Forum Bourse Maroc
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Forum Bourse Maroc

منتدى بورصة الدارالبيضاء
 
AccueilAccueil  PublicationsPublications  Dernières imagesDernières images  Règlement  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  


Le deal à ne pas rater :
Retour en stock du coffret Pokémon Zénith Suprême – ...
Voir le deal

 

 Articles presse: MARCHES BOURSIERS

Aller en bas 
+20
Berghoul
Hatim
mounir00007
amin
Diane14
jams
HARDTRADER
haakoo
Index84
YAT
DaRk-H
adil79
bravia
réaliste
bichr
imane
moha
Pelican
souad
Admin
24 participants
Aller à la page : Précédent  1 ... 15 ... 26, 27, 28 ... 35 ... 43  Suivant
AuteurMessage
HARDTRADER




Nbre méssages : 77
Inscris le : : 05/10/2010

Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Empty
MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Icon_minitimeJeu 14 Oct 2010 - 8:51

chapeau haakoo info interessante
Revenir en haut Aller en bas
haakoo




Nbre méssages : 1910
Inscris le : : 23/10/2008

Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Empty
MessageSujet: prov   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Icon_minitimeMer 13 Oct 2010 - 22:55

16 valeurs marocaines dans l’indice Dow Jones Mena


La bourse de Casablanca fait partie, depuis le 07 Octobre 2010, du nouvel indice Dow Jones Mena.
Cet indice mesure la performance des titres les plus actifs, négociés dans la région MENA.
Le Dow Jones MENA Broad Stock Market Index couvre 11 pays de la région, à savoir
le Bahreïn, l’Égypte, la Jordanie, le Koweït, le Liban, le Maroc, Oman, le Qatar, l’Arabie saoudite, la Tunisie et les Émirats Arabes Unis.


Les 16 valeurs marocaines qui sont représentées dans cet indice sont, par ordre d’importance :

Attijariwafa Bank.... . Maroc Telecom.... .Addoha..... . BMCE... . CGI..

Lafarge Ciments .... Holcim... BCP... Ciment s du Maroc........ .Alliances

BMCI...... CIH......... Wafa Assurance..... Samir........ Auto Hall...... . Delta Holding

Revenir en haut Aller en bas
YAT




Nbre méssages : 1300
Humeur : Nachet Machet
Réputation : 37
Inscris le : : 20/12/2009

Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Empty
MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Icon_minitimeLun 11 Oct 2010 - 11:07

Bourse - Une rentrée assez calme


Bourse aborde le troisième trimestre timidement. Certes, le niveau des transactions a légèrement remonté comparé à la période estivale, mais l'on est encore loin de la moyenne quotidienne enregistrée au premier semestre. La publication de résultats semestriels ou encore la cession des 8% de Maroc Telecom par le Trésor avaient laissé entrevoir une seconde moitié d'année aussi dense que la première. Mais la rentrée est moins active qu'attendu. Selon les analystes, «il n'y a pas de grandes surprises au niveau des résultats. A l'exception d'Attijariwafa bank et de BCP qui ont affiché des indicateurs supérieurs aux attentes, ceux des autres sociétés sont en ligne avec les prévisions du marché». Excepté bien entendu le bug sur les performances de Sonasid. Le sidérurgiste a publié des résultats totalement l'opposé des anticipations des analystes. Dans un contexte peu propice, les sociétés cotées parviennent tout de même améliorer leur rentabilité. Les profits enregistrent une hausse de 3% au premier semestre 2010. Retraitée de Maroc Telecom, la performance ressort à 6%. S'il y avait un doute sur la santé financière des entreprises, les résultats rassurent quelque peu sur leur solidité. Mais pas autant pour revigorer le marché actions. La configuration actuelle du marché est également accentuée par l'hésitation des institutionnels liée à la cession des 8% de Maroc Telecom. Après le choix de la banque d'affaires chargée de l'arrangement de l'opération (il s'agit du groupement composé de CFG Group, JP Morgan Securities LTD et Cleary Gottlied Steen & Hamilton LLP), le marché attend impatiemment son dénouement. La totalité des 8%, soit plus de 70,3 millions d'actions seront cédées sur la place casablancaise. Le montant de l'opération avoisine les 10 milliards de DH. Sans de nouveaux catalyseurs, l'atonie du marché devrait se poursuivre. En dehors de la privatisation de 8% de Maroc Telecom, les introductions en Bourse sont appelées à améliorer la physionomie du marché. La plus plausible à réaliser avant la fin de l'année est celle de la compagnie d'assurances CNIA Saada. L'opération pourrait être finalisée avant la fin du mois en cours. (Source : L'Economiste)
Revenir en haut Aller en bas
YAT




Nbre méssages : 1300
Humeur : Nachet Machet
Réputation : 37
Inscris le : : 20/12/2009

Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Empty
MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Icon_minitimeVen 8 Oct 2010 - 10:46

Maroclear - La révolution… en temps réel


Elle s’y était engagée, elle l’a fait. Le PDG de Maroclear, Fathia Bennis, avait émis comme priorité d’inscrire résolument le dépositaire central dans un processus global de modernisation. Aujourd’hui, la concrétisation de cette ambition légitime se traduit par le déploiement d’une nouvelle plate-forme technique de dernière génération, couronnant un chantier de deux ans. Et il faut dire que cette plate-forme vient avec son lot de nouveautés qui, de toute évidence, participeront à asseoir les bases d’une place financière de plus en plus moderne. Les principaux intervenants du marché ont pu, d’ores et déjà, s’en rendre compte. A ce titre, souligne-t-on auprès du dépositaire central, «depuis quelques jours, banques et sociétés de Bourse de notre place financière peuvent s’y connecter via un réseau privé hautement sécurisé pour acheminer toutes leurs instructions de règlement-livraison de valeurs mobilières». Révolution : ------------- Avec l’arrivée de cette nouvelle plate-forme technologique, le système de règlement-livraison fait un saut qualitatif majeur. Ainsi, désormais, les transactions réalisées sur le marché de gré à gré, notamment celles portant sur les bons du Trésor, se dénouent en temps réel, simultanément en titres et en espèces, Maroclear étant directement relié au Système de règlement brut du Maroc (SRBM) géré par Bank Al-Maghrib. C’est dire que ce chantier a revêtu une couleur «systèmes d’information» très prononcée. Ce qui explique que l’infrastructure-serveurs, l’application métier et le réseau d’interconnexion aient subi une refonte en profondeur pour en améliorer les performances, la sécurité et la haute disponibilité. «Le renouvellement de l’outil de production de Maroclear a été mis à profit pour apporter un certain nombre d’aménagements aux procédures post- marché en vigueur sur la place financière de Casablanca, avec pour objectif essentielde renforcer la sécurité et l’intégrité de notre marché et, par conséquent, en améliorer l’attractivité pour les investisseurs nationaux et internationaux», précise-t-on chez Maroclear. Non sans fierté. Et ce, d’autant plus que l’introduction du temps réel permet depuis le 24 septembre à Maroclear «d’assurer le dénouement quasi- instantané, en ligne à ligne et en règlement contre livraison, de plus de 95% des volumes qu’il traite au quotidien». Aujourd’hui, véritablement, c’est un cap important que vient de franchir la place financière. Et qui est le fruit d’une réflexion entamée au sein du dépositaire central depuis 2005, pour notamment une mise à niveau globale de l’ensemble de ses infrastructures matérielles, télécoms et logiciels. L’objectif ultime étant de le doter d’une plate-forme de dernière génération aux meilleurs standards. Un objectif manifestment atteint, mais qui, sans aucun doute, n’empêchera pas Maroclear de poursuivre ses efforts pour l’amélioration constante de ses dispositifs de continuité et de maîtrise des risques. (Source : Finances News)
Revenir en haut Aller en bas
DaRk-H

DaRk-H


Nbre méssages : 4861
Humeur : Thymique
Réputation : 36
Inscris le : : 17/10/2008

Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Empty
MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Icon_minitimeMer 6 Oct 2010 - 10:09

CDVM: Le cru 2009 / L'Economiste 05/10/2010

Manipulation de cours, utilisation d’informations privilégiées, absence de conventions d’ouverture de comptes… Telles sont, en partie, les principales irrégularités relevées par le gendarme de la Bourse, dans son rapport annuel publié assez tard il faut le reconnaître. Ainsi, sur un total de 10 dossiers investigués, 8 relèvent de la manipulation de cours et 2 de délits d’initié. En parallèle, le CDVM a passé au crible l’activité des sociétés de Bourse, des teneurs de comptes et des gestionnaires d’OPCVM. Le résultat est pour le moins mitigé. Revue de détail.

· Surveillance des marchés
10 dossiers ont été transmis au service «Enquêtes et Plaintes» au titre de l’année 2009. La quasi-totalité portait sur des agissements susceptibles de constituer des manipulations de cours. Les autres sont des exploitations d’informations privilégiées. Le mode opératoire généralement adopté consiste, selon le rapport, en l’échange de faibles quantités de titres sur un marché peu liquide ou au cours de séances peu animées, avec un impact significatif sur le cours.

· Sociétés de Bourse
Sur ce point, 10 sociétés sur 17 ont été investiguées. Le traitement des ordres de Bourse dans les 10 sociétés inspectées par le CDVM en 2009 révèle des irrégularités. Deux sociétés de Bourse, Crédit du Maroc Capital et ICF Al Wassit, se sont d’ailleurs vu infliger des sanctions disciplinaires du fait d’une forte dégradation de leur risque opérationnel. Selon le rapport, les mauvaises performances de l’activité de marché enregistrées en 2009 ont eu un impact négatif sur l’assise financière des sociétés de Bourse avec comme conséquence une augmentation de leur exposition au risque financier et déontologique. A ce titre, certains intermédiaires (Eurobourse, Integra Bourse, Finergy et Alma Finance Group) ont enregistré une baisse de leurs fonds propres minimaux. Par ailleurs, certains manquements aux règles de bonne conduite ont pu être relevés chez ICF Al Wassit et Alma Finance Group.

· Teneurs de comptes
Les irrégularités relevées lors des missions menées par le CDVM auprès de 6 banques et 4 sociétés de Bourse concernent la collecte des ordres, les modalités de souscription aux OPV et le traitement des transferts de titres. Par ailleurs, les moyens déployés par les teneurs de comptes n’atteignent pas encore les exigences fixées par le CDVM. Le rapport fait ressortir des insuffisances en termes de moyens informatiques, de respect des normes comptables, et de diligence dans la collecte d’ordres. Le CDVM s’inquiète également du faible taux de formalisation de conventions à l’ouverture d’un compte titres et souligne le risque juridique important qui découle de ce manque. En effet, cela pourrait conduire à des situations de litige sur la place en cas de contestation par les clients des modalités d’exécution de leurs opérations ou des commissions prélevées.

Les OPCVM exposés aux risques
Les différentes inspections menées par le régulateur font ressortir une exposition de ces sociétés au risque organisationnel, au risque de gestion financière, au risque de contrôle interne et au risque lié à la gestion du passif. Au titre de l’année 2009, 30 avis portant sur 47 fonds ont été émis pour se prononcer sur la capacité des sociétés de gestion concernées à assurer la gestion de nouveaux fonds. La totalité des avis étaient favorables à l’exception d’un seul relatif à Orange Asset Management. En effet, suite à une problématique liée à son capital social, cette dernière s’est vu suspendre provisoirement le visa des notes d’information relatives à 3 de ses fonds.

_________________
www.bourse-maroc.org
--------------------------------
Accès au Portail - Règlement du Forum
Revenir en haut Aller en bas
Index84

Index84


Nbre méssages : 20
Réputation : 0
Inscris le : : 09/09/2010

Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Empty
MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Icon_minitimeVen 1 Oct 2010 - 6:32

Crédibilité


Période de publication des résultats au titre du premier semestre. Les entreprises les plus courageuses affrontent analystes et presse spécialisée pour défendre leur bilan à mi-parcours.

Même celles qui présentent des résultats en berne. Mais pas toutes, on s'en doute. On ne reviendra pas, encore fois, sur ces dirigeants qui cultivent l'opacité dès que s'alignent les contre-performances…
Bref, les résultats tombent donc. Sans grandes surprises, avec des sociétés qui connaissent des fortunes diverses. Si certaines s'en tirent parfaitement, d'autres, par contre, ont eu du mal. Beaucoup de mal. C'est le cas, entre autres, de Sonasid qui a présenté des résultats en forte baisse avec, à la clé, la démission du président du Conseil d'Administration, Enrique de la Rubiera, remplacé à la volée par André Bock. Ceci explique-t-il cela ? Peut-être bien. En tout cas, les chiffres publiés par le sidérurgiste ont manifestement entraîné des dégâts collatéraux. Chez les petits porteurs notamment. Ils n'en veulent point cependant à la Sonasid, mais plutôt à la société de Bourse Attijari Intermédiation qui, dans sa dernière note, a recommandé la valeur à l'achat, tout en prévoyant une croissance des résultats à deux chiffres. D'où leur intention de porter l'affaire devant la Justice.
S'ils vont jusqu'au bout de leur logique, ce serait une première dans les annales de la Bourse. Quoique rien ne garantit, in fine, une décision judiciaire en leur faveur. Car, peut-on reprocher aux analystes des écarts entre prévisions et réalisations ? Quand bien même certains écarts peuvent susciter une certaine suspicion, difficile, en effet, de prouver qu'ils étaient de mauvaise foi au moment de faire leurs recommandations. Tant les critères et méthodes d'analyse peuvent être différents d'une société de Bourse à l'autre.
A l'évidence, cela prouve, tout au moins, que les notes de recherche influent considérablement sur les choix d'investissement. Difficile de s'en passer, quand bien même, au regard de l'histoire récente du marché, la crédibilité des sociétés de Bourse est largement entamée.

FZ.Ouriaghli
Revenir en haut Aller en bas
DaRk-H

DaRk-H


Nbre méssages : 4861
Humeur : Thymique
Réputation : 36
Inscris le : : 17/10/2008

Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Empty
MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Icon_minitimeLun 30 Aoû 2010 - 9:58

Vague d'introductions en Bourse en vue à Casa
27/08/2010 à 15h:07 Par Jeune Afrique


Deuxième d’Afrique du Nord par sa capitalisation (derrière celle du Caire), la Bourse de Casablanca devrait connaître prochainement une série de nouvelles introductions. Dès septembre, la société d’assurances CNIA devrait ainsi mettre sur le marché 15 % de son capital. « Plusieurs entreprises qui avaient suspendu leurs projets d’entrée en Bourse en raison de la crise ont rouvert les dossiers », commente un cadre de BMCE Capital Bourse, une société d’intermédiation boursière. Exemple ? Après leur récente fusion, le holding Omnium nord-africain (ONA) et son bras financier, la Société nationale d’investissement (SNI), pourraient céder une grande partie de leurs participations dans cinq de leurs filiales : Cosumar, ­Lesieur Cristal, Centrale laitière, Attijariwafa Bank et Wafa Assurance. Selon BMCE Capital Bourse, l’opération permettrait d’accroître d’ici au début de l’année prochaine la liquidité sur ce marché de quelque 2,3 milliards d’euros.

_________________
www.bourse-maroc.org
--------------------------------
Accès au Portail - Règlement du Forum
Revenir en haut Aller en bas
DaRk-H

DaRk-H


Nbre méssages : 4861
Humeur : Thymique
Réputation : 36
Inscris le : : 17/10/2008

Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Empty
MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Icon_minitimeJeu 26 Aoû 2010 - 10:31

Entreprendre.ma / Mercredi 25 Août 2010

La Bourse en ligne bouscule les habitudes

Elles représentent 38% des ordres exécutés à la Bourse.

Cinq acteurs se partagent le marché.
Les placements en Bourse via internet ont le vent en poupe. Surfant sur une plus grande accessibilité de la population à l’outil informatique, les banques d’affaires ont développé ces dernières années des sites web afin de «démocratiser» l’accès aux produits financiers.
A fin juillet, près de 60% des ordres passés à la Bourse proviennent des sites de Bourse en ligne. Quant aux ordres exécutés, ceux qui émanent des sites en ligne représentent 38% du total.
La marge de progression est encore importante. Surtout que le volume des transactions via internet est marginal. Il représentait à fin juillet moins de 5% du total, soit 3 milliards de DH.
Il faut dire que le modèle de Bourse en ligne a de quoi séduire. Il permet de réaliser des transactions sur un simple clic à n’importe quel moment et surtout à n’importe quel endroit. Certains établissements ont d’ailleurs flairé l’opportunité, en se positionnant sur le créneau de l’internet mobile. CFG Group a été le précurseur dans le domaine avec le lancement des prestations de Bourse en ligne sur mobile via le site Dar Tawfir.
Aujourd’hui, les acteurs du marché se comptent sur le bout des doigts, avec moins de cinq ans d’existence pour la plus ancienne, en l’occurrence CFG Group. Mais tout porte à croire que «les transactions en ligne seront un canal de transmission par excellence des ordres à la Bourse en phase avec les nouvelles technologies», relève Ali Hacham, directeur général de Al Wassit. De plus, «un nombre important de clients ne souhaite plus se déplacer ou perdre du temps pour exécuter des opérations qui ne nécessitent pas l’expertise d’un professionnel», indique-t-on auprès de Wafa Bourse. Cette orientation devrait favoriser la multiplication des intervenants sur ce marché.
Jusque-là, la concurrence est peu perceptible compte tenu du développement récent du marché. Toujours est-il que tous les courtiers ne se valent pas et les services proposés ainsi que les tarifs appliqués varient d’un établissement à l’autre.
«Le site est une prestation en plus. Il vient se greffer aux autres services de la banque d’affaires. C’est plus un site d’épargne en ligne que de Bourse en ligne», relève Younes Benjelloun, administrateur associé de CFG Group. Le client peut émettre un ou plusieurs ordres d’achat ou de vente sur les titres cotés et sur toute la gamme de produits commercialisés par Dar Tawfir notamment les OPCVM. La banque d’affaires martèle son argumentaire autour de l’unicité des comptes ce qui n’est pas forcément le cas de la concurrence. Autrement dit, l’accès à l’ensemble des services de la banque dont le service internet est possible à partir d’un seul compte. En revanche, l’ouverture d’un second compte est nécessaire pour effectuer des transactions en ligne auprès des autres acteurs du marché. Le montant minimum exigé à Wafa Bourse est de 5.000 DH. Depuis 2007, la filiale de Attijariwafa bank a orienté son activité exclusivement vers la Bourse en ligne. En plus de la gestion en temps réel des transactions boursières, le site permet, comme les autres d’ailleurs, l’accès à l’information financière mais également de disposer des notes de recherches et des recommandations des analystes.
Depuis janvier 2010, Dar Tawfir a introduit de nouvelles fonctionnalités, notamment le «pro real time». «Ce produit permet au client de disposer d’une information aussi large et complète qu’un trader professionnel », relève Younes Benjelloun. Au-delà des informations fournies, l’ergonomie du site, c’est-à-dire la facilité d’accès aux informations ou simplement la navigation est un facteur déterminant dans la fidélisation du client. Mais, toutes les innovations sont payantes. L’abonnement mensuel au service internet est facturé à 99 DH par CFG Group. Avec l’introduction de nouvelles fonctionnalités, ce montant sera certainement revu à la hausse. Du côté de Wafa Bourse, la facture mensuelle est de 79 DH. En outre, elle prélève une commission de 0,99% TTC sur chaque transaction.
Quant à Al Wassit, la filiale de la Banque Populaire, les montants prélevés par mois sont fixés à 59 DH. Le projet de Bourse en ligne de BP est opérationnel depuis fin 2009, selon le management. Dans un premier temps, les transactions en ligne étaient réservées au personnel de la banque avant d’être élargies à l’ensemble de la clientèle en juin 2010. Al Wassit gère les transactions relatives aux actions cotées mais également les OPCVM commercialisés par BP. Jusque-là l’offre de Bourse en ligne d’Al Wassit est réservée uniquement aux clients du groupe Banque Populaire. «La société envisage d’élargir ses services aux souscriptions aux introductions en Bourse ainsi qu’aux autres opérations sur titres», révèle Ali Hachami, directeur d’Al Wassit.

Low-cost
Selon Ali Hachami, «les commissions prélevées sur les transactions en ligne sont aujourd’hui identiques à celles perçues pour les transactions en agence ou par téléphone». Mais cela ne saurait perdurer. Le coût des transactions en ligne est appelé à baisser compte tenu de la suppression des intermédiaires.


_________________
www.bourse-maroc.org
--------------------------------
Accès au Portail - Règlement du Forum
Revenir en haut Aller en bas
DaRk-H

DaRk-H


Nbre méssages : 4861
Humeur : Thymique
Réputation : 36
Inscris le : : 17/10/2008

Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Empty
MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Icon_minitimeJeu 12 Aoû 2010 - 11:25

Bourse: Un premier semestre euphorique pour les minières / L'Economiste 11/08/2010

2010-2011 avait été annoncée, par les analystes, comme l’année des minières. Jusque-là elles tiennent le bon bout. Dans le sillage d’un Masi en état de grâce lors du premier semestre, le secteur des mines a enregistré une hausse de 72,7%, la meilleure performance sectorielle du marché. A fin mars, il était déjà en tête de peloton des plus fortes hausses du marché.

Il faut dire que le secteur bénéficie d’une évolution favorable des cours des matières premières depuis le début de l’année. Le cours du cuivre a dépassé la barre des 8.000 dollars la tonne en avril, avant de revenir à 7.420 dollars ce mois. Mais ce niveau est bien loin des 3.151 dollars enregistrés en février 2009. De l’avis des experts, «le cuivre devrait poursuivre sur sa tendance haussière encore longtemps».

L’or suit également le même mouvement avec un cours à 1.194 dollars le 4 août. En juin, le métal jaune avait flirté avec ses plus hauts niveaux historiques avec un cours à 1.252 dollars. Il a repris de la valeur au plus fort de la crise de la dette publique en Europe, confirmant son statut de placement refuge. Des sources, a priori sûres, puisqu’il s’agit des analystes d’UBS, pensent qu’il pourrait atteindre 1.500 dollars d’ici juin 2011.

Toujours est-il que la performance des minières ne relève pas principalement du vent favorable des cours des matières premières. Les investisseurs semblent assez confiants face aux orientations stratégiques des sociétés minières. La filiale de l’ONA envisage de se recentrer sur ses activités-clés notamment les métaux précieux (or et argent), le cuivre et le cobalt. L’objectif affiché est d’atteindre une taille critique de 250 millions de dollars par métal, grâce à la contribution des mines d’or de Bakoudou et d’Etéké au Gabon, mais également ceux du Soudan. Le développement de la branche cuivre et cobalt sera assuré par les gisements au Maroc, en République Démocratique du Congo et au Congo Brazzaville. D’ici 2015, la stratégie de la société minière prévoit un doublement du chiffre d’affaires pour atteindre 500 millions de dollars, a indiqué le management. La Compagnie minière Touissit n’est pas en reste. Le titre a fait un bond de plus de 50% en six mois. La société prévoit le développement de son activité sur le continent. Et probablement des acquisitions de sociétés minières en Côte d’Ivoire pour l’or et au Burkina Faso pour le zinc. Compte tenu de ces orientations et sur la base des cours à fin mars, les analystes de BMCE Capital Bourse avaient recommandé de conserver ces valeurs.

En dehors des mines, le secteur des logiciels et matériels informatiques a suscité un certain intérêt auprès des investisseurs. Il enregistre une hausse de 47% au premier semestre. La fusion entre Matel PC Market et Distrisoft a donné naissance à un géant dans la distribution de produits informatiques, en l’occurrence Disway. La nouvelle entité revendique une part de marché de 30%. L’opération a été globalement bien accueillie par les investisseurs puisque le titre s’est apprécié de 59%, atteignant un cours de 587 DH à fin juin. Il a également drainé un volume d’affaires de 367 millions de DH. En plus de la consolidation de son business au Maroc, la société envisage son développement à l’international. L’opérateur cible en premier lieu le marché maghrébin sur lequel il a des points d’entrée, notamment en Tunisie (filiale) et en Libye (export). L’Afrique de l’Ouest suscite également beaucoup d’intérêt aux yeux du distributeur, principalement le Sénégal, la Côte d’Ivoire, la Sierra Leone mais aussi le Cameroun en Afrique centrale. Il envisage l’implantation de filiales ou des partenariats.

La société HPS, autre valeur du secteur, est déjà allée loin dans sa politique de croissance externe avec l’acquisition de l’entreprise française ACP Qualife. Ce rapprochement devrait lui permettre de se renforcer sur le marché européen pour lequel son chiffre d’affaires est en perpétuelle croissance. Elle est passée de 10% en 2008 à 26% en 2009. A fin juin 2010, HPS a enregistré une hausse de 43% à la Bourse. Microdata et IB Maroc s’inscrivent également sur la même tendance avec des performances respectives de 51 et 45%.

Sur l’ensemble du semestre, l’intérêt s’est porté sur des secteurs dotés d’un potentiel jugé important et surtout dont l’ambition des entreprises à l’international n’a pas manqué d’attirer l’œil des investisseurs.

Dans ces conditions, et malgré la bonne dynamique du marché au cours du premier semestre, certains secteurs ont pourtant souffert notamment les boissons (-18%), sylviculture et papier (-30%). Par contre, d’autres ont affiché une petite forme, notamment les télécoms (+8,5%), les banques (+4%) et dans une certaine mesure l’immobilier qui affiche tout de même une hausse de 11%. Le secteur bâtiments et matériaux de construction fait encore mieux avec une progression de 28% à fin juin. Ce sont pourtant ces quatre derniers secteurs en plus de l’agroalimentaire et des mines qui devraient porter la croissance du marché d’ici mars 2011, selon les analystes d’Attijari Intermédiation.

Managem
Les investisseurs sont de nouveaux confiants sur la valeur Managem. C’est a priori ce que laisse croire la performance de la minière au premier semestre. Elle survole le marché avec une hausse de 104%. Elle apparaît également dans le top 10 des valeurs les plus liquides de la période. Les démons de 2008 semblent bien loin pour le groupe qui a dû faire à l’époque un profit warning de près de 600 millions de DH. Selon le management, «presque tous les problèmes de couverture sont derrière nous, excepté l’or et l’argent». Il reste encore 2010 à 2012 à couvrir pour l’or. L’engagement devrait s’atténuer pour l’argent vers la fin de l’année, indique-t-on auprès de la société minière. «2008 était une année atypique pour Managem, 2009 l’année du redressement. Nous attendons la confirmation en 2010», avance un analyste. Les résultats semestriels devraient donc en dire plus sur la santé financière du premier groupe minier du pays.

Assurance
Malgré une performance de 17% au pemier semestre, les assurances restent en retrait sur le marché en comparaison aux autres grands secteurs de la cote. «Jusque-là, la branche assurance est sous-représentée à la Bourse. Elle ne représente que 3% de la capitalisation totale. Ce qui limite les arbitrages aux yeux des investisseurs», relève un analyste. Déjà, l’introduction en bourse de CNIA Saada devrait donner plus de poids au secteur. En plus, une arrivée de RMA Watanya à la cote serait un argument de taille pour plaire aux investisseurs. Reste à ce que les intéressés franchissent le pas.

_________________
www.bourse-maroc.org
--------------------------------
Accès au Portail - Règlement du Forum
Revenir en haut Aller en bas
DaRk-H

DaRk-H


Nbre méssages : 4861
Humeur : Thymique
Réputation : 36
Inscris le : : 17/10/2008

Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Empty
MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Icon_minitimeLun 19 Juil 2010 - 11:36

Les valeurs à acheter et à vendre avant de partir en vacances

BMCE Capital Bourse, CFG Marchés, Integra Bourse et CDG Capital Bourse livrent leurs recommandations.
A conserver : Addoha, Maroc Telecom, Attijariwafa bank, BCP, Lesieur et Alliances.
A retirer des portefeuilles : Sonasid, Managem, Cimar, CIH, Lydec et Sothema.



Les analystes des sociétés de Bourse sont unanimes, 2010 est bien l’année de la reprise sur la place de Casablanca. Les indices boursiers, Masi et Madex, ont clôturé le premier semestre sur une performance honorable de plus de 12%, reflétant le bon comportement de la majorité des sociétés cotées. En effet, 58 valeurs sur les 74 de la cote affichent des variations semestrielles positives.

Cela dit, les analystes financiers s’accordent également tous à dire qu’il faut rester vigilant. La tendance haussière affichée par le marché depuis le début de l’année devrait réserver quelques surprises. A preuve, les indices ont entamé vers la mi-juin une phase de correction qui, sans être de grande ampleur, a pris de court plusieurs investisseurs. De l’avis de tous, ce mouvement, qui dure jusqu’à maintenant mais qui n’est pas de nature à changer la tendance de fond du marché, devrait encore se répéter durant le deuxième semestre. D’où la nécessité de bien sélectionner les valeurs sur lesquelles il faut se positionner, et de se désengager de celles qui présentent un risque de baisse. Cet exercice est d’autant plus important qu’en cette période de vacances, le marché boursier surprend habituellement les investisseurs par des mouvements brusques.

Les quatre sociétés de Bourse que sont BMCE Capital Bourse, CFG Marchés, Integra Bourse et CDG Capital Bourse nous ont livré leurs recommandations à l’achat et à la vente. Leur liste contient plus d’une soixantaine de valeurs, dont quelques-unes qui retiennent l’attention, soit parce qu’elles sont recommandées par l’ensemble de ces sociétés, soit parce que leur cours boursier est très éloigné de leur valorisation théorique.

Ainsi, parmi les titres recommandés à l’achat ou à la conservation, on trouve Attijariwafa bank et la BCP comme représentants du secteur bancaire. La première valeur, qui a signé une performance de 13% durant le premier semestre 2010, dispose encore d’un potentiel de croissance de 6,5% et affiche des perspectives de progression prometteuses. La BCP, avec des prévisions de résultats tout aussi encourageantes, offre, elle, une décote de 9,5% par rapport à son cours cible.

Les valeurs immobilières figurent également parmi les plus recommandées par les analystes. Addoha, dont la valorisation théorique s’établit à 169 DH, présente un potentiel de croissance de plus de 40% compte tenu de cours du 9 juillet (118 DH). Quant à Alliances, correctement valorisée, elle est recommandée à la conservation dans les portefeuilles. Maroc Telecom, malgré un contexte difficile, offre une décote de 10% et reste recommandée à l’achat. Enfin, Lesieur, dont les résultats se sont nettement redressés en 2009, est à conserver pour BMCE Capital.
Pour ce qui est des valeurs à retirer des portefeuilles, Managem occupe la première place avec un cours boursier qui dépasse de 65% sa valorisation théorique. Elle est suivie par le CIH dont la surcote est de 27% par rapport à son cours du 9 juillet. Sothema, Ciments du Maroc et Lydec sont également surévaluées et les analystes recommandent d’alléger leur poids dans les portefeuilles. Enfin, Sonasid reste toujours recommandée à la vente même si ses résultats devraient se redresser en 2010.




Les valeurs à garder dans les portefeuilles.
http://www.lavieeco.com/votre-argent/17242-les-valeurs-a-garder-dans-les-portefeuilles.html


Les valeurs à retirer des portefeuilles.
http://www.lavieeco.com/votre-argent/17243-les-valeurs-a-retirer-des-portefeuilles.html

Souhaïl Nhaïli
19-07-2010

_________________
www.bourse-maroc.org
--------------------------------
Accès au Portail - Règlement du Forum
Revenir en haut Aller en bas
Admin
Admin
Admin
Admin


Nbre méssages : 2820
Réputation : 36
Inscris le : : 11/08/2008

Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Empty
MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Icon_minitimeLun 28 Juin 2010 - 15:43

Sociétés cotées à la Bourse


Le parcours des patrons sous la
loupe





















Les
sociétés à
participation majoritairement publique et les
multinationales ont un
''turnover'' au moins deux fois plus rapide
que les autres entreprises.

































Quel lien existe-t-il
entre
le parcours d'un patron et le type d'entreprise qu'il dirige? Pour

apporter des éléments de réponse à cette question, le cabinet SIA
Conseil
a mené une étude sur les 76 sociétés cotées à la Bourse de
Casablanca.
Pour ce faire, il a réparti ces entreprises en quatre
catégories,
reflétant à la fois leur détention et leur fonctionnement :
sociétés
à participation majoritairement publique, groupes familiaux,
sociétés
multinationales et sociétés domestiques.

Il relève que
les
sociétés à participation majoritairement publique et les
multinationales
opérant sur le territoire marocain ont un turnover au
moins deux
fois plus rapide que les autres. L'ancienneté de leurs
dirigeants ne
dépasse en moyenne pas 8,5 ans. Cette similitude du
renouvellement
des cadres dirigeants peut s'expliquer, avance SIA
Conseil, «par une
volonté de dynamisme au sein des holdings publiques du
Royaume,
dont le mode de fonctionnement s'approche de plus en plus du
modèle
international privé ». Les deux autres catégories identifiées
privilégient
par contre la stabilité dans leur management avec une
ancienneté
des patrons s'élevant à plus de 19 ans. La culture
managériale
propre à ces sociétés est pour beaucoup de chose, laisse
entendre le
cabinet.
Dans les groupes familiaux, il est en effet
monnaie
courante d'accomplir l'ensemble de sa carrière au sein de la
structure
familiale. En ce qui concerne les sociétés privées non
filiales de
multinationales, dont l'actionnariat est essentiellement
concentré
entre les mains des dirigeants, la figure patronale est
également un
élément-clé du management.

Trajectoire type
Existe-t-il
une trajectoire type pour le dirigeant de chacun des modèles
d'entreprise
dégagés ? Les groupes à participation majoritairement
publique se
démarquent encore comparativement aux autres. Deux profils
types
sont à leurs têtes, ont été dégagés par le cabinet. 50% des
dirigeants
ont eu une carrière qui s'est déroulée exclusivement dans les

holdings publiques, en général au sein d'un même secteur (énergie,
mines,
travaux publics, agroalimentaire...). La carrière des 50%
restants
s'est déroulée, constate le cabinet, dans les multinationales
privées
(notamment les grandes institutions financières, d'audit et de
conseil
internationales) avant de rejoindre les holdings étatiques.
«Ceci
est probablement le signe d'une mutation de modèle managérial :
d'un
côté, les organes de décision s'assurent contre toute nomination
hasardeuse
en privilégiant des candidats rodés aux méthodes et à la
culture
managériales maison, de l'autre, le développement des meilleures

pratiques en matière de gestion des Ressources humaines pousse à un
renouvellement
plus fréquent de la direction générale, avec des profils
issus du
privé ou bénéficiant d'une expérience variée en termes de
secteur
mais aussi de mode de fonctionnement », explique SIA Conseil.

Sans
surprise, la carrière des dirigeants des groupes familiaux marocains
s'est,
pour la grande majorité d'entre eux, déroulée au sein même du
groupe,
où la succession familiale est une véritable tradition de
management.
De la même façon, le cabinet observe dans son étude une
forte
inertie dans la carrière des dirigeants des grandes entreprises
privées
marocaines : une véritable culture managériale propre à ces
entreprises
est attachée à leurs dirigeants. Ces derniers changent
parfois
d'entreprises mais sans réellement changer d'« univers ». Après
une
période de tâtonnement, ils se sont, constate-t-on dans l'étude,
définitivement
orientés vers le modèle organisationnel qui leur
correspondait le
mieux, ce qui se traduit par une longévité accrue dans
ce type
d'organisation, quitte à changer parfois de structure.

Formation
des dirigeants


L'étude a relevé que le passage à
l'étranger pour
mener un cursus ou une spécialisation est presque
toujours la case
départ d'une carrière dans les sociétés cotées à la
Bourse de
Casablanca. Les chiffres parlent d'eux-mêmes : entre 80
et 100% des
dirigeants actuels ont effectué toutes leurs études ou
une partie de
ces dernières à l'étranger, souvent dans des
institutions prestigieuses.
Comme on pouvait s'y attendre, la France
arrive en tête des pays
d'accueil pour le séjour d'études (85%).
Les dirigeants ont bien souvent
accompli dans l'Hexagone les cursus
les plus réputés, remarque SIA
Conseil, que ce soit en Ecoles
d'ingénieur (47%) ou de commerce (42%).
Polytechnique,
Mines de
Paris, Centrale Paris, Dauphine, Arts & métiers, HEC, IEP
Paris,
ESC… sont les institutions les plus prisées.
Revenir en haut Aller en bas
DaRk-H

DaRk-H


Nbre méssages : 4861
Humeur : Thymique
Réputation : 36
Inscris le : : 17/10/2008

Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Empty
MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Icon_minitimeVen 25 Juin 2010 - 12:21

Titrisation, Bourse, marché à terme. Les textes et les décrets enfin lâchés / L'Economiste 23/06/2010

C’est finalement acté. Le décret d’application de la loi sur la titrisation a enfin été adopté par le dernier Conseil des ministres. Pour ce chantier sur lequel L’Economiste a suffisamment milité, le marché financier est donc soulagé. En parallèle, le Conseil des ministres a également entériné le texte de loi relatif à l’ouverture du capital de la Bourse ainsi que celui portant sur le marché à terme des instruments financiers. Ces cadres légaux consacrent, pour le premier, l’élargissement du tour de table de la société gestionnaire de la Bourse de Casablanca à d’autres actionnaires autres que les sociétés de Bourse), et pour le second, l’introduction de nouvelles techniques financières via le marché à terme. Un marché où les livraisons réelles de titres se feront en différé du règlement financier. Pour ce qui est de la titrisation, l’un des projets pour lequel le marché s’est déjà préparé, le décret d’application élargit les opérations aux actifs autres qu’hypothécaires ou autres que ceux détenus par les banques. La nouvelle loi 33-06.permet désormais non plus seulement aux banques mais également aux grandes entreprises privées et publiques de lever des financements contre des actifs, dont la valeur et la qualité sont supérieures à celle du total bilan. Avantage: obtenir un financement à moindre coût. Et pour cause, la prime de risque sera liée aux actifs titrisés et non pas à la totalité des actifs du bilan. La titrisation permet, également, la multiplication de la capacité de financement des banques. Celles-ci pourront régénérer leur capacité à prêter de nouveau en mettant les crédits déjà consentis dans des fonds de titrisation. Elles libèrent, à partir de là, les fonds propres correspondants. Une manière de contourner les contraintes inhérentes au ratio de division des risques qui limite leur marge de manœuvre. La nouvelle loi élargit, dans un second temps, le champ d’application de la titrisation à tout type de créances détenues et plus seulement aux créances hypothécaires. Cette technique donne la possibilité aux entreprises ayant recours de se financer via des montages financiers structurés spécifiques, à des coûts plus intéressants que ceux des banques. Plusieurs grands organismes se sont d’ores et déjà préparés à lancer des opérations d’envergure. C’est notamment le cas de l’ONE qui attend le visa du CDVM pour émettre un fonds en titrisation. Selon nos informations, l’Office envisage de créer un «Master fonds de placement commun en titrisation (FPCT) lui permettant de réaliser un programme de financement en plusieurs tranches. Dénommé Titrit (étoile en berbère), ce fonds devra lancer sa première émission de titres au cours du 4e trimestre pour un montant de 1,5 milliard de DH. Il aura donc pour objectif d’acquérir des créances commerciales et/ou futures dont le risque moyen pondéré est meilleur que celui de l’ONE. Au-delà de cette opération de l’ONE, d’autres entreprises ayant d’importants besoins de financement devraient suivre la voie. Selon nos informations, la Banque centrale populaire est sur le point de lancer sa première opération de titrisation. D’autres banques et établissements publics devraient suivre sous peu, notamment CIH qui a été le pionnier dans le domaine, il faut le rappeler. Au final, l’adoption de ce nouveau cadre légal devra certainement permettre aux entreprises de diversifier leurs ressources financières et optimiser leur coût d’investissement.

_________________
www.bourse-maroc.org
--------------------------------
Accès au Portail - Règlement du Forum
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Empty
MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 27 Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Articles presse: MARCHES BOURSIERS
Revenir en haut 
Page 27 sur 43Aller à la page : Précédent  1 ... 15 ... 26, 27, 28 ... 35 ... 43  Suivant
 Sujets similaires
-
» Articles presse : IMMOBILIER - BATIMENT - MAT DE CONSTRUCTION
» Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE
» Articles presse : ECONOMIE NATIONALE ET INTERNATIONALE
» Articles presse: AUTOMOBILE, TRANSPORTS & LOGISTIQUE
» Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Forum Bourse Maroc :: Articles de presse المقالات الصحفية-
Sauter vers: