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 Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 15 Icon_minitimeMer 17 Fév - 8:50

Marché des taux: Le Trésor renoue avec le financement

La ligne 10 ans, intouchable depuis février 2007, a finalement été sujette à une levée de 100 millions de dirhams. «Bien que le montant ne soit pas important, il témoigne du retour du Trésor au financement à long terme en 2010, remettant à l'ordre du jour la problématique de l'indexation des taux variables immobiliers en vigueur depuis 2007…

On s'attend à ce que les autorités revoient ce système dans les semaines à venir afin d'éviter une hausse des taux immobiliers et un ralentissement de facto de ce secteur», considèrent les analystes du Département Recherche et Analyse de la Banque des marchés d'Attijariwafa bank. Le taux 10 ans s'est ainsi envolé de 74 points de base s'établissant à 4,14%, suite à un appétit confirmé de la part des investisseurs pour le long terme. Le taux 5 ans, quant à lui, a marqué une hausse de 9 points de base pour se chiffrer à 4%. D'après eux, les taux devraient, durant la semaine courante, se maintenir plus ou moins stables, confortés par l'allègement des conditions de liquidité. En effet, l'injection d'un milliard de dirhams par la banque centrale via ses avances à 7 jours la semaine dernière, combinée aux tombées cette semaine qui se chiffreront à 3 milliards de dirhams, compensera largement la sortie de 3,3 milliards que subira le marché interbancaire au titre des adjudications du 9 février. « Ainsi, l'on s'attend à ce que les taux interbancaires fluctuent entre 3,35 et 3,40%, et que les taux repos, de leur côté, varient entre 3,30 et 3,35% », estiment-ils. Pour la mémoire, au cours de l'année 2009, le Trésor a été très actif sur la partie courte de la courbe des taux primaires, bien que ses besoins en financement se projètent à long terme, notamment au titre du service de sa dette intérieure. En effet, depuis 2007, où ses levées à long terme représentaient 19,5% du montant total de ses levées, il a laissé de côté ce mode de financement en faveur du court et moyen termes, si bien qu'en 2008, 95% de ses levées concernaient le court terme, contre 74% en 2009. Par ailleurs, les besoins du Trésor se sont accentués durant ces trois dernières années. Ils sont passés de 39 milliards en 2007 à 55,5 milliards en 2009, soit une évolution de 42%, due notamment à sa politique budgétaire qui se basait, depuis 2008, sur l'augmentation des dépenses en investissement public et la baisse des recettes fiscales. Les dépenses d'investissement de l'Etat ont en effet grimpé de près de 37% entre 2007 et 2008, et de 16% entre 2008 et 2009. Ainsi, les dépenses de l'Etat ont maintenu un rythme croissant durant ces trois dernières années, et continueront de l'être en 2010. Avec une augmentation de 20% des dépenses publiques préconisée par la loi de Finances de 2010, le Trésor annonce clairement la tendance haussière de son besoin en cash au cours de cette année, d'autant plus que ses tombées de l'année sont estimées pour l'instant à plus de 70 milliards de dirhams, principalement réparties sur le court et moyen termes. Actuellement, le Trésor se retrouve dans une situation d'étranglement, compte tenu des levées en masse sur les maturités courtes qu'il a effectuées durant ces trois dernières années. Par conséquent, la duration de sa dette est passée de 4.58 ans en 2008, à 4.21 ans en 2009, soit un repli de 8%. Ainsi, le retour aux maturités longues s'avère nécessaire pour gagner plus de flexibilité quant au mode de financement du Trésor, d'une part, et pour panser la stratégie budgétaire à long terme du Maroc, d'autre part.

Besoins prononcés du Trésor
Au cours de l'appel d'offres du 10 février 2010, Bank Al-Maghrib a servi un montant de 21 milliards au titre des avances à 7 jours au taux de 3,25% pour un montant demandé de 35,85 milliards de dirhams. La banque centrale effectue ainsi une injection d'un milliard de dirhams supplémentaire sur le marché interbancaire cette semaine. Les levées de la semaine du 4 au 10 février 2010 ont totalisé un montant de 3,33 milliards de dirhams, qui s'ajoutent aux 3 milliards de la semaine précédente. Les besoins du Trésor, surtout en ce début d'année, sont de plus en plus prononcés. Il a d'ailleurs établi ses besoins prévisionnels pour ce mois de février aux alentours de 12 milliards de dirhams. Par ailleurs, les investisseurs n'ont été satisfaits cette semaine qu'à hauteur de 20,74% face à leur demande de 16 milliards de dirhams.

Le Matin 17/02/2010
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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 15 Icon_minitimeMar 16 Fév - 9:14

Signature d'un accord de prêt de 133 millions d'euros pour le financement du programme d'appui au secteur financier

Un accord de prêt d'un montant de 133 millions d'euros destiné au financement du programme d'appui au secteur financier a été signé, lundi à Rabat, par le ministre de l'Economie et des Finances, M. Salaheddine Mezouar, et la vice-présidente de la Banque mondiale (BM) pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA), Mme Shamshad Akhtar.

Cet accord permettra notamment de soutenir les efforts du gouvernement dans la promotion de l'épargne longue, le renforcement de la supervision financière et l'élargissement de l'accès des ménages et des petites et moyennes entreprises au financement, tout en préservant la stabilité du système financier. Les deux responsables se sont félicités, à cette occasion, de l'excellence de la coopération entre le Maroc et la BM, laquelle coopération fait de la Banque un partenaire privilégié apportant un appui constant aux efforts de développement économique et social du pays, à travers le financement des programmes de réformes structurelles et sectorielles et de projets d'investissement. M. Mezouar a souligné, à cet effet, l'importance des relations qu'entretient le Maroc avec la BM, lesquelles sont appréhendées à travers le cadre stratégique de coopération 2005-2009 qui a vu la concrétisation de plusieurs opérations portant sur un montant global de plus de 1,4 milliard de dollars, couvrant aussi bien des programmes de réformes que des projets d'investissement. Dans le cadre du renforcement de la coopération avec la BM, il a sollicité cette Institution d'appuyer le Maroc dans la mise en Âœuvre des nouveaux chantiers engagés par le gouvernement, en particulier dans les secteurs de la justice, de la santé, de l'agriculture et de la régionalisation. De son côté, Mme Akhtar a exprimé sa satisfaction quant aux résultats de la coopération avec le Maroc et au cadre de partenariat stratégique prévu au titre de la période 2010-2013. Elle a également fait part de la ferme volonté de la Banque de continuer à accompagner le pays à poursuivre son processus de réformes et de développement.

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 15 Icon_minitimeLun 15 Fév - 9:04

La Société Générale lance le concours «Citizen Act»

La 4e édition du «Citizen Act» verra la participation de trois équipes marocaines. Cette compétition organisée par la Société Générale rassemble des étudiants du monde entier, pour des projets novateurs et à vocation citoyenne. Orienté vers la responsabilité sociale et environnementale, Citizen Act est un jeu d’entreprise international du Groupe Société Générale, qui s’adresse aux étudiants d’écoles de commerce, d’ingénieurs et d’universités. Les projets porteront notamment sur l’écologie, le commerce équitable, la responsabilité sociale. Ils devront ensuite défendre leurs projets le 18 février à Paris. Des groupes d’étudiants de 35 pays participeront cette année (Etats-Unis, Russie, Brésil, Chine, Cameroun, Côte d’Ivoire…) à la compétition, parmi lesquels 52 équipes ont été sélectionnées pour défendre leurs projets. Chaque équipe est constituée de trois membres. Chaque réflexion est encadrée par un spécialiste de la banque. Celui-ci accompagne concrètement les participants dans leur démarche. Les trois meilleurs projets sont récompensés par un «voyage éco responsable» et peuvent être soutenus par le groupe afin de concrétiser leur mise en œuvre. A travers ce concours, «la Société Générale entend véhiculer des valeurs de responsabilité sociale et environnementale», indique-t-on à la banque. De plus, ce jeu d’entreprise se veut être une passerelle entre la formation académique et le monde de l’entreprise «Des projets développés dans le cadre du Citizen Act ont déjà été adoptés et mis en œuvre par le groupe». Esprit de partenariat, principes de solidarité, valorisation du capital humain et préoccupations environnementales sont autant de valeurs que revendique le Groupe Société Générale a travers cet événement. Cette quatrième édition a mobilisé au Maroc plusieurs groupes d’étudiants dans différents établissements, à savoir l’EMI de Rabat (Ecole Mohammédia des ingénieurs), l’ENCG de Settat (Ecole nationale de Commerce et de gestion) et la faculté d’Aïn Sbaâ-Casablanca. Les équipes sélectionnées pour représenter le Maroc sont issues, toutes les trois, de l’ENCG de Settat. Chaque équipe présente respectivement un projet de mise en place d’un système de télétravail intégré et responsable, une formule de micro-crédit incitant les entreprises comme les particuliers à investir dans la «recherche et développement» et l’élaboration d’un système visant à sécuriser le circuit de règlement des chèques en dehors des horaires de travail des banques. Au final, un jury, présidé par la direction des ressources humaines de la Société Générale et composé de managers du groupe, décernera les prix aux trois équipes gagnantes, le 15 avril prochain.

L'Economiste 12/02/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 15 Icon_minitimeVen 12 Fév - 8:55

BMCE se met au transfert d’argent via le mobile

Les offres de transfert d’argent à partir du téléphone portable se multiplient. Toutes les banques s’y sont misent, à l’image de BMCE qui a étendu le champ d’activité de son produit «Lilkoul» en l’enrichissant d’un nouveau service sur téléphone mobile. Lancée en juillet 2009, cette offre proposait une solution de bancarisation à partir de 30 dirhams par an, basée sur une carte prépayée «Dialy». Une carte de retrait et de paiement qui est assimilable à un compte bancaire «léger», sans engagement et sans frais de tenue de compte. «L’objectif est de rendre les services bancaires accessibles à tous», précise-t-on auprès de la banque. Aujourd’hui, BMCE en introduit une extension de transfert d’argent à partir du téléphone mobile. A cela s’ajoutent des applications d’opposition de cartes, de changement de bénéficiaires de transfert et de modification du code confidentiel. La banque promet d’autres services qui compléteront progressivement l’offre. Ainsi, le détenteur du compte peut souscrire gratuitement au service «Lilkoul» de transfert sur mobile auprès des agences et choisir ses bénéficiaires. Pour ce faire, il choisit entre 2 canaux: SMS ou appel. Pour le premier, il s’agit d’un canal développé en partenariat avec Méditel et accessible exclusivement aux clients de l’opérateur. Il suffit donc de choisir le bénéficiaire et le montant, le transfert est instantané moyennant 8 dirhams par opération. Le destinataire sera, ensuite notifié par SMS. Le second canal consiste à appeler le serveur vocal Lilkoul à partir d’un mobile, de préciser le montant et le destinataire. Sécurisée en raison de la saisie d’un code confidentiel, la transaction est proposée à 6 dirhams quel que soit le montant du transfert. Le destinataire recevra l’argent instantanément sur sa carte Dialy. En mettant en place ces offres, la guerre contre la sous-bancarisation est bel est bien lancée. Et pour cause, le taux de bancarisation s’est stabilisé ne dépassant pas 32% de la population.

L'Economiste 11/02/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 15 Icon_minitimeJeu 11 Fév - 9:12

Baisse de l’euro: Le Maroc ne tirera pas le gros lot

Le Maroc peut-il profiter de la baisse de l’euro? Sur le papier, la dépréciation de la devise européenne devrait donner plus de percussion à nos exportateurs et améliorer leur compétitivité-prix. Sur le papier seulement, car la rigidité et la structure des exportations et la faiblesse de l’élasticité de la demande par rapport au prix neutralisent de facto les bénéfices à moyen terme. Ce n’est pas parce que le prix du kilo de pomme de terre ou de la tomate baisse que les ménages européens vont augmenter la consommation de ces produits. Dans l’autre sens, la faiblesse de l’euro constitue un formidable modérateur des risques liés à l’inflation importée. La boulimie des biens de consommation courante et d’équipement de la part des ménages se traduit par une explosion des importations. De l’électroménager à l’automobile en passant par les produits électroniques,..les produits européens deviendraient bon marché. Pour les importateurs automobiles de marques asiatiques, ce n’est pas une bonne nouvelle. Ils risquent d’être doublement pénalisés car à la hausse du dollar va se greffer celle du fret. Si 70% des échanges extérieurs du Royaume se font avec l’Europe, la devise européenne représente «seulement» 53% des règlements en devises avec l’étranger (selon l’arrêté des comptes 2009 de l’Office des changes). Par contre, la part du dollar qui profite mécaniquement des difficultés de l’euro en retrouvant son statut de valeur-refuge, s’élève à 41,7%. Le regain en forme du dollar, s’il s’inscrit dans la durée comme le prédisent les spécialistes (la capacité de retour à une croissance plus forte étant plus élevée aux Etats-Unis qu’en Europe) n’est pas forcément une bonne nouvelle pour le Maroc. La hausse du billet vert va renchérir les importations pétrolières et des céréales (qui resteront malgré tout limitées grâce à une excellente campagne 2009). De même, le service de la dette extérieure, majoritairement libellé en dollar, va être impacté. Dans le secteur bancaire, la baisse de l’euro, si elle persiste longtemps, pourrait contrarier la politique marketing sur le marché des transferts des MRE. Dans certains cas, les dépôts des émigrés représentent plus de la moitié des ressources. L’aubaine liée au taux de change a toujours eu un effet stimulant sur les envois des fonds des Marocains du monde comme les mesures du plan d’urgence l’ont encore prouvé. En 2009, les envois des fonds des MRE se sont élevés à 55 milliards de dirhams. Ils représentent la deuxième source en devises du pays. Les réserves de changes représentent actuellement 7 mois d’importation. Mais la rigidité du régime de change, institué presque en dogme par les autorités monétaires et la banque centrale, ne laisse pas beaucoup de marge de manœuvre aux banques. Au contraire du dinar tunisien dont la réactivité aux fluctuations des devises étrangères est plus rapide, le dirham lui, réagit à un rythme plus contenu. Les autorités monétaires ont toujours considéré cette prudence comme une protection contre d’éventuels mouvements brusques sur les capitaux. Même les avis insistants du Fonds monétaire international n’ont pu influer sur la rigidité de la politique de change. Dans le tourisme, le recul de la monnaie unique face au billet vert n’inspire aucune inquiétude. Dans l’hôtellerie par exemple, l’essentiel des contrats avec les tours operateurs sont libellés en dirhams. Au moins deux contrats sur trois, précise un hôtelier. C’est donc le TO qui supporte le risque de change. Les hôteliers sont d’autant plus immunisés contre les soubresauts de l’euro que les contrats en cours d’exécution ont été signés en février 2009. En voilà qui peuvent dormir tranquille.

Grèce, Portugal, Espagne: Les foyers de l’incendie
Attaqué par les spéculateurs, l’euro a fait un plongeon qui l’a amené au plus bas depuis juin 2009. C’est un vent de panique qui souffle sur les bourses européennes. Toutes les places ont plongé dans le rouge, inquiètes de voir les dettes de certains pays européens devenir incontrôlables. La situation financière de la Grèce, du Portugal et surtout de l’Espagne, quatrième économie de la zone euro, alimente le supermarché mondial de la spéculation sur l’euro. La monnaie européenne a subi des assauts de spéculateurs qui ont vendu en masse les euros qu’ils détenaient.

L'Economiste 10/02/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 15 Icon_minitimeLun 8 Fév - 8:59

Paiement en ligne au Maroc : 104,5 millions de DH en 2009

Ce n’est pas encore la révolution du paiement en ligne, mais ça ne saurait tarder. A fin 2009, le paiement en ligne par carte bancaire a généré un flux de 104,5 millions de DH contre environ 30 millions en 2008. Un résultat qui dépasse de loin les prévisions du Centre monétique interbancaire (CMI), soit 70 millions de DH.
La montée fulgurante des transactions par internet est imputable notamment à la multiplication des établissements qui proposent ce mode de paiement, soit 70 contre 10 en 2008. Maroc Telecom, Lydec, Meditel, Jet4you, Air Arabia ou encore la Trésorerie générale du Royaume offrent, depuis 2009, cette possibilité de paiement à leur clientèle. Véolia prévoit également une plateforme identique au cours de cette année.
«En 2007, nous devions justifier l’intérêt de ce service auprès des chefs d’entreprises. Aujourd’hui, c’est le contraire. Les patrons s’y intéressent de plus en plus», relève Samira Gourroum, directrice business développement à Maroc Telecommerce.
Au-delà du simple clic, le e-paiement soulage des longues files d’attente pour honorer des factures notamment. Plus de 20.000 factures Lydec ont été réglées via internet en 2009, indique Abdellah Talib, directeur du développement durable. Méditel, en dehors du paiement des factures, propose également la vente de cartes de recharge en ligne.
Selon nos informations, un second opérateur télecom devrait développer le même service au cours de l’année.
Les perspectives de développement de ce mode de paiement restent, ainsi, importantes. D’autant plus que peu de domaines d’activités s’y sont intéressés jusqu’à présent. «Des programmes de paiement en ligne sont en cours de réalisation avec des opérateurs du secteur pharmaceutique», indique Samira Gourroum. Le service pourrait également s’étendre au secteur de la grande distribution.
Dans le meilleur des cas, on en arriverait à faire ses courses devant son ordinateur. Dénommé «drive in», le concept permet au client de commander ses marchandises sur internet avant d’aller les chercher déjà empaquetées dans une zone dédiée. Il est déjà expérimenté dans certains pays. Le consommateur marocain est-il prêt à accepter ces changements, lui qui aime manipuler ce qu’il achète?
Par ailleurs, l’évolution du e-paiement est conditionnée par l’équipement des foyers d’un ordinateur et d’une connexion internet. Il s’agit également de dissiper les craintes des usagers, quant à la sécurité des transactions. «Celles-ci ne passent pas par internet mais via une ligne sécurisée», assure Lydec. Aussi, « la réglementation en matière d’utilisation de la carte bancaire protège encore plus le client», ajoute Samira Gourroum. De fait, le risque zéro n’existe pas.

Source : L’économiste

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 15 Icon_minitimeLun 8 Fév - 8:52

Signature d'une convention relative à l'ouverture de comptes bancaires au profit de travailleurs embauchés en Europe

Poste-Maroc et l'Agence Nationale de Promotion de l'Emploi et des Compétences (ANAPEC) ont signé, jeudi à Rabat, une convention portant sur l'ouverture de comptes bancaires au profit des travailleurs marocains embauchés en Europe via l'ANAPEC. Cette convention a été signée par le directeur de Poste-Maroc, M. Amine Benjelloun Touimi et le directeur général de l'ANAPEC, M. Hafid Kamal. Dans une déclaration à la MAP, M. Kamal a indiqué que cette convention, conclue en marge de la cérémonie de clôture du projet pilote "Appui institutionnel à la circulation des personnes (MEDA II), vise à permettre à ces personnes de transférer leur argent au Maroc à moindre coût. Elle permettra également à Poste-Maroc qui dispose de 1.800 agences au Maroc d'offrir à ces clients des services de proximité, a-t-il ajouté. Le projet MEDA II, qui a débuté en 2005, constitue un modèle de référence en matière de gestion des flux migratoires, en ce sens qu'il met à la disposition des candidats à la migration et des entreprises d'accueil, un cadre juridique approprié outre des dispositifs d'accompagnement, durant toutes les étapes de l'opération de migration, ainsi que des garanties y afférentes. Ce projet, réalisé avec un appui financier de 7,74 millions d'euros, a bénéficié à plus de 12.000 personnes en 2008 en plus de 2.300 autres en 2006.

MAP

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Upline Group dévoile sa stratégie

Le rapprochement entre Upline Group et la Banque Populaire élargit le champ d’action de la banque d’investissement. Jusqu’à la fusion des deux entités en juin dernier, la clientèle de Upline était principalement composée des institutionnels. Avec ce regroupement, elle accède à l’un des plus grands portefeuilles clientèle sur le marché des particuliers, mais également corporate. La nouvelle stratégie d’Upline Group, conduite par le cabinet McKinsey&Company, prévoit un recentrage des activités du groupe sur la gestion d’actifs, le capital investissement, le conseil et l’intermédiation boursière. La déclinaison de cette stratégie s’étale jusqu’en 2014. Elle prévoit la multiplication par 5 du chiffre d’affaires de la banque d’investissement. En 2009, celui-ci s’était établi à 74 millions de DH, déjà en croissance de plus de 15% sur un an. Upline entend capitaliser sur son adossement à la Banque Populaire pour densifier ses actifs. «Le fait d’avoir une banque derrière sécurise les institutionnels, en conséquence l’actif remonte. Nous avions 3 à 4 milliards de DH d’actifs sous gestion. Aujourd’hui, on tourne autour de 11 milliards. A terme, il s’agit d’intégrer le peloton de tête dans 3 ou 4 ans», relève Amine Belkeziz, directeur général d’Upline Group. La réalisation de ces objectifs se traduira également par le renforcement de l’effectif du groupe. Il atteindra, ainsi, 150 collaborateurs à l’horizon 2014 contre 91 actuellement. En tout, ce sont 40 mesures qui seront déclinées sur les 4 pôles du groupe. Selon Belkeziz, «la stratégie que nous avons mise en place s’oriente en premier lieu vers le retail, notamment à travers le réseau de 800 agences de la BCP». Et d’ajouter, «l’un des grands chantiers est de faire adhérer ce réseau à la distribution de nos produits». Autre cible, les MRE, vers qui des offres spéciales seront adressées.

Délai record
Il aura fallu six mois pour permettre à Upline Group de mettre en place tout un dispositif en matière de capital investissement notamment. Un délai qui lui a permis de créer sa sous-holding Upline Alternative Investment. Celle-ci regroupe trois sociétés de gestion: - Upline Investment: Elle est dédiée à l’investissement direct généraliste. La société gère les fonds Upline Investment et Moussahama 1 et 2. Sachant que Moussahama 1 est un fonds en fin de vie, le groupe envisage de fusionner Moussahama 2 et Upline Investment qui sont capitalisés respectivement à 400 et 200 millions de DH. A terme, il s’agit d’ouvrir ce nouveau fonds à d’autres investisseurs pour atteindre 1 milliard de DH. Ce qui lui permettra d’investir avec des tickets de 50 millions de DH minimum. - Upline Multi Investment: Cette société gère le fonds des fonds de la BCP qui est capitalisé à 1 milliard de DH. Ce fonds permet à la BCP d’investir librement sans passer chaque fois par la sphère réglementaire. - Upline Real Estate Investissement: Une société qui fait de la structuration et la gestion de fonds immobiliers. Elle a également une activité de conseil. Celle-ci gère aujourd’hui le fonds Alif qui a été créé entre la BCP et Alliances, avec comme partenaires la Mamda-Mcma et la CIMR. Par ailleurs, Upline prépare un fonds immobilier avec Attijariwafa bank pour Addoha. Le groupe Upline travaille également sur la structuration d’un fonds infrastructures qui sera capitalisé au minimum à 4 milliards de DH. Ce secteur présente un attrait important, notamment le programme de l’énergie solaire. De ce fait, les grands prescripteurs nourrissent beaucoup d’appétit sur ce créneau. Surtout les compagnies d’assurances et les caisses de retraite parce que les cycles d’investissement sont beaucoup plus longs que le private equity classique. Ils s’étendent de 15 à 25 ans. Ce sont des durées qui collent à celles des concessions.

L'Economiste 04/02/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 15 Icon_minitimeVen 5 Fév - 9:24

La BID convoite les opérateurs privés

La Banque islamique de développement (BID) fait les yeux doux aux opérateurs marocains. C’est ce qui ressort, en partie, de la journée de présentation des activités du groupe et de ses filiales spécialisées. En effet, Ahmed Mohamed Ali, président de la BID, déplore un manque de communication entre son organisme et les opérateurs du privé. En dépit de son statut de membre fondateur de la BID, la collaboration du Maroc avec cette institution n’est pas tout à fait au point. Le président de la BID estime que «peu d’entreprises marocaines interviennent dans l’exécution des projets que finance la banque et ce malgré son rôle de principal fournisseur d’expertise dans le cadre du programme de coopération technique». Toujours est-il, la collaboration entre le pays et la BID se traduit par le financement de 74 projets, pour un montant de 1,5 milliard d’euros soit l’équivalent de 17 milliards de DH. L’essentiel de cette enveloppe est destiné aux services publics pour un total de 30 projets. Le reste se répartit, principalement entre les secteurs du transport et communication (12 projets), l’agriculture (8 projets), et l’industrie (7 projets). Pour ce qui est du financement du commerce, la BID a approuvé, depuis la création du programme 114 opérations pour un montant total de 2,2 milliards d’euros (24,8 milliards de DH). Parmi les bénéficiaires: les Finances et la Samir notamment. De plus, par le biais de la société islamique internationale de financement du commerce (SIIFC), la BID a réalisé 3 opérations pour un montant de 370 millions d’euros (4,2 milliards de DH) depuis 2005. S’agissant du secteur de l’assurance, la société islamique d’assurance des investissements et crédits à l’export (SIACE) n’a établi, depuis sa création, que trois polices d’assurance pour des banques et d’autres exportateurs pour un montant total de 87 millions d’euros (982 millions de DH). Pis encore en ce qui concerne les importations, puisque les assurances n’ont porté que sur un total de 34 millions d’euros (384 millions de DH). De plus, en raison des difficultés de paiement de certains acheteurs, la SIACE a remboursé plus de 5,8 millions d’euros (65,5 millions de DH).

L'Economiste 04/02/2010

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MessageSujet: Re: Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT   Articles presse : ASSURANCES - BANQUES - STES DE FINANCEMENT - Page 15 Icon_minitimeMar 2 Fév - 9:11

Monétique: L’activité porte sur 119 milliards en 2009

Longtemps réservé à une certaine élite, le paiement par carte tend à se démocratiser de plus en plus. Mieux, il connaît depuis 4 ans maintenant un engouement certain. Cette ferveur se traduit par des chiffres pour le moins éloquents. En effet, pour l’année écoulée, le total des opérations effectuées, au Maroc, par cartes bancaires (marocaines et étrangères) se sont élevées à 138 millions. Leur montant annuel culmine à plus de 119 milliards de DH et marque ainsi une progression de 16,3% par rapport aux réalisations de 2008. Capitalisant sur cette frénésie, les banques se sont empressées de répondre au fort besoin en émettant plus de 6 millions de cartes pour la seule année 2009, soit une hausse notable de 20,3%. Plus des trois quarts de ce total, environ 4,8 millions d’unités, sont estampillées Visa, MasterCard et CMI (label national). Dans ces conditions, il ressort une très forte domination des opérations (paiement et retrait) opérées par cartes marocaines. Celles-ci s’établissent à fin décembre à 130 millions pour un montant total de 106 milliards de DH, soit une performance de 19% en un an. A l’inverse, les opérations effectuées par cartes étrangères régressent légèrement (-3%) pour s’arrêter à 12,7 milliards de DH. L’attrait de l’utilisation de la carte bancaire est également perceptible à travers les paiements effectués après des commerçants affiliés du Centre monétique interbancaire (CMI). A ce titre, les règlements effectués par les détenteurs de cartes marocaines ont été majorées de plus de 24% d’une année à l’autre. Evalués à 8 millions d’opération, ces paiements ont réalisé un montant annuel de plus de 5 milliards de DH. Affichant un montant de 12,7 milliards de DH en 2009, les opérations effectuées par cartes étrangères ont principalement concerné des transactions de retraits d’argent au niveau des guichets automatiques, à hauteur de 64% (8,2 milliards de DH). Le reste porte sur les paiements dans les commerces. A ce propos, les commerçants affiliés au CMI voient le nombre d’opérations de paiement par cartes, toutes catégories confondues, atteindre 9,6 millions pour un total de près de 10 milliards de DH. En soit, une progression de plus de 8% par rapport à 2008. Dans de moindres proportions, les transactions opérées par cartes marocaines à validité internationale augmentent légèrement de 2,3%. N’ayant pas dépassées 165.000 opérations en 2009, elles se fixent à 345,6 millions de DH. Au final, cette banalisation des cartes a permis un élargissement du parc des guichets automatiques bancaires, puisque leur nombre a franchi, en 2009, la barre de 4.000 GAB. Ce sont ainsi, 515 nouvelles installations qui ont enrichi un réseau qui atteint désormais 4.144 unités couvrant 254 localités (dont 18 nouvellement servies en 2009).

L'Economiste 01/02/2010

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Crédits: Ralentissement confirmé en 2009

Nette décélération des crédits alloués à l’économie. A fin 2009, ils ressortent à 579 milliards de DH, en progression de 9,1%, contre 23 % en 2008. C’est en substance ce qui ressort des dernières statistiques monétaires de Bank Al-Maghrib (BAM). Comme nous l’annoncions dans notre édition du mercredi 27 janvier, les banques ont bel et bien resserré les vannes du crédit au cours de l’année écoulée. Et pour cause, les prêts qu’elles ont accordés aux entreprises et aux particuliers se sont établis à 516 milliards de DH. Ce résultat est imputable à la légère baisse de 1% des crédits de trésorerie contre une performance de 22% en 2008. Parallèlement, BAM relève une importante décélération des prêts immobiliers et à la consommation. Leur rythme de croissance s’est affiché respectivement à 12,8 et 18,8% contre une évolution de 27,5% chacun l’année précédente. D’un mois à l’autre, les crédits à l’immobilier se sont certes limités à 172 milliards de DH, soit 2 milliards de mieux qu’en novembre. Les crédits à l’équipement, pour leur part, avancent de 6 milliards de DH pour s’établir à 125 milliards de DH. Quant aux crédits à la consommation, la tendance est moins bonne. Entre novembre et décembre, ils progressent de 200 millions de DH à 30 milliards de DH. Pour leur part, les créances nettes sur l’Etat ont augmenté de 6%, compte tenu de l’accroissement du portefeuille d’effets publics détenu par les banques, est-il indiqué. A contrario, les avoirs extérieurs nets enregistrent une baisse de 3,6%. Une baisse attribuée à la contraction des avoirs extérieurs nets de BAM et ceux des banques. Les créances en souffrance ont légèrement baissé à fin décembre pour s’afficher à 31 milliards de DH. En tenant compte de la moyenne mobile sur 12 mois, les créances en souffrance ont progressé de 11,38%. Dans ces conditions, l’agrégat de monnaie M3 ralentit à 4,5% contre 10,8% en 2008. Quant aux agrégats de placements liquides, ils enregistrent une hausse de 36,3%, principalement sous l’effet de l’accroissement des titres d’OPCVM obligataires et monétaires, respectivement de 50,5 et 35,4%. En revanche, les titres émis par les OPCVM actions et diversifiés se déprécient de plus de 25%.

L'Economiste 01/02/2010

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Monétique: Paiement en ligne, un marché en expansion

Ce n’est pas encore la révolution du paiement en ligne, mais ça ne saurait tarder. A fin 2009, le paiement en ligne par carte bancaire a généré un flux de 104,5 millions de DH contre environ 30 millions en 2008. Un résultat qui dépasse de loin les prévisions du Centre monétique interbancaire (CMI), soit 70 millions de DH. La montée fulgurante des transactions par internet est imputable notamment à la multiplication des établissements qui proposent ce mode de paiement, soit 70 contre 10 en 2008. Maroc Telecom, Lydec, Meditel, Jet4you, Air Arabia ou encore la Trésorerie générale du Royaume offrent, depuis 2009, cette possibilité de paiement à leur clientèle. Veolia prévoit également une plateforme identique au cours de cette année. «En 2007, nous devions justifier l’intérêt de ce service auprès des chefs d’entreprises. Aujourd’hui, c’est le contraire. Les patrons s’y intéressent de plus en plus», relève Samira Gourroum, directrice business développement à Maroc Telecommerce. Au-delà du simple clic, le e-paiement soulage des longues files d’attente pour honorer des factures notamment. Plus de 20.000 factures Lydec ont été réglées via internet en 2009, indique Abdellah Talib, directeur du développement durable. Méditel, en dehors du paiement des factures, propose également la vente de cartes de recharge en ligne. Selon nos informations, un second opérateur télecom devrait développer le même service au cours de l’année. Les perspectives de développement de ce mode de paiement restent, ainsi, importantes. D’autant plus que peu de domaines d’activités s’y sont intéressés jusqu’à présent. «Des programmes de paiement en ligne sont en cours de réalisation avec des opérateurs du secteur pharmaceutique», indique Gourroum. Le service pourrait également s’étendre au secteur de la grande distribution. Dans le meilleur des cas, on en arriverait à faire ses courses devant son ordinateur. Dénommé «drive in», le concept permet au client de commander ses marchandises sur internet avant d’aller les chercher déjà empaquetées dans une zone dédiée. Il est déjà expérimenté dans certains pays. Le consommateur marocain est-il prêt à accepter ces changements, lui qui aime manipuler ce qu’il achète? Par ailleurs, l’évolution du e-paiement est conditionnée par l’équipement des foyers d’un ordinateur et d’une connexion internet. Il s’agit également de dissiper les craintes des usagers, quant à la sécurité des transactions. «Celles-ci ne passent pas par internet mais via une ligne sécurisée», assure Lydec. Aussi, « la réglementation en matière d’utilisation de la carte bancaire protège encore plus le client», ajoute Gourroum. De fait, le risque zéro n’existe pas.

L'Economiste 01/02/2010

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