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 Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 14 Icon_minitimeJeu 25 Fév 2010 - 9:02

GBP-Western Union: Donner de l'élan aux transferts d'argent

Dans ce sillage, le groupe Banque populaire et Western Union viennent de conclure un accord de partenariat en vue de dynamiser les transferts des Marocains du monde (MDM) et d'améliorer le positionnement des deux institutions sur le transfert cash to cash. Un canal de transfert utilisé, de plus en plus, par les Marocains du monde en raison de sa disponibilité, de sa rapidité et de sa fiabilité. Ce qui explique la part importante qu'il occupe actuellement dans les transferts globaux à destination du Maroc qui avoisine les 31%. Ainsi, la BP, banque de référence des Marocains du monde avec une part de marché de plus de 53% en ce qui concerne les dépôts des MDM au moment où plus du tiers des transferts à destination du Maroc transitent par son canal, assurera, désormais, le service de transfert d'argent Western Union dans son large réseau d'agences à travers le Royaume. Ce service sera également disponible au niveau du réseau de la Fondation BP pour le micro-crédit portant, à terme, le nombre de points de vente assurant ce service à plus de 1200. «On est très confiant au titre de 2010. Ce partenariat va donner de l'élan aux transferts des Marocains du monde. On va continuer à développer notre réseau. Il faut accompagner la reprise de l'économie au niveau des pays d'accueil», précise Hassan Basri, directeur général de la Banque des Marocains du monde à la BCP qui représente le secteur au niveau du Comité de veille stratégique constitué en 2009 pour la relance de cette branche d'activité. Et à lui de poursuivre, «En 2009, on a estimé la chute des transferts à 14%, or, la fin de l'année n'a fait état que d'une baisse de 5%. Ce qui ne fait que confirmer l'attachement des Marocains du monde à leur patrie». De son côté, Western Union, un des leaders du transfert cash to cash, est un prestataire de premier plan de services de paiements internationaux qui offre à sa clientèle des moyens rapides, fiables et pratiques d'envoi et de réception d'argent à travers le monde. Les services des marques Western Union, Vigo et Orlandi sont offerts par le biais d'un réseau de plus de 410.000 points de vente dans 200 pays et territoires dont plus de 3500 au Maroc. C'est dans ce cadre que les deux leaders du marché ont décidé d'unir leur force et leur expertise en vue de rendre ce service plus accessible et plus proche tant des émetteurs que des bénéficiaires. Ceci après avoir mis fin à la question d'exclusivité qui marquait la relation entre Western Union et certaines institutions financières locales. Aujourd'hui, toutes les banques ont la possibilité de coopérer avec toutes les instances de transferts. De quoi permettre à ce secteur de prendre de l'élan. Au niveau international, cette activité a de beaux jours devant elle. Les Nations unies ont signalé que plus de 200 millions de personnes vivent hors de leur pays d'origine. Ils représentent environ 3% de la population mondiale. Durant ces trente dernières années, le nombre de migrants dans le monde a doublé (il était de 82 millions en 1970). Ce nombre est susceptible d'atteindre les 283 millions en 2050.

Présence en Afrique
Au niveau international, Western Union ne cesse de croître. Le nombre de points de vente Agents est passé de 50.000 en 2008 à plus de 410.000 en 2009. La société compte désormais plus de 6900 employés dans plus de 40 pays. En Afrique, elle s'est implantée en 1995 avec l'ouverture du premier point de vente au Ghana. En une dizaine d'années, le développement de Western Union sur le continent s'est renforcé de manière significative, multipliant le nombre de pays et de points de vente à travers lesquels la société est présente. Western Union est devenue l'un des premiers prestataires de services de transfert d'argent en Afrique, avec plus de 60 collaborateurs répartis dans deux bureaux locaux.

Le Matin 25/02/2010
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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 14 Icon_minitimeMer 24 Fév 2010 - 9:06

Maroc/Banque mondiale: Fort soutien aux réformes

Fini l’assistance. Place au partenariat. C’est la nouvelle approche qui doit désormais régir les relations entre le Maroc et le Groupe Banque mondiale. Comme nous l’annoncions en effet dans une précédente édition, la convention définissant ce nouveau cadre a été scellée entre les deux partenaires lundi 15 février à Rabat. Sa présentation à la presse ainsi que le rapport l’accompagnant ont eu lieu le lendemain dans la capitale administrative (cf. www.leconomiste.com). Baptisé Cadre de partenariat stratégique (CPS), ce nouvel instrument se veut d’abord flexible. Il s’appuie ensuite sur la gouvernance et la territorialité comme outils prioritaires. Il se décline enfin en trois axes: Croissance, compétitivité et emploi; accès aux services de base et développement durable.

Récentes performances
Pourquoi l’engagement de la Banque Mondiale? «Tous les indicateurs témoignent de bonne santé de l’économie marocaine», relèvent les experts de la Banque. A commencer par les fondamentaux. Mais ce qui renforce dans ce constat, c’est la résilience dont a fait preuve l’économie nationale face à la crise. En témoignent les récentes performances, souligne le rapport du groupe. Certes, le taux de croissance économique a baissé à 3,7% au cours du premier trimestre 2009 mais a rebondi à 5,4% le trimestre suivant et ensuite à 5,5% au terme des 9 premiers mois de l’année écoulée. Performance résultant à la fois de la bonne campagne agricole 2008/2009 et d’une demande interne assez soutenue. Si bien que l’impact de la contraction de la demande extérieure a été limité au tourisme et quelque secteur manufacturier. Quant aux finances publiques, «elles continuent d’être globalement bien gérées», note le rapport. Ceci grâce aux réformes introduites dans les domaines de gestion des dépenses, de la fiscalité et de la dette publique. A tel point que le déficit budgétaire au titre de l’année 2009 a été limité à 2,7%. Niveau qui s’explique par un recul des subventions et la maîtrise des dépenses de fonctionnement, notamment de la masse salariale. En somme, souligne le rapport, l’engagement de la Banque mondiale au Maroc se base des paramètres mesurés. Le Maroc dispose de plans de développement aux objectifs clairs et réalisables. Ce qui fait de lui un client aux performances croissantes. D’où le programme du groupe. Il cible essentiellement l’appui aux réformes engagées et à venir. A travers un soutien financier plus accru mais aussi une assistance technique et d’analyse des risques susceptibles d’entraîner un glissement des objectifs ou de bloquer le processus des réformes. A cet effet, un montant de 600 millions de dollars a été retenu pour l’année 2010. Mais il est confirmé comme indicateur pour le reste du programme qui s’étale sur 2010/2013.

L'Economiste 23/02/2010
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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 14 Icon_minitimeMar 23 Fév 2010 - 9:58

Microfinance: Les TI pour booster l’activité

Si le taux de pénétration des services financiers via internet et du mobile est des plus élevés dans les pays développés, ces services connaissent un essor dans les pays émergents. L’intégration des technologies de l’information (TI) dans le secteur de la microfinance devrait notamment permettre de doubler le nombre de bénéficiaires de ces crédits, soit 300 millions de microentrepreneurs. A cet effet, les experts, attendus au Sommet mondial de la microfinance les 11 et 12 mars à Marrakech, se pencheront sur les types de modèles gagnants pour l’accès aux services financiers des populations non-bancarisées. Les réflexions de ces deux jours de débat sont censées favoriser le développement de l’utilisation des TI en microfinance. Quelque 250 décideurs et 50 experts internationaux sont attendus à cet événement organisé par PlaNet finance et BCP. Le constat aujourd’hui est que la microfinance reste en deçà des objectifs pour éradiquer la pauvreté dans le monde. «Elle ne touche que 150 millions de personnes défavorisées», relève Mohammed Maarouf, directeur exécutif de PlaNet Finance Maroc. Le pays recense actuellement 1,25 million de prêts en cours pour une population cible estimée à près de 5 millions. Après plus de dix ans d’existence, le secteur de la microfinance recherche un modèle adéquat afin de mieux répondre aux besoins du marché. L’enjeu est d’élargir la portée de la microfinance, mais également de diversifier la gamme de produits offerts. Déjà, son inclusion dans le système financier devrait lui permettre d’accéder à un stade supérieur de développement. L’autre challenge relève de la capacité des institutions de microfinance à toucher les populations les plus démunies, en particulier en milieu rural. «L’octroi de crédit dans le rural est problématique au niveau des coûts des transactions, de l’accessibilité des populations, mais surtout au niveau du risque et des spécificités des besoins», relève Maarouf. C’est en cela que le rôle des TI est pertinent dans la microfinance, notamment à travers le mobile banking. Ne serait-ce que pour réduire le coût des transactions. L’expérience du mobile banking est à ses balbutiements au Maroc. Sur le reste du continent, ce type de service rencontre un succès indéniable. A titre d’exemple, l’Ouganda enregistre 18.000 nouveaux utilisateurs chaque jour, 15.000 en Tanzanie et 11.000 au Kenya. Au total, «près de 40 millions de clients effectuent des transactions via leur mobile dans les pays en développement», d’après des statistiques de l’Association mondiale des opérateurs mobiles (GSMA). En outre, «le développement du mobile banking repose sur un modèle multiopérateur, multicanal», précise Maarouf. Le Maroc compte environ 24 millions d’utilisateurs de GSM. Un nouveau marché s’ouvre donc aux opérateurs télécoms et aux banques.

L'Economiste 22/02/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 14 Icon_minitimeMar 23 Fév 2010 - 9:56

Attijariwafa Bank: 4 milliards de DH de résultat

Confirmation du leadership d’Attijariwafa bank dans le secteur bancaire. Au terme de l’année 2009, la banque réalise des croissances soutenues pour l’ensemble de ses indicateurs financiers. La deuxième entreprise à publier ses résultats, après sa filiale Wafa Assurance, voit son produit net bancaire ressortir à la fin du dernier exercice à 13,3 milliards de DH, en croissance de 21% par rapport à 2008. Ce résultat est attribuable à la hausse de 5,8% de la marge d’intérêt et surtout à une croissance de 46,6% des activités de marché. Par type d’activité, la banque de détail à l’international enregistre une croissance de 22,6% de son PNB. La performance du pôle assurance ressort à 68%. Concernant le résultat d’exploitation, Attijariwafa bank enregistre une croissance de 28,3%. Cette performance s’explique par «la forte croissance du PNB et la maîtrise du coefficient d’exploitation de la banque malgré les différents programmes d’investissement et de développement du groupe», est-il indiqué. Dans ces conditions, le ratio de charges s’établit en 2009 à 44,5%, soit une amélioration de 35 points de base par rapport à 2008. Pour le compte de 2009, le résultat net du groupe ressort à 4,6 milliards de DH en avance de 26% sur un an. La banque attribue cette performance à la croissance soutenue du résultat d’exploitation, mais également à la maîtrise du coût du risque. S’agissant du résultat net part, il s’est établi en 2009 à 3,9 milliards de DH, soit une augmentation de 26,4%, à la faveur d’une contribution positive de la banque de détail et des filiales locales et internationales. Compte tenu des résultats enregistrés en 2009, la banque a décidé de relever son dividende par action de 20% à 6 DH. Par ailleurs, le groupe reste l’un des plus importants collecteurs d’épargne et distributeurs de crédit de la place. A fin 2009, Attijariwafa bank a mobilisé une épargne de 217,5 milliards de DH. Les dépôts bancaires se sont établis à 154,2 milliards de DH, en hausse de 1,8% sur un an. A cet effet, le groupe revendique une part de marché de 26,1%. Pour sa part, l’activité du crédit suit la même tendance haussière. Les crédits par décaissement sont ressortis à 168,5 milliards de DH. Ce montant est de 44 milliards de DH pour les crédits accordés aux ménages, soit une croissance de 11%. Dans le même temps, les crédits aux entreprises ont progressé de 8,4% à 119,3 milliards de DH. Pour ce qui est de la banque d’investissement, l’activité change et obligataire a totalisé un volume de transactions de 508 milliards de DH à fin 2009. La même année, le réseau des agences du groupe s’est agrandi de 92 agences pour atteindre environ 1.400 dont 800 au niveau local. Au second semestre 2009, la stratégie à l’international du groupe a permis l’acquisition de 4 filiales du groupe Crédit Agricole (France) au Gabon, Sénégal, Côte d’ivoire et au Congo. Avec ces nouvelles acquisitions, le groupe est désormais présent dans 4 pays en Afrique de l’Ouest. L’ensemble des ressources générées dans ces pays en 2009 ressort à 15,62 milliards de DH en croissance de 13% sur un an. Les crédits par décaissement se bonifient de 7% à 12,63 milliards de DH. Quant au produit net bancaire du groupe dans la région, il augmente de 6% à 1,47 milliard de DH. Attijariwafa bank dispose de quelque 217 points de vente dans la région.

Renforcement à l’international
En Afrique, les filiales au Gabon et au Congo représentent 5,7 milliards de DH en ressources globales et près de 3 milliards en crédits par décaissement. A fin 2009, le produit net bancaire du groupe dans la région s’est établi à 539 millions de DH. En Tunisie, les dépôts de la banque ont progressé de 16% à 16,87 milliards de DH. Les crédits par décaissement ont augmenté de 14% pour s’établir à 14,8 milliards de DH. Pour sa part, le produit net bancaire ressort en progression de 16% à 890 millions de DH. En Europe, la filiale du groupe s’est élargie de 7 nouvelles agences, atteignant un total de 57 points de vente. A noter que la filiale Attijariwafa bank est opérationnelle dans 7 pays.

L'Economiste 22/02/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 14 Icon_minitimeLun 22 Fév 2010 - 9:30

2ème conférence internationale sur "micro-finance et nouvelles technologies'' en mars à Marrakech

La 2ème conférence internationale sur la ''micro-finance et nouvelles technologies'', qui se tiendra les 11 et 12 mars à prochain Marrakech, vise à renforcer les synergies entre les deux secteurs afin de développer l'utilisation des TIC en microfinance, ont indiqué, vendredi à Casablanca, les organisateurs. Initiée sous le thème "Quels modèles gagnants pour l'accès aux services financiers des populations non-bancarisées'', cette manifestation fait suite à celle organisée en Inde en 2008, ont-ils précisé lors d'un point de presse, consacré à la présentation de cette conférence internationale. Quelque 50 experts représentant des institutions de micro-finance, des sociétés spécialisées dans les TIC, les secteurs bancaire et des télécoms et transfert d'argent, des autorités de régulation, des consultants, des bailleurs de fonds publics et privés et des agences de coopération internationale animeront les travaux de cette conférence. Plusieurs axes de travail seront examinés et discutés durant les deux jours de la conférence, notamment les systèmes d'information et de gestion pour la micro-finance, les solutions technologiques pour améliorer les performances des institutions de micro-finance, le Mobile Banking et la micro-finance. Pour cette 2-ème édition, près de 250 décideurs du monde entier sont attendus ainsi que de nombreux exposants nationaux et internationaux, ont indiqué les organisateurs. Les nouvelles technologies représentent un enjeu clé pour le secteur de la micro-finance et leur utilisation pourrait permettre de doubler le nombre des micro-entrepreneurs bénéficiaires pour atteindre le nombre de 300 millions au niveau mondial, ont-ils fait savoir. Le Maroc a été choisi pour abriter les travaux de cette conférence car c'est un pays où le secteur de la micro-finance est particulièrement important et bien structuré et est en pleine évolution, a-t-on expliqué. Avec 1,24 million de crédits en cours, le secteur de la micro-finance au Maroc est leader de la région MENA et certaines associations de micro-crédit sont d'ailleurs classées parmi les 20 premières mondiales, ont souligné les organisateurs. Cette manifestation est initiée par PlaNet Finance, une organisation de solidarité internationale dont la mission est de lutter contre la pauvreté par le développement de la micro-finance, le groupe Banque Populaire et Sogeti (services informatiques et d'ingénierie), avec le soutien de Méditel.

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 14 Icon_minitimeLun 22 Fév 2010 - 9:29

Attijariwafa bank: Un PNB de 13,3 MMDH en hausse de 20,9%

A fin décembre dernier, le groupe a réalisé une performance financière accrue grâce à une forte croissance organique et à l'accélération du développement à l'international. Capitalisant sur l'optimisation des synergies entre les différentes lignes métiers ainsi que sur l'accélération de sa politique de croissance organique interne et externe créatrice de valeur, le groupe a vu ses pôles d'activité enclencher une dynamique porteuse. Au terme de 2009, peut-on ainsi lire dans le communiqué rendu public en fin de semaine, le PNB consolidé enregistre une hausse de 20,9% par rapport à l'année 2008, s'établissant à 13,3 MMDH. «Cette progression est essentiellement attribuée à la bonne performance de la marge d'intérêt (+5,8%) et du résultat des activités de marché (+46,6%) et à la plus-value dégagée de la cession d'une partie de Wafasalaf et du Crédit du Maroc au Groupe Crédit Agricole S.A (France). Les ressources clientèles du groupe ont grimpé de 10,3% à 194,7 MMDH dont 79,2% émanant de l'activité agrégée. Celle-ci affiche une quasi-stagnation de ses dépôts clientèle qui ont progressé de 1,7% pour se fixer à 154,2 MMDH. La part de marché en termes de ressources au Maroc s'est ainsi établie à 26,1%. Le PNB consolidé aura bénéficié de la performance soutenue des différents métiers du groupe et plus particulièrement de la hausse de 22,6% du PNB de la Banque de Détail à l'International et de l'accroissement de 67,9% du PNB de l'Assurance, lesquels contribuent respectivement à hauteur de 15,1% et de 13,1% au PNB. Au final, le Résultat Net Part du Groupe s'est bonifié de 26,4% à 3,9 MMDH. Par pôle d'activité, la Banque au Maroc et en Europe participe à hauteur de 65,5% dans le RNPG, contre 18,9% pour le pôle assurance et immobilier, 9,2% pour les sociétés de financement spécialisées et 6,4% pour les banques de détail à l'international. Côté risque, les dotations nettes de provisions aux créances en souffrance se sont renforcées de 56,3% à 988,3 MDH. Le stock de provisions pour créances en souffrance s'en trouve, de ce fait, élargi de 10,6% à 7,6 MMDH, pour des créances en souffrance de 10 MDH (en hausse de 12,6% comparativement à 2008). Le taux de contentieux du groupe se fixe, ainsi, à 5,3% ; tandis que le taux de provisionnement s'est élevé à 76,4%. Conformément aux orientations du plan stratégique «Attijariwafa 2012», le groupe poursuit au niveau national son développement sur toutes les lignes métiers de la banque classique, des filiales para-bancaires et des activités de marché. Sur le plan régional, le groupe confirme sa politique de croissance et entend asseoir sa stratégie dans tous les pays où il est présent. Au Maroc, les activités financières du Groupe ont enregistré, au terme de l'année 2009, une évolution satisfaisante. Ces réalisations sont à mettre à l'actif d'un positionnement solide de la banque et de ses filiales, ainsi que d'une stratégie adaptée à son environnement. Au deuxième semestre 2009, le Groupe Attijariwafa bank a finalisé l'acquisition de 4 filiales du groupe Crédit Agricole S.A (France) (Société ivoirienne de banque, Crédit du Sénégal, Union gabonaise de banque et Crédit du Congo), confortant ainsi sa vocation d'acteur régional de premier plan au Maghreb et en Afrique subsaharienne, et de vecteur du développement économique régional. En Tunisie, Attijari bank a clôturé l'année 2009 sur une forte croissance de ses encours et de ses résultats. Les dépôts ont atteint 16,87 MMDH, en hausse de 16%, comparativement à fin 2008. Les crédits par décaissement ont augmenté, quant à eux, de 14%, s'établissant à 14,80 MMDH. Le PNB a marqué un accroissement de 16% à 890 millions de dirhams, et le réseau comprend désormais 149 agences. Sur les huit pays de l'Afrique de l'Ouest, le groupe est présent dans quatre d'entre eux, faisant d'Attijariwafa bank un acteur majeur de l'industrie bancaire. Les ressources globales dans cette zone atteignent 15,62 MMDH, en hausse de 13% à fin 2009 par rapport à l'année 2008. Les crédits par décaissement ont évalué de 7%, à 12,63 MMDH. En Afrique Centrale, les filiales nouvellement acquises par le groupe représentent 5,7 MMDH en ressources globales et 2,94 MMDH en crédits par décaissement. Au terme de l'exercice 2009, le PNB agrégé du groupe Attijariwafa bank dans la région est de 539 MDH généré par une vingtaine de points de vente. En Europe, la filiale Europe opérationnelle dans 7 pays, poursuit le développement de ses activités sur l'ensemble des pays où le groupe est présent. La filiale européenne a enrichi son réseau de 7 agences bancaires, totalisant 57 points de vente.

Premier collecteur d'épargne
Avec une épargne totale mobilisée de 217,5 MMDH, le groupe se positionne en tant que leader incontesté dans cette activité. Les dépôts bancaires totalisent 154,2 MMDH, en légère hausse de 1,8% comparativement à fin décembre 2008. Les actifs sous gestion s'élèvent à 55,3 MMDH, permettant au groupe d'atteindre une part de marché de 29,6%. Dans la bancassurance, le groupe est leader incontesté sur le marché, avec un encours total de 8 MMDH. Premier distributeur de crédits au Maroc, la banque et ses filiales spécialisées ont mis à la disposition des ménages et des opérateurs économiques un volume de crédits par décaissement de 168,5 MMDH. Les crédits octroyés aux entreprises ont atteint 119,3 MMDH.

Le Matin 22/02/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 14 Icon_minitimeVen 19 Fév 2010 - 9:13

Attijariwafa bank se porte comme un charme

Le Groupe Attijariwafa bank se porte bien. Et les résultats au titre de l'exercice 2009 le confirment. Ainsi, le Produit net bancaire a emprunté une courbe ascendante en enregistrant une hausse de 20,9% par rapport à l'exercice 2008. Et ce en s'établissant à 13,3 milliards de dirhams. Une progression, souligne le management du groupe, essentiellement attribuée à la bonne performance de la marge d'intérêt (en hausse de 5,8%), ainsi que des résultats dégagés de la cession d'une partie de Wafasalaf et du Crédit du Maroc au Groupe Crédit Agricole S.A. (France). De même que le résultat brut d'exploitation a connu un bond de 28,3%, en atteignant un volume en valeur absolue de l'ordre de 7,9 milliards de dirhams. Quant au résultat net consolidé, il s'est établi à 4,6 milliards de dirhams. Ce qui représente un accroissement de 26,2% par rapport à l'année 2008. A noter, par ailleurs, qu'au terme de l'exercice dernier, le total bilan du groupe s'est élevé à 290,4 milliards de dirhams, soit une évolution de 12,1% par rapport à l'exercice 2008.

Le Matin 19/02/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 14 Icon_minitimeJeu 18 Fév 2010 - 20:43

WAFA ASSURANCE : Des résultats 2009 bien orientés

Fait : Publication des résultats annuels 2009.

Analyse : A l’issue de l’exercice 2009, WAFA ASSURANCE réalise un chiffre d’affaires de M MAD 4 298, en amélioration de 3,5% comparativement à 2008. Cette croissance est essentiellement redevable à la bonne performance de l’activité Non-Vie dont les primes émises s’apprécient de 15,4% à M MAD 1 717, soit 40% du chiffre d’affaires global.
Pour leur part, les revenus de la branche Vie ressortent à M MAD 2 581, en léger repli par rapport à l’exercice 2008. Ce retrait s’explique par la volonté de la compagnie de privilégier la collecte de l’épargne longue.
Dans ce sillage, le résultat technique Non-Vie s’élève à M MAD 933,4, en hausse de 57,3% par rapport à 2008 en raison, d’une part, de l’amélioration de la marge opérationnelle et, d’autre part, de l’intégration de la plus-value issue de la cession de 24% du capital du CREDIT DU MAROC.
A contrario, le résultat technique Vie diminue de 67,3% à M MAD 55 compte tenu de la non réalisation de plus-value dans une optique de renforcement des plus-values latentes.
Au final, la capacité bénéficiaire se bonifie de 44,9% à M MAD 677, contre M MAD 468 une année auparavant. Retraité de la plus-value exceptionnelle, le résultat net ressortirait à M MAD 500, en progression de 6,8%.
Signalons que la compagnie devrait proposer la distribution, au titre de l’exercice 2009, d’un dividende ordinaire de MAD 50 (vs MAD 45 au titre de 2008) ainsi que d’un dividende exceptionnel de MAD 20 par action.

Conclusion : Les indicateurs d’activité de WAFA ASSURANCE confirment son positionnement particulièrement sur la branche Non-Vie qui affiche des réalisations opérationnelles très satisfaisantes.

BMCE Capital Bourse

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 14 Icon_minitimeJeu 18 Fév 2010 - 9:00

Assurances : Contrat-programme signé mi-mars

«Le contrat-programme des assurances devrait être signé vers la mi-mars», annonce Bachir Baddou, DG de la Fédération marocaine des sociétés d’assurances et de réassurance (FMSAR). Baddou a livré l’état d’avancement de cette feuille de route lors d’un débat sur l’avenir du secteur à travers le contrat-programme. Une rencontre organisée par la Fédération nationale des agents et courtiers d’assurances (Fnacam). «En 2008, le volume de primes a atteint 20 milliards de DH. Nous prévoyons une croissance entre 6 et 8% du chiffre d’affaires pour 2009», explique Baddou. Au total, 11 milliards de DH ont été distribués aux ménages ayant subi un sinistre et 25 milliards de DH de versements salariaux et patronaux ont été effectués au profit des caisses de retraite. Le secteur des assurances contribue également à la sécurisation des actifs. Ainsi, 250.000 agriculteurs adhèrent à l’assurance sécheresse depuis 1995. Il en va de même pour le secteur industriel et les filières de construction. «Nous souhaitons que le contrat-programme joue un rôle d’amortisseur contre les aléas boursiers», déclare Baddou. A ce titre, les compagnies d’assurances développent des activités techniques et financières. Les premières sont compensées par les secondes, qui pèsent 90% du résultat des assureurs. «Il n’est pas logique que l’on continue encore sur un certain nombre de branches où nous enregistrons des déséquilibres», poursuit le DG de la FMSAR. C’est la raison pour laquelle le contrat-programme devrait permettre aux assureurs d’exercer leur cœur de métier. Pour y arriver, un certain nombre de mesures de nature à atténuer les aléas boursiers devront être intégrées dans la feuille de route. Sur un tout autre registre, l’assurance-vie est devenue la première branche au Maroc en termes de primes, devançant l’automobile. Quant au volume des investissements des assureurs, il varie entre 70 et 80 milliards de DH. Si l’on y ajoute les caisses de retraite, ce même volume atteint un peu moins de 200 milliards de DH. «Notre ambition est de doubler nos actifs pour atteindre 400 milliards de DH à l’horizon 2015. Ce qui aurait un impact direct sur le développement économique et social», répète-t-on auprès de la FMSAR. Pour l’heure, le contrat-programme est toujours en discussion. A cet effet, gouvernement, FMSAR et Fancam sont en phase de syndication. Il s’agit de pourparlers avec pas moins de neuf ministères sur des mesures transversales et d’autres spécifiques. «Ainsi, nous sommes en train de discuter toutes les obligations d’assurance avec le ministère du Commerce et de l’Industrie. Il s’agit notamment des normes de sécurité et des règles de travail au sein des entreprises», explique Baddou. Quant aux négociations avec le département de l’Habitat, elles portent sur la mise en place de l’assurance tous risques chantier, la multirisque habitation (MRH)… L’on prévoit d’ailleurs une assurance MRH adaptée au logement à 140.000 DH. Le montant de la prime ne dépassera pas 180 DH. Du côté de la FMSAR, l’on assure que les négociations vont bon train.

Doléances des intermédiaires
Parmi les critiques formulées par la Fédération nationale des agents et courtiers d’assurance (Fnacam) au sujet du contrat-programme, les attentes en matière de commercialisation des produits de la micro-assurance, la possibilité d’ouvrir des points de vente. Les intermédiaires réclament également la reconnaissance par l’Etat des diplômes du privé dans la procédure d’examen pour l’obtention de l’agrément d’agent et de courtier. Les professionnels réclament également la déductibilité de la TVA, qui est supportée en fin de compte par le consommateur final. Autre revendication, la prorogation du délai de basculement des assurances de santé à la CNSS. Selon les intermédiaires, ce délai est nécessaire à la stabilisation du secteur et au recyclage des effectifs dédiés à cette branche.

L'Economiste 17/02/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 14 Icon_minitimeMer 17 Fév 2010 - 9:01

Maroc-Banque mondiale: Doublement du montant des financements

Certes des progrès ont été enregistrés au cours des dernières années, mais il est lieu de rehausser les réformes pour relever les défis qui s'imposent. Le premier enjeu, pour l'institution internationale, est relatif à l'exécution des réformes tracées qui doivent s'inscrire dans la durée, selon la vice-présidente de la Banque mondiale pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord, Shamshad Akhtar, en visite pour la première fois au Maroc. Dans une rencontre, hier à Rabat, cette responsable a tenu à souligner à plusieurs reprises que l'objectif premier de la Banque mondiale dans le cadre du nouveau programme de partenariat est d'appuyer la réalisation du programme des réformes du gouvernement en renforçant les capacités du Maroc à tous les niveaux afin de créer la plus grande valeur ajoutée et maintenir un niveau élevé de portefeuilles de projets. Elle estime que le nouveau partenariat permettra d'atteindre les résultats de développement nécessaire. Une opinion fort partagée par le ministre des Affaires économiques et générales, Nizar Baraka, qui souligne que le Maroc est passé de la relation de coopération dans la réalisation des projets avec la Banque mondiale à un partenariat stratégique s'appuyant sur les résultats positifs de 2005/2009. Le responsable gouvernemental reconnaît, par ailleurs, que malgré les réalisations positives, bon nombre de défis restent à surmonter dont les disparités spatiales et la pauvreté. On nourrit de grands espoirs du nouveau cadre stratégique pour atteindre les objectifs escomptés. Un programme ambitieux qui repose sur les acquis précédents mais aussi sur deux nouveautés. La première est basée sur une approche flexible dans le choix des programmes au cours de la période de la réalisation du programme. Les domaines ont été définis mais le volume de financement sera accordé en fonction de l'évolution des besoins. La deuxième nouveauté a trait aux principes de ciblage et de sélectivité en définissant les réformes à engager ainsi que leurs répercussions sur le citoyen. Les programmes sectoriels déjà définis sont nombreux : environnement des affaires, réforme du secteur financier, compétences et emploi, gestion du secteur public, qualité et accès à l'éducation, réforme du secteur de la santé, vulnérabilité et inclusion sociale, gestion de l'eau… On les regroupe essentiellement dans trois grands programmes sectoriels. Il s'agit en premier lieu du renforcement de la croissance, de la compétitivité et de l'emploi en améliorant, entre autres, le climat des affaires et le système financier. On s'assigne pour objectif également d'offrir des services aux citoyens, notamment les plus vulnérables en réduisant les disparités à travers l'enseignement, la santé, l'habitat… Le troisième programme sectoriel repose sur le développement durable dans un contexte marqué par les changements climatiques et la problématique de la rareté des eaux. Les approches de la stratégie sont fondées sur une nouvelle dimension territoriale dans l'objectif de créer des pôles de développement et de soutenir les régions à participer dans le développement économique des provinces, selon Nizar Baraka. Les enjeux sont de taille. En tout cas, l'ambition est affichée de part et d'autre pour dépasser les obstacles et parvenir à atteindre les desseins tracés.

Les risques du programme
Selon la Banque mondiale, les risques du programme sont identifiés. Premièrement, il s'agit des perspectives de croissance à court terme qui font l'objet d'incertitudes sur le calendrier. La Banque « aidera à analyser les risques à travers un suivi et un dialogue avec les autorités sur le contexte macroéconomique global continu. » L'institution internationale s'engage à appuyer en cas de besoin l'analyse des options d'adaptation du programme de réformes et de mesures correctives. En deuxième lieu, on note que l'exécution réussie de ce programme de réformes est tributaire de facteurs relevant de l'économie politique. « Les réformes de seconde génération feront vraisemblablement l'objet des acteurs affectés. Les risques associés seraient alors : le glissement des objectifs, le blocage des processus deréformes…L'accent mis récemment par le gouvernement sur les réformes de la gouvernance aidera à atténuer ces risques. », selon la banque.

Le Matin 17/02/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 14 Icon_minitimeMer 17 Fév 2010 - 8:50

Marché des taux: Le Trésor renoue avec le financement

La ligne 10 ans, intouchable depuis février 2007, a finalement été sujette à une levée de 100 millions de dirhams. «Bien que le montant ne soit pas important, il témoigne du retour du Trésor au financement à long terme en 2010, remettant à l'ordre du jour la problématique de l'indexation des taux variables immobiliers en vigueur depuis 2007…

On s'attend à ce que les autorités revoient ce système dans les semaines à venir afin d'éviter une hausse des taux immobiliers et un ralentissement de facto de ce secteur», considèrent les analystes du Département Recherche et Analyse de la Banque des marchés d'Attijariwafa bank. Le taux 10 ans s'est ainsi envolé de 74 points de base s'établissant à 4,14%, suite à un appétit confirmé de la part des investisseurs pour le long terme. Le taux 5 ans, quant à lui, a marqué une hausse de 9 points de base pour se chiffrer à 4%. D'après eux, les taux devraient, durant la semaine courante, se maintenir plus ou moins stables, confortés par l'allègement des conditions de liquidité. En effet, l'injection d'un milliard de dirhams par la banque centrale via ses avances à 7 jours la semaine dernière, combinée aux tombées cette semaine qui se chiffreront à 3 milliards de dirhams, compensera largement la sortie de 3,3 milliards que subira le marché interbancaire au titre des adjudications du 9 février. « Ainsi, l'on s'attend à ce que les taux interbancaires fluctuent entre 3,35 et 3,40%, et que les taux repos, de leur côté, varient entre 3,30 et 3,35% », estiment-ils. Pour la mémoire, au cours de l'année 2009, le Trésor a été très actif sur la partie courte de la courbe des taux primaires, bien que ses besoins en financement se projètent à long terme, notamment au titre du service de sa dette intérieure. En effet, depuis 2007, où ses levées à long terme représentaient 19,5% du montant total de ses levées, il a laissé de côté ce mode de financement en faveur du court et moyen termes, si bien qu'en 2008, 95% de ses levées concernaient le court terme, contre 74% en 2009. Par ailleurs, les besoins du Trésor se sont accentués durant ces trois dernières années. Ils sont passés de 39 milliards en 2007 à 55,5 milliards en 2009, soit une évolution de 42%, due notamment à sa politique budgétaire qui se basait, depuis 2008, sur l'augmentation des dépenses en investissement public et la baisse des recettes fiscales. Les dépenses d'investissement de l'Etat ont en effet grimpé de près de 37% entre 2007 et 2008, et de 16% entre 2008 et 2009. Ainsi, les dépenses de l'Etat ont maintenu un rythme croissant durant ces trois dernières années, et continueront de l'être en 2010. Avec une augmentation de 20% des dépenses publiques préconisée par la loi de Finances de 2010, le Trésor annonce clairement la tendance haussière de son besoin en cash au cours de cette année, d'autant plus que ses tombées de l'année sont estimées pour l'instant à plus de 70 milliards de dirhams, principalement réparties sur le court et moyen termes. Actuellement, le Trésor se retrouve dans une situation d'étranglement, compte tenu des levées en masse sur les maturités courtes qu'il a effectuées durant ces trois dernières années. Par conséquent, la duration de sa dette est passée de 4.58 ans en 2008, à 4.21 ans en 2009, soit un repli de 8%. Ainsi, le retour aux maturités longues s'avère nécessaire pour gagner plus de flexibilité quant au mode de financement du Trésor, d'une part, et pour panser la stratégie budgétaire à long terme du Maroc, d'autre part.

Besoins prononcés du Trésor
Au cours de l'appel d'offres du 10 février 2010, Bank Al-Maghrib a servi un montant de 21 milliards au titre des avances à 7 jours au taux de 3,25% pour un montant demandé de 35,85 milliards de dirhams. La banque centrale effectue ainsi une injection d'un milliard de dirhams supplémentaire sur le marché interbancaire cette semaine. Les levées de la semaine du 4 au 10 février 2010 ont totalisé un montant de 3,33 milliards de dirhams, qui s'ajoutent aux 3 milliards de la semaine précédente. Les besoins du Trésor, surtout en ce début d'année, sont de plus en plus prononcés. Il a d'ailleurs établi ses besoins prévisionnels pour ce mois de février aux alentours de 12 milliards de dirhams. Par ailleurs, les investisseurs n'ont été satisfaits cette semaine qu'à hauteur de 20,74% face à leur demande de 16 milliards de dirhams.

Le Matin 17/02/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 14 Icon_minitimeMar 16 Fév 2010 - 9:14

Signature d'un accord de prêt de 133 millions d'euros pour le financement du programme d'appui au secteur financier

Un accord de prêt d'un montant de 133 millions d'euros destiné au financement du programme d'appui au secteur financier a été signé, lundi à Rabat, par le ministre de l'Economie et des Finances, M. Salaheddine Mezouar, et la vice-présidente de la Banque mondiale (BM) pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA), Mme Shamshad Akhtar.

Cet accord permettra notamment de soutenir les efforts du gouvernement dans la promotion de l'épargne longue, le renforcement de la supervision financière et l'élargissement de l'accès des ménages et des petites et moyennes entreprises au financement, tout en préservant la stabilité du système financier. Les deux responsables se sont félicités, à cette occasion, de l'excellence de la coopération entre le Maroc et la BM, laquelle coopération fait de la Banque un partenaire privilégié apportant un appui constant aux efforts de développement économique et social du pays, à travers le financement des programmes de réformes structurelles et sectorielles et de projets d'investissement. M. Mezouar a souligné, à cet effet, l'importance des relations qu'entretient le Maroc avec la BM, lesquelles sont appréhendées à travers le cadre stratégique de coopération 2005-2009 qui a vu la concrétisation de plusieurs opérations portant sur un montant global de plus de 1,4 milliard de dollars, couvrant aussi bien des programmes de réformes que des projets d'investissement. Dans le cadre du renforcement de la coopération avec la BM, il a sollicité cette Institution d'appuyer le Maroc dans la mise en Âœuvre des nouveaux chantiers engagés par le gouvernement, en particulier dans les secteurs de la justice, de la santé, de l'agriculture et de la régionalisation. De son côté, Mme Akhtar a exprimé sa satisfaction quant aux résultats de la coopération avec le Maroc et au cadre de partenariat stratégique prévu au titre de la période 2010-2013. Elle a également fait part de la ferme volonté de la Banque de continuer à accompagner le pays à poursuivre son processus de réformes et de développement.

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