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 Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE

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adil79




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MessageSujet: Re: Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE   Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE - Page 20 Icon_minitimeJeu 25 Fév - 23:32

Déclarez au fisc vos opérations boursières pour faire des économies d’impôt


En déclarant vos profits boursiers au fisc chaque année, vous pouvez compenser les plus et moins-values réalisées pour vous faire restituer l’impôt prélevé en trop.
La déclaration vous permettra également de bénéficier du plafond de l’exonération sur les cessions d’actions relevé à 28 000 DH au lieu de 24 000 DH.



Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE - Page 20 Affiche_image?article=12876La Loi de finances 2008 avait introduit des mesures fiscales relatives à la Bourse qui, de l’avis de tous les professionnels, n’ont pas manqué de déstabiliser le marché et décourager les investisseurs, tant particuliers qu’institutionnels. Il s’agit notamment du relèvement à 15% de l’impôt sur les plus-values de cessions d’actions et à 20% de celui relatif aux OPCVM actions, de la suppression des avantages fiscaux liés à la garde des titres qui étaient accordés aux institutionnels, et de la mensualisation de la compensation des plus et moins-values boursières. Dans le cadre de la Loi de finances 2009, certaines de ces mesures, jugées incohérentes par les spécialistes, ont été rectifiées par l’administration des impôts, par exemple en ramenant l’impôt sur les fonds actions à 15% au lieu de 20%, et des avantages supplémentaires ont été accordés aux épargnants dans le sillage de la refonte du barème de l’Impôt sur le revenu (IR), notamment en relevant le seuil d’exonération des profits de cessions d’actions de 24 000 à 28 000 DH.
Si la fiscalité de la Bourse comporte encore plusieurs lacunes et n’encourage pas l’investissement à long terme, il faut dire que l’épargnant, de son côté, ne profite même pas des avantages et droits que la législation lui accorde actuellement. «Le petit porteur marocain n’a pas l’habitude de déclarer lui-même ses revenus mobiliers à l’administration fiscale. S’il le fait, il pourra économiser des milliers de dirhams au titre de l’exonération sur les profits de cessions d’actions et de la compensation des plus-values avec les moins-values réalisées», déclare Amine Zine, professeur de fiscalité.
En effet, il faut savoir que tous les impôts relatifs aux revenus des capitaux mobiliers sont prélevés par voie de retenue à la source par les dépositaires des titres (banques et intermédiaires financiers). Bénéficier de tout avantage ou régulariser sa situation fiscale doit donc se faire par voie déclarative.

La compensation des plus et moins-values par les banques est devenue mensuelle en 2008
S’agissant de la compensation des plus-values avec les moins-values boursières réalisées, rappelons que jusqu’à fin 2007, cette opération était assurée par les dépositaires à la fin de chaque année. La retenue à la source à laquelle procédaient ces derniers après chaque transaction ne servait que de provision en attendant la régularisation des comptes, à l’issue de laquelle ils compensaient les plus et moins-values, payaient à l’administration fiscale l’impôt réellement dû et restituaient aux clients l’impôt prélevé en trop. En 2008, cette compensation est devenue mensuelle, ce qui a contraint les dépositaires à commencer à verser l’impôt de chaque opération boursière ayant donné lieu à une plus-value le mois suivant. Cette plus-value ne peut donc être compensée automatiquement avec les moins-values qui pourront être réalisées par la suite.
Pour régulariser sa situation et récupérer l’impôt prélevé en trop, l’épargnant particulier doit procéder à la déclaration de ses revenus mobiliers qui se fait chaque année avant le 1er avril. La déclaration est à remettre à l’inspecteur des impôts. Elle doit être accompagnée de tout document justificatif (relevé de compte titres, avis d’opéré...) et contenir les détails liés aux opérations (dates, noms des intermédaires, prix d’acquisition ou coût moyen pondéré d’acquistion, frais d’achat et de vente, prix de cession, frais de gestion et enfin plus et moins-values) avec bien entendu le calcul de l’impôt réellement dû et la mention de l’impôt retenu à la source par l’intermédiaire. Ces détails sont à préciser dans les tableaux n° 1 et 2 de la déclaration des profits des capitaux mobiliers (fac-similé ci-dessus). Et s’il y a des moins-values relatives à des exercices antérieurs (jusqu’à 4 ans), vous avez le droit de les imputer en les mentionnant dans le tableau n° 3 de la déclaration.
Cette même déclaration permet aux particuliers de profiter de l’exonération du profit de cessions d’actions ou parts d’OPCVM lorsque ces cessions n’excèdent pas le seuil de 28 000 DH. Le tableau n° 4 fixe les caractéristiques et les modalités de calcul de cette exonération.
Prenons un exemple concret pour illustrer le calcul. Un petit porteur a réalisé durant une année des cessions d’actions (hors frais) d’un montant de 75 000 DH. Le profit résultant de ces cessions se monte à 30 850 DH. Il a donné lieu à un impôt retenu à la source par la banque de 4 628 DH (30 850 DH x 15%). Pour déterminer le profit exonéré, il faut multiplier le profit réalisé par le rapport entre le seuil exonéré (28 000 DH) et le montant total des cessions (75 000 DH). Le résultat (11 518 DH), multiplié par le taux de l’IR (15%), donne l’impôt à restituer par le fisc. Dans notre exemple, il ressort à 1 728 DH, soit une économie d’impôt de l’ordre de 37%.



Souhaïl Nhaïli
06-02-2009


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MessageSujet: Re: Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE   Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE - Page 20 Icon_minitimeJeu 25 Fév - 9:08

Maroc-Turquie: «Je souhaite que l'ALE Maroc-Turquie s'élargira à d'autres produits»

Entretien avec Haluk Ilicak, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République de Turquie

- Le MATIN : Quelle est, en fait, la vraie tâche d'ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire que vous étiez au Maroc ?

* HALUK ILICAK : En fait, l'activité d'ambassadeur a beaucoup évolué ces dernières année/s et ne se limite plus au volet purement politique et diplomatique. De nos jours, l'ambassadeur est plus présent dans la vie active du pays où il se trouve. Il travaille plus sur le terrain. Cette fonction lui permet de donner l'information correcte à son pays sur le pays hôte, puis, parallèlement, faire connaître son pays et toutes ses politiques dans le pays où il se trouve, afin de gagner l'opinion publique de part et d'autre. Mais, en réalité, cette tâche est plus difficile que celle de l'ambassadeur traditionnel accomplissant un travail de bureau qui consiste à suivre les médias et écrire des rapports, sans avoir aucune notion sur la vie sociale du peuple. Il s'avère, donc, que la diplomatie moderne est beaucoup plus importante et plus difficile que la diplomatie traditionnelle. C'est pour cela qu'on dit que les diplomates peuvent connaître un pays plus que son peuple lui-même. Pour mériter les titres d'extraordinaire et plénipotentiaire, l'ambassadeur doit être prêt à répondre à toutes les questions qui intéressent son pays et à surmonter toutes les difficultés, afin de nouer de bonnes relations de coopération entre les deux pays.

- Cette démarche, que vous avez respectée au Maroc, a-t-elle porté ses fruits ?

* Il faut retenir deux choses. Ce que j'ai appris au cours de ce mandat, puis ce que j'ai obtenu comme réalisations. D'abord, j'ai très bien connu le Maroc, son peuple, sa culture, sa vie quotidienne et son histoire. Avec cela, je pense que j'ai envoyé des rapports bien corrects et bien précis à mon pays. Quand on a des informations correctes, justes et détaillées, cela aide aux décisions que peut prendre mon gouvernement à l'égard du Maroc.

- Quelles sont les conditions à remplir pour solliciter plus d'investisseurs turcs au Maroc, afin d'enrichir la coopération entre les deux pays ?

* Il y a quatre critères à respecter pour remplir les conditions favorables pour les investisseurs turcs: la stabilité politique, l'infrastructure, les encouragements et le systèmes judiciaire. Le Maroc remplit parfaitement les trois premières conditions, mais en ce qui concerne le système judiciaire, et comme il a été indiqué par S.M. le Roi Mohammed VI, celui-ci a besoin d'une réforme.

- Que représente la situation stratégique marocaine vis-à-vis de la Turquie ?

* Géographiquement, le Maroc se trouve à 14 kilomètres de l'Europe occidentale. Il est très proche des pays de l'Afrique noire subsaharienne avec lesquels il a une grande expérience. Il a un accord de libre-échange avec l'Union européenne, les Etats-Unis et la Turquie. Il faut souligner que le Maroc est le seul pays au monde qui a un ALE aussi bien avec les Etats-Unis qu'avec l'UE. C'est un atout pour les investisseurs du monde et particulièrement la Turquie. Notre seul problème dans ce sens était la méconnaissance du pays que nous avons commencé à surmonter pour attirer plus d'investisseurs turcs au Maroc. Malgré la crise économique, l'investissement turc au Maroc est en bonne santé. Par exemple, l'année précédente, dans l'industrie de l'acier, un investisseur turc avec son partenaire marocain ont investi plus de 180 millions de dollars. Leur usine de fer et d'acier prend la 2ème place après Sonasid au Maroc. Il y a aussi d'autres investisseurs turcs installés au Maroc comme Soltane gaz, ainsi que plusieurs compagnies venues sur contrat, telle la raffinerie Lasamir qui est une firme turque, les sociétés ayant construit des tronçons d'autoroutes, d'autres ayant accompli tous les viaducs de Tanger Med. Ce qui motive d'autres firmes à venir s'installer au Maroc.

- En tant que 17ème économie mondiale, que peut apporter la Turquie au Maroc ?

* La Turquie peut rapporter énormément pour le Maroc. Selon les positions du FMI, son 17ème rang actuel baissera au 15ème en 2020 et se positionnera parmi les 10 premiers dans le monde en 2050. Nous sommes membres du G 20 et plus de 90% de nos importations sont des produits industriels. On peut coopérer avec le Maroc pour partager l'expérience que nous avons acquise.

- Que vous a apporté votre candidature à l'Union européenne ?

* Elle nous a énormément aidés. C'est vrai que nous n'avons pas reçu de subventions financières comme l'Espagne, le Portugal, la Grèce ou l'Irlande. Mais cela nous a permis d'adapter l'acquis communautaire pour moderniser la législation turque et faire des réformes. Mais si la Turquie était dans l'UE, elle serait, avec ses performances, parmi les trois premiers pays de l'UE à ce jour. Ce qui n'est pas le cas, puisque seuls les pays déclarés candidats en 1997 ont reçu de l'argent. La Turquie ne le fut qu'en 1999, date à laquelle le budget a été déjà fixé. Avec la crise financière, les choses se sont empirées et les pays de l'UE essayent de se débrouiller avec leurs propres moyens. Heureusement que le système financier turc est très solide. Déjà en 1995, nous avons pris des risques en entrant en compétition avec l'UE et en assurant une vive circulation de marchandises. Un grand test qui nous permet de pouvoir concurrencer facilement tous les pays du monde.

- Où en est arrivé l'accord de libre-échange Maroc-Turquie ?

* L'ALE Maroc-Turquie se limite à la production industrielle. Il marche très bien. Jusqu'à fin 2008, nous avons réalisé un progrès de plus de 35% dans le volume commercial entre les deux pays. En 2009, même si le volume a régressé, la quantité est restée à peu près stable. J'espère que cet accord s'élargira à d'autres produits qui sont de meilleure qualité en Turquie et un prix avantageux. Je souhaite que mon successeur suive cette affaire de très près pour élargir cet accord sans plus tarder.

- Côté tourisme, quelles sont, d'après vous, les facteurs qui ont motivé les Marocains à prendre la Turquie comme destination de choix touristique, pendant ces dernières années ?

* Il y a deux choses qui ont contribué à la motivation des Marocains à choisir la Turquie comme destination touristique, notamment le renforcement de la desserte aérienne et les feuilletons turcs. Ces derniers mettent en relief plusieurs similitudes entre le Maroc et la Turquie qui sont tous les deux des pays musulmans avec des tendances respectivement malékite et sunnite très proches. Donc, les deux peuples se sentent très bien dans l'un ou l'autre pays du point de vue religion. Le Maroc qui représente la face ouverte vers l'Occident est aussi bien musulman que moderne dans la vie économique et sociale, c'est-à-dire que l'un n'empêche pas l'autre. Puis l'image qu'avait le Maroc, à travers la presse occidentale, sur la Turquie a totalement changé, car la Turquie a bien géré Islam et modernisme. Ceci, sans parler des relations diplomatiques entre les deux pays qui furent depuis des siècles des plus parfaites, et ce avec l'attestation de plusieurs courriers entre Sultans marocains et turcs.

- Que pensez-vous du paysage culturel marocain et comment qualifiez-vous les échanges entre le Maroc et la Turquie dans ce domaine ?

* Personne ne peut nier la culture bien fondée du Maroc. Il y a des activités très importantes, à travers des festivals, des colloques, des expositions… Mais il faut être très attentif sur ce point-là, car s'il y a trop de festivals, cela peut nuire aux meilleurs et compliquer les choses pour les pays invités. Nous recevons plusieurs demandes de participation ou d'aide pour ces manifestations que nous ne pouvons pas toutes satisfaire. Nous devons rendre compte de tout ce qui concerne une activité avant d'avoir l'accord d'Ancara. Donc, avec cette prolifération de festivals, cela nous demande de faire plus attention avant d'accepter. Je pense qu'il faut structurer et réglementer l'organisation des festivals par des lois. Malgré cela, nous essayons de faire le maximum pour être présents dans des prestations importantes. Mais nous sommes très contents pour la consécration de notre musicien de qanoun, Savas Ozkok, qui recevra en juin prochain « Le Ziryab des Virtuoses-2010 » décerné par le Comité national de la musique en partenariat avec le Théâtre national Mohammed V. C'est un honneur pour nous, d'autant plus que le qanoun est l'instrument national en Turquie.

- Quelle a été votre intervention au débat sur l'Union pour la Méditerranée, organisé dans le cadre du SIEL, samedi dernier ?

* En ce qui concerne l'Union pour la Méditerranée, la Turquie appuie tous les efforts qui peuvent contribuer à approfondir la coopération entre les pays méditerranéen Nord-Sud. Mais pour pouvoir considérer cette initiative comme un succès ou pas, il faut examiner les raisons qui ont empêché le succès du processus de Barcelone et comparer la situation actuelle dans la Méditerranée avec celle qui a été au moment du lancement de ce processus en 1995. Le différend arabo-israélien, puis l'attaque de Gaza et la scission entre Palestiniens ont aggravé la situation, le gel des relations entre les pays de l'UMA, sont autant de conflits qui ont retardé ce projet. L'absence de volonté d'une partie des pays européens à participer à ce projet a été aussi pour quelque chose et a mené à un faux départ où le nom « Union méditerranéenne » a été limité à Union pour la Méditerranée, puis la crise économique et le manque de confiance. Pour cela, il faut que les meneurs du projet soient sincères, corrects et honnêtes. Il faut absolument régler les différends et préparer le terrain pour la coopération. Cela dépend des leaders et des pays.

- L'année 2010 est celle d'Istanbul en tant que capitale européenne de la culture. Y aura-t-il une participation marocaine dans ce cadre ?

* A ma connaissance, non. Mais nous avons reçu la demande (début février) de participation de la Fondation « Chabab Al Andalous » que nous avons envoyée à Ancra. Seulement, il se trouve que le programme a été déjà finalisé et il est fort probable qu'on ne pourra rien faire pour cela, puisque les activités sont déjà commencées à Istanbul.

- Y a-t-il des projets entre la Turquie et le Maroc que vous souhaiteriez voir repris par votre successeur ?

* Il y a un problème qui me tient tant à cœur, celui de la carte de séjour qu'on donne ici au Maroc pour les investisseurs turcs. De mon côté, j'ai fait plusieurs démarches auprès des autorités compétentes pour avoir la réciprocité. En Turquie, ce permis est donné pour 1an, puis 3, puis 5 ans. Le Maroc donne toujours un permis d'une année, mais pour le renouveler, il faut attendre 3 voire 6 mois. Ce n'est pas avantageux pour les hommes d'affaires turcs installés au Maroc qui n'ont pendant cette période qu'un récépissé non valable auprès des ambassades d'Europe et même en Turquie, sachant que leurs affaires se trouvent au Maroc. Ils restent, donc, bloqués et ne peuvent plus bouger. Il faut absolument trouver un moyen pour sortir de cette impasse. C'est le seul sujet qui m'inquiète vraiment parce qu'il empêche même les investissements. Sinon, le Maroc est un très beau pays, son peuple est généreux, calme et accueillant. Je ne me suis jamais senti aussi bien qu'ici au Maroc. Je souhaite qu'il ne perdra pas ces qualités avec l'élan de son développement économique.

Le Matin 25/02/2010
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MessageSujet: Re: Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE   Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE - Page 20 Icon_minitimeMar 23 Fév - 10:14

Franchise Expo Paris : Le Maroc, invité d'honneur

Après le Brésil, c'est au tour du Maroc d'être l'invité d'honneur de Franchise Expo Paris. Ce choix a été motivé par la volonté de mettre en lumière « un marché dynamique tant pour l'export que l'import des concepts de franchise ». Le Maroc compte en effet, plus de 400 réseaux, dont une centaine de réseaux français, comme Jeff de Bruges, Speedy, Pigier, Celio, Guy Hoquet…. Les enseignes marocaines commencent aussi à s'implanter en France, notamment dans les secteurs de la mode et du commerce alimentaire (Marwa, Venezia Ice, Top Classe…). Si la franchise demeure attractive auprès des candidats entrepreneurs et compte désormais 2 525 unités franchisées supplémentaires depuis l'année dernière, le prochain salon Franchise Expo s'ouvrira du 14 au 17 mars prochain à Paris dans un contexte économique toujours difficile. « Les secteurs de l'équipement de la personne et de la maison, et de la cosmétique-esthétique, ont été durement touchés en 2009 », a souligné Guy Gras, président de la Fédération Française de la Franchise, lors de la présentation de Franchise Expo 2010. Le nombre de salariés par magasin a également baissé, passant en moyenne à 6,3 contre 8,6 en 2008.

Agriculture : Le CMC analyse la portée du Plan Maroc Vert
Le Centre marocain de conjoncture (CMC) vient de publier sa dernière Lettre mensuelle qui est un spécial agriculture axée sur le Plan Vert et les échanges agricoles entre le Maroc et l'UE. Le lancement du Plan Maroc Vert vient renforcer la série de plans sectoriels intéressant les principales activités porteuses de croissance. Ce plan se propose d'insérer le développement agricole comme objectif prioritaire dans le cadre de la stratégie économique globale pour les années à venir. Il s'agit d'un plan d'action à long terme visant à transformer en profondeur les structures productives du secteur et d'améliorer leurs performances. L'impact prévisionnel du Plan Vert à l'horizon 2020 apparaît assez important au vu des projections effectuées sur la base du programme d'action envisagé. Selon ces projections, la valeur ajoutée du secteur devrait enregistrer un accroissement de 160 % à l'horizon du Plan, soit un taux moyen de 8,3 % par an. Un tel accroissement résulterait d'un effort d'investissement global sur l'ensemble de la période retenue de 147 MMDH, à raison d'une moyenne de 11 MMDH par an. Les retombées de cet effort en matière d'emploi sont évaluées à 1,5 million postes de travail supplémentaires, ce qui correspondrait à une capacité de création d'emplois estimée à 125 milliers de postes par an sur la période 2008-2020. Par ailleurs, le nouvel accord agricole avec l'UE augmente les quotas d'exportation de six produits marocains et étend la liste des produits libres.

Bilan: Les performances de GFI Maroc
Au titre de l'exercice 2009, GFI Maroc, filiale marocaine de la société de services et d'ingénierie informatique française GFI, a réalisé un chiffré d'affaires de 51 MDH, en expansion de 7,2% comparativement à 2008. Le Groupe GFI est présent dans huit pays (Canada, Italie, Allemagne, Hollande, Suisse, Luxembourg, Espagne et Portugal) et réalise en 2009 un chiffre d'affaires consolidé de MEUR 486,1, en repli de 5,5% comparativement à une année auparavant. Dans un contexte difficile caractérisé par un recul des commandes offshore émanant de sa maison mère, GFI Maroc parvient à clôturer l'exercice 2009 sur une performance honorable.

CIHEAM : L'expérience du Maroc exposée à Istanbul
La métropole turque Istanbul abrite, le 8 mars prochain, la 8e réunion des ministres de l'Agriculture des treize pays membres du Centre international de hautes études agronomiques méditerranéennes (CIHEAM), placée sous le le thème: "Effets du changement climatique sur la sécurité et la sûreté alimentaires en Méditerranée et les mesures à entreprendre". Le choix du thème stratégique du changement climatique, témoigne de l'intérêt accordé par les pays membres à la gestion durable des ressources naturelles, en particulier l'eau et les sols, qui constitue un impératif pour garantir la productivité agricole et pour contribuer au développement des zones rurales, indique un communiqué diffusé sur le site Web du CIHEAM. Avec le retour de la problématique alimentaire sur le devant de la scène internationale, l'agriculture redevient à nouveau un sujet de préoccupation majeure pour le monde et pour la région méditerranéenne, ajoute le communiqué soulignant que ces enjeux demeurent au coeur des priorités politiques pour la Méditerranée. La réunion d'Istanbul représentera une opportunité importante pour partager les idées et les expériences, dans un cadre partenariale, sur les mesures et les actions à entreprendre pour adapter les systèmes agricoles des pays méditerranéens aux défis climatiques, selon la même source.

MAP 22/02/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE   Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE - Page 20 Icon_minitimeMar 23 Fév - 10:12

Industrie pharmaceutique: Le Maroc, une plateforme d’export pour les Coréens

«La Corée peut faire du Maroc une plateforme pour l’export. Le pays est signataire de plusieurs accords de libre-échange avec l’Europe, les USA et d’autres pays arabes. Ce sont des atouts énormes», a indiqué Ali Sedrati, président de l’AMIP (Association marocaine de l’industrie pharmaceutique). C’était lors d’un séminaire organisé jeudi dernier par l’agence Kotra Casablanca pour présenter les opportunités offertes par les deux pays dans ce secteur. Près d’une vingtaine d’industriels pharmaceutiques coréens ont assisté à cette rencontre. «Ces opérateurs cherchent des partenaires qui vont pouvoir assimiler très rapidement le transfert de technologies pour certains produits comme ceux de la biotechnologie ou d’autres produits aussi sophistiqués», fait savoir Sedrati. Pour ce dernier, une collaboration peut s’installer dans les deux sens via des transferts de technologies ou des coopérations dans d’autres marchés. Un autre atout: la réglementation qui correspond aux normes internationales. «Pour ces entreprises, c’est une plateforme pour un développement de coopération gagnant-gagnant», souligne le président de l’AMIP. La conquête des marchés extérieurs représente en effet un gage de croissance dans un monde globalisé dont la suppression progressive des barrières douanières ouvre des perspectives toujours plus grandes. «Nous avons une organisation professionnelle et réglementaire qui est digne des pays européens les plus développés que se soit pour la fabrication, l’importation, la distribution, la délivrance par les pharmaciens ou l’utilisation du médicament», ajoute Sedrati. Pour sa part, Abdel Majid Belaïche, expert en industrie pharmaceutique, énumère les quelques opportunités pour l’industrie pharmaceutique coréenne au Maroc. Elles sont présentes dans les biotechnologies et les bio similaires, les compléments alimentaires, les produits cosmétologiques et autres produits de confort. Une importante place est à prendre en tant que fournisseur de matériel de fabrication des médicaments et en tant que fournisseur de matières premières face à des pays comme l’inde ou la chine, selon les professionnels… Sans compter les possibilités de partenariats avec les laboratoires pharmaceutiques marocains pour les produits finis. Toutefois, les coréens ont peu d’opportunités dans la pharmacie classique en raison de la forte concurrence des génériques locaux (quelques rares opportunités en oncologie), des princeps européens très bien implantés, du prix parfois très bas (génériques) et des produits innovants très bien protégés. Par ailleurs, le secteur a produit plus de 279 millions d’unités en 2009. Entre 2008 et 2009, l’évolution de la part des médicaments génériques au sein du marché pharmaceutique privé marocain est de l’ordre de 27,91%.

L'Economiste 22/02/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE   Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE - Page 20 Icon_minitimeLun 22 Fév - 9:38

L'ONMT lance une nouvelle campagne de communication sur le marché britannique

L'Office National Marocain du Tourisme (ONMT) a lancé cette semaine une nouvelle campagne de communication sur le marché britannique destinée à renforcer la place de la destination Maroc au Royaume-Uni. Cette campagne, dotée d'un budget de près de 2,5 millions de livres Sterling, est scindée en deux vagues: une d'été et une autre d'hiver. Selon la représentation de l'ONMT à Londres, la première partie de la campagne s'articulera, outre la brand Maroc, sur l'offre traditionnelle du produit marocain, représentée par la ville Marrakech et l'offre balnéaire, avec un accent sur la destination Agadir. La campagne est appuyée par trois sites Internet, à savoir www.visitmorocco.com, www.marrakech.travel et www.agadir.travel. Outre des informations générales et pratiques sur l'offre marocaine, ces sites comportent des actions concrètes à travers des offres de vente de la destination Maroc, explique la représentation de l'ONMT. Par ailleurs, M. Ali Kacemi, directeur de l'ONMT à Londres, s'est dit confiant quant à l'avenir de la destination Maroc sur le marché britannique, en dépit d'une année 2010 qui s'annonce difficile pour le secteur du tourisme en Grande-Bretagne en raison notamment des retombées de la crise économique et des risques de rechute dans la récession qui planent sur ce pays. "Nous demeurons optimistes quant à notre capacité de concrétiser l'objectif fixé d'augmenter de 20 pc le nombre d'arrivées au Maroc à partir de la Grande-Bretagne en 2010", a-t-il dit.

www.map.ma

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MessageSujet: Re: Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE   Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE - Page 20 Icon_minitimeLun 22 Fév - 9:34

Des changements structurels ont abouti à une stabilité des recettes fiscales

Invité de l'hebdomadaire Eco Plus et de Rotary International, Noureddine Bensouda a saisi l'occasion pour rappeler les principes directeurs des nouveautés fiscales de la Loi de finances 2010. Autant d'incitations fiscales ont été introduites pour booster la croissance qui devrait atteindre cette année 3,5% en termes constants et 5,6% en termes courants. Il a mis l'accent sur la redistribution des fruits de cette croissance. Dans ce cadre, le rapport sur les dépenses fiscales a permis de recenser les bénéficiaires des mesures dérogatoires dans l'objectif, dit-il, de supprimer certaines exonérations pour en créer d'autres. « Ce travail s'est traduit par la suppression de 64 mesures entre 2006 et 2009, avec un impact positif sur le budget de l'Etat qui se chiffre à 6,57 milliards de DH», souligne N. Bensouda. Ce dernier insiste sur les bienfaits de la nouvelle structure des recettes fiscales. Rappelant à ce titre qu'en 2007 le produit issu de l'impôt sur les sociétés a dépassé pour la première fois le produit issu de l'impôt sur le revenu. Deux ans plus tard, à fin décembre 2009, l'IS représente 28% des recettes fiscales contre seulement 16,9% pour l'IR, ce qui reflète, aux yeux de N. Bensouda un changement de culture fiscale dans la société marocaine. La réussite d'une politique fiscale dépend avant tout de la qualité de l'administration fiscale. Conscient de cet enjeu, la direction générale des Impôts entend poursuivre et accélérer le projet de la « télédéclaration obligatoire ». De nouvelles échéances seront fixées à cette fin dès le début de l'exercice fiscal 2011. Des changements structurels qui ont le mérite d'assurer une stabilité budgétaire. Le taux réalisation des ressources fiscales a atteint 94,7% en 2009. Mieux encore, pour l'IS, les prévisions de la Loi de finances 2009 ont été dépassées (43,5 au lieu de 42,7 milliards de DH, soit un taux de réalisation de 102%). La rencontre avec le directeur général des Impôts a permis également de partager quelques réflexions sur des questions d'actualité, notamment autour de la compétitivité de l'entreprise et de l'attractivité de l'économie dans un contexte de récession. N. Bensouda s'est montré particulièrement ferme à ce sujet. Selon lui, ce n'est pas la fiscalité qui détermine la compétitivité. L'attractivité, ajoute-t-il, dépend aussi de la réalité et de la solidité des finances publiques. Interpellé sur le rôle que pourrait jouer la fiscalité dans le débat sur le projet de la « Régionalisation avancée », l'invité d'Eco Plus et des Rotariens s'est contenté de dresser les modèles existants dans ce domaine. D'abord celui associé à une seule entité : l'Etat se charge de la collecte avant de procéder à la répartition des ressources entre les régions. Ensuite, il y a le modèle de l'autonomie : chaque entité, que ce soit l'Etat, la région ou la collectivité locale, prélève à la limite de ses propres prérogatives. Enfin, le modèle hybride ou mixte, associant les deux premiers modèles, tel que celui choisi par le Maroc d'aujourd'hui. Tous les systèmes sont viables, estime N. Bensouda. Encore faut-il se poser la question de savoir si l'Etat serait en mesure de disposer d'une administration fiscale autonome à l'échelle régionale ou locale. Tout dépendra du choix qui sera opéré à l'issue du travail de la Commission consultative sur la régionalisation avancée.

Le Matin 22/02/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE   Articles presse: DIVERS - TOURISME - HOTELLERIE - Page 20 Icon_minitimeJeu 18 Fév - 9:01

Franchise: Le Maroc, eldorado malgré la crise?

Le secteur de la franchise au Maroc a-t-il été mis à mal par la crise? Force est de constater que non. En effet, sur le plan national, la franchise reste un domaine en pleine expansion. «Nous n’avons répertorié aucune baisse dans l’arrivée de nouvelles enseignes sur le territoire. Le secteur continue même à recruter avec la même intensité. Il demeure parmi les plus prometteurs en termes de valeur ajoutée et de création de petites et moyennes entreprises», est-il précisé auprès du ministère du Commerce et de l’Industrie. Et pour cause, la franchise au Maroc a totalisé pas moins de 400 enseignes à fin 2009, avec près de 3.700 points de vente. Elle poursuit sa progression moyenne chaque année à hauteur de 12%. Derrière ces niveaux intéressants, une très forte demande exercée par le consommateur «tendance». Laquelle reste largement soutenue par une population très jeune, puisque 45% des Marocains ont moins de 30 ans. Ce qui intéresse particulièrement les franchiseurs en quête de débouchés. La France continue à représenter le principal pays d’origine des réseaux implantés au Maroc avec 50% des enseignes. Celles-ci sont concentrées principalement dans les secteurs de l’habillement, les cosmétiques, la restauration, la bijouterie et la coiffure. Les franchises américaines viennent en seconde place avec 10% de parts de marché. Elles sont très présentes dans la restauration, l’enseignement et la location de voitures. L’Espagne et l’Italie, principalement actives dans l’habillement, occupent le troisième rang avec 6% de parts de marché chacune. Sur le total des enseignes franchisées, l’habillement se taille la part du lion avec pas moins de 28% de parts de marché, suivi de la restauration (7%), de l’ameublement (5%) et de la coiffure et cosmétiques (4%) . D’autres secteurs ont récemment émergé, tels que les jouets, la lunetterie ou le café. Les franchises internationales d’habillement rassemblent près de 60 enseignes et s’adressent principalement à la femme et à l’enfant. Avec 7% des réseaux de franchise opérationnels au Maroc, la restauration grand public hors domicile constitue l’une des branches qui se développe le mieux en franchise. Cependant, et bien que l’étendue de la franchise reste assez variée, le marché marocain est encore loin d’être saturé. En effet, nombre de niches porteuses méritent encore d’être davantage explorées. A titre d’exemple, le commerce de proximité (l’épicerie fine, les produits de l’artisanat), la garde d’enfants, la livraison des repas… Toutefois, malgré les efforts accomplis, certaines zones d’ombre subsistent. En effet, selon le ministère du Commerce et de l’Industrie, de nombreux investisseurs dans certains secteurs, comme l’immobilier, continuent toujours à réagir en tant que spéculateurs plutôt qu’en entrepreneurs. Une tendance qui ne manque pas de faire peur aux banques, et bien évidemment aux franchiseurs. Autre point faible, les futurs franchisés marocains sont souvent complètement obnubilés par les avantages de la franchise (marque, concept, savoir-faire, succès, assistance et image socialement valorisante grâce à l'identification à la marque). De fait, les franchisés «ne lisent pas assez les contrats, ne cherchent pas assez à prendre conscience des contraintes, et ne sélectionnent souvent pas le bon franchiseur», indiquent des experts du ministère. Ils ont donc tendance à acheter une marque tout en accordant trop de confiance au système de la franchise. Par ailleurs, l'un des principaux freins au développement des franchises au Maroc est lié au manque de locaux commerciaux. Ce problème majeur du manque de foncier semble s'atténuer au vu des nombreux centres commerciaux et de loisir en construction ou en projet dans le Royaume, à l’instar du Morocco Mall, du Marrakech Plazza, du Casa Anfa Place ou de la Casablanca Marina.

Et l’enseigne 100% Maroc?
Le succès remporté par les enseignes étrangères a encouragé des investisseurs marocains à prendre les devants. Si bien que les enseignes 100% marocaines grignotent aujourd’hui pas moins de 13% des réseaux de franchise. Ces enseignes affichent un total de 310 avec quelque 1.914 points de vente. Le réseau compte près d’une cinquantaine de franchiseurs et 141 masters franchisés. Cette année, la Maroc est l'invité d'honneur du Salon Franchise Expo Paris du 14 au 17 mars.

L'Economiste 17/02/2010

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Zone Bleue DDB investit la com digitale

Zone Bleue DDB élargit son champ d’expertise. L’agence de communication marocaine (construction d’image et activation de marques) partenaire de DDB worldwide, le deuxième groupe de communication au monde, est en cours de création de deux nouvelles sociétés. La première, DDB corporate, sera en charge de la communication aussi bien institutionnelle que d’influence externe, voire interne. La seconde, Tribal DDB, sera en charge du marketing «digital». Concrètement, elle traitera, comme le promet le top management de Zone Bleue DDB, de la communication interactive à travers le web. «Notre objectif numéro un est de proposer à nos clients, qui font du business sur internet, une communication qui fait vendre», indique Patrick Ehringer, président de DDB Middle East & Africa. Et pour cause, le management est convaincu du potentiel que propose ce support compte tenu du nombre grandissant d’utilisateurs. En effet, «près d’un tiers de la population marocaine surfe sur internet et plus d’un million de personnes vont sur Facebook», fait-on savoir auprès de l’agence. Par ailleurs, Ehringer reste convaincu qu’avec le développement notamment de l’accès à l’internet via le mobile, «il faut intégrer l’évolution des solutions de marketing digital dans ses plans de communications». Il cite, à titre d’exemple, des transactions bancaires sur les téléphones portables qui se développent de plus en plus au Maroc. A partir de là, cette nouvelle activité, Tribal DDB, devrait proposer plusieurs services allant du conseil en stratégie de développement de site à sa conception et à sa création, en passant par la mise en place de systèmes de veille, média planning en ligne… Le réseau de DDB développe, déjà, son expertise dans le tourisme, l’immobilier, ou encore les télécoms. Tribal DDB vient donc enrichir un groupe qui propose un service qui englobe tous les métiers de la communication. «Une approche à 360 degrés qui va au-delà de la publicité pour déboucher sur un accompagnement sur tous les champs de la communication entreprise», précise Amine Laraki, DG de l’agence. En effet, le groupe se compose, en plus de Zone Bleue DDB, de quatre filiales. Il y a De Palma, l’agence web, Rapp qui est chargée du conseil en dynamisation de marques et Mass Media, qui fait du conseil à l’achat d’espaces, tous médias confondus. Et pour compléter le tout, Trianon se veut le spécialiste de la conception et réalisation des supports papiers. La présence au Maroc, par le biais de Zone Bleue, constitue pour DDB monde un hub régional lui permettant de pénétrer de nouveaux marchés, notamment en Mauritanie et en Libye.

L'Economiste 15/02/2010

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OCP: Une joint-venture avec l’américain Jacobs

Séparer l’exploitation du développement des investissements. Pour l’OCP, c’est une condition sine qua non pour la professionnalisation de la gestion des nouveaux projets industriels du groupe. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il compte développer un partenariat stratégique sous forme de joint-venture avec l’entreprise américaine Jacobs et qui aura pour dénomination: Jacobs Engineering. La signature, prévue l’année dernière, s’effectuera d’ici la fin de la semaine. L’américain Jacobs figure parmi les leaders mondiaux en ingénierie industrielle. Il compte 7.000 collaborateurs de par le monde et un chiffre d’affaires qui dépasse les 10 milliards de dollars en ingénierie. La joint-venture, qui sera détenue à part égale par les deux parties, a pour objectif la prise en charge des projets de l’OCP, soit près de 5 milliards de dollars. Selon nos informations, le groupe américain s’est également engagé à transférer par la suite toute son activité liée au phosphate au Maroc. Cette joint-venture représentera une puissante combinaison de ressources d’ingénierie et de gestion de programmes et permettra d’accompagner l’OCP dans la mise en œuvre de ses plans de développement stratégiques. C’est le cas en particulier pour les infrastructures nécessaires au développement de Jorf Phosphate Hub. Elle permettra aussi à Jacobs d’avancer dans ses plans de développement dans l’industrie des engrais et dans la région. La joint-venture appuiera l’OCP ainsi que d’autres entreprises dans leurs activités d’ingénierie liées au phosphate partout dans le monde. Elle ambitionne aussi d’offrir des prestations d’ingénierie en infrastructures industrielles pour les marchés des pays d’Afrique de l’Ouest. Cette nouvelle entité bénéficiera des compétences des collaborateurs de Jacobs et de l’OCP. D’ailleurs, l’Office a injecté ses plus hauts potentiels dans cette joint-venture. Une démarche qui permettra au groupe de développer son savoir-faire en matière de gestion de projets en interne. Un programme de recrutement de jeunes ingénieurs est également prévu.

De la maintenance curative à la préventive
L’OCP qui s’est engagé dans une augmentation de ses capacités tout en misant sur la réduction des coûts a lancé un programme de transformation opérationnelle. Objectif, revoir le processus de production et de maintenance afin de le mettre aux standards internationaux. Ce programme entamé en avril 2009 et qui se poursuivra durant 2010 commence à donner des résultats en termes de gains de coûts de production. Aujourd’hui, le gain estimé au niveau de la mine est de plus de 27% de production en termes de tonnages. Un niveau, jugé important. L’OCP qui était auparavant dans une logique de maintenance curative passe avec les nouveaux process en cours de développement à de la maintenance préventive.

L'Economiste 15/02/2010

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Rabat et Mexico paraphent un projet de convention sur la non double imposition

Le Maroc et le Mexique ont paraphé, vendredi à Mexico, un projet de convention sur la non double imposition, visant à impulser les investissements et les échanges commerciaux, a-t-on appris, samedi, auprès de la délégation marocaine qui a négocié cet accord. De hauts responsables de la Direction générale des impôts, relevant du ministère de l'Economie et des finances, ont séjourné du 8 au 12 février à Mexico pour négocier avec leurs homologues mexicains les termes de cette convention. Un membre de la délégation marocaine a indiqué à la MAP que cette convention met en place un cadre juridique propice à l'impulsion des investissements réciproques dans les deux pays. Ce cadre juridique devra être complété prochainement par un accord de protection des investissements entre le Maroc et le Mexique, a-t-on ajouté de même source. Les négociations sur l'accord de non double imposition entre les deux pays, conclues à Mexico, avaient été entamées à Rabat à l'occasion d'une visite de responsables mexicains. Les échanges commerciaux entre les deux pays ont atteint en 2008 quelque 207,5 millions de dollars, plaçant le Mexique au cinquième rang des partenaires économiques et commerciaux du Royaume en Amérique Latine. Côté investissements, le Maroc est considéré comme le cinquième investisseur africain au Mexique. Les entreprises marocaines y ont investi, entre 1994 et 2006, quelque 297 millions de dollars, notamment dans l'industrie manufacturière, les services et le commerce. Le nouvel accord de non double imposition, qui sera signé prochainement par les gouvernements marocain et mexicain, est perçu comme un catalyseur de nouveaux investissements dans l'un et l'autre pays.

www.map.ma

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Maroc-France: Les relations bilatérales passent à la vitesse supérieure

Le Maroc et la France entendent jouer pleinement leur rôle au service de l'espace euro-méditerranéen, tout en confirmant leur volonté de développer des coopérations renforcées entre les pays du Maghreb et l'Union européenne dans le cadre du Processus de Barcelone. Et c'est dans ce contexte qu'entre la visite effectuée au Maroc depuis hier et jusqu'au 16 février de la secrétaire d'Etat française au Commerce extérieur, Mme Anne-Marie Idrac, à la tête d'une délégation d'hommes d'affaires destinée à renforcer la coopération bilatérale.

Le séjour de la responsable française dans le Royaume intervient quelques jours seulement après l'annonce de la visite éminente du secrétaire d'Etat français chargé des Affaires européennes, Pierre Lellouche. La secrétaire d'Etat française aura des entretiens intenses avec les responsables marocains et visitera, en outre, les infrastructures du port Tanger-Med, site sur lequel plusieurs entreprises françaises sont fortement implantées, notamment Bouygues construction et CMA-CGM. La délégation accompagnant Mme Idrac regroupe les représentants des entreprises particulièrement actives dans la région de Tanger, telles: «Bouygues Construction», «Hub Télécom», «Geodis» et «Réseau Ferré de France», ainsi que le pôle de compétitivité «Derbi», spécialisé dans le développement de la filière des énergies renouvelables. A cette occasion, la ministre française devra prendre part à la cérémonie de signature du protocole financier maroco-francais relatif au projet du tramway de Casablanca. Premier fournisseur et premier client du Maroc, la France est un partenaire majeur du Royaume dans plusieurs secteurs, notamment celui des transports. Dans ce sens, il faut rappeler que ce secteur emblématique, ciblé comme l'une des principales priorités, se dotera grâce à cette coopération du futur TGV. Fruit d'une collaboration avec la France depuis la visite du Président Nicolas Sarkozy au Maroc en octobre 2007, ce projet sera financé à hauteur de 5,8 milliards de DH en provenance du budget de l'Etat et du Fonds Hassan II pour le développement économique et social, 1,9 milliard de DH sous forme de dons français et européens et 12,3 milliards de DH sous forme de prêts avantageux consentis par la France et la Banque européenne d'investissement. Le financement de ce premier TGV africain est bouclé depuis lundi 1er février, jour où l'Etat et l'Office national des chemins de fer (ONCF) ont signé un contrat-programme 2010-2015 incluant 20 milliards de DH pour 200 km de voies à grande vitesse et 14 rames à étage (500 places) conçues par l'opérateur français Alstom. Les premiers engins entreront en action en juin 2010 sur le chantier de cette ligne à grande vitesse et les premiers passagers du TGV marocain se rendront en 1h20 de Rabat à Tanger, contre 3h55 aujourd'hui, à partir de décembre 2015. Ainsi, les relations maroco-françaises, traditionnellement marquées par des échanges denses et réguliers, vont devoir franchir un nouveau seuil en maintenant la concertation entre le Maghreb et l'Europe du Sud dans le cadre informel du «dialogue 5+5». Les deux pays luttent conjointement aux plans régional, international et multilatéral contre le terrorisme et son financement, le blanchiment d'argent et le crime organisé, le trafic de drogue et l'immigration clandestine. Cette dernière constitue un des défis majeurs de la Méditerranée. Français et autres Européens recherchent avec leurs partenaires du Sud, dans le cadre d'une politique transfrontalière une approche globale et équilibrée pour traiter cette question. Cette approche comprend plusieurs axes: coopérer en faveur d'une gestion plus harmonieuse des flux migratoires qui prenne en compte les besoins économiques et sociaux des pays du Nord et du Sud, agir en faveur d'une harmonisation progressive du statut des migrants légalement établis en Europe en vue de leur assurer un traitement équitable et d'améliorer leur intégration dans leur pays de résidence, lutter fermement contre l'immigration clandestine et démanteler les réseaux qui exploitent la misère humaine. Aujourd'hui, la France demeure le premier partenaire du Maroc en matière d'échange et de coopération dans le domaine économique et culturel. Elle est le premier partenaire commercial du Maroc et les échanges commerciaux entre les deux pays ont progressé à un rythme plus soutenu au cours des dernières années. Selon les dernières statistiques du Commerce extérieur français, les échanges entre les deux pays ont totalisé en 2009 quelque 6 milliards d'euros, dont 2,5 milliards d'importations marocaines. Du point de vue financier, la France est le premier investisseur étranger au Maroc. Plus de 600 entreprises de l'Hexagone sont implantées au Maroc. La France est également le premier créancier public du Maroc et le premier bailleur de fonds bilatéral du Maroc au titre de l'aide publique au développement. La coopération française intervient de plus en plus dans le champ social (santé, formation professionnelle, handicapés), de l'aménagement du territoire, de l'appui au développement économique, de l'état de droit et de la justice (formation de magistrats). Elle développe et appuie en outre de nouveaux modes d'intervention (aide aux ONG, aux associations, à la coopération décentralisée) dans le sens d'un soutien aux « actions de proximité « et recherche constamment la mise en cohérence par rapport aux financements multilatéraux auxquels la France contribue par ailleurs. Paris oeuvre aussi à l'amélioration du fonctionnement de l'administration marocaine, dans la perspective d'une bonne gouvernance. Elle maintient une présence forte dans notre pays, y compris au niveau des échanges culturels.

Le Matin 15/02/2010

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Tourisme: Le Maroc a reçu 8,34 millions de touristes en 2009

Dans un contexte de crise, la destination Maroc est arrivée à bien résister. En fait, au moment ou le tourisme mondial a accusé une baisse de 4,3% en 2009, selon les chiffres officiels de l'Organisation Mondiale du Tourisme (OMT), le Maroc a terminé l'année dernière avec une progression de 6% en termes du volume des arrivées aux postes frontières (+ 460.000 touristes), comparativement avec l'année 2008. Ainsi, le Maroc a reçu au terme de l'année 2009 « particulièrement difficile », 8,34 millions de touristes contre 7,88 millions une année auparavant, selon les dernières statistiques du ministère du Tourisme et de l'Artisanat. Toutefois, en termes de nuitées totales enregistrées dans les établissements d'hébergement touristique classés, la destination a enregistré une baisse de 1% due notamment à la régression des nuitées enregistrées par les non-résidents (-4%) qui a été, en partie, atténuée par l'augmentation affichée par les résidents (+10%). Ce qui laisse ouvert le débat sur la pertinence et l'intérêt de ces statistiques (notamment les arrivées aux postes frontières) et sur les nouveaux modes d'hébergement touristique qui concurrencent les hôtels parfois d'une manière déloyale. Surtout que certaines villes touristiques telle Marrakech connaissent des investissements très importants dans l'extension de la capacité d'hébergement hôtelier. Autre donne qui biaise parfois les statistiques est la part trop importante des Marocains résidant à l'étranger dans le nombre d'arrivées aux postes frontières qui en constitue presque la moitié (4.048.000 MRE contre 4.293.000 étrangers à fin 2009). Et c'est justement ce qui explique le paradoxe entre les nuitées et les arrivées entre le mois de décembre dernier et toute l'année. En fait, au moment où les arrivées ont chuté de 5% au cours du mois de décembre, les nuitées ont paradoxalement progressé de 14%. Explication : le nombre d'arrivées des MRE a baissé de 14%. De même, alors que les arrivées ont augmenté de 6% pour toute l'année, les nuitées se sont repliées de 1%. Ce qui est encore dû, en partie, aux MRE dont les arrivées ont progressé de 10% sans réellement profiter aux hôtels. Pour les non-résidents (vrais touristes), elles ont enregistré des nuitées en baisse de 4% contre une progression de 10% pour les résidents mais avec une part de moins de 23% du total des nuitées. Et ce sont notamment les plus importantes destinations qui ont souffert de ce retrait des nuitées en 2009. Ainsi, Marrakech, Agadir et Casablanca qui cumulent à elles seules 71% des nuitées totales ont affiché des baisses respectives de 1%, 4% et 1%, alors que Fès a enregistré une augmentation de 10%.L'analyse par marché montre qu'au moment où les autres principaux marchés émetteurs du Royaume ont accusé des baisses, notre voisin du Nord a enregistré plutôt une hausse des flux qu'il a émis vers le Maroc. En fait, le principal marché pour le Maroc, à savoir la France, a affiché un recul de 7%, le marché anglais -13%, l'Allemagne -7% et le marché belge -1%. Par contre, les marchés espagnole et arabe ont progressé respectivement de 13% et de 6%. Le taux d'occupation moyen des chambres a également baissé en 2009 de quatre points pour se situer à 41% à fin 2009 contre 45% une année auparavant. Pour le seul mois de décembre, les établissements d'hébergement touristique classés ont enregistré des nuitées en hausse de 14% par rapport à la période comparative de 2008. Cette progression des nuitées est due aussi bien aux non-résidents (+10%) qu'aux résidents (+25%). Cette reprise de l'activité hôtelière au cours du dernier mois de l'année a profité à la quasi-totalité des destinations touristiques du Royaume. En effet, Marrakech, qui s'accapare 38% des nuitées totales, a enregistré une progression de +26%, dépassant ainsi son pic historique de +6% réalisé en 2006. Casablanca et Fès se sont également bien comportées avec des progressions respectives de 21% et de 28%. Elles sont suivies de Rabat et de Meknès qui ont affiché des hausses de 3% et 10% respectivement. Toutefois, le deuxième pôle touristique du Royaume, en l'occurrence Agadir, n'a pas profité de cette reprise. En fait, cette destination qui s'approprie 22% des nuitées totales du mois de décembre, a affiché une baisse de 2%. La ventilation de ces nuitées par marché émetteur a révélé que tous les principaux marchés ont contribué à cette reprise, en particulier l'Espagne (+36%), les Pays Arabes (+29%), la France (+4%), l'Italie (+11%) et la Belgique (+6%). Par contre, le marché allemand a accusé un recul de 5%. S'agissant du taux d'occupation moyen des chambres, il a augmenté de deux points pour se situer à 34% en décembre 2009 contre 32% une année auparavant.

Trafic aérien international par aéroport
Au terme de l'année 2009, le nombre de passagers internationaux ayant transité par les aéroports internationaux du Royaume a atteint presque 12 millions, contre 11,5 millions en 2008, soit une progression de 5%. Environ 46% de ces passagers sont passés par le Hub de Mohammed V. Les aéroports des deux principaux pôles touristiques du Royaume, en l'occurrence Marrakech Ménara et Agadir Al Massira, drainent des parts respectives de 23% et 9%. Ces trois aéroports ont affiché des résultats contrastés : une hausse de +4% pour l'aéroport de Mohammed V, une baisse de -3% au niveau de l'aéroport de Marrakech Ménara et une stabilité à Agadir Al Massira. En ce qui concerne les recettes voyages, elles ont progressé de 2% au cours du mois de décembre 2009 par rapport au même mois de l'année précédente. Depuis le début de l'année 2009, le tourisme au Maroc a généré 52,8 milliards de dirhams, soit une baisse de -5% par rapport à 2008.

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