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 Articles presse: MARCHES BOURSIERS

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MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 26 Icon_minitimeMar 25 Jan 2011 - 17:35

Résultat : La règle du profit warning doit être respectée

Maroc éco
Maroc éco : 24 - 01 - 2011
« Le CDVM attire l'attention des émetteurs sur l'obligation de procéder à la publication, sans délai et au moment où ils ont pris connaissance de l'information, d'un avertissement sur les résultats en cas de rupture par rapport à l'historique des réalisations ou d'écart significatif par rapport aux prévisions annoncées ». Une phrase aurait suffi pour que le régulateur de la place casablancaise passe un message fort à l'ensemble des sociétés cotées.

Le conseil déontologique des valeurs mobilières (CDVM) a en effet attiré l'attention des émetteurs qu'il fallait prévenir par avance le marché de toute « rupture par rapport à l'historique des réalisations » ou « écart significatif par rapport aux prévisions ». En clair, les sociétés dont les performances vont connaître une baisse significative au titre de l'année 2010 devraient informer le marché par un profit warning comme le stipule la loi. Le CDVM aurait donc prévenu tout le monde, avant de prendre les mesures qui s'imposent en cas d'infraction comme il l'a fait au cours du quatrième trimestre 2010 avec Sonasid dont la baisse des résultats était la plus mauvaise surprise de l'année dernière.

Cela dit, la phrase préventive du CDVM peut avoir plusieurs interprétations. Dans ce contexte de crise qui a touché plusieurs secteurs en 2010, le risque de résultat en forte baisse est de taille pour plusieurs sociétés cotées. Le CDVM veut prévenir ce risque pour que les boursicoteurs en soient conscients. L'autre interprétation possible pourrait être liées à des valeurs précises que le CDVM garde à l'œil. A travers cette phrase, le régulateur veut passer le message un mois avant la date légale de publication des résultats annuels
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MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 26 Icon_minitimeMar 25 Jan 2011 - 17:33

Résultat : La règle du profit warning doit être respectée

Maroc éco
Maroc éco : 24 - 01 - 2011
« Le CDVM attire l'attention des émetteurs sur l'obligation de procéder à la publication, sans délai et au moment où ils ont pris connaissance de l'information, d'un avertissement sur les résultats en cas de rupture par rapport à l'historique des réalisations ou d'écart significatif par rapport aux prévisions annoncées ». Une phrase aurait suffi pour que le régulateur de la place casablancaise passe un message fort à l'ensemble des sociétés cotées.

Le conseil déontologique des valeurs mobilières (CDVM) a en effet attiré l'attention des émetteurs qu'il fallait prévenir par avance le marché de toute « rupture par rapport à l'historique des réalisations » ou « écart significatif par rapport aux prévisions ». En clair, les sociétés dont les performances vont connaître une baisse significative au titre de l'année 2010 devraient informer le marché par un profit warning comme le stipule la loi. Le CDVM aurait donc prévenu tout le monde, avant de prendre les mesures qui s'imposent en cas d'infraction comme il l'a fait au cours du quatrième trimestre 2010 avec Sonasid dont la baisse des résultats était la plus mauvaise surprise de l'année dernière.

Cela dit, la phrase préventive du CDVM peut avoir plusieurs interprétations. Dans ce contexte de crise qui a touché plusieurs secteurs en 2010, le risque de résultat en forte baisse est de taille pour plusieurs sociétés cotées. Le CDVM veut prévenir ce risque pour que les boursicoteurs en soient conscients. L'autre interprétation possible pourrait être liées à des valeurs précises que le CDVM garde à l'œil. A travers cette phrase, le régulateur veut passer le message un mois avant la date légale de publication des résultats annuels
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MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 26 Icon_minitimeMer 24 Nov 2010 - 14:33

Communication Financière: Le 1er compartiment de la BVC donne l'exemple / Le Matin 24/11/2010

Le CDVM (Conseil déontologique en valeurs mobilières) fait du contrôle de l'information financière publiée par les émetteurs son cheval de bataille. La dernière étude dressant l'état des lieux du comportement des sociétés cotées à la Bourse de Casablanca durant les trois derniers exercices, en matière de communication financière, s'inscrit dans ce cadre.

Périodicité de diffusion de l'information et respect des recommandations du gendarme du marché en la matière sont les principaux éléments analysés. Pour ce faire, l'étude repose sur un échantillon qui regroupe toutes les sociétés cotées à la BVC, dont le nombre a atteint 73, 77 et 76 respectivement pour les exercices 2007, 2008 et 2009. A noter qu'en 2009, quatre sociétés sur un total de 76 ont un exercice commercial qui ne correspond pas à l'année civile, et clôturent en mars de chaque année.

Sur le registre du respect des délais réglementaires des publications financières, l'étude a révélé que la majorité des sociétés (100% en 2009) respectent les délais légaux et réglementaires de publication. Pour rappel, ces délais sont de trois mois de la clôture de chaque semestre pour les publications semestrielles et 30 jours avant la tenue de l'assemblée générale ordinaire pour les publications annuelles. En outre, les sociétés qui publient à l'avance, en moyenne 10 jours avant le délai réglementaire, appartiennent majoritairement au premier compartiment (celui qui compte la majorité des sociétés cotées enregistrant les plus fortes capitalisations) de la bourse. Cette étude a également constaté une concentration des publications le dernier jour précédant le délai réglementaire de publication.

En effet, en 2009, 64% des sociétés ont publié le dernier jour du délai réglementaire de publication, contre 26% et 45% respectivement en 2007 et 2008. Par ailleurs, dans un souci d'assurer la continuité et la régularité de l'information financière publiée durant l'exercice, le CDVM a fortement recommandé aux émetteurs la publication de certains indicateurs trimestriels pertinents, et ce, dans un délai ne dépassant pas les 45 jours de la date de clôture de chaque trimestre. Cette recommandation demeure faiblement suivie.

En plus des obligations d'information, le CDVM a émis un certain nombre de recommandations à l'égard des émetteurs, afin de renforcer la transparence du marché. Il est recommandé, ainsi, aux sociétés cotées d'accompagner les publications périodiques par des communiqués de presse commentant les résultats réalisés, et ce, en expliquant, le cas échéant, les variations importantes que connaissent les principaux postes des états de synthèse. D'après l'étude, le commentaire des réalisations demeure la recommandation du CDVM la plus suivie en matière de communication financière. Il s'est d'ailleurs avéré que plus de 80% des sociétés qui respectent cette recommandation appartiennent au 1er compartiment.

Le chiffre d'affaires et le résultat étant les indicateurs les plus évoqués au niveau des commentaires. En 2009, sur les 121 commentaires de résultats, plus de 51 % ont commenté la constitution du résultat et 47% ont commenté le chiffre d'affaires. En plus des commentaires sur les résultats réalisés, certaines sociétés cotées rappellent souvent au niveau des commentaires les faits marquants de la période écoulée et annoncent au niveau des commentaires leurs perspectives en termes d'objectifs et de stratégie. En effet au titre de l'exercice 2009, 48 commentaires relataient les perspectives contre 45 et 19 au titre de l'exercice 2008 et 2007.

Le 1er semestre 2010 sous la loupe
L'étude a également été étendue à l'analyse des publications financières des sociétés cotées au titre du 1er semestre 2010 comparée à celles au titre du 1er semestre 2009. L'échantillon retenu comprend 71 sociétés cotées au titre du 1er semestre 2010 contre 72 au titre du 1er semestre 2009. Au titre du premier semestre 2010, il ressort qu'aucun dépassement de délai n'a été enregistré. En outre, toutes les sociétés cotées assujetties à la consolidation ont publié le périmètre de consolidation, contre 8 n'ayant pas respecté cette obligation au titre du premier semestre 2009. Cette étude a rapporté également que sur les 71 sociétés de l'échantillon, 49 ont publié des commentaires de résultats au titre du premier semestre 2010, contre 55 sur un total de 72 au titre du premier semestre 2009. Par rapport aux réunions au profit des analystes, 12 sociétés les ont organisées au titre du premier semestre 2010, contre 17 au premier semestre 2009. Il est à noter qu'il a été procédé à un report d'une réunion par le CDVM, pour non-respect du délai minimum séparant la réunion de la publication des comptes.

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MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 26 Icon_minitimeLun 8 Nov 2010 - 16:23

Courbe des taux: Probable revirement à la hausse/ Le Matin 08/11/2010

Une bonne nouvelle a enthousiasmé le marché monétaire durant la semaine allant du 28 octobre au 4 novembre 2010. Les réserves obligatoires, en retrait depuis plusieurs mois, sont excédentaires. Ce qui permet de contenir les taux interbancaires proche du taux directeur à 3,25% et les taux repos à 3,15%. Ainsi, le marché reste équilibré sous l'action conjointe de l'argentier de l'Etat et de l'institut d'émission.

«En effet, sans le soutien du Trésor, les 10 MMDH injectés par la banque centrale via ses avances à 7 jours en hausse d'un milliard supplémentaire par rapport à la semaine dernière n'auraient pas pu satisfaire le besoin du marché. En réalité, le trésor a renforcé la donne, en plaçant 4 MMDH pendant 7 jours à 3,15% », lit-on dans la note hebdomadaire du département Analyse et recherche de la Banque des Marchés d'Attijariwafa bank. Cette injection a permis, outre le fait de consolider l'équilibre du marché, de contribuer à la baisse des taux repos à 3,10 JJ.

En effet, les taux repos ont renoué avec leur niveau habituel après la hausse des taux repos JJ à 3,20% provoqué par la hausse du taux de placement de l'excédent de trésorerie de l'argentier de l'Etat la semaine du 21 au 27 octobre 2010. «Nous estimons alors que pour cette semaine, le marché restera équilibré avec des taux repos à 3,15% et des taux interbancaires à 3,25%», estime les analystes. Sur le marché obligataire, ceux-ci considèrent que le trend baissier de la courbe des taux pourrait facilement revirer à la hausse les prochaines semaines. Surtout que les besoins estimés pour ce mois de novembre ont atteint les 9 MMDH contre 1 MMDH le mois dernier.

D'après la même source, la tendance baissière qui a touché la courbe des taux primaire depuis le mois d'octobre provoqué par la pénurie en papier neuf, occasionne une perte de 7 pbs pour le 2 ans. Après le long terme il y a près d'une semaine, c'est au tour du moyen terme d'accuser une baisse des taux engendrée par les faibles taux de rémunération tolérés par les prêteurs de fonds. Les investisseurs en bons du Trésor ont manifesté un grand intérêt pour le court et moyen terme, principalement les maturités 13 semaines et 2 ans.

De ce point de vue là, ces deux maturités se sont emparées de plus de 70% de la demande globale, avec un montant de 6 MMDH chacune. Bien que le court terme ait concentré plus de 60% de la demande globale, le Trésor, qui voyait les choses d'un autre œil, a décidé de ne pas satisfaire cette tranche de maturité. Il a, en effet, servi uniquement la maturité 2 ans à hauteur de 2 MMDH.

Pour rappel, au cours du troisième trimestre 2010, les levées brutes du Trésor au niveau du marché des adjudications ont atteint 21,8MMDH, en baisse de 15,4% par rapport au deuxième trimestre 2010. Elles ont été prédominées par les émissions à court terme et à moyen terme à hauteur de 47,7% et 47,5% respectivement après 30,2% et 50,6% au cours du trimestre précédent. En revanche, les émissions à long terme n'ont représenté que 4,8% contre 19,2% au deuxième trimestre.

La BVC termine dans le vert
La semaine dernière (du 1 au 5 novembre 2010), les deux indices boursiers ont terminé sur une note positive. Le Masi à 12.229,27 points a pris 0,27%, alors que le Madex, à 9992,06 points s'est adjugé 0,34%. En conséquence, leurs gains year-to-date, se sont montés à 17,10% pour le Masi et 18,05% pour le Madex. La capitalisation boursière, elle, s'est chiffrée à 553,9 MMDH. Le volume transactionnel sur le marché central, s'est situé à 861,22 MDH tandis que sur le marché de blocs, a totalisé 69,82 MDH. Reste à préciser que la valeur BCP, dont la performance annuelle est de 67,2%, figure à la tête des titres ayant réalisé de gros volumes la semaine dernière. Elle a concentré un volume de 189,04 MDH dont 130,74 MDH sur le marché central et 58,29 MDH sur le marché de blocs (vendredi 5 novembre 2010, 75.600 titres ont changé de mains pour un cours de 385,58 MDH). Elle est talonnée par Lafarge Ciments et Itissalat Al Maghrib qui ont cumulé la semaine dernière, des volumes respectifs de 181,08 MDH et de 164,53 MDH. Sur le plan sectoriel, l'indice des mines a affiché la performance la plus élevée avec 91,51%. Le secteur de l'immobilier se situe en deuxième position avec un gain annuel de 38,87%.

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MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 26 Icon_minitimeMer 3 Nov 2010 - 13:34

FCP - Le marché innove


Investir en Bourse sans risque de capital et avec la garantie d'un taux d'intérêt minimum annuel est désormais possible. Avec le « FCP Capital Aman 7,5% Europe», les investisseurs marocains prudents qui se soucient d'abord de la sécurité de leur placement ont leur produit idéal. Ce fonds est le premier du marché qui garantisse à son souscripteur à la fois le capital et un taux minimum de rendement de 2,5% par an sur trois ans. Au terme de son investissement, le souscripteur est donc assuré de toucher son capital augmenté d'un intérêt de 7,5% voire davantage si la reprise annoncée est enfin là. Pour susciter l'intérêt des investisseurs, la société de gestion a choisit une période de souscription très courte. Ainsi, les souscriptions ouvertes depuis le 28 octobre dernier se terminent le 5 novembre. Le capital et le taux minimum annuel disposent d'une garantie BMCE Bank. Avec un rendement annuel minimum garanti proche du rendement monétaire, les investisseurs souscrivant au FCP peuvent ainsi espérer faire mieux que le rendement monétaire tout en profitant de la croissance sans prise de risque. A travers ce produit, BMCE Capital Gestion souhaite donner un nouvel élan au marché en proposant un produit innovant qui conjugue sécurité et performance dans le respect du cadre réglementaire. «Le contexte d'investissement de ce nouveau fonds est tout à fait propice» explique Majd Guebbas, Responsable analyse, recherche & développement chez BMCE Capital Gestion. La société de gestion anticipe, en effet, un retour de la croissance sur les marchés actions européens avec l'amélioration de la conjoncture économique internationale. Plusieurs signes avant coureurs sont identifiés. Revue à la hausse du PIB de la zone euro pour 2010, prime de risque du marché actions qui est jugée peu chère, variations positives de la production industrielle et celle du carnet de commandes… Toutes ce raisons montrent une claire reprise de l’activité en Zone Euro dès le 3e trimestre 2009. Le FCP Capital Aman 7,5% est un fonds contractuel investi sur des actifs monétaires et obligataires et adossé à un swap de performance. Le swap de performance est valorisé à l’échéance de la période d’investissement. La valeur du coupon versée par le swap v dépendre de la performance générée par la stratégie d’indexation sur l’indice européen « Dow Jones Euro Stoxx 50 ». Il n’y pas de ticket d’entrée et la souscription minimum est de 1000 DR. Autre avantage: l'investisseur peut ainsi investir sur un sous-jacent étranger avec une couverture du risque de change prise en compte dans la structure du fonds. Le FCP Capital Aman 7,5% est le 5e fonds contractuel du marché. La place financière marocaine compte actuellement quatre OPCVM contractuels ouverts au grand public, proposés par quatre sociétés de gestion: Capital Garanti 2011 de Wafa Gestion, Capital Sûr de BMCE Capital Gestion, CFG Perspectives, premier fonds contractuel de Dar Tawfir et SG Cash Garanti de Gestar. Ils ont tous la même particularité, celle de la garantie de 100% du capital. ils sont également investis dans les mêmes produits financiers, à savoir les instruments monétaires et les produits de taux de courtes maturités (bons du trésor, dépôts à terme...). (Source : L'Economiste)
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MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 26 Icon_minitimeMer 3 Nov 2010 - 11:58

La Bourse dans un cycle haussier / L'Economiste 02/11/2010

En dépit de quelques séances en baisse, la Bourse a surperformé au cours du mois d’octobre. Comme nous l’annoncions dans ces colonnes, précédemment, le marché reste clairement orienté à la hausse sur le court terme. Ce qui laisse présager une fin d’année paisible et surtout bénéfique pour les investisseurs. Preuve de ce regain de forme, deux nouvelles sociétés introduites au cours des 11 mois écoulés mettant ainsi fin à plus de deux années de vaches maigres à la Bourse de Casablanca. Mieux, les perspectives laissent entrevoir au moins une troisième entrée sur le marché en 2010, selon le management de la société gestionnaire de la Bourse de Casa. «Ce nombre devrait être multiplié par deux en 2011». Certaines ont déjà montré leur intérêt pour le marché boursier. On citera des immobilières, des compagnies d’assurances et même des sociétés de technologies de l’information…

Performances mensuelles
En attendant, le marché se porte bien. A fin octobre, les indices réalisent des performances mensuelles de 2,52% pour l’indicateur de toutes les valeurs et de 2,59% pour celui des titres les plus liquides.

Le Madex sera, d’ailleurs, bientôt réaménagé puis associé au nouvel indice Footsie Morocco pour une meilleure visibilité à l’international. Côté réalisations annuelles, les indices font forts. En effet, quand le Masi se bonifie de 16,78% à 12.196,70 points, le Madex, lui, bondit de 17,64% pour clôturer le mois à 9.957,74 points.

A noter qu’au cours de cette période, le Masi a cassé, plusieurs fois, à la hausse les seuils de résistances qui ont été fixé par les analyses chartistes. Même constat au niveau de la capitalisation qui d’un mois à l’autre s’élargit de 14 milliards de DH pour se fixer à fin octobre à 552,8 milliards. Cette évolution, selon le marché, dénote du retour de confiance des investisseurs comme le montre l’augmentation des échanges. D’ailleurs, le volume global de transactions transigé sur le marché dépasse les 18 milliards de DH à fin octobre représentant 3 fois celui réalisé en septembre 2010. Et c’est traditionnellement le marché central qui concentre la majorité des échanges du mois avec plus de 7 milliards de DH. La valeur Attijariwafa bank a été la plus active au cours du mois d’octobre avec un flux transactionnel de 1,47 milliard de DH. Elle est suivie par IAM, BCP et Addoha, qui ont drainé un chiffre d’affaires mensuel respectif de 964, 842 et 742 millions de DH. L’attractivité de ces valeurs est d’autant plus visible qu’elles ont toutes bouclé le mois sur des performances certes disparates mais performances quand même. Ainsi BCP réalise la meilleure progression de ce benchmark (7,24%). Addoha est seconde avec une amélioration de 5,42%. Viennent, ensuite, Attijariwafa bank (+2,74%) et IAM (+0,47%).

Au volet sectoriel, les mines enregistrent la plus forte performance mensuelle avec une progression de 8,17% à 12.874 points. Le secteur porte ses réalisations annuelles à plus de 91%. L’activité boursière du secteur de l’informatique n’est pas en reste. Il progresse de 7,36% à 1.061 points portant sa performance annuelle à 39,25%. Les assurances sont troisième avec une amélioration de leur indice de 5,36% à 3.567 points, soit une performance annuelle de 30,67%. Les secteurs des banques et de l’immobilier sont en embuscades avec des réalisations mensuelles de 2,52 et 4,77% respectives.

Sur le plan des valeurs, c’est l’apanage des petites «capi». En effet, Involys, qui tire son épingle du jeu, bondit de 43% à 274,90 DH. En seconde position, la Société Minière d’Imiter s’élargit de 19,08% à 1.548 DH. Non loin derrière, HPS s’apprécie de 12,44% pour finir le mois à 877 DH. Crédit du Maroc fait également partie de ce peloton de tête avec une progression de 11,23% à 901 DH. A l’inverse, Auto Nejma se distingue suite à la plus forte contre-performance du mois. Le titre se replie de 10,19% et termine à 1.436 DH.

Côté perspectives, les analystes du marché tablent sur une poursuite de la tendance haussière au moins jusqu’à la fin de l’année qui coïncide avec la période de prise de bénéfice des investisseurs. Cette tendance pourrait se poursuivre par la suite, sauf catastrophe!

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MessageSujet: Plans d'Epargne   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 26 Icon_minitimeJeu 21 Oct 2010 - 12:21

Les plans d’épargne dépoussiérés


Cette fois sera peut-être la bonne. Le Maroc se dotera enfin des dispositifs pour mobiliser l’épargne à long terme. Revendiqués depuis une décennie, ils ont enfin des chances d’être adoptés avec l’entrée en vigueur de la loi de finances 2011. Poussées par le manque de liquidité qui a caractérisé le marché au lendemain de la crise financière, les autorités souhaitent ainsi augmenter le taux d’épargne qui se situe, actuellement, à environ 30% du revenu national disponible brut. Entre plans d’épargne logement (PEL), plans d’épargne actions (PEA) et plans d’épargne entreprise (PEE), proposés par la CGEM, le projet de loi de finances pour 2011 propose des formules pour le PEL, le PEA et le plan d’épargne éducation, mais n’évoque nulle part les PEE. Destinées à la classe moyenne, ces solutions devront permettre d’améliorer l’accessibilité au logement et de promouvoir l’enseignement privé en plus d’améliorer l’accès des particuliers au marché boursier. On notera à cet égard l’exonération totale des revenus et profits de capitaux mobiliers réalisés dans le cadre du PEA, dont l’imposition s’élève à 10% pour les dividendes ou 15% pour toute cession des titres cotés, à condition que le montant cumulé ne dépasse pas 600.000 DH. Ce plafond est jugé par les professionnels peu encourageant vu les opportunités qu’offre le marché boursier. Avis partagé par Karim Hajji, directeur général de la Bourse de Casablanca, qui estime que «bien que cette mesure soit encourageante le plafond fixé à 600.000 DH reste insuffisant». Par ailleurs, selon ce dispositif, ces actions devront être conservées pendant cinq ans pour bénéficier de l’exonération fiscale, permettant ainsi d’attirer davantage de particuliers intéressés par un investissement sur le long terme, souligne un professionnel. En effet, «les avantages fiscaux combinés à une reprise du marché et à l’injection de papier frais devraient inciter les particuliers à revenir en masse à la Bourse de Casablanca, mais cette fois dans une logique d’investissement à long terme», précise-t-il. De plus, cette incitation permettrait également une diversification des placements des ménages, en les réorientant vers les actions, jugés risquées. À condition toutefois que les acteurs sur le marché financier jouent le jeu. Destinés à des non avertis, l’effort de communication et d’éducation devrait être accentué. À défaut, ce sont les OPCVM actions qui pourront attirer le plus cette catégorie d’investisseurs. Pour Karim Hajji les banquiers joueront un rôle déterminant dans la commercialisation de ces plans. (Source : Les Echos)
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MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 26 Icon_minitimeJeu 21 Oct 2010 - 8:45

BOURSE DE CASABLANCA : Lancement du FOOTSIE MOROCCO à partir du 1er janvier 2011

Fait : Lancement d’un nouvel indice à la Bourse de Casablanca.

Analyse : Dans le cadre de sa stratégie de développement, la Bourse de Casablanca s’apprête à lancer, à compter du premier janvier 2011, l’indice FOOTSIE CASABLANCA STOCK EXCHANGE -FCSE-, indice élaboré en étroite collaboration avec FTSE Group.
Le FTSE Group est une entreprise spécialisée dans le calcul et la diffusion d’indices boursiers. Elle a été créée en 1995 par le FINANCIAL TIMES et la Bourse de Londres.
La Bourse de Casablanca compte également procéder à une prospection en Afrique Subsaharienne auprès des entreprises cotées (pour les encourager à réaliser une double cotation) ou non encore cotées. A cet effet, la Bourse de Casablanca entend profiter du réseau bancaire marocain déjà déployé dans les pays ciblés.

Conclusion : A travers ces démarches, la Bourse de Casablanca envisage de franchir une nouvelle étape en quête de nivellement aux standards internationaux afin de se garantir une meilleure visibilité et crédibilité à l’international.

BMCE Capital Bourse

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MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 26 Icon_minitimeDim 17 Oct 2010 - 15:13

Projet de loi de Finances: Qui donnent les sous au Trésor?


· Les entreprises publiques ont versé 9 milliards de DH d’IS

· OCP SA, Maroc Telecom, BAM, trois vaches laitières


Dans la vie, il y a ceux qui donnent et ceux qui prennent!
Une règle à laquelle n’échappent pas les entreprises publiques. Celles-ci font partie du portefeuille public et qui compte aussi 481 sociétés où l’Etat a les statuts d’actionnaire unique, majoritaire ou ayant des parts ne dépassant pas les 50%.
L’Etat fait des affaires, mais à sa manière. D’où la relation financière qu’il entretient avec ses entreprises publiques. Difficile parfois, surtout lorsque la Cour des comptes épluche les bilans. Dans les 240 entreprises publiques du Royaume, il y a aussi les bons et les mauvais élèves, les riches et les pauvres… Avant de faire ses comptes, l’Etat réalise d’abord via la loi de Finances des transferts budgétaires à ses entreprises: un peu plus de 24,6 milliards de DH en 2009, soit une hausse de 43% par rapport à 2008.
Ces fonds publics ont été «orientés prioritairement aux infrastructures, enseignement, agriculture et services publics de base», selon le ministère des Finances. Les établissements non marchands à vocation éducative, culturelle ou sociale accaparent 77% des transferts budgétaires de l’Etat. Académies, universités, hôpitaux… en sont les principaux bénéficiaires. Ce sont près de 19 milliards de DH dédiés à relever notre indice de développement humain.
Puis il y a les entreprises publiques marchandes. L’Office national des chemins de fer est en tête des bénéficiaires des subventions budgétaires directes (1,3 milliard de DH), suivi par l’audiovisuel public (SNRT), le Crédit Agricole, le CIH et Al Omrane. 5,8 milliards au total qui, lorsqu’ils ne sont pas dédiés à l’investissement, servent à des restructurations financières ou à financer des «programmes structurants». Tels que la ligne TGV Tanger-Kénitra, autoroutes, énergies renouvelables… Il y a certes une prédominance des transferts à l’équipement. Mais 43% des subventions de l’Etat sont absorbées par le fonctionnement. A part les transferts budgétaires de l’Etat, les entreprises publiques se servent également dans les produits des taxes parafiscales (2,5 milliards de DH). L’Office de formation professionnelle, la SNRT ou encore l’Office national interprofessionnel des céréales et légumineuses en sont les premiers à s’en servir depuis 2007. Le concours financier de l’Etat prend également en charge leur personnel, contribue à la formation…
L’Etat a transféré jusqu’à fin juin dernier 12,3 milliards de DH. Et ceci au titre de la loi de Finances 2010. Soulignons que ses prévisions initiales (24,6 milliards de DH) ont été actualisées. Le ministère des Finances les a donc ramenées à près de 22 milliards, avec tout de même un taux de réalisation de 56%. Certes l’Etat débourse des fonds, mais il en reçoit aussi. Les entreprises publiques ont dû lui verser près de 10,5 milliards de DH en 2009. Ce qui représente une hausse de 35% par rapport à 2008 et un taux de réalisation de 105% par rapport aux prévisions de la loi de Finances!
Ces produits qui proviennent des entreprises publiques participent à hauteur de 1,4% du PIB en 2009 toujours et 6% des recettes ordinaires du budget de l’Etat. Ils sont en hausse par rapport aux performances réalisées en 2008. A ces produits s’ajoutent les dividendes et redevances domaniales notamment. Elles sont cinq entreprises sur 240 à renflouer les caisses du Trésor. Aves ses 2,8 milliards de DH, Bank Al-Maghrib se place comme 1er contributeur. Maroc Telecom la talonne (2,6 milliards de DH), OCP SA évidemment (2,4 milliards de DH), l’imprévisible Conservation foncière (1,2 milliard de DH), puis la Caisse de dépôt et de gestion ferme la marche. A fin août 2010, les versements ont atteint 6,8 milliards de DH, soit un taux de réalisation de 74%. Les prévisions 2011 de l’argentier du Royaume tablent sur 10,02 milliards.
Rappelons que l’Etat est actionnaire à 30% dans Maroc Telecom. L’opérateur -ayant un statut de société mixte dans le portefeuille public- s’active dans un secteur qui demeure le 1er contributeur fiscal du pays et dont le chiffre d’affaires participe à hauteur de 7% dans le PIB. Quant à l’OCP SA – il reprend des couleurs. La reprise est au rendez-vous après les vaches maigres de 2009 et les performances record de 2008. A fin juillet 2010, ses exportations de phosphates bruts notamment ont quasiment doublé par rapport à juillet 2009: de 2,9 à 5,7 millions de tonnes. Si la CDG figure avec l’OCP SA au top 5 des plus gros contributeurs publics, c’est qu’il y a une raison. Les deux établissements sont, au côté de la BCP, les holdings publics qui détiennent 46% des sociétés relevant du portefeuille public. Autant dire qu’ils sont les trois mousquetaires financiers de l’Etat. Les dividendes ont participé en 2009 de plus de la moitié aux produits versés par les entreprises publiques à l’Etat. En revanche, la part des redevances domaniales n’atteint que 3%. Quant à la contribution fiscale des entreprises publiques, elle est de 9,02 milliards de DH pour l’IS et près de 3,3 milliards pour l’Impôt sur le revenu.
La baisse enregistrée en 2009 pour l’IS (plus de 5 milliards) s’explique par la baisse de la contribution de l’OCP. Les montants dus par les entreprises publiques en 2009 représentent 8,5% du montant total de l’IS réalisé en 2010. Chez ces établissements, OCP SA, Conservation foncière, Al Omrane et l’ONDA versent plus de la moitié de l’IS.
Pour l’impôt sur le revenu, on retrouve l’OCP toujours, RAM, ONE, Conservation foncière et Onep. Là aussi l’apport de Maroc Telecom et de Bank Al- Maghrib pèse.


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MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 26 Icon_minitimeVen 15 Oct 2010 - 9:59

La Bourse de Casablanca intègre la World Federation Of Exchanges

En récompense à ses nombreux projets de mise à niveau, à son ancrage dans la communauté financière internationale et à sa conformité aux standards internationaux propres à son activité, la Bourse de Casablanca a vu sa demande d’adhésion votée à l’unanimité par les membres de la World Federation of Exchanges‐ WFE.
Cette décision, prise lors de l’Assemblé Générale qui marque le 50ème anniversaire de la WFE, est loin d’être fortuite. En effet, une délégation de la WFE est venue réaliser une mission d’inspection auprès de l’ensemble des intervenants du marché boursier marocain. Mission concluante qui a confirmé que la Bourse de Casablanca, ainsi que le régulateur, le dépositaire central et le système de règlement de Bank Al Maghrib (SRBM) répondent aux exigences de la WFE en termes d’efficacité et de bonne gouvernance.

En récompense à ses nombreux projets de mise à niveau, à son ancrage dans la communauté financière internationale et à sa conformité aux standards internationaux propres à son activité, la Bourse de Casablanca a vu sa demande d’adhésion votée à l’unanimité par les membres de la World Federation of Exchanges‐ WFE.

Cette décision, prise lors de l’Assemblé Générale qui marque le 50ème anniversaire de la WFE, est loin d’être fortuite. En effet, une délégation de la WFE est venue réaliser une mission d’inspection auprès de l’ensemble des intervenants du marché boursier marocain. Mission concluante qui a confirmé que la Bourse de Casablanca, ainsi que le régulateur, le dépositaire central et le système de règlement de Bank Al Maghrib (SRBM) répondent aux exigences de la WFE en termes d’efficacité et de bonne gouvernance.

Désormais, la Bourse de Casablanca est le 52ème membre de la WFE, la 4ème bourse arabe et la 4ème bourse africaine à en faire partie. Cette adhésion représente un gage de qualité et de crédibilité indéniable, notamment en matière d’organisation, de réglementation, d’accès au marché, d’infrastructure technique, de gestion des risques...

A propos de la WFE

La World Federation of Exchanges a été créée en 1960 et compte aujourd’hui 52 bourses membres à travers le monde. Sa mission consiste à favoriser les échanges entre ses membres à travers 4 critères à savoir ; la Qualité des normes de marché et des statistiques fiables ; les Recommandations issues d’une collaboration avec des décideurs politiques, des régulateurs et des organismes de gouvernement des marchés boursiers; la Gestion d’un réseau qui rassemble des experts en la matière et le Développement en assistant les bourses candidates à répondre à ses normes d’adhésion. Elle assure également à ses membres le conseil en termes de stratégies commerciales, et amélioration/harmonisation de leurs pratiques de gestion.

La WFE est considérée comme la référence dans le domaine des marchés des valeurs mobilières et des transactions boursières.

A propos de la Bourse de Casablanca

La Bourse de Casablanca a été créée en 1929. C’est une société anonyme à Conseil d’Administration et Direction Générale qui exerce sous la tutelle du Ministère de l’Economie et des Finances, dans le cadre d’un cahier des charges. Sa mission consiste à assurer le fonctionnement, le développement et la promotion du marché boursier marocain.

La Bourse de Casablanca dispose de 3 marchés actions, un marché obligataire et un marché des fonds. Les transactions qui y sont effectuées répondent à une réglementation rigoureuse et une transparence optimale.

A ce jour, 73 entreprises y sont cotées dont une entreprise tunisienne en double cotation.

En 2009, la Bourse de Casablanca a mis en place une stratégie quinquennale qui s’articule autour de 3 axes majeurs à savoir ; doubler le nombre des sociétés cotées, atteindre un demi‐million d’investisseurs et devenir une place régionale
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MessageSujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 26 Icon_minitimeJeu 14 Oct 2010 - 8:51

chapeau haakoo info interessante
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MessageSujet: prov   Articles presse: MARCHES BOURSIERS - Page 26 Icon_minitimeMer 13 Oct 2010 - 22:55

16 valeurs marocaines dans l’indice Dow Jones Mena


La bourse de Casablanca fait partie, depuis le 07 Octobre 2010, du nouvel indice Dow Jones Mena.
Cet indice mesure la performance des titres les plus actifs, négociés dans la région MENA.
Le Dow Jones MENA Broad Stock Market Index couvre 11 pays de la région, à savoir
le Bahreïn, l’Égypte, la Jordanie, le Koweït, le Liban, le Maroc, Oman, le Qatar, l’Arabie saoudite, la Tunisie et les Émirats Arabes Unis.


Les 16 valeurs marocaines qui sont représentées dans cet indice sont, par ordre d’importance :

Attijariwafa Bank.... . Maroc Telecom.... .Addoha..... . BMCE... . CGI..

Lafarge Ciments .... Holcim... BCP... Ciment s du Maroc........ .Alliances

BMCI...... CIH......... Wafa Assurance..... Samir........ Auto Hall...... . Delta Holding

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