique dans le Royaume dans un cadre de paix et de stabilité". Guerre au Mali. Des salafistes condamnent le Maroc pour ses facilités aériennes à l’armée française. Les cheikhs Abou Hafs, Hassan El Kettani et Omar Haddouchi ont joint leurs mots, pour condamner la guerre de la France au Nord Mali, la qualifiant «d’agression colonialiste injuste et de croisade contre les musulmans». Les cheikhs qui ont publié leurs déclarations sur leurs murs Facebook ont condamné avec les mots les plus durs, toutes aides ou facilitations qu’accorderait le Maroc à la France durant sa compagne malienne. Ainsi Mohamed Abdelouahab Rafiki alias Abou Hafs a considéré qu’ «aider les envahisseurs français à tuer les musulmans au Mali, c’est commettre les mêmes péchés qu’eux» soulignant que «les châtiments de Dieu à ce sujet sont clairs et connus, tel que énumérés dans les textes de la charia». De son coté, le cheikh Hassan El Kettani a clamé que la France a toujours compté, à travers l’histoire, parmi les plus virulents ennemis de l’Islam et des musulmans, «ses crimes et actes meurtriers au Maghreb sont encore en mémoire, et leurs traces encore visibles dans nos villes et compagnes au Maroc et en Algérie» souligne-t- il, ajoutant que «la France, pays d’impies, est en perpétuelle guerre contre les musulmans jusqu'à les séparer de leur foi». MRE. Baisse de 4% des recettes MRE en 2012. Les recettes des Marocains résidant à l'étranger (MRE) ont atteint 56,30 MMDH contre 58,63 MMDH en 2011, soit une baisse de 4%, selon l'Office des changes. Les recettes voyages se sont inscrites, pour leur part, en régression de 1,6% durant l'année 2012, atteignant ainsi 58,14 MMDH, contre 59,11 MMDH en 2011, précise l'Office des changes qui vient de publier les indicateurs préliminaires des échanges extérieurs pour l'année 2012. En revanche, les dépenses voyages ont été d'environ 11,23 MMDH, en hausse de 1,9% par rapport à l'année précédente. Les recettes des investissements et prêts privés étrangers ont atteint, quant à elles, plus de 29,81 MMDH, soit une augmentation de 2% en rythme annuel. Pour ce qui est des dépenses liés à cette rubrique, elles ont enregistré une hausse de 8,6 pc en glissement annuel, soit 9,15 MMDH en 2012, contre 8,43 MMDH en 2011. Coopération. M. Maâzouz en visite de travail à trois pays du Golfe, du 19 au 27 janvier. Le ministre délégué auprès du Chef du gouvernement chargé des Marocains résidant à l'étranger, M. Abdellatif Maâzouz, effectuera du 19 au 27 janvier, une visite de travail au Qatar, en Arabie Saoudite et aux Emirats Arabes Unis. Cette tournée s'inscrit dans le cadre du partenariat stratégique liant le Royaume aux pays du Conseil de Coopération du Golfe (CCG) et qui ouvre de grandes perspectives de coopération économique et sociale avec ces pays, indique jeudi un communiqué du ministère chargé des Marocains résidant à l'étranger. La visite de M. Maâzouz vient consolider les efforts du gouvernement pour le renforcement des liens de coopération entre le Maroc et les pays d'accueil en vue d'une meilleure prise en charge des affaires de la communauté marocaine à l'étranger et qu'elle permettra également d'explorer les opportunités d'élargir la présence de la communauté marocaine dans ces pays et d'améliorer leur contribution productive à leur développement. Projets. Plus de 55 millions DH pour des projets d’eau potable et d’assainissement. Une enveloppe de 55,9 millions DH est consacrée à la réalisation de plusieurs projets visant à renforcer les structures de distribution, à améliorer la capacité de stockage et à assurer la production de l’eau dans la province de Smara, dans le cadre du programme de l’Office national de l’eau potable (ONEP) pour la période 2012-2015. Selon les données avancées par l’ONEP, ces projets concernent, entre autres, la construction d’un réservoir enfoui à moitié d’une capacité de 3.000 m3 (10 millions DH), d’un autre réservoir de 500 m3 assurant l’approvisionnement du lotissement Rbieb, le renforcement et la restauration de l’ancien réseau de distribution de Smara ainsi que de la station d’épuration dédiée à booster le rendement de ce réseau. Au niveau de la province, le taux de couverture du réseau est estimé à 92%, avec une production annuelle de 1,8 million m3 et une capacité de stockage avoisinant les 2700 m3. S’agissant de l’assainissement liquide, l’ONEP œuvre, dans le cadre de l’accord de gestion déléguée du secteur, à réaliser le projet d’assainissement liquide au niveau de la ville de Smara pour un montant estimé à 120 millions DH cofinancé par l’ONEP (20 millions DH), l’Agence pour la promotion et le développement économique et social des provinces du sud du Royaume (70 millions DH) et la commune urbaine de Smara (30 millions DH).
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