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 Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE

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MessageSujet: Re: Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE   Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE - Page 19 Icon_minitimeJeu 18 Mar 2010 - 9:01

L'écotourisme comme niche de développement régional, au centre d'un atelier début avril à Tiznit

Mettre à profit le savoir scientifique pour promouvoir l'écotourisme et valoriser les potentialités naturelles et écologiques du Souss-Massa-Draa, est l'ambition affichée par les organisateurs d'un atelier international, prévu début avril à Tiznit. La rencontre, qui aura lieu les 2, 3 et 4 avril, est organisée à l'initiative des universités Mohammed V de Rabat et Ibn Zohr d'Agadir, sous le thème "Promotion du géo-écotourisme et médiation scientifique pour le développement de la région Souss-Massa-Draa". Les organisateurs entendent offrir le cadre pour "sensibiliser les acteurs du milieu socio-économique et les scientifiques, aux potentiels géo et éco-touristique valorisant cette ressource" et " faire comprendre aux décideurs et aux investisseurs le rôle que peut jouer la recherche scientifique comme source de données dans ce domaine". Des universitaires marocains et étrangers et des acteurs socio-économiques nationaux et locaux auront ainsi à débattre de questions liées à la mise en valeur scientifique des ressources naturelles, la sensibilisation à la protection de l'environnement et du patrimoine, le développement du tourisme thématique et la formation de médiateurs scientifiques, sorte de guides, issus de la région, indiquent les organisateurs dans un communiqué parvenu à la MAP. La diversité du patrimoine marocaine en sites géologiques et archéologiques, en biodiversité et en circuits à paysages variés, font du Maroc une destination prisée par les touristes. La région du Souss-Massa-Draa présentent des potentialités importantes et avantageuses pour différents types de tourismes thématiques tels que le tourisme balnéaire, rural, culturel ou encore le tourisme du désert et de montagne. Cependant, des milieux naturels importants, tant dans la région, qu'au niveau national en général, subissent des dégradations parfois irréversibles souvent dues, selon les scientifiques, à une simple méconnaissance des lois de la nature. En marge de l'atelier, les organisateurs prévoient une série de visites de sites à caractère géo et éco-touristiques de la région, dont la palmeraie de Tiznit, le mont du Kerdouss, la ville de Tafraout et ses zones montagneuses, ainsi que les sites côtières de Mirleft, Lagzira, Sidi Ifni, Mesti et Labaa Sahel.

MAP 17/03/2010
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MessageSujet: Re: Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE   Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE - Page 19 Icon_minitimeMer 17 Mar 2010 - 9:41

S.M. le Roi et le Président gabonais président à Tanger la cérémonie de signature de cinq accords de coopération

Sa Majesté le Roi Mohammed VI, accompagné de S.A.R. le Prince Moulay Rachid, et le Président gabonais, Haj Ali Bongo, ont présidé, mardi au Palais Marchane à Tanger, la cérémonie de signature de cinq accords de coopération dans les domaines de la formation professionnelle, de l'énergie, des mines, de l'environnement et du tourisme. La première convention a pour objet le développement des liens de coopération entre les deux pays dans le secteur de la formation professionnelle en vue de permettre le développement de ce secteur.

En vertu de cette convention, signée du côté marocain par le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Taieb Fassi Fihri, et du côté gabonais par le ministre de l'Enseignement technique et de la formation professionnelle, Léon Nzouba, le Maroc apporte son appui au secteur de la formation professionnelle au Gabon à travers, entre autres, la mise en œuvre de plans de formation continue, d'une démarche qualité de l'offre de formation professionnelle au sein des établissements de formation et le perfectionnement des formateurs dans des secteurs prioritaires. La deuxième convention s'inscrit dans le cadre de l'intérêt mutuel des deux parties au développement d'actions de coopération dans les domaines des mines, de la géologie et des hydrocarbures. Le Maroc et le Gabon s'engagent, en vertu de cet accord-cadre, à encourager la coopération technique bilatérale en vue de contribuer au développement des secteurs des mines et des hydrocarbures. Portant sur les secteurs de l'énergie et des ressources hydrauliques, la troisième convention de coopération s'inscrit dans le cadre de la volonté des deux parties d'encourager la coopération technique bilatérale en vue de contribuer au développement des secteurs concernés. Les parties s'engagent, conformément aux dispositions de cet accord-cadre, à encourager la conclusion d'arrangements particuliers entre les organismes et institutions publics ou privés et entreprises des deux pays pour la réalisation des actions de coopération. La quatrième convention relative au domaines de l'environnement et de l'eau s'inscrit dans le cadre du renforcement des efforts de coopération et d'échange entre les deux pays à travers le développement de leur coopération bilatérale dans les domaines précités sur une base d'équité, d'égalité de droits et d'avantages mutuels dans le cadre de leurs compétences et de leurs législations respectives. La coopération couvre, en vertu de cet accord, plusieurs domaines notamment l'éducation et la sensibilisation dans le domaine de l'environnement, la gestion intégrée de l'eau, la gestion et la protection des zones écologiquement sensibles et les énergies renouvelables et technologies non nuisibles à l'environnement. Ces conventions ont été signées du côté marocain par la ministre de l'Energie, des Mines, de l'Eau et de l'Environnement, Amina Benkhadra, et du côté gabonais par le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération internationale et de la Francophonie, Paul Toungui. La cinquième convention relative à la coopération touristique s'inscrit dans le cadre du renforcement des relations d'amitié qui lient les deux pays et de la promotion d'une meilleure connaissance mutuelle de leur héritage historique et culturel. Les parties s'engagent, en vertu de cette convention signée par le ministre du Tourisme et de l'Artisanat, Yassir Zenagui, et le ministre gabonais de l'Economie, du Commerce, de l'Industrie et du Tourisme, Magloire Ngambia, à prendre toutes les mesures adéquates pour promouvoir et intensifier les échanges touristiques et à encourager leurs agences de voyages agréées et les professionnels du tourisme à travailler ensemble pour promouvoir leurs différents produits touristiques. Cette cérémonie s'est déroulée en présence notamment de Abdelaziz Meziane Belfkih, conseiller de S.M. le Roi, Ahmed Réda Chami, ministre de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologies, des membres du comité d'honneur et de la délégation officielle gabonaise.

MAP 17/03/2010
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MessageSujet: Re: Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE   Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE - Page 19 Icon_minitimeMer 17 Mar 2010 - 9:19

Le Maroc se distingue lors de la messe parisienne

Les exposants marocains qui prennent part au salon «Franchise Expo Paris» et Maroc Export (Centre marocain de promotion des exportations), organisateur de cet évènement dans l'Hexagone, ont été très satisfaits de l'intérêt accordé par les visiteurs au stand marocain. C'était en fait une participation qui a eu un grand intérêt de la part des investisseurs, des franchiseurs et des franchisés français. Cet événement a eu davantage d'éclat par la visite consacrée par la ministre française, hier, au stand marocain. En effet, Anne Marie Idrac, secrétaire d'Etat français au Commerce a eu des entretiens avec l'ambassadeur du Maroc à Paris, Mustapha Sahel, avec la directrice du commerce intérieur au ministère de l'Industrie et du Commerce, Mounia Boucetta, avec les exposants et avec les responsables de Maroc Export. S'exprimant à cette occasion elle a déclaré que : «le Maroc est un partenaire unique pour la France puisque nous sommes le premier client, le premier fournisseur, le premier investisseur et le premier pays pour le tourisme… Je constate, à chacun de mes déplacements au Maroc, un dynamisme extraordinaire de l'entreprenariat marocain. Il y a une nouvelle étape du développement marocain qui est en train d'être franchie. Dans les villes où je me rends assez souvent comme Rabat ou Casablanca il est formidable de voir à la fois des franchises françaises et des franchises marocaines », a-t-elle dit. Dans la perspective du développement des relations marocco-françaises, elle est allée plus loin dans son analyse en appelant à plus de partenariat. «Quand je vois des franchises marocaines appartenant au monde de la mode comme ce que je viens de visiter dans le pavillon marocain à ce salon de la franchise je pense au co-développement, au partenariat…Il y a des idées à prendre les uns des autres. Par exemple aller ensemble dans des franchises en Afrique, c'est une bonne idée moderne…», a-t-elle proposé. Pour sa part, Mounia Boucetta, directrice du commerce intérieur au ministère de l'Industrie et du commerce, a estimé que « la belle participation du Maroc à ce salon, où le Maroc est l'invité d'honneur, témoigne de toute la dynamique du secteur de la franchise sur le plan national. On est fier de présenter des concepts marocains. Le secteur de la franchise se développe à pratiquement 18 % chaque année. Cette participation au salon va permettre aux franchiseurs marocains d'exporter également leurs concepts. Il y a également la mise en contact qui est favorisée par cet évènement. Ce qui permet aussi aux investisseurs étrangers de voir qu'il y a un marché et un potentiel de développement », nous a-t-elle déclaré. Selon elle, il faut penser à des initiatives de développement d'enseignes étrangères. « Elles sont déjà présentes mais l'idée c'est aussi de s'ouvrir à d'autres pays tels que l'Espagne, l'Italie et d'autres tout en favorisant l'exportation de nos concepts », précise-t-elle. La participation marocaine au Franchise Expo Paris a montré qu'il y a des concepts et des enseignes marocains qui se sont déjà mis à l'export. « Mais il faut les renforcer davantage, c'est pour cela que notre ministère a mis en place le plan Rawaj. Cette stratégie vise justement à aider les enseignes marocaines à se développer aussi bien sur le plan national qu'international », souligne Mounia Boucetta. Par ailleurs, outre le titre d'honneur accordé au Royaume lors de cette manifestation, le Maroc a brillé également lors de la cérémonie dédiée à l'attribution du Business Award Franchise. En effet, chaque année, Franchise Expo Paris met en lumière un pays et ses franchises. Ce prix récompense la réussite d'un franchiseur du pays à l'honneur, qui est cette année le Maroc. Cette initiative menée par Franchise Expo Paris, la Fédération française de la franchise et Reed Expositions France, vise à encourager le développement d'une enseigne au-delà de ses frontières. Le prix a été attribué à Marwa, une franchise marocaine appartenant au secteur du textile et habillement (produits de prêt à porter pour femmes). Une autre distinction pour le Maroc dans ce salon.

Le Matin 17/03/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE   Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE - Page 19 Icon_minitimeMar 16 Mar 2010 - 8:46

Le Maroc fait son entrée dans l'univers de la franchise

La présence au Franchise Expo Paris de quatre enseignes montre que c'est ce nouveau raisonnement qui prend le devant. « Cela peut paraître peu. On aimerait qu'il y ait davantage, mais ce n'est qu'un début. Je crois que cela va donner un engouement aux autres. C'est-à-dire que si on réussit dans cette expérience elle va être bénéfique à d'autres franchiseurs qui verront eux aussi que cela peut marcher », avance A. Belghiti. La participation à ce salon est une façon de montrer que c'est possible. Il y a beaucoup de franchiseurs qui viennent visiter. Ils se rendent compte qu'il y a des franchises qui sont là. Elles sont sollicitées par des investisseurs pour des partenariats… Il faut signaler que 67 enseignes marocaines se sont développées en franchise en créant leur propre concept. Ces PME représentent 16% de la totalité des réseaux de franchise implantés au Maroc. Elles sont actives notamment, dans le secteur de l'ameublement, la téléphonie, l'habillement et la restauration. Leur réseau constitue 69% des points de vente avec plus de 2544 implantations. Ainsi, la franchise connaît un développement considérable au Maroc. A ce sujet, l'évolution du nombre d'enseignes de franchise installées au Maroc suit, depuis les années 90, un rythme de croissance exponentiel. En effet, le taux de croissance annuel moyen sur les dix dernières années est de près de 18%. A fin février 2010, 407 réseaux de franchise ont été identifiés à travers le suivi mené par le ministère de l'Industrie, du commerce et des nouvelles technologies auprès des opérateurs du secteur de la franchise. Ces réseaux de franchise sont répartis sur plus de 3653 points de vente. Un véritable développement pour ce secteur d'activité. La présence au Franchise Expo Paris de quatre enseignes montre que c'est ce nouveau raisonnement qui prend le devant. « Cela peut paraître peu. On aimerait qu'il y ait davantage, mais ce n'est qu'un début. Je crois que cela va donner un engouement aux autres. C'est-à-dire que si on réussit dans cette expérience elle va être bénéfique à d'autres franchiseurs qui verront eux aussi que cela peut marcher », avance A. Belghiti. La participation à ce salon est une façon de montrer que c'est possible. Il y a beaucoup de franchiseurs qui viennent visiter. Ils se rendent compte qu'il y a des franchises qui sont là. Elles sont sollicitées par des investisseurs pour des partenariats… Il faut signaler que 67 enseignes marocaines se sont développées en franchise en créant leur propre concept. Ces PME représentent 16% de la totalité des réseaux de franchise implantés au Maroc. Elles sont actives notamment, dans le secteur de l'ameublement, la téléphonie, l'habillement et la restauration. Leur réseau constitue 69% des points de vente avec plus de 2544 implantations. Ainsi, la franchise connaît un développement considérable au Maroc. A ce sujet, l'évolution du nombre d'enseignes de franchise installées au Maroc suit, depuis les années 90, un rythme de croissance exponentiel. En effet, le taux de croissance annuel moyen sur les dix dernières années est de près de 18%. A fin février 2010, 407 réseaux de franchise ont été identifiés à travers le suivi mené par le ministère de l'Industrie, du commerce et des nouvelles technologies auprès des opérateurs du secteur de la franchise. Ces réseaux de franchise sont répartis sur plus de 3653 points de vente. Un véritable développement pour ce secteur d'activité.

Le Matin 16/03/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE   Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE - Page 19 Icon_minitimeLun 15 Mar 2010 - 11:21

Marocotel: Un test pour les implantations au Maroc

Marocotel a tenu ses promesses. C’est en tout cas ce qui ressort des déclarations de la plupart des exposants (140 au total). Dès les premiers jours, les professionnels parlent de contacts concluants. C’est le cas notamment des cafés Dubois et de Fabri Glaces. Ce fabricant de glaces italien s’appuie sur l’image du premier, qui est d’ailleurs très visible sur le salon. D’ailleurs, un partenariat a été scellé entre les deux entreprises. Ainsi, Les Cafés Dubois deviennent le représentant exclusif de la marque italienne au Maroc. Le fabricant de glaces avait déjà tenté une percée, via un autre représentant, mais qui n’ pas abouti. «Cette fois-ci sera la bonne. Nous nous appuyons sur une structure solide. Quant au marché marocain, il est très prometteur», affirme Stefano Sermenghi, directeur export à Fabri Glace. Visiblement, le directeur n’a pas tort. Son stand était prisé aussi bien par les particuliers que par les professionnels. Mais le fabricant de glaces bolonais n’est pas le seul à jubiler. Le stand de la chaîne de glace Venezia Ice était également très sollicité. Dans le rayon des stands de cuisines, l’atmosphère oscille entre la satisfaction et la frustration. Certains opérateurs affirment avoir eu de bons contacts notamment avec les restaurateurs, mais espéraient en avoir plus, notamment avec les hôteliers à la fin du salon. D’autres sont par contre dans l’expectative. Du côté des opérateurs de la literie, l’on affirme que les très attendus hôteliers ne sont pas encore au rendez-vous. «Nous tablons surtout sur vendredi et samedi», souligne Serge Grana, directeur administratif de Rêve Bleu. Il faut dire aussi que les fortes pluies n’arrangent pas non plus la situation. Mais les intempéries n’ont pas empêché d’enregistrer des commandes de particuliers notamment de lits personnalisés (lits à la carte). Même son de cloche auprès de Philippefuchaire (entreprise marocaine d’agencement et d’aménagement) qui exporte ses produits aux Etas-Unis, en Europe et en Asie. Cette entreprise a même conçu l’agencement de la résidence du président de l’Azerbaïdjan. A noter que les exposants misent tous sur la Vision 2020 du Tourisme avec les ouvertures hôtelières prévues entre 2010 et 2015. Mieux encore, plusieurs entreprises françaises ont déjà entamé les procédures d’implantation. C’est le cas notamment d’une entreprise qui développe des solutions pour les réservations en ligne pour hôtels. Son responsable export affirme que le marché est porteur grâce à l’ouverture de nouveaux hôtels, et au développement et la croissance du transport aérien low cost.

L'Economiste 12/03/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE   Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE - Page 19 Icon_minitimeLun 15 Mar 2010 - 9:20

Hôtellerie et loisirs: Des indicateurs en berne pour Risma

Devant prendre fin à l'horizon 2011, le programme d'investissements engagé actuellement par Risma impacterait positivement les réalisations du groupe hôtelier. A plus court terme, les indicateurs devraient se redresser à partir de 2010 avec la reprise de l'activité de l'ex-Hilton Rabat sous l'enseigne Sofitel. Pour rappel, le coût de rénovation sur le premier semestre de 2009 est de l'ordre de 74 MDH. Une inflexion d'autant plus souhaitée que ce fonds d'investissement aura subi certains effets pervers de la conjoncture ayant prévalu tout au long de l'exercice écoulé. Risma, tout en limitant l'ampleur des contraintes, a vu certains de ses fondamentaux s'inscrire dans des trends relativement baissiers. Ainsi et selon les analystes de BMCE Capital Bourse, affecté par la fermeture du Sofitel Rabat pour rénovation (de janvier à novembre 2009), le chiffre d'affaires consolidé s'est délesté de 17% (-0,9% à périmètre et change constants) à 925 MDH à fin 2009. Ces mêmes analystes rappellent au passage que l'hôtel a généré à, lui seul, 166 MDH en 2008 (avant rénovation). De même, le RevPar (revenu moyen par chambre) s'est replié de 7,6% (+0,8% à périmètre et change constants) à 474 DH correspondant à un PMC (Prix moyen par chambre) en baisse de 6,2% (-0,3%) à 787 DH (TTC) et un taux d'occupation de 60% contre 61% en 2008 et contre 41% pour le secteur. Par segment, les secteurs «Economiques et affaires » auront fait preuve d'une résilience avérée à la conjoncture en affichant les performances de 6% à PCC pour Ibis, 11% pour Mercure et 6% pour Novotel. Cette hausse a permis d'atténuer l'impact de la volatilité du segment haut de gamme (-9% à périmètre et change constants par Sofitel) et du repositionnement des Coralia Clubs (-42% avec la fermeture pour rénovation du Coralia Palmariva Marrakech sur le second semestre 2009). Dans cette lignée, le GOP (Résultat opérationnel avant amortissements, loyers, taxes, frais financiers et redevances) a régressé de 25,9% (+0,7%) à 342 MDH, ramenant la marge du GOP à 37% contre 41,4% une année auparavant. Par enseigne et à périmètre constant, le GOP présente une hausse de 11% du GOP de l'hôtellerie économique grâce aux économies d'échelle réalisées sur les unités de ce segment et à la montée en puissance des unités mises en service en 2006-2007 (Ibis CCC et Ibis Casa Sidi Maârouf). Outre une augmentation de 11% du GOP de l'hôtellerie milieu de gamme (hors clubs) redevable à la bonne performance du Novotel CCC et à l'amélioration de la performance du Mercure Sheherazade après sa rénovation, il est indiqué une diminution de 9% du GOP de l'hôtellerie haut de gamme. Selon BKB, «ce dernier, accélérateur de rentabilité en période de croissance, est plus impacté par une conjoncture défavorable. Cet impact est toutefois réduit grâce aux plans d'économies déployés sur le segment». L'EBE qui s'est déprécié de 39,2% à 160,9 MDH, a ramené la marge d'Ebitda à 17,4% contre 23,7% en 2008. Intégrant un résultat financier négatif de 69,4 MDH et des charges de restructuration de 26,8 MDH, le RNPG est ressorti déficitaire à 148 MDH contre un excédent de 28,8 MDH une année auparavant. Après retraitement des éléments non récurrents, le résultat net s'est établi à 6 MDH. On note, par ailleurs, que Risma a instauré depuis 2008 un important programme visant à améliorer leur rentabilité avec la fermeture du Coralia Palmariva Marrakech depuis juillet 2009 pour une rénovation complète de l'hôtel par le propriétaire et une réouverture sous une nouvelle enseigne du groupe Accor à horizon 2011. il s'agit aussi de l'évolution de la commercialisation du Coralia La Kasbah Agadir vers une clientèle plus diversifiée (clientèle directe et divers Tours Opérateurs). Une stratégie dont les premiers résultats se font déjà ressentir sur la performance de l'hôtel en 2009 (+9% de CA) Le résultat net exceptionnel a atteint à moins de 154 MDH dont -141 MDH liés à l'ex-Hilton Rabat (amortissements, frais financiers, droits d'enregistrement et coûts de restructuration). A noter que le résultat de l'année 2010 ne serait pas impacté par cet événement exceptionnel ; le nouveau Sofitel Rabat Jardin des Roses étant ouvert depuis novembre 2009. Au total et au titre de l'exercice 2009, Risma aura donc affiché des réalisations annuelles doublement affectées par la fermeture courant 2009 de son unité hôtelière ex-Hilton Rabat pour rénovation et par le ralentissement de l'activité touristique nationale.

Maintien du cap
La filiale marocaine du groupe Accor compte achever la mise en œuvre du repositionnement de Sofitel au Maroc avec le développement de deux dernières unités haut de gamme devant être mises en service au second semestre 2011. Il s'agit de Sofitel Casa City Center à Casablanca de 171 chambres et Sofitel Atlantic Agadir de 173 chambres. En outre, il est prévu de poursuivre le déploiement de la chaîne IBIS avec la construction de l'IBIS Tanger Centre (196 chambres) pour une ouverture prévue fin 2010. A cela devrait s'ajouter le lancement d'une nouvelle chaîne d'hôtels entrée de gamme sous l'enseigne ETAP (offre présente dans 10 pays européens à des prix très économiques dans les grandes métropoles, en centre-ville et à proximité des axes routiers et des aéroports). Cet investissement, peu capitalistique, devrait générer une rentabilité rapide et substantielle.

Le Matin 15/03/2010

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CMT: La minière sauvée par ses bonnes couvertures

Bilan très favorable en 2009 pour la Compagnie Minière de Touissit. En effet, «CMT a bénéficié des bonnes couvertures réalisées malgré des fluctuations à la baisse des cours moyens du plomb, du zinc et de l’argent», précise Driss Traki, son PDG, lors de la traditionnelle présentation des résultats annuels. Et pour preuve, «le résultat des couvertures réalisées a permis un gain de 64 millions de DH contre une perte de 96 millions en 2008», affirme Mostafa Chakroun, directeur financier de la Minière. Résultat: CMT affiche un chiffre d’affaires qui bondit de 52% pour se hisser à 445,5 millions de DH. «Elle fait mieux que les prévisions du marché», souligne un analyste. Toutefois, au niveau des ventes, le tonnage est quasi équivalent d’une année à l’autre. Ce dernier passe de 27.182 tonnes en 2008 à 27.570 tonnes en 2009. En parallèle, la Minière poursuit ses travaux de recherche et développement notamment dans la mise en évidence de nouvelles ressources minières, soit un tonnage supplémentaire de 224 kilo tonnes de minerai (les 2/3 du tonnage exploité en 2009) afin de maintenir la durée de vie de la mine de Tighza à plus de 14,5 ans. A noter que l’enveloppe consacrée à la R&D s’élève à 10 millions de DH. Côté opérationnel, la société a réussi à maîtriser ses charges réalisant un résultat d’exploitation en bonification de 127% à 271,7 millions de DH. Cependant, la société grande consommatrice d’électricité a subi la hausse de 18% du prix de l’électricité, selon Chakroun. Partant, sa marge opérationnelle s’élargit de 20 points à 61%. Au niveau du résultat de placement, CMT subit la dépréciation de sa participation dans sa filiale la fonderie de Zellidja (SFPZ) d’un montant de 12 millions de DH. Cela aboutit par un déficit du résultat financier de l’ordre de 7,5 millions de DH. Quant au résultat non courant, «il intègre les valeurs nettes comptables d’acquisition des bons du Trésor compensé par les frais de l’émission obligataire(1), une dotation pour l’environnement et un autre pour des litiges prévisionnels», fait observer le directeur financier. Ainsi, le résultat non courant ressort à -8,6 millions de DH. Retraité d’un impôt sur les sociétés de l’ordre de 49 millions de DH, le résultat net de CMT s’élargit de 120% pour s’établir à 206,8 millions de DH. Dans la foulée, la marge nette passe de 32,3% à 46,4% à fin 2009. Compte tenu de ces performances, CMT devrait verser un dividende total de 133 millions de DH soit 90 DH unitaire pour un rendement de 6% comme le précise Traki. Pour 2010, plusieurs chantiers se profilent pour CMT. Primo, les couvertures. En effet, la société a couvert 51% de sa production de plomb, 43% en argent et 39% en zinc aux cours moyens respectifs de 2.417, 16,38 et 2.618 dollars. «Des niveaux très rentables pour nous», se réjouit le PDG. Secundo, la société envisage un développement régional notamment en Algérie, Mauritanie, Côte d’Ivoire, Burkina Fasso, à travers «le rachat d’une société minière opérationnelle et rentable». D’ailleurs, Traki confie que la cible est déjà identifiée. Une telle opération nécessite la mobilisation d’une enveloppe variant entre 500 millions et 2 milliards de DH. En somme, CMT parvient à afficher des réalisations supérieures aux prévisions du marché, ce qui lui procure une opinion globalement positive. Seul bémol, l’attente de l’annonce d’une croissance externe est pressente.

L'Economiste 11/03/2010

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Science et innovation: L'envoyé spécial des Etats-Unis au Maroc

C'est tout à fait possible de faire du Maroc une destination d'innovation et de recherche, et pas uniquement de low-cost. Et ce ne sont pas les ressources humaines qui manquent.

Le pragmatisme américain a son summum ! «Si vous aviez une réunion de trois minutes avec Barack Obama, qu'est-ce que vous auriez à lui proposer pour promouvoir la science et l'innovation au Maroc?». La question a été adressée par Dr. Elias Zerhouni, Envoyé Spécial des Etats-Unis pour la Science, à une pléiade d'opérateurs économiques marocains spécialisés dans les domaines de la technologie, la santé, l'environnement et la science, lors d'une réunion organisée à la CGEM vendredi dernier et présidée par Mohamed Horani. Les différents participants se sont mis d'accord sur la nécessité de développer la culture managériale anglo-saxonne dans un pays comme le Maroc, où l'influence du modèle francophone est ressentie à plusieurs niveaux. Un des préalables est de développer l'enseignement de l'anglais dans les écoles et les universités marocaines. Question traduction, la majorité pense que ce ne serait pas utile et ne pourrait pas être l'alternatif d'une maitrise de cette langue internationale, au moins son côté fonctionnel. Il s'agit là d'un sujet de nature transversale valable pour tous les secteurs. Mais les échanges ont porté lors de cette rencontre sur des problèmes touchant exclusivement les secteurs les plus concernés par la science. Les propositions faites par plus d'un patron ont été «riches et dénotent d'une bonne connaissance des problèmes de l'entreprise innovatrice marocaine», a constaté Elias Zerhouni. Bachir Rachdi, ex-président de la Fédération des professionnels des technologies de l'information (Apebi) et président directeur général d'Involys, a expliqué que les sociétés des TIC se trouvent tiraillées entre le court terme (développement des marchés) et le moyen et long terme (innovation et recherche ainsi que développement). Il a proposé dans ce cadre un développement de la collaboration entre les universités et entreprises marocaines et leurs homologues américaines sur des questions bien précises. Il pense qu'il faut faire de l'université marocaine un incubateur des nouvelles idées en s'inspirant de l'expérience américaine. Question financement, c'est aux Etats-Unis de jouer le jeu, a-t-il indiqué, en apportant des fonds de nature à faciliter le développement de la R&D au Maroc, qu'il soit dans le secteur public ou privé. Quant à Ayman Cheikh Lahlou du laboratoire pharmaceutique Cooper Maroc, il a mis l'accent sur au moins deux points dans son intervention. Il faut d'abord, à ses yeux, identifier trois secteurs d'activité où il y a un intérêt mutuel. Le mieux est de favoriser les secteurs pharmaceutiques, énergies renouvelables et IT. Ensuite, il faut repérer trois sociétés par secteur ayant déjà des relations avec les Etats-Unis et qui ont des relations avec les universités. Ryad Mezzour, directeur général de Suzuki Maroc, tout en adhérant à plus d'une suggestion, croit qu'au lieu d'accompagner les entreprises marocaines, le gouvernement américain pourra faciliter l'implantation de ses entreprises innovatrices sur la plate-forme Maroc. Et pas n'importe quelle entreprise, a-t-il précisé, mais celles voulant conquérir des marchés comme le marché européen. L'automobile est parmi les secteurs à privilégier. Et pour cause, a-t-il justifié, la multiplicité des programmes de recherche lancés et pilotés par des constructeurs automobiles visant à développer et améliorer les performances des voitures électriques.

Le Matin 09/03/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE   Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE - Page 19 Icon_minitimeMer 3 Mar 2010 - 10:21

Marocotel 2010: Au bout de l'industrie touristique

Mettre à niveau ses installations, renouveler la literie, le linge ou la vaisselle, découvrir les nouveautés alimentaires tant en termes de produits que de conditionnement, concevoir l'éclairage optimal d'une chambre d'hôtel, mettre en place des systèmes d'accès sécurisés, imaginer des espaces «bien-être» comme les spas, autant de découvertes et d'opportunités à réaliser sur Marocotel.

Accompagnateur
Fidèle accompagnateur du secteur touristique, le Salon international de l'équipement professionnel, l'hôtellerie, la restauration, les métiers de bouche, le bien-être et les loisirs, Marocotel revient cette année, du 10 au 13 mars à l'Office des foires et expositions de Casablanca (OFEC). Avec cette véritable référence professionnelle, depuis plus de 20 ans, la Chambre française de commerce et d'industrie du Maroc (CFCIM) est présente aux côtés des professionnels de ces secteurs, qui auront rendez-vous avec leurs partenaires dans une nouvelle édition de Marocotel, événement majeur de l'année 2010 dans leurs stratégies de communication. Pas moins de 200 exposants (marocains, français, espagnols, turcs et allemands) à la rencontre de près de 10.000 visiteurs, tous professionnels de ces secteurs (directeurs d'établissements, acheteurs, gérants, directeurs commerciaux ou de la restauration,…), saisissent cette occasion pour rencontrer en un lieu unique et durant 4 jours les fournisseurs les plus importants, développer leurs projets et profiter du carrefour d'expertise et de rencontres offert par Marocotel. Plan Azur et ses mégastations balnéaires ; Plan de développement du tourisme (PDRT) des villes de Casablanca, Marrakech, Agadir, Tanger et Fès; Plan Biladi pour le développement du tourisme interne, l'objectif de 10 millions de touristes, autant d'initiatives à même de donner un nouvel élan à ces secteurs, ont souligné les organisateurs de Marocotel en conférence de presse tenue ce mardi au siège de la CFCIM. Marocotel 2010 s'inscrira dans cette dynamique en occupant 15.000 m² d'expositions (soit la totalité du hall d'exposition de l'OFEC), tablant sur 10.000 visiteurs professionnels, avec des nouveautés et des événements périphériques d'envergure.

Concours culinaires
Cette année aussi, Marocotel accompagne les professionnels marocains et les étudiants du domaine de la gastronomie. Les « Concours culinaires de Marocotel» représentent pour le secteur un lieu exceptionnel de rencontres, d'échanges et de création. Chaque année, ils drainent des centaines de participants et de spectateurs et priment les plus méritants des gastronomes et futurs lauréats.

Renovotel 2010
Le protocole d'accord relatif à la mise en place du fonds de financement de la mise à niveau des établissements hôteliers, dénommé «Renovotel 2010», a été signé mi-décembre passée. Ce fonds s'inscrit dans le cadre de la mise en place de mesures volontaristes d'accompagnement du secteur du tourisme. Il est ouvert aux hôtels classés de 1 à 5 étoiles, aux hôtels clubs et aux résidences hôtelières pour la réalisation de leurs programmes d'investissement, avec pour objectifs la création de la valeur ajoutée, l'amélioration de la qualité des prestations et la prise en compte des dimensions environnementales. Le financement des projets combine, selon la catégorie visée, un autofinancement qui varie entre 10 et 15 %, une contribution du fonds «Renovotel 2010» située entre 35 et 45 % et un financement bancaire pouvant atteindre 50 % du coût du projet. La mise en place de ce mécanisme d'accompagnement financier des établissements hôteliers intervient dans une conjoncture internationale difficile, qui accentue les exigences des touristes en matière de qualité et de choix de leur destination de vacances et aussi les difficultés d'accès au financement des établissements hôteliers.

Le Matin 03/03/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE   Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE - Page 19 Icon_minitimeLun 1 Mar 2010 - 9:59

Accès à l’information: Nouveau programme de Transparency Maroc

Plaidoyer pour le droit d’accès à l’information a été parmi les principaux chantiers qui figurent dans l’agenda de Transparency Maroc (TM) depuis plusieurs années. L’organisation marocaine passe maintenant à une autre étape dans ce projet en lançant, hier à Rabat, un nouveau programme financé par l’Ambassade des Pays Bas. «Ce programme de travail est destiné à faire connaître les normes internationales en la matière et à faciliter l’élaboration d’une vision partagée des progrès à entreprendre pour la consécration effective de ce droit dans notre pays», souligne Rachid Filali Meknassi, SG de TM. Ce lancement a été marqué par la présentation de la plateforme de plaidoyer de TM préparé par Jamal Eddine Naji, expert en communication. Il s’agit d’un rapport de synthèse des travaux des ateliers thématiques organisés au cours de l’année écoulée avec la participation des principaux départements ministériels, des experts et des organisations professionnelles. Pour Naji, le premier travail à faire est de bien clarifier le domaine public informationnel. Un éclairage a été apporté sur cet aspect dans la première partie du rapport consacrée aux principes à travers une lecture des expériences des autres pays. Sur ce volet, le rapport trouve nécessaire de promouvoir une définition plus précise, et surtout plus consensuelle, entre toutes les composantes de la société, du principe d’intérêt public. «Sans cette clarification, le droit à l’information aura comme un handicap de naissance qui l’empêchera d’évoluer et de se déployer normalement», rappelle Naji. Pour ce dernier, l’accès à l’information est un moyen de garantir la transparence de l’administration publique. La deuxième partie du rapport a été sous forme de benchmarking portant sur la place de l’accès à l’information dans les constitutions et les lois des autres pays. Près de 55 pays dans le monde consacrent le droit d’accès à l’information dans leur constitution. Pour les lois, une étude menée en 2008 par l’Unesco, a permis de relever qu’au moins 78 pays disposent de textes spécifiques à portée nationale sur l’accès à l’information détenue par les administrations. Pour le Maroc, le rapport recommande la proclamation par la Constitution de la manière la plus précise possible du droit d’accès du citoyen à l’information y compris celle détenue par le privée comme cela est le cas pour la Constitution de l’Afrique du Sud.

Révision
En attendant, il faut procéder à la révision du statut de la fonction publique et aussi du Code pénal qui maintiennent fortement le profond ancrage de la culture du secret et dissuadent très souvent la pratique de la divulgation au public. La réforme de la presse et une évaluation critique du Plan Maroc numérique figurent également au menu. Toujours sur le chapitre recommandations, le rapport invite les responsables des administrations à déployer un effort d’imagination pour faciliter les procédures aux demandeurs de l’information.

L'Economiste 26/02/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE   Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE - Page 19 Icon_minitimeJeu 25 Fév 2010 - 23:32

Déclarez au fisc vos opérations boursières pour faire des économies d’impôt


En déclarant vos profits boursiers au fisc chaque année, vous pouvez compenser les plus et moins-values réalisées pour vous faire restituer l’impôt prélevé en trop.
La déclaration vous permettra également de bénéficier du plafond de l’exonération sur les cessions d’actions relevé à 28 000 DH au lieu de 24 000 DH.



Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE - Page 19 Affiche_image?article=12876La Loi de finances 2008 avait introduit des mesures fiscales relatives à la Bourse qui, de l’avis de tous les professionnels, n’ont pas manqué de déstabiliser le marché et décourager les investisseurs, tant particuliers qu’institutionnels. Il s’agit notamment du relèvement à 15% de l’impôt sur les plus-values de cessions d’actions et à 20% de celui relatif aux OPCVM actions, de la suppression des avantages fiscaux liés à la garde des titres qui étaient accordés aux institutionnels, et de la mensualisation de la compensation des plus et moins-values boursières. Dans le cadre de la Loi de finances 2009, certaines de ces mesures, jugées incohérentes par les spécialistes, ont été rectifiées par l’administration des impôts, par exemple en ramenant l’impôt sur les fonds actions à 15% au lieu de 20%, et des avantages supplémentaires ont été accordés aux épargnants dans le sillage de la refonte du barème de l’Impôt sur le revenu (IR), notamment en relevant le seuil d’exonération des profits de cessions d’actions de 24 000 à 28 000 DH.
Si la fiscalité de la Bourse comporte encore plusieurs lacunes et n’encourage pas l’investissement à long terme, il faut dire que l’épargnant, de son côté, ne profite même pas des avantages et droits que la législation lui accorde actuellement. «Le petit porteur marocain n’a pas l’habitude de déclarer lui-même ses revenus mobiliers à l’administration fiscale. S’il le fait, il pourra économiser des milliers de dirhams au titre de l’exonération sur les profits de cessions d’actions et de la compensation des plus-values avec les moins-values réalisées», déclare Amine Zine, professeur de fiscalité.
En effet, il faut savoir que tous les impôts relatifs aux revenus des capitaux mobiliers sont prélevés par voie de retenue à la source par les dépositaires des titres (banques et intermédiaires financiers). Bénéficier de tout avantage ou régulariser sa situation fiscale doit donc se faire par voie déclarative.

La compensation des plus et moins-values par les banques est devenue mensuelle en 2008
S’agissant de la compensation des plus-values avec les moins-values boursières réalisées, rappelons que jusqu’à fin 2007, cette opération était assurée par les dépositaires à la fin de chaque année. La retenue à la source à laquelle procédaient ces derniers après chaque transaction ne servait que de provision en attendant la régularisation des comptes, à l’issue de laquelle ils compensaient les plus et moins-values, payaient à l’administration fiscale l’impôt réellement dû et restituaient aux clients l’impôt prélevé en trop. En 2008, cette compensation est devenue mensuelle, ce qui a contraint les dépositaires à commencer à verser l’impôt de chaque opération boursière ayant donné lieu à une plus-value le mois suivant. Cette plus-value ne peut donc être compensée automatiquement avec les moins-values qui pourront être réalisées par la suite.
Pour régulariser sa situation et récupérer l’impôt prélevé en trop, l’épargnant particulier doit procéder à la déclaration de ses revenus mobiliers qui se fait chaque année avant le 1er avril. La déclaration est à remettre à l’inspecteur des impôts. Elle doit être accompagnée de tout document justificatif (relevé de compte titres, avis d’opéré...) et contenir les détails liés aux opérations (dates, noms des intermédaires, prix d’acquisition ou coût moyen pondéré d’acquistion, frais d’achat et de vente, prix de cession, frais de gestion et enfin plus et moins-values) avec bien entendu le calcul de l’impôt réellement dû et la mention de l’impôt retenu à la source par l’intermédiaire. Ces détails sont à préciser dans les tableaux n° 1 et 2 de la déclaration des profits des capitaux mobiliers (fac-similé ci-dessus). Et s’il y a des moins-values relatives à des exercices antérieurs (jusqu’à 4 ans), vous avez le droit de les imputer en les mentionnant dans le tableau n° 3 de la déclaration.
Cette même déclaration permet aux particuliers de profiter de l’exonération du profit de cessions d’actions ou parts d’OPCVM lorsque ces cessions n’excèdent pas le seuil de 28 000 DH. Le tableau n° 4 fixe les caractéristiques et les modalités de calcul de cette exonération.
Prenons un exemple concret pour illustrer le calcul. Un petit porteur a réalisé durant une année des cessions d’actions (hors frais) d’un montant de 75 000 DH. Le profit résultant de ces cessions se monte à 30 850 DH. Il a donné lieu à un impôt retenu à la source par la banque de 4 628 DH (30 850 DH x 15%). Pour déterminer le profit exonéré, il faut multiplier le profit réalisé par le rapport entre le seuil exonéré (28 000 DH) et le montant total des cessions (75 000 DH). Le résultat (11 518 DH), multiplié par le taux de l’IR (15%), donne l’impôt à restituer par le fisc. Dans notre exemple, il ressort à 1 728 DH, soit une économie d’impôt de l’ordre de 37%.



Souhaïl Nhaïli
06-02-2009


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MessageSujet: Re: Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE   Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE - Page 19 Icon_minitimeJeu 25 Fév 2010 - 9:08

Maroc-Turquie: «Je souhaite que l'ALE Maroc-Turquie s'élargira à d'autres produits»

Entretien avec Haluk Ilicak, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République de Turquie

- Le MATIN : Quelle est, en fait, la vraie tâche d'ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire que vous étiez au Maroc ?

* HALUK ILICAK : En fait, l'activité d'ambassadeur a beaucoup évolué ces dernières année/s et ne se limite plus au volet purement politique et diplomatique. De nos jours, l'ambassadeur est plus présent dans la vie active du pays où il se trouve. Il travaille plus sur le terrain. Cette fonction lui permet de donner l'information correcte à son pays sur le pays hôte, puis, parallèlement, faire connaître son pays et toutes ses politiques dans le pays où il se trouve, afin de gagner l'opinion publique de part et d'autre. Mais, en réalité, cette tâche est plus difficile que celle de l'ambassadeur traditionnel accomplissant un travail de bureau qui consiste à suivre les médias et écrire des rapports, sans avoir aucune notion sur la vie sociale du peuple. Il s'avère, donc, que la diplomatie moderne est beaucoup plus importante et plus difficile que la diplomatie traditionnelle. C'est pour cela qu'on dit que les diplomates peuvent connaître un pays plus que son peuple lui-même. Pour mériter les titres d'extraordinaire et plénipotentiaire, l'ambassadeur doit être prêt à répondre à toutes les questions qui intéressent son pays et à surmonter toutes les difficultés, afin de nouer de bonnes relations de coopération entre les deux pays.

- Cette démarche, que vous avez respectée au Maroc, a-t-elle porté ses fruits ?

* Il faut retenir deux choses. Ce que j'ai appris au cours de ce mandat, puis ce que j'ai obtenu comme réalisations. D'abord, j'ai très bien connu le Maroc, son peuple, sa culture, sa vie quotidienne et son histoire. Avec cela, je pense que j'ai envoyé des rapports bien corrects et bien précis à mon pays. Quand on a des informations correctes, justes et détaillées, cela aide aux décisions que peut prendre mon gouvernement à l'égard du Maroc.

- Quelles sont les conditions à remplir pour solliciter plus d'investisseurs turcs au Maroc, afin d'enrichir la coopération entre les deux pays ?

* Il y a quatre critères à respecter pour remplir les conditions favorables pour les investisseurs turcs: la stabilité politique, l'infrastructure, les encouragements et le systèmes judiciaire. Le Maroc remplit parfaitement les trois premières conditions, mais en ce qui concerne le système judiciaire, et comme il a été indiqué par S.M. le Roi Mohammed VI, celui-ci a besoin d'une réforme.

- Que représente la situation stratégique marocaine vis-à-vis de la Turquie ?

* Géographiquement, le Maroc se trouve à 14 kilomètres de l'Europe occidentale. Il est très proche des pays de l'Afrique noire subsaharienne avec lesquels il a une grande expérience. Il a un accord de libre-échange avec l'Union européenne, les Etats-Unis et la Turquie. Il faut souligner que le Maroc est le seul pays au monde qui a un ALE aussi bien avec les Etats-Unis qu'avec l'UE. C'est un atout pour les investisseurs du monde et particulièrement la Turquie. Notre seul problème dans ce sens était la méconnaissance du pays que nous avons commencé à surmonter pour attirer plus d'investisseurs turcs au Maroc. Malgré la crise économique, l'investissement turc au Maroc est en bonne santé. Par exemple, l'année précédente, dans l'industrie de l'acier, un investisseur turc avec son partenaire marocain ont investi plus de 180 millions de dollars. Leur usine de fer et d'acier prend la 2ème place après Sonasid au Maroc. Il y a aussi d'autres investisseurs turcs installés au Maroc comme Soltane gaz, ainsi que plusieurs compagnies venues sur contrat, telle la raffinerie Lasamir qui est une firme turque, les sociétés ayant construit des tronçons d'autoroutes, d'autres ayant accompli tous les viaducs de Tanger Med. Ce qui motive d'autres firmes à venir s'installer au Maroc.

- En tant que 17ème économie mondiale, que peut apporter la Turquie au Maroc ?

* La Turquie peut rapporter énormément pour le Maroc. Selon les positions du FMI, son 17ème rang actuel baissera au 15ème en 2020 et se positionnera parmi les 10 premiers dans le monde en 2050. Nous sommes membres du G 20 et plus de 90% de nos importations sont des produits industriels. On peut coopérer avec le Maroc pour partager l'expérience que nous avons acquise.

- Que vous a apporté votre candidature à l'Union européenne ?

* Elle nous a énormément aidés. C'est vrai que nous n'avons pas reçu de subventions financières comme l'Espagne, le Portugal, la Grèce ou l'Irlande. Mais cela nous a permis d'adapter l'acquis communautaire pour moderniser la législation turque et faire des réformes. Mais si la Turquie était dans l'UE, elle serait, avec ses performances, parmi les trois premiers pays de l'UE à ce jour. Ce qui n'est pas le cas, puisque seuls les pays déclarés candidats en 1997 ont reçu de l'argent. La Turquie ne le fut qu'en 1999, date à laquelle le budget a été déjà fixé. Avec la crise financière, les choses se sont empirées et les pays de l'UE essayent de se débrouiller avec leurs propres moyens. Heureusement que le système financier turc est très solide. Déjà en 1995, nous avons pris des risques en entrant en compétition avec l'UE et en assurant une vive circulation de marchandises. Un grand test qui nous permet de pouvoir concurrencer facilement tous les pays du monde.

- Où en est arrivé l'accord de libre-échange Maroc-Turquie ?

* L'ALE Maroc-Turquie se limite à la production industrielle. Il marche très bien. Jusqu'à fin 2008, nous avons réalisé un progrès de plus de 35% dans le volume commercial entre les deux pays. En 2009, même si le volume a régressé, la quantité est restée à peu près stable. J'espère que cet accord s'élargira à d'autres produits qui sont de meilleure qualité en Turquie et un prix avantageux. Je souhaite que mon successeur suive cette affaire de très près pour élargir cet accord sans plus tarder.

- Côté tourisme, quelles sont, d'après vous, les facteurs qui ont motivé les Marocains à prendre la Turquie comme destination de choix touristique, pendant ces dernières années ?

* Il y a deux choses qui ont contribué à la motivation des Marocains à choisir la Turquie comme destination touristique, notamment le renforcement de la desserte aérienne et les feuilletons turcs. Ces derniers mettent en relief plusieurs similitudes entre le Maroc et la Turquie qui sont tous les deux des pays musulmans avec des tendances respectivement malékite et sunnite très proches. Donc, les deux peuples se sentent très bien dans l'un ou l'autre pays du point de vue religion. Le Maroc qui représente la face ouverte vers l'Occident est aussi bien musulman que moderne dans la vie économique et sociale, c'est-à-dire que l'un n'empêche pas l'autre. Puis l'image qu'avait le Maroc, à travers la presse occidentale, sur la Turquie a totalement changé, car la Turquie a bien géré Islam et modernisme. Ceci, sans parler des relations diplomatiques entre les deux pays qui furent depuis des siècles des plus parfaites, et ce avec l'attestation de plusieurs courriers entre Sultans marocains et turcs.

- Que pensez-vous du paysage culturel marocain et comment qualifiez-vous les échanges entre le Maroc et la Turquie dans ce domaine ?

* Personne ne peut nier la culture bien fondée du Maroc. Il y a des activités très importantes, à travers des festivals, des colloques, des expositions… Mais il faut être très attentif sur ce point-là, car s'il y a trop de festivals, cela peut nuire aux meilleurs et compliquer les choses pour les pays invités. Nous recevons plusieurs demandes de participation ou d'aide pour ces manifestations que nous ne pouvons pas toutes satisfaire. Nous devons rendre compte de tout ce qui concerne une activité avant d'avoir l'accord d'Ancara. Donc, avec cette prolifération de festivals, cela nous demande de faire plus attention avant d'accepter. Je pense qu'il faut structurer et réglementer l'organisation des festivals par des lois. Malgré cela, nous essayons de faire le maximum pour être présents dans des prestations importantes. Mais nous sommes très contents pour la consécration de notre musicien de qanoun, Savas Ozkok, qui recevra en juin prochain « Le Ziryab des Virtuoses-2010 » décerné par le Comité national de la musique en partenariat avec le Théâtre national Mohammed V. C'est un honneur pour nous, d'autant plus que le qanoun est l'instrument national en Turquie.

- Quelle a été votre intervention au débat sur l'Union pour la Méditerranée, organisé dans le cadre du SIEL, samedi dernier ?

* En ce qui concerne l'Union pour la Méditerranée, la Turquie appuie tous les efforts qui peuvent contribuer à approfondir la coopération entre les pays méditerranéen Nord-Sud. Mais pour pouvoir considérer cette initiative comme un succès ou pas, il faut examiner les raisons qui ont empêché le succès du processus de Barcelone et comparer la situation actuelle dans la Méditerranée avec celle qui a été au moment du lancement de ce processus en 1995. Le différend arabo-israélien, puis l'attaque de Gaza et la scission entre Palestiniens ont aggravé la situation, le gel des relations entre les pays de l'UMA, sont autant de conflits qui ont retardé ce projet. L'absence de volonté d'une partie des pays européens à participer à ce projet a été aussi pour quelque chose et a mené à un faux départ où le nom « Union méditerranéenne » a été limité à Union pour la Méditerranée, puis la crise économique et le manque de confiance. Pour cela, il faut que les meneurs du projet soient sincères, corrects et honnêtes. Il faut absolument régler les différends et préparer le terrain pour la coopération. Cela dépend des leaders et des pays.

- L'année 2010 est celle d'Istanbul en tant que capitale européenne de la culture. Y aura-t-il une participation marocaine dans ce cadre ?

* A ma connaissance, non. Mais nous avons reçu la demande (début février) de participation de la Fondation « Chabab Al Andalous » que nous avons envoyée à Ancra. Seulement, il se trouve que le programme a été déjà finalisé et il est fort probable qu'on ne pourra rien faire pour cela, puisque les activités sont déjà commencées à Istanbul.

- Y a-t-il des projets entre la Turquie et le Maroc que vous souhaiteriez voir repris par votre successeur ?

* Il y a un problème qui me tient tant à cœur, celui de la carte de séjour qu'on donne ici au Maroc pour les investisseurs turcs. De mon côté, j'ai fait plusieurs démarches auprès des autorités compétentes pour avoir la réciprocité. En Turquie, ce permis est donné pour 1an, puis 3, puis 5 ans. Le Maroc donne toujours un permis d'une année, mais pour le renouveler, il faut attendre 3 voire 6 mois. Ce n'est pas avantageux pour les hommes d'affaires turcs installés au Maroc qui n'ont pendant cette période qu'un récépissé non valable auprès des ambassades d'Europe et même en Turquie, sachant que leurs affaires se trouvent au Maroc. Ils restent, donc, bloqués et ne peuvent plus bouger. Il faut absolument trouver un moyen pour sortir de cette impasse. C'est le seul sujet qui m'inquiète vraiment parce qu'il empêche même les investissements. Sinon, le Maroc est un très beau pays, son peuple est généreux, calme et accueillant. Je ne me suis jamais senti aussi bien qu'ici au Maroc. Je souhaite qu'il ne perdra pas ces qualités avec l'élan de son développement économique.

Le Matin 25/02/2010

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